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Vacances et débauche à l'île de ré

Chapitre 1

Erotique
La barrière de péage se lève enfin. Nous voilà sur le pont. Nous arrivons enfin sur l’île après ce voyage toujours éprouvant vers la liberté. Je dis la liberté, parce que pour moi ces deux semaines de vacances à l’île de ré sont un des rares moments de l’année où je suis vraiment libre. Je m’appelle Victor et je viens d’avoir 18 ans. 1m88, châtain aux yeux marrons, pas gaulé comme Stallone, je plais aux filles, et même aux femmes. J’ai un certain charme naturel, une sorte d’élégance qui fait toujours effet et qui m’attire la sympathie d’à peu près tout le monde. Nous arrivons aux Portes, village huppé de l’île où se côtoient aussi bien riches de nobles familles, propriétaires de grandes villas depuis des générations que nouveaux riches un poil prétentieux, quatre-quatre Volvo, blondes aux volants trainant trois ou quatre marmots blonds aux yeux bleus, pendant que le mari fait le dandy sur la place avec ses amis tout aussi riches.
Je viens à Ré depuis que je suis tout petit, chaque année les deux premières semaines d’aout, parce qu’on ne peut pas se payer le luxe de rester plus longtemps. Ma famille est aisée, mais on ne rivalise pas un instant face à cette richesse exposée. Nos parents nous offrent ces vacances à notre demande, puisque nous sommes ici libres et que nous profitons d’un sentiment d’aventure toujours partagé. La maison n’a pas changé, et je retrouve ma chambre habituelle, à l’écart des autres, salle de bain privative et porte directement sur le jardin, très pratique pour aller et venir comme je le souhaite.
Ces vacances vont être particulières, je le sais. D’abord parce que je viens de passer le bac, que je suis majeur, c’est le moment pour moi de profiter un maximum avant les années de travail qui m’attendent. Médecine oblige. Mais aussi parce que cette année il y aura plus d’amis que d’habitude. Juliette, fidèle au poste depuis des années, grande habituée du village comme moi, petite brune aux formes proportionnées, fines et très sure d’elle. En apparence en tout cas. Et la petite nouvelle, Anaïs, petite brune aussi, la peau très blanche, deux jolies seins pas trop gros, des fesses absolument divines, et des jambes à tomber par terre. Anaïs, c’est la copine de mon meilleur ami Pierre, absent alors que je l’avais invité. Toutes sont bien entendu entourées d’autres amis que je connais ou pas.
    J’entretiens depuis toujours des relations ambigües avec ces trois filles là. Avec Juliette on s’attire et se repousse continuellement, jouant au chat et à la souris. On s’est embrassé une fois, on se drague encore. Quant à Anaïs, c’est encore plus particulier. Elle est avec Pierre depuis que je la connais, et depuis peu on se rapproche. Elle termine ses messages pour un « Je pense fort à toi », je la drague ouvertement pour faire enrager Pierre, et elle entre complètement dans mon jeu. Elle est sur l’île pour deux semaines, comme moi, chez une amie dans le village d’à côté, à Ars.
Et voilà qu’arrivent Juliette, Anaïs et deux amies pour cette première soirée.
    Et voilà qu’arrivent Juliette, Anaïs et deux amies pour cette première soirée.
    La règle est de se retrouver dans le centre du village. Il y a au fond d’une ruelle un petit coin d’herbe entre deux maisons où on peut se poser juste entre nous. Je fais la bise à Juliette, puis à Anaïs qui passe sa main dans mon dos et m’approche d’elle pour une bise appuyée. La soirée commence, nous buvons, discutons. On se raconte nos fins d’années respectives et les épreuves du bac. Les rires commencent à se faire entendre.
Juliette discute avec les deux amies d’Anaïs, pendant que nous rigolons un peu à l’écart.
« -Alors, comment ça va avec Pierre ?
    Pierre et Anaïs ont l’habitude de s’engueuler souvent, de rompre, de se rabibocher, ce n’est pas un couple très calme. Pierre est du genre vieux jeu, assez prude, et je pense qu’Anaïs est un peu frustrée du manque d’aventure sur le plan sexuel.
-Très bien, mais malheureusement il n’est pas là. Ces deux semaines auraient été parfaites avec lui. Mais je compte sur toi pour nous faire découvrir ton petit chez toi !
-Ne t’en fais pas pour ça, on va bien s’amuser. Et puis on va pouvoir lui faire peur en simulant un rapprochement !
-Le pauvre. »
Anaïs ne paraît pas enchantée par ce que je lui raconte.
    Tout le monde rentre chez soit, le rendez vous est fixé le lendemain sur la plage.
    Le p’tit bec est une longue plage face à l’atlantique, où les vagues sont assez fortes pour s’amuser sans surfer. Je retrouve Juliette et Anaïs, qui a déjà chaud après son trajet à vélo depuis Ars. Le visage un peu rouge, elle est particulièrement séduisante.
    Le soleil tape en ce début d’après midi, et nous décidons de tous aller nous baigner. La tradition impose que tout le monde courent jusqu’à la mer et entrent d’un coup dans l’eau. Je prends la tête de la course et plonge sous une vague. En me relevant, je vois Anaïs qui sort la tête de l’eau, son haut de maillot de bain a glissé quand elle s’est prise la vague de face, me laissant entrevoir un sein. Anaïs me regarde en reprenant son souffle, et aperçois mon regard. Elle relève son maillot avec un sourire en coin. Je lui rends son sourire provocateur et la pousse dans l’eau. J’en profite pour poser mes mains sur son ventre plat. Nous nous battons un peu, elle fait durer les contacts.
    Juliette qui s’est aperçue de notre petit jeu rigole avec nous. Nous retournons nous allonger sur nos serviettes. La chaleur est étouffante et nos peaux commencent à brûler. Anaïs qui est à côté de moi me demande à voix basse de lui mettre de la crème dans le dos. Jouant le jeu, je passe au dessus d’elle qui est allongée sur le ventre. Je suis à califourchon, juste en dessous de ses fesses. Cette vue de dos ne me laisse pas indifférent. Je prends un peu de crème au creux de la main, je la fais chauffer un peu, et je pose mes mains sur ses épaules.
    Je masse doucement ses épaules, en faisant des petits mouvements circulaires. Lentement, je descends le long du dos, toujours au dessus de l’agrafe du maillot. Je masse, je prends mon temps, j’appuie. Anaïs est détendue, les yeux fermés. Je reprends un peu de crème, et je pose mes mains au niveau des reins. Je reprends mon massage, mes mouvements sont plus amples, plus appuyés, plus précis, plus lents. Je remonte lentement vers l’agrafe de son maillot, et je passe les pouces en dessous. Le reste de mes doigts la tienne fermement sur les côtés.
    Je sens un début d’érection. Cette fille me rend dingue. Sa peau est douce, fine, chaude. Je décide de dégrafer le haut du maillot. Elle ne dit rien. Je reprends mes mouvements, allant de haut en bas. Mes pouces suivent sa colonne vertébrale sur le côté, tandis que mes mains passent et repassent sur ses côtes. J’écarte légèrement mes mains, le bout de mes doigts effleure maintenant ses seins écrasés sur sa serviette. Anaïs a toujours les yeux fermés. Ses lèvres s’entrouvrent. J’appuie sur les côtés, j’insiste au niveau de ses seins. Sa respiration se fait plus lente, plus profonde. Je ne bouge même plus les mains, mes doigts seulement font des petits cercles sur ses seins. J’aimerais tellement pouvoir les attraper pleinement, jouer avec ses tétons, les lécher, les mordiller.
    Je m’approche de son oreille et je lui embrasse le cou, elle me dit en chuchotant « fais moi visiter ta maison ». Cette demande est sans appel. Elle sait ce que je veux, je sais ce qu’elle veut, nous sommes sur la même longueur d’onde.
    Nous trouvons une faible excuse pour les autres et nous nous relevons en nous regardant les yeux dans les yeux. Le désir est palpable. Le trajet se fait en silence, je suis tout prêt d’elle à vélo. Nous les posons dans le jardin, et je pousse la porte de ma chambre.
    Elle entre, je ferme la porte. Je lui prends l’avant bras, elle se retourne et nos visages s’approchent. Nos lèvres se touchent. On s’embrasse. J’ai une pensée très éphémère pour Pierre. Mais très vite je n’y pense plus, bien plus intéressé par Anaïs.
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