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Vacances de neige

Chapitre 2

Hétéro
INSTALLATION

Le soir tombe. Le car qui amène le groupe depuis la gare s’arrête devant le chalet. Les enfants descendent, chacun récupérant son sac auprès du chauffeur. Tous sont un peu fatigués du voyage et les lacets de la route depuis la vallée n’ont rien arrangé. Bernard, très digne les accueille sur le perron. — Veuillez entrer s’il vous plait. Prenez la première porte à droite, c’est la salle commune, je vous y donnerai quelques informations sur votre séjour… sans bousculade, s’il vous plaît ! Il y a de la place pour tout le monde ! Line et Marjorie entrent les dernières dans la salle et se tiennent à part, évitant de se mêler à la troupe bruyante. Les filles se regroupent, les garçons papillonnent autour se poussant du coude. Tous parlent à voix basse en attendant la venue de Bernard. Un remous à l’arrière de la salle, une exclamation et le claquement d’une gifle. Aïe ! Un garçon frotte sa joue tandis qu’une fille le regarde offusquée. — Bien fait pour toi ! Ça t’apprendra ! Bernard escorté de Lucille, Marc et Luc fait son entrée. Ils sont suivis par deux hommes en blouse et en toque blanche. — Silence s’il vous plait… J’ai dit silence ! Le brouhaha fait place à un murmure qui s’affaibli. - Bon. Je me présente, Bernard. Je suis le directeur de ce chalet. Voici Lucille… Marc… et Luc.A l’énoncé de leur nom chacun s’avance et salue l’auditoire. — Ils s’occuperont de vous pendant la journée et pour les animations du soir. Je vous présente également notre cuisinier Louis… et Jean qui le seconde en plus de veiller à l’entretien du chalet. Tous les cinq nous constituent avec moi votre encadrement. Je compte sur vous pour que cette semaine de vacances de neige soit une réussite. Lucille va conduire les filles dans leur dortoir et Marc les garçons. Attention ! Les visites nocturnes d’un dortoir à l’autre sont interdites. Il n’y a qu’une sanction pour les contrevenants, le retour immédiat à Paris ! Je signale que pour aller d’un dortoir à l’autre, il faut traverser tout le bâtiment et passer devant ma chambre. Et les planchers de bois ça grince dans la nuit… Je dis cela pour les petits malins qui voudraient tenter quand même leur chance…Des rires retenus accompagnent cette mise en garde. — Allez poser vos affaires. Quand vous aurez choisi votre lit, retour dans la salle à coté pour le repas. Les enfants prennent leur sac et sortent de la salle à la suite de leurs guides.
Line et Marjorie, un peu désemparé hésitent à suivre le groupe des filles. Elles sont soulagées d’entendre Bernard leur demander de rester un instant. — Vous êtes au courant du petit ennui que nous avons concernant les places disponibles et je vous remercie d’accepter de coucher dans une chambre habituellement réservée aux moniteurs. Luc va vous y conduire. Ne soyez pas longues, le repas va être bientôt servi. Les deux filles entrent à la suite du jeune homme dans une coquette chambre qui comporte deux lits à une place et une petite salle d’eau avec W.C, lavabo et douche. Elles sont satisfaites de ne pas avoir à partager les toilettes communes. — Voici une armoire pour ranger vos affaires. — Une seule pour deux ? demande Line. — Oui… Euh… L’autre est pour Marc et moi… en attendant de trouver une autre solution. — Vous ne savez pas encore où vous couchez ? — Euh… Bernard ne nous l’a pas encore indiqué.
Luc se détourne pour que Line ne le voie pas rougir à ce mensonge. Il rencontre le regard ironique de Marjorie. Celle-là n’est pas dupe constate-t-il.
La soirée est écourtée, la fatigue du voyage se fait sentir. — Demain petit déjeuner à huit heures, annonce Bernard. Un murmure de désapprobation circule parmi les tables. — Huit heures ! insiste le directeur. Tans pis pour les retardataires. Ensuite nous vous équiperons en chaussures et ski et nous contrôlerons votre habileté. Vous serez répartis en trois niveaux. Lucille entraînera les plus forts, Luc les moyens et Marc les débutants. Allez zou ! Passez une bonne nuit.
Les deux cousines rejoignent leur chambre. Pendant leur toilette, Marjorie se tourne sans cesse vers la porte, se demandant quand les garçons vont apparaître. — Qu’est-ce que t’as, interroge Line, tu peux pas rester tranquille ? Oh ! Tu mets pas de pyjama ? — Je préfère rester en chemise de nuit. — A ta guise. La jeune fille s’installe dans le lit le plus éloigné de la porte. — Eteins s’il te plait demande-t-elle à Marjorie. — Tu veux pas parler ? supplie celle-ci un peu nerveuse au seuil de sa première nuit complète avec un garçon. — Non, pas ce soir, je suis fatiguée. Marjorie actionne l’interrupteur avant de se glisser sous les couvertures.
Elles n’ont pas fermé les volets. La neige au dehors réfléchit la clarté des étoiles donnant un aspect fantomatique aux meubles de la petite chambre. La jeune fille aux aguets perçoit plus qu’elle n’entend la porte s’ouvrir sans bruit. Deux silhouettes se faufilent et referment derrière elles. Le lit de Marjorie plie sous un fardeau supplémentaire. — C’est toi Marc ? murmure-t-elle. — Oh pardon ! Je me suis trompé. Luc se lève et cède la place à son camarade. Marjorie ouvre les couvertures et se love contre Marc. — Oh ! On dirait que tu es pressé, murmure-t-elle en découvrant que le jeune homme est nu. — Tu n’as rien à dire toi, réplique-t-il sur le même ton en glissant la main sous la chemise de nuit le long de la cuisse avant qu’un baiser unisse leur bouche.
Luc attend que le couple s’embrasse pour s’asseoir sur le lit de Line. — Oh ! Que faites-v…— Chut ! Tu vas attirer du monde. Tu veux que Bernard vous renvoie à Paris ? — Que fais-tu ? — Euh… Nous n’avons pas trouvé de place pour dormir. On pensait que… euh… vous accepteriez… pour une nuit… S’il te plait…Line soupire. Elle n’a pas le courage de faire du scandale, puis Luc a dit pour une nuit…— Bon, je te laisse la place, je rejoins Marjorie dans son lit. — Euh… Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. — Pourquoi ? — Regarde. La lune s’est levée. Sa clarté réfléchie par la neige illumine la chambre et révèle sur la couche voisine un couple enlacé. Line devine qu’ils se caressent sous la protection des draps. Un gémissement de Marjorie vient le confirmer. — Oh oui ! La jeune fille est désemparée. Elle ne sait plus ce qu’elle doit faire. Luc profite de son indécision pour se glisser à son tour sous les couvertures. — Oh ! Tu es tout nu ! — Euh… excuse-moi, j’oubliais que je ne porte jamais de pyjama… Ça te gêne ? La question directe la désarçonne. — Euh… non… fais comme tu veux. Sans vouloir se l’avouer, la chaleur du corps qui se love dans son dos, l’émeut. Elle doit se retenir pour ne pas poser la main sur la hanche proche. Des grincements de sommier ponctués de gémissements étouffés en provenance de l’autre couche l’alerte. — Que… que font-ils ? — M’est avis qu’ils baisent. — Oh ! C’est pas vrai ! Marjorie ! Marjorie réponds-moi ! — Chut, ordonne Luc, tu vas réveiller tout le monde. Laisse ta cousine tranquille. Ne l’empêche pas de jouir. — Mais je veux pas moi. — Tu veux pas qu’elle jouisse ? — Je veux pas faire l’amour… je… je l’ai jamais fait. Je veux pas. — Je te promets de pas te baiser… ce soir. Les gémissements s’amplifient ainsi que le rythme des grincements. Line impuissante, regarde les couvertures s’agiter. Marc se redresse sur les avants bras, Marjorie l’attire contre elle pour étouffer dans un baiser les cris de jouissance que le jeune homme lui arrache.
Le silence retombe dans la chambre. Line est perturbée. La vision de l’étreinte a laissé des traces. Elle est jalouse du plaisir affiché par sa cousine. Quand connaîtra-t-elle aussi le grand frisson ? Pourquoi pas cette nuit ? Avec Luc ? Elle tend la main en arrière et rencontre la hanche du jeune homme. Le contact ranime sa peur. Non, elle n’est pas prête, pas ce soir. Elle reprend sa main. Luc a senti le frôlement furtif. Il décide d’attaquer à son tour. Il glisse un bras sous la jeune fille à la hauteur de la poitrine tandis que l’autre cherche à s’insinuer sous la ceinture du pantalon de pyjama. — Oh ! Elle cherche à se dégager. Luc résiste et englobe un sein tout en caressant le ventre plat. — Veux-tu ! — Chut ! gémit Marjorie, j’ai sommeil. Laisse-nous dormir. — Mais… Mais…— Qu’est-ce que t’as encore ? — Il… il me caresse. — La belle affaire ! Il te fait mal ? — Euh… no-non, admet-elle un peu interloquée par la question. — Alors de quoi tu te plains ? Tiens-toi tranquille et laisse-nous dormir. Bonne nuit ! — Euh… bonne nuit. La pauvre Line n’ose plus s’interposer quand Luc encouragé, passe les mains sous le tissu de la veste de pyjama à la rencontre des seins. Il titille les tétons qui s’érigent sous l’attouchement. Line frémit lorsqu’une paume délaisse la poitrine et descend vers le ventre entraînant le pantalon. Inconsciemment elle soulève les hanches pour lui permettre de passer la barrière des fesses. Le frottement des poils du sexe de Luc déclenche un frisson qui la couvre de chair de poule. Elle rougit de sentir la hampe se développer contre sa cuisse. Elle lance sa main en arrière et tente une timide caresse de l’ongle sur la peau du garçon.
Le doigt qui s’insinue entre les lèvres de son sexe la réveille. — Tu as promis, murmure-t-elle. — Rien que des caresses… Je t’assure, insiste-t-il en tournant autour du clitoris. — Aah !… Que des caresses ? Vrai ? — Que des caresses, affirme-t-il en décapuchonnant le petit bouton. — Aah ! — Chut ! — Mmmh ! La jouissance envahie le bas ventre de Line. C’est tellement mieux que lorsqu’elle touche avec son doigt ! La main de Luc libère la poitrine et s’insinue entre les fesses. Le gras de l’index tourne autour de l’anus, le délaisse pour trouver l’entrée de la grotte intime. Elle ne cherche pas à se soustraire, au contraire elle gémit quand il s’imprègne de la moiteur de la jeune fille avant de s’enfoncer et buter contre l’hymen. — Aïe ! — Excuse-moi, je ne voulais pas te faire du mal. Marc disait vrai, pense-t-il, Line est une vraie vierge. Ce ne serait pas un bon plan de la forcer dès ce soir. Plutôt l’amener peu à peu à accepter l’inéluctable. Pour cette nuit, il se contentera de caresses réciproques. Pour la suite on verra demain.
Luc prend la main de la jeune fille et la pose sur son sexe érigé. Elle referme les doigts sur la tige et commence une tendre masturbation. C’est la première fois qu’elle tient ce symbole de la puissance masculine. C’est doux, soyeux. Elle regrette en cet instant de ne pas le voir. Elle tire sur le prépuce découvrant le gland. — Aammh ! gémit Luc. Ils poursuivent leurs attouchements. Tout à coup, Line se raidit, referme les cuisses emprisonnant la main de Luc. — Mmmh !… MMMmmhh ! Ses doigts se crispent sur le sexe du garçon qui serre les dents. Peu à peu elle se détend. — Ça va ? lui murmure-t-il à l’oreille. — Excuse-moi. — Ce n’est rien, tu as joui, j’en suis fier… Euh… moi je n’ai pas joui… euh…En souriant elle reprend sa masturbation. — Et comme ça ? Ça va ? — Aah !… Ouii !… conti… Aah !… continue… plus vite… Aaah !… Ouiii !… Arrgghh ! Luc se casse sous le poignard du plaisir. — Oh le cochon ! Tu as tout mouillé ma main. Elle essuie sur le drap les traces de sperme. Luc l’enlace. Il dépose un baiser sur la joue, glisse vers la commissure des lèvres. La bouche s’entrouvre, les langues s’enroulent pour un ballet voluptueux. — Il faut dormir à présent. Tu permets que je me mette comme ça ? déclare Luc en se glissant dans le dos de Line et empoignant un sein. La jeune fille se contorsionne comme pour rentrer dans le corps du garçon. — Aïe ! — Qu’est-ce qu’il y a ? Je t’ai fait mal ? — Non, c’est mon pyjama qui me gêne. Laisse-moi le remonter. — Euh… Tu devrais l’enlever… Il te gênerait plus, ajoute-t-il pour convaincre la jeune fille. Line hésite. Qu’est-ce qui empêchera Luc de la baiser cette nuit ? Non, il ne fera pas ça. Il a respecté sa promesse... Puis le contact de la peau sur sa peau est si agréable... Elle pédale sous les couvertures pour ôter le vêtement encombrant.
— Je crois qu’ils ont fini, murmure Marjorie à Marc lorsque le silence est revenu, c’est pas trop tôt ! — Tu vois qu’on pouvait faire confiance à Luc pour dépuceler ta cousine. — Embrasse-moi. — Il est tard, il faut dormir. — Un dernier baiser…
A suivre…
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