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Vacances d'été en Bretagne

Chapitre 1

Gay
Je me présente : je m’appelle Ethan, j’ai 21 ans et je suis gay. Physiquement, je suis plutôt mignon. Je me fais souvent draguer, par des filles comme par des garçons.
Cette histoire se déroule en Bretagne durant les vacances d’été. Ce n’était pas la première fois que j’allais passer des vacances là-bas. La première fois ne m’avait pas laissé un très bon souvenir mais j’étais optimiste pour cette fois ci car j’y retournais, pas avec ma famille comme la première fois mais avec trois de mes amis : ML, Tam et Simba (ce sont des surnoms). Nous étions donc deux filles et deux garçons.
Nous avons roulé toute la nuit et nous sommes arrivés peu avant midi. Comme nous ne devions pas recevoir les clés de l’appartement avant 14h, nous décidons d’aller manger un morceau. Connaissant un peu l’endroit, je les emmène dans un café au milieu d’une grande place où on peut manger des spécialités locales.
Nous nous installons, passons commande et commençons à discuter de tout et de rien. En même temps, j’observe les serveurs. Il y a 5 garçons et une seule fille. Les garçons serveurs sont plutôt mignons, surtout un en particulier qui ne me laisse pas indifférent. On aurait dit qu’il avait un regard méchant, sûrement à cause de ses sourcils en forme de chapeau (^), mais ses yeux bleus dégageaient quelque chose de puissant. Il n’était pas très grand, quelques centimètres de plus que moi (qui ne suis pas grand à la base). Malheureusement, il ne s’occupait pas de la partie de la terrasse dans laquelle se trouvait notre table. Notre serveur parlait d’un air assuré et, lui, on pouvait dire qu’il était grand.
Il nous apporte nos commandes et nous commençons à manger quand je remarque une bande de jeunes trentenaires qui s’installe à une table un peu plus loin. Cette bande est composée de 3 femmes (dont une avec une poussette) et un seul homme. Il est beau et on remarque qu’il est musclé sous son polo blanc qui lui colle presque à la peau.
Il s’est installé pile en face de moi bien qu’il est plusieurs mètres plus loin. Et j’ai l’impression qu’il m’observe. A chaque fois que je tourne la tête vers lui, il est en train de me fixer et il détourne tout de suite son regard.
Après avoir payé l’addition, nous décidons de commencer à chercher notre appartement. Nous finissons par trouver. Il est 13h45 mais la propriétaire est déjà là pour nous accueillir. Elle nous fait visiter l’appartement qui se révèle être plus grand que ce que je pensais ! Après avoir déposé les affaires, je propose une balade au bord de la mer mais tout le monde est trop fatigué donc je pars tout seul. S’il y a bien une chose qui m’a manqué en Bretagne, c’est les immenses rochers qui bordent toute la côte. On peut trouver pleins d’endroits où on peut se poser tranquillement lorsque la marrais est basse. Exténué par le voyage et par ma périlleuse balade à travers les rochers, je décide de m’arrêter pour fumer une cigarette.
Je suis arrivé à la moitié de ma clope quand j’entends un bruit sur ma droite. Je me retourne et je reconnais tout de suite l’homme qui n’arrêtait pas de m’observer au café, ce midi. Il marche dans ma direction et il s’arrête devant moi. J’en profite pour mieux l’observer. Il est plus jeune que je ne le pensais. Il doit avoir 26 ans grand maximum. Il est grand et musclé. Ses cheveux sont bruns et coupés de façon moderne. Il a un beau visage sympathique. Il a troqué son polo blanc contre un débardeur noir qu’il porte avec un short rouge clair et des tongues noires laissant apparaître ses pieds de taille proportionnels au reste de son corps. Je ne suis pas fétichiste des pieds mais je dois reconnaître que les siens sont sexy. Ses bras sont musculeux et ses mains laissent apparaître quelques veines sur le dessus ce qui les rend tout aussi sexy. Il porte des lunettes de soleil, cachant ses yeux que je devine verts.
— Eh, je t’ai vu au café ce midi. C’est drôle de te croiser justement ici. — Pourquoi justement ici ? demande-je.— Parce que je viens souvent là et aussi, parce que c’est un endroit tranquille. Je peux m’assoir avec toi ?— Je t’en prie.
Il commence à taper la discute. Il est assez gentil mais je suis tout de même méfiant. Il a l’air de s’approcher de plus en plus. A un moment, il enlève son débardeur disant qu’il a trop chaud alors qu’il y a des rafales de vent ! Mais son torse rasé est un régal pour mes yeux. Tout est bien dosé. Il n’est ni trop gonflé ni pas assez. J’ai une irrésistible envie de le toucher mais je prends sur moi et laisse mes mains à leur place.
Au bout d’un moment, un blanc s’est installé dans notre conversation et soudainement, il me demande : "qu’est ce que t’as le plus envie de faire la maintenant ? Honnêtement !" Pris par surprise, je ne sais pas pas quoi répondre. Je bafouille : "euh... bah... je sais pas trop... Et toi ?" Il répond sans hésitation, comme s’il avait déjà préparé la réponse dans sa tête : "Moi ?... J’ai envie que tu déboutonnes mon pantalon, que tu arraches mon boxer et que tu me suces ma grosse bite."
Je suis sous le choc, je le regarde avec des yeux ronds. Mais d’un côté, j’en ai envie. Je sens l’excitation monter en moi et puis je me laisse aller. Je m’avance vers lui, tout de même un peu hésitant. C’est alors qu’il prend ma main qu’il dirige vers l’ouverture de son short. Alors j’ouvre la fermeture Éclaire et je tire son vêtement jusqu’à ses pieds. La bosse qui se dessine sur son boxer est impressionnante. Je m’empare de l’élastique de son sous-vêtement, impatient de voir le monstre qui se cache en dessous. Je glisse lentement mes mains vers le bas laissant apparaître une bite puissante d’au moins 19 centimètres sur 5 centimètres. Elle est magnifique, légèrement veineuse et dure presque comme de la pierre. Une légère repousse de poils orne son pubis. Ses couilles ont l’air pleines, prêtes à être vidées. Son gland est superbement bien tailler et imposant comme une couronne qui terminerait parfaitement ce chef-d’œuvre. Je ne vais pas dire que j’en ai vu passer des milles et des cents mais cette verge est la plus parfaite que j’ai eu l’occasion de voir. Je le regarde dans les yeux, un sourire s’est installé sur ses lèvres comme s’il était fier de lui, fier de son imposant gourdin, fier de l’effet d’impression qu’il me faisait. Il donne un coup de tête en direction de sa bite comme pour m’encourager à y aller et je ne me fais pas prier. J’enfourche sa queue avec ma bouche et faisant bien attention d’écarter les dents pour ne pas abîmer sa superbe verge. Je fais des va et vient de plus en plus vite en m’arrêtant parfois pour le branler, ou encore pour lécher sa précieuses bourse. Il aime ça. Il laisse échapper des petits râles d’excitation. Il me laisse faire, pas besoin d’aide, je fais ça a la perfection. Je vais de plus en plus vite. Je sens qu’il va venir, il est au bord de l’excitation. Il s’agrippe à mon t-shirt... Et bientôt, il explose. Secoué de spasme, il lâche tout son foutre dans ma bouche et j’avale tout en faisant bien attention de ne pas en laisser tomber la moindre goutte.
Satisfait de moi, je lève la tête vers son visage et constate avec fierté l’immense sourire qui s’étire sur ses lèvres.
— C’était parfait, me dit-il. Parfait. Jamais on m’avait jouir comme ça.
Il se lève et remet ses vêtements.
— Il faut que j’y aille. Encore une fois, c’était vraiment parfait. T’es là pour encore combien de temps ? — Je viens d’arriver, je suis là pour deux semaines. — Parfait, alors j’espère qu’on aura l’occasion de se revoir.
Il me fait un clin d’œil et repart par là où il est venu. En le regardant s’éloigner, je constate qu’il a un superbe fessier, bien bombé ! Encore tout excité, je remarque la bosse sur mon short. Je n’ai toujours pas débandé ! Alors, je descends mon pantalon, j’empoigne ma bite et commence à me branler jusqu’à l’extase. Je crois bien que je n’ai jamais craché autant de sperm de ma vie ! Heureux, je prends le chemin du retour pour rentrer à l’appartement et retrouver mes amis.

J’espère que cette histoire vous a plu. Dites moi si vous intéressé par la suite sinon ça sert à rien que je l’écrive. Merci à ceux qui ont lu jusqu’au bout !
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