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Vacances d'été

Chapitre 1

Divers
Sur la plage.
Comme tous les après-midi, depuis le début de l’été. Je vais faire ma petite partie de bronzette. Je suis encore une fois seule, Damien est encore parti faire du bateau. Il me saoule avec ça, moi j’ai le mal de mer. Je vais toujours au même endroit, un petit coin reculé, entre les rochers. Il n’y a jamais personne, le sable y est plus propre. Depuis deux jours, un jeune couple vient également squatter le coin. Il est mignon et je dois avouer, que si je n’étais pas mariée, j’en ferais bien mon quatre-heures.
Elle, vingt ans, petite brunette, mignonne, sans plus, des seins trop petits à mon goût. Jolies fesses et joli visage. Lui, vingt deux ans, est genre armoire à glace, brun, un corps de sportif, de haut niveau.Nous avons engagé la conversation, ils sont tous les deux à la fac. Ils sont là pour quinze jours, et veulent profiter de leurs vacances au maximum. Ils sortent tous les soirs, en boite de nuit et passent la journée sur la plage. Ils voulaient m’inviter hier soir mais, je sais que Damien a horreur de ça, dommage, je suis sure, que nous aurions passé une soirée, fort agréable.
Ils ont été surpris quand je leur ai dit mon age, c’est vrai que je ne fais pas trentre sept ans, on m’en donne, facilement dix de moins. Blonde, les yeux bleus, cheveux courts, 95b, grande, un mètre soixante dix huit. Je fais beaucoup de sport, mon métier, infirmière libérale, pour épuisant qu’il est, me laisse le loisir et les moyens, de prendre soin de ma petite personne.
Ils sont déjà là, elle seins nus, allongée sur le ventre. Lui est assis sous le parasol. Il me regarde venir vers lui, avec le sourire. Mon sac en bandoulière, ma serviette sous le bras, mes pieds s’enfoncent dans le sable, ce qui fait encore plus onduler mes hanches, je vois bien que son regard n’est pas innocent. Il va de mes seins, qui ballottent dans le fin soutien-gorge, à mes hanches qui ondulent au rythme de mes pas.
— « Bonjour isabelle! Il fait encore une chaleur infernale aujourd’hui! »— « Bonjour Laurent! Oui, beau temps pour la bronzette! »— « Bonjour Nathalie! »— « Elle s’est endormie! »
J’installe ma serviette, passe mes mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge. Je sens son regard sur mes seins. Je fais exprès d’en rajouter, en me tournant vers lui, pour qu’il admire ma poitrine. Je sors de mon sac, mon tube de crème solaire, en ouvre le bouchon et en dépose une noix sur ma main. Je commence par les bras, dans une caresse sensuelle, je caresse les épaules, descend lentement vers le poigner. Il ne me quitte pas des yeux, je sais ce qu’il attend mais je le fais languir. Il bouge un peu, quand enfin, j’arrive aux seins et les caresse. Comme si c’était lui, ses mains qui massent ma poitrine, je le regarde de temps en temps. Il ne perd pas une miette de ce que je fais. Il suit ma main des yeux, la bouche entre ouverte. La main descend le long de mon ventre, passe un peu sous le maillot. Je fais le devant des jambes, prends bien soin de mes petits pieds, aux ongles teintées de rouge.
Je lui tends le tube, ses yeux se sont éclairés. Je regarde le devant de son maillot, l’effet escompté est là. Il bande vraiment fort.
— « Tu veux bien m’en passer dans le dos, s’il te plait? »
Il ne répond pas, prend le tube, profite au passage, pour caresser les doigts. Je m’allonge sur le ventre, j’attends avec envie sa main. Il s’est agenouillé contre moi, son genou touche ma hanche. J’ai un petit frisson, quand enfin, je sens sa main sur mon épaule. L’autre vient rejoindre la première. Il masse lentement les épaule, descend sur le côté, prenant bien soin de venir toucher les seins. Ses mains sont douces, il caresse ma peau, plus qu’il ne passe de la crème. Il descend jusqu’au hanches, va plus loin que le bord du maillot, en le faisant glisser sur mes fesses, de quelques centimètre.
Ses mains, remonte dans mon dos, ses pouces, sur ma colonne vertébrale. Je mouille vraiment, ses caresses sont sublimes. Il fait mes fesses, descend sur l’intérieur des cuisses, passe sur les mollets. Il prend un pied, en masse les doigts, les uns après les autres, passe ses pouces sur la plante et remonte en caressant la cuisse. Il vient de s’asseoir sur mes fesses, je sens son membre viril, dur qui ouvrirait le passage, s’il n’y avait le rempart du maillot. J’ai envie de cet homme en moi, qu’il me fouille au plus profond. Il caresse mon dos, masse les côtés, vient caresser les seins. Je me soulève un peu, ses mains sont entre le sable et moi. Je sens son souffle court, sur ma nuque. Il caresse les tétons, masse les globes. J’ai envie de lui crier de me prendre. D’enlever le feu qui est en moi, au plus profond de mon être, de ma féminité.
J’ai tourné la tête vers Nathalie, je suis surprise par son regard. Elle ne dort pas, elle nous regarde. Elle me fait un sourire et passe sa langue sur ses lèvres. Je descends mes bras le long de mon corps, passe mes pouces dans l’élastique du fin maillot et je le fais glisser sur mes fesses. Il a compris, il le fait glisser le long de mes jambes. J’attends deux minutes, avant qu’il ne vienne, s’asseoir encore une fois sur mes cuisses, mais, cette fois je sens sa peau, sur la mienne.
Il a quitté son maillot, son sexe glisse entre mes cuisses serrées. Il s’allonge sur moi, prend mes seins dans ses mains. Sa verge n’a aucun mal à entrer en moi, mon vagin est gorgé de cyprine.Sa bouche sur ma nuque, sa langue parcourt mon cou. Ses mains pétrissent mes seins, son corps musclé masse mon dos. Sa verge dure, grosse, va lentement, au rythme de ses ondulations, fouiller mon ventre, à la rencontre du plaisir.
Nathalie a une main sous elle, je devine, qu’elle est en train de se caresser. Ses yeux dans les miens, elle regarde monter la jouissance dans mon corps. Mon ventre brûle, j’ai envie de plus, le plaisir monte dans mes os, un long frisson parcourt mes reins. La bouche ouverte dans un cri de jouissance. Ma vulve vient de s’enflammer, la jouissance a explosé dans ma tête, en des milliers d’étoiles.
Il me mord la nuque, comme un chat qui prend sa femelle. Un grognement, les vagues chaudes, envahissent mon vagin. Il jouit en moi, longtemps, me fait encore une fois jouir et le crier à la planète entière. C’est une chance, que nous soyons éloignés du peuple, qui occupe la plage, nous aurions des admirateurs.
Je vois la jouissance, dans les yeux de Nathalie. Elle ouvre la bouche, a quelques soubresauts et vient me rejoindre dans mon cri de plaisir. Elle est venue nous rejoindre, a quitté son maillot et se blottit contre moi, en posant sa bouche sur la mienne. L’après-midi n’est pas fini, elle commence juste.
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