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Vacances de neige

Chapitre 3

Hétéro
DIMANCHE

La montre se met à vibrer au poignet de Marc. Six heures et demie, l’heure du réveil ! Il s’étire. Son bras rencontre un obstacle. Ah ! C’est vrai ! Il a dormi avec Marjorie. Une sacré baiseuse la fille ! Qui l’a réveillé en pleine nuit pour une étreinte silencieuse pendant que sur le lit voisin, Luc et l’autre fille (« Comment elle s’appelle ? Ah oui ! Line »), dormaient du sommeil du juste. Quelle séance ! La contrainte d’étouffer tout gémissement, d’éviter les grincements du sommier a accru leur plaisir réciproque. Ça n’en finissait pas ! Calmés, ils se sont endormis soudés l’un à l’autre.
Marjorie est couchée sur le ventre. Il caresse les fesses que la chemise de nuit remontée dévoile. Il sent les monticules de chair de poule que ses doigts provoquent. Ils s’insinuent dans la raie. Marjorie grogne, remue dans le lit ce qui a pour effet de séparer les cuisses. Marc résiste à la tentation. Il n’aurait pas le temps pour une baise correcte. Malgré la raideur de son désir, il se lève. Le postérieur de la jeune fille luit sous la clarté de la lune. Avec un sourire il le recouvre du drap et se dirige vers l’autre lit. — Hé, Luc ! — Mmh ! — Réveille-toi, il est l’heure pour nous. — Déjà ? — Six heures et demie passée ! Luc s’étire, bousculant Line qui se réveille. — Qu’est-ce qui se passe ? — Rien, rendors-toi. — Pourquoi tu te lèves ? Quelle heure il est ? — Il est six heures et demie et pour nous il est temps d’aider à la préparation de la journée. Tu peux rester au lit encore près d’une heure. Luc se redresse, sa verge pointe droite devant lui. — On peut dire que tu as un réveil triomphant, sourit Marc. Line tend la main pour toucher. C’est ça qu’elle a caressé hier soir. Elle retrouve la douceur de la peau. Luc la laisse faire un sourire béat aux lèvres. Marc, au bout de quelques instants les interrompt : — Laisse-le s’habiller, Line. Je te promets que ce soir tu retrouveras ton petit jouet. La jeune fille retire précipitamment la main en rougissant. Les deux garçons emportent leurs affaires pour se laver et s’habiller dans la chambre du cuisinier.
— Qu’est-ce que tu faisais ? Tu le caressais ? demande Marjorie que la conversation avait réveillée. Tu veux pas me dire ? Viens me rejoindre dans mon lit. Line se pelotonne contre sa cousine. Le contact des cuisses nues la fait frémir. Elle pose la main sur une fesse et reste immobile malgré son désir de patouiller cette chair ferme. Marjorie est aussi empruntée. En dépit de leur commune envie aucune n’ose satisfaire leur besoin de tendresse. — Dis… Il t’a fait l’amour ? interroge Line.
— Oui… Toi aussi ? — Non. — Comment non ? A entendre vos gémissements hier soir, c’était bien imité je t’assure. — Non, on n’a pas fait l’amour, j’ai pas voulu… on s’est juste caressé. — T’as aimé ?… Dis, réponds-moi… Tu voudrais pas recommencer ? — Oh non ! — Cette blague ! T’as rien dis ce matin quand Marc t’a dit que ce soir tu t’amuseras avec Luc… Ne nie pas, j’ai tout entendu. — Tais-toi, j’ai encore sommeil. Line tourne le dos à sa cousine ne voulant pas continuer la conversation sur ce thème. D’ailleurs, sait-elle ce qu’elle veut ? Oui, elle a envie que cette tige vivante qu’elle a manipulée s’introduise entre ses cuisses, la transforme en vraie femme et en même temps le redoute. Elle a tellement peur d’avoir mal…
Line est tout étonnée le soir, après le repas d’entendre Bernard proposer quelques animations avant l’heure d’extinction des feux. Elle n’a pas vu passer la journée, entre les essayages des chaussures et des skis, les premières descentes pour classer les participants et l’après-midi sur les pistes. Plus sportive que Marjorie, elle fait partie du groupe des forts avec Lucille tandis que sa cousine skie avec Luc et les ‘moyens’. En entendant le directeur, les craintes qu’elle avait occultées dans la journée reviennent la hanter. Elle appréhende de se retrouver dans son lit, de sentir la peau de Luc contre sa peau. Elle devine que s’il la touche, s’il la caresse comme la veille au soir, elle sera incapable de s’enfuir, de refuser l’étreinte qui la terrorise tout en l’attirant. Pour calmer les battements de son cœur, elle se jette à corps perdu dans les jeux pour adolescents, sous le regard narquois de Marjorie qui doit l’entraîner de force vers la chambre quand Bernard donne le signal du coucher. — Allez viens, l’encourage sa cousine, tout se passera bien.
Après un bref passage dans le petit cabinet de toilette, elles se déshabillent en silence. En petite culotte, Marjorie hésite. Avec un sourire elle range sa chemise de nuit dans le sac et ôte son dernier vêtement. — Oh ! Tu vas dormir toute nue ? s’offusque Line en la voyant se glisser sous les couvertures. — Pourquoi pas ? J’aime bien sentir la caresse des draps sur ma peau, pas toi ? Elle ne dit pas qu’elle espère que Marc en profitera pour la caresser sur tout le corps et pas seulement sur le sexe. — Allez !… Fais comme moi. — Tu… tu crois ? — Tu verras comme c’est agréable. Son pyjama en main Line hésite, puis elle le pose au pied du lit. Il sera là tout près… si nécessaire. En rougissant elle se glisse sous les couvertures. — Tu ne vas pas éteindre ? demande Marjorie. — Euh… Ils le feront.
Luc et Marc s’arrêtent sur le seuil de la chambre. La lumière allumée les surprend. Qu’est-ce que cela veux dire ? Ils ne voient des deux cousines que le haut du visage qui dépassent des draps tirés avec soin. Ils hésitent mais ayant laissé leur vêtements dans la chambre du cuisinier, ils ne peuvent s’attarder dans le couloir. Bernard pourrait surgir à tout moment. — Vous fermez pas la porte ? interroge Marjorie. — Euh… Oui, tout de suite, balbutie Luc. Il en profite pour éteindre au grand regret de Line qui aurait voulu contempler un peu plus longtemps ce qui pend au milieu des poils devant le ventre du garçon. Dans l’obscurité brutale, on entend le grincement d’un sommier et une exclamation de Marc. — Oh ! — Qu’est-ce qu’il y a ? s’inquiète Luc. — Ça te dérange ? interroge Marjorie. — Pas du tout ! Le garçon rabaisse le drap qu’il a écarté pour entrer dans le lit. Il patouille avec délice le corps qu’on lui abandonne.
Luc devine que la jeune fille a fait une surprise agréable à son copain. En sera-t-il de même pour lui ? — Tu permets ? murmure-t-il à Line en se penchant sur le lit. Elle ne répond pas mais rampe sur le dos pour faire de la place. Il frémit en constatant que la jeune fille est nue. Voilà la raison de l’exclamation de Marc. — Merci, lui murmure-t-il à l’oreille en la serrant contre lui. Ses mains papillonnent sur les seins, titillent les tétins qui s’érigent. Line se décontracte, c’est agréable ces attouchements. Tout à coup elle raidit, une main s’aventure sur l’estomac, le ventre, agace au passage le nombril avant de s’enfouir dans la petite forêt. La jeune fille serre les cuisses, bloquant le passage au doigt fureteur. — Tu veux pas que je te caresse… comme hier soir ? Line desserre l’étau, le doigt trouve tout de suite l’emplacement du clitoris qu’il excite. — Aah ! — Dis… Tu veux pas ? L’index qui s’insinue entre ses lèvres intimes ôte toute velléité de résistance à la jeune fille. Elle sait, elle a compris que ce soir elle va perdre son innocence. — Tu… tu me feras pas mal ? Le doigt atteint l’entrée du vagin, tourne autour avant de s’enfoncer d’un petit centimètre. — Aah !… Tu feras pas mal, dis ? Luc réfléchit. Il a peur au moment crucial de ne pas pouvoir se contrôler et de gâcher par précipitation ce moment qu’il souhaite inoubliable pour tous les deux. Il se couche sur le dos. — Ecoute, place-toi au-dessus de moi. C’est toi qui descendras et contrôleras l’introduction. Comme ça tu t’arrêteras si tu le désires. — Tu… tu crois ? — Je t’assure. Beaucoup de femmes font comme ça, de…Il s’arrête brusquement : il allait dire « demande à ta cousine » ! Line se met à genoux sur le lit. Après une seconde d’hésitation elle enjambe le corps de Luc. Elle tâte, trouve la verge et l’empoigne. — Aah !… Oui, mets-toi dessus… Oui. Luc agite le poignet de Line pour que le gland caresse les lèvres intimes de la jeune fille qui frémit.
Dans le lit voisin, le couple suspend ses ébats pour regarder. — Qu’est-ce qu’ils font ? demande Marjorie. — Je crois que Line va s’enfoncer la queue de Luc… Dis… tu voudrais pas faire pareil ? … T’as jamais fait ?… S’il te plait. Marjorie avec un sourire se délit de Marc. Le garçon se couche sur le dos laissant la jeune fille prendre la tige vivante et s’empaler dessus. — Aah ! soupire-t-elle lorsque les pubis se rencontrent.
Line n’en est pas encore là. Le gland qui se fraye un passage n’est pas introduit en entier. La jeune fille malgré l’excitation et le désir de sentir cette grosseur la pénétrer n’ose descendre. Luc patouille les seins qu’il devine dans la pénombre. Mu par une inspiration subite, il tente de saisir le clitoris entre le pouce et l’index. — Aah ! La caresse déconcentre Line et l’empêche de freiner la descente. Le sexe mâle franchit l’obstacle et s’enfonce dans les profondeurs du vagin. — Oussh !… Aaah ! — Enfin ça y est ! soupire Marjorie que le cri de sa cousine a renseigné. Ça va ma chérie ? — Ou… oui. Line essaye de se soulever. Ses forces l’abandonnent, elle retombe assis sur Luc, le sexe rempli par la verge palpitante. Le garçon l’attire à elle et sans se désunir, prend le dessus. Avec précautions il se retire, puis se renfonce centimètres par centimètres. Le ventre de Line tire mais la sensation de cette tige qui entre et sort d’elle la fait frémir de plaisir. — Oooh ! Marjorie inquiète scrute le lit voisin. Elle pousse un soupir de soulagement quand elle devine dans la pénombre des mains s’appliquer sur les omoplates de Luc pour l’attirer à elle. Tout va bien de ce coté, elle peut s’adonner à son plaisir. Elle laisse libre cours à sa jouissance. Marc soutient les seins qui ballottent au-dessus de lui pendant qu’elle danse sur la queue qui la perfore.
Line entend leurs gémissements mais toute son attention, tout son être se concentre sur son bas ventre. Les ondes qui en irradient submergent les quelques élancements provoqués par le frottement de la queue. — Ooooh !… Aaah !… Arrgghh !… Mmmh ! Ses ongles s’enfoncent dans les épaules de Luc dopant le garçon fier de son succès. La jouissance grimpe dans sa tige, gonfle les conduits séminaux. — Aaah ! (« Merde ! Elle était pucelle, peut-être qu’elle prend pas la pilule ! ») Trop tard ! La semence inonde le con tout neuf. Luc se laisse aller dans un délicieux sentiment de culpabilité. Sa dernière pensée avant de sombrer dans une demi-inconscience est de regretter de ne pas avoir pensé à une capote.
Line a ressenti la pression des jets au fond de son vagin. Aah ! Que c’est bon ! Tout de suite après elle a été déçue par la diminution du volume qui l’encombrait agréablement, et la fuite de la verge hors de son ventre. De sa défloration, il ne reste qu’un tiraillement léger et surtout un sentiment d’inachevé. Elle a aimé le frottement malgré la douleur qui allait en s’atténuant. Cela déclenchait des picotements dans tout son corps. Elle a eu l’impression qu’elle allait découvrir… quoi ? Elle ne saurait le préciser mais cela promettait d’être merveilleux. Les souvenirs des cours d’éducation sexuelle parlant du plaisir féminin remontent à sa mémoire. Elle comprend qu’elle était proche de l’orgasme sans l’atteindre. La prochaine fois… sûrement…
Line regarde le lit d’à coté. Marjorie et Marc ne bougent plus. Eux aussi ont fini. Est-ce que sa cousine a joui ? Il semble vu les gémissements qu’ils proféraient. Line va se tourner sur le coté quand une main cajoleuse se pose sur sa poitrine. Aah ! La jeune fille ne bouge plus attentive à la progression des paumes sur les mamelons et les tétins. Que c’est agréable ces caresses ! Luc se place sur le coté. Comme un fait exprès, sa verge souple touche les doigts de Line qui met quelques secondes à réaliser. Ah oui ! Le sexe du garçon. Sans le vouloir expressément elle triture le bout. Que c’est drôle ! Tout mou, poisseux. Elle rougit en réalisant que la queue est enduite de ses sécrétions internes. C’est bizarre les garçons avec cet engin aux tailles si différentes tantôt dur, tantôt mou comme mainte… Oh ! Il grossit ! Line est fière de son pouvoir. Luc poursuit les caresses sur la poitrine, ajoutant sa bouche qui suce un tétin tout fripé. Line gémit. Elle manchonne maintenant un dard développé. Comme celui qui tout à l’heure s’enfonçait… La jeune fille essaye d’attirer la queue vers son bas ventre, là où elle sait qu’elle lui fera du bien, beaucoup de bien. Luc ravi, se place entre les cuisses qui s’écartent. Sa main remplace celle de Line sur la hampe qu’il guide entre les lèvres intimes. Au lieu de s’enfoncer, il promène le gland sur le petit clitoris. — Oui ! murmure-t-elle… Aah ! Le garçon à demi-relevé s’efforce de satisfaire le besoin de caresses de sa partenaire. Il se fatigue vite et doit trouver en vitesse l’entrée de la grotte de Line devant laquelle il se positionne avant de s’effondrer sur le corps pantelant. Par chance, la jeune fille a lancé le bassin en avant engloutissant le sexe mâle. — Aaah !
Luc se redresse sur les avant-bras. Il n’est pas pressé. Il doit se contrôler, mieux que tout à l’heure. Il faut qu’elle jouisse, qu’elle se souvienne toute la vie de cette première nuit. Il alterne les pénétrations lentes et profondes avec des accélérations subites et a la joie de sentir la jeune fille répondre avec gourmandise. — Aaah !… Ouiii ! — Chut ! Tu vas les réveiller, conseille-t-il. — M’en fout… Aaah !… Ouiii ! Luc s’inquiète. Si Marc et Marjorie râlent, ce n’est pas grave, mais il ne faudrait pas que les exclamations de Line parviennent aux oreilles du directeur. — Calme-toi… S’il te plait… Bernard va t’entendre. Il couche à coté je crois. La menace fait son effet. La jeune fille serre les dents pour étouffer ses gémissements, Luc peut recommencer les pénétrations pendant que dans le lit voisin, Marjorie cache mal sa nervosité. — Ils n’ont pas encore fini ces deux là ! murmure-t-elle à Marc… Oh ! Que fais-tu ?… Aah !
Ce n’est que de longues minutes plus tard que le silence envahit enfin la chambre. Dans la pièce voisine, Bernard tend l’oreille. — On dirait qu’ils se sont calmés, dit-il à Lucille allongée au-dessous de lui. Tu vois j’avais raison de faire confiance à nos deux garnements. Je crois que nous pourrons leur rendre visite demain… non, pas demain, c’est trop tôt, après demain… Enfin, on verra, qu’en dis-tu ? La jeune femme gémit au lieu de répondre et attire son amant en elle…
A suivre…
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