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Vacances de neige

Chapitre 5

Hétéro
Bernard et Lucille se glissent par l’ouverture. Ils restent quelques secondes immobiles admirant les efforts des quatre jeunes gens, puis le directeur intervient. — Hé ben ! C’est du propre ! — Hiii ! Marjorie pousse un cri strident. — Taisez-vous, petite imbécile ! Vous voulez que tout le chalet soit témoin de vos exploits ? Les deux filles se tassent dans le lit pendant que Marc et Luc s’écartent d’elles. — Que se passe-t-il mesdemoiselles ? questionne une voix d’homme dans le couloir. — C’est Louis, répondez, murmure Bernard, faite-le partir. — Euh… C’est rien, affirme Line à voix haute. Juste ma cousine qui a eu un cauchemar. — Tout va bien alors ? — Oui tout va bien. Merci. — Bon, ben… euh… bonne nuit. — Bonne nuit.
Personne ne bouge dans la pièce. Au bout d’une minute Bernard entrouvre la porte, le couloir est vide. Rassuré il allume et revient vers le lit. — Nous… Euh… VOUS l’avez échappé belle ! Vous avez de la chance que vos débordements mesdemoiselles restent entre nous. Quand même ! Qu’est-ce qui vous a pris de séduire nos moniteurs ? — Mais… Aïe ! Un pinçon de Marc interrompt Luc. Pourquoi, ce n’est pas de la faute des filles ? s’interroge-t-il. Tout à coup il comprend : Bernard n’a pas l’intention de punir qui que ce soit mais plutôt de profiter de l’occasion. — Je vais être obligé d’avertir vos parents, continue le directeur. — Oh non ! Pas nos mères, gémit Marjorie. — Je vous en prie, nous le ferons plus, renchérit Line. Cela ne fait pas l’affaire des deux garçons ! — Et vous vous imaginez que je vais vous croire ? menace Bernard. Je vous avais pourtant dit cet après-midi : « Pas de visite ». Vous vous êtes empressées de me désobéir. — Nous vous écouterons, je vous assure. — Quel crédit puis-je apporter ? Je n’ai plus confiance en vous.
— Je vous en prie, supplie Marjorie, ne dites rien. Nous vous obéirons en tous point, n’est-ce pas Line ? — Oui, intervient Marc, lors du départ à la gare de Lyon, ces demoiselles l’ont promis à leur mère. — Ah ! Vous avez promis… Si je décide de ne rien révéler, vous ferez tout ce que je vous demanderai ? Tout ? — Tout ce que vous nous demanderez, affirme Line. — Oui tout, confirme Marjorie trop contente de s’en tirer à si bon compte. — Vos moniteurs ici présents sont témoins de votre engagement. Au moindre manquement, j’avertis vos familles, compris ?… Compris ? — Oui monsieur. — Pas monsieur, Bernard… Alors ? Compris ? — Oui Bernard, répondent ensemble les deux filles. Luc et Marc échangent un regard avec Lucille. L’œil brillant de celle-ci les convainc que la séance n’est pas terminée. C’est maintenant que les choses sérieuses commencent. Ils attendent avec impatience que le directeur dévoile ses intentions.
— Levez-vous mesdemoiselles… Allez ! Plus vite que ça ! ordonne-t-il devant leur regard effaré. Vous êtes nues ? La belle affaire, j’en ai vu d’autre… Je n’attendrai pas longtemps je vous avertis. Marjorie la première, sort des couvertures. Elle supporte crânement le regard lubrique des hommes. Line l’imite la tête basse. — Ôtez-vous de là vous autres ! Luc et Marc sautent hors de la couche et vont se placer à coté de Lucille. Bernard s’assied sur le lit. — Approchez mesdemoiselles… Plus près… oui, de chaque coté de mes jambes… là…Elles obéissent comme des automates. — Mettez-vous à genoux… oui… Maintenant sortez mon sexe. — Votre… ? balbutie Line les yeux remplis de larmes. — Oui, ma queue, ma bite, mon zob si tu préfères… Plus vite que ça !… Ah ! Enfin ! Les deux filles s’empressent de déboutonner le jeans du directeur, ouvrir la braguette et extraire du slip une tige déjà raide qui palpite entre leurs doigts. — Bon… maintenant sucez-la à tour de rôle. — La sucer ? Je… je l’ai jamais fait, pleurniche Line. — Moi… moi non plus, dit sa cousine. — Sans blague ? Bernard interroge du regard ses moniteurs qui secouent négativement la tête. — Bon, je veux bien vous croire. Lucille, viens par ici… montre-leur comment on fait. La monitrice s’agenouille entre les cuisses écartées. Elle prend la hampe dans la main et introduit le gland dans la bouche. Elle le sort, lèche la tige, titille le méat du bout de la langue, puis avale à nouveau. Line et Marjorie devinent aux mouvements des joues que la jeune femme tête le sexe. — C’est bien ma jolie, la remercie Bernard d’une caresse sur les cheveux. Laisse la place à nos élèves, à toi l’honneur Marjorie. Montre que tu as bien observé. Lucille tend la verge à la jeune fille qui l’enserre de ses doigts fins. Elle se penche au-dessus. Des filets de salive luisent sous l’éclairage. Elle arrondit les lèvres pour engloutir le gland. — Aïe ! Attention tes dents ! — Il faut ouvrir grand la bouche, conseille Lucille… Oui… joue avec la langue sur la pointe. — Ouiii ! murmure Bernard. — Maintenant poursuit la monitrice, sort-le… oui… lèche-le sur toute la longueur… Bien… reprends-le en bouche. — Non, l’interrompt le directeur. A sa cousine maintenant. Le sceptre vivant passe à Line qui s’efforce de reproduire les faits et gestes de Lucille et Marjorie. — Aaah !… Ouiii !… Aaah !… Aaah !… Arrête ! Line suspend la masturbation de la tige qu’elle avait entreprise. — Lucille ! ordonne Bernard. A ton tour… montre leur comment il faut terminer… Observez bien… Aah !… Voyez comme… Aah !… elle lèche… Aah !… comme elle… Aah !… elle pompe… Aah !… comme elle… ava… Aah !… Aaah !… Aaaah !… Aaaaah !… avale. Line et Marjorie contemplent effarées Lucille déglutir. Lorsqu’elle se redresse une goutte sourd au coin de ses lèvres. — Aah ! Je me sens mieux ! annonce Bernard qui se lève et se rajuste… Vous pouvez vous remettre au lit mesdemoiselles… et vous aussi messieurs, il ne fait pas si chaud que ça dans cette chambre. Les deux filles sont si étonnées qu’elles ne résistent pas quand les garçons les enlacent sous les couvertures. — Je vous autorise à inaugurer votre nouveau talent avec ces deux jeunes gens… Surtout apprenez-leur à bien avaler, conseille-t-il aux garçons. Pendant la journée, je vous permets de profiter de vos instants de repos pour parfaire l’entraînement. Je contrôlerai demain soir… Tu viens Lucille, laissons ces jeunes gens tranquilles. Bonne fin de nuit, et n’oubliez pas demain soir. J’espère ne pas avoir à me plaindre. Ne vous levez pas, nous éteindrons en sortant.
Le quatuor reste silencieux plusieurs minutes, puis Marc se redresse. — C’est pas tout, mais il faut s’exercer ! — Non, pas maintenant, j’ai trop sommeil, gémit Marjorie. — Vous avez entendu Bernard ! Vous serez jamais prêtes autrement. Line, montre à ta cousine qui est la plus courageuse, place-toi au-dessus de moi… non, dans l’autre sens, ta tête en direction de mes pieds… oui… tu vois ma queue ? — Non, il fait tout noir là dessous. — Ça ne fait rien, prend-là en main… oui… approche-là de ta bouche… oui. Pendant ce temps, je te caresse de mon coté… écarte les cuisses… oui…— Aaah ! que… qu’est ce que tu fais ? — Continue de sucer ma queue, je te rends la pareille. Luc de son coté dispose Marjorie de la même façon. Les deux demoiselles apprécient les caresses simultanées. Leurs professeurs sont satisfaits et le font savoir jusqu’à l’éjaculation. Là les choses se gâtent. Les deux filles toussent crachent plusieurs minutes. Elles émergent penaudes des couvertures. — C’est pas grave, les consolent Marc. Vous y arriverez. Dormons maintenant. Avant de reprendre Marjorie entre ses bras, il règle le réveil à son bracelet montre un quart d’heure plus tôt. Il faudra ça s’ils veulent avoir le temps d’un entraînement supplémentaire demain matin…
A suivre…
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