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Vacances de Noël avec Malya

Chapitre 6

Inceste
Le reste de la journée s’est passé plus calmement. Fatigués par nos ébats torrides et risqués de ce matin, Malya et moi avons paressé tout l’après-midi. Le soir, pendant le repas avec mes parents, ma cousine se fait à nouveau pressante. Elle n’est pas rassasiée longtemps la garce. Sous la table, je peux sentir son pied nu se frotter et monter lentement le long de ma jambe. Elle est douée pour cacher son jeu, c’est indéniable. Par-dessous la table, c’est une diablesse avide de sensations tandis que par-dessus c’est un ange qui fait gentiment la discussion à mes parents.Nos regards ne se croisent pas une seule seconde pendant ce manège. Cependant, je sens rapidement ses doigts de pieds se frayer un chemin entre mes cuisses et atteindre l’objet de convoitise de ma cousine. Mon sexe, déjà tendu à l’idée de recevoir un traitement inattendu, attend sagement que ma cousine continue sa progression. Avec une infinie douceur, ma cousine finit par se poser sur mon sexe qui l’accueille en tressautant. Sans laisser rien paraître à mes parents, Malya caresse lentement mon sexe qui ne cesse de durcir. Très vite, l’envie de jouir devient insupportable. Discrètement, je glisse une main sous la table pour accompagner ma cousine dans ses gestes. Au contact de ma main avec son pied, Malya est étonnée et finit par croiser mon regarde. Très vite, son regard surpris se transforme en sourire coquin l’espace d’un instant avant d’afficher un regard neutre à mes parents qui n’ont rien remarqué. Cette garce sait que ce qu’elle m’inflige est un véritable supplice et elle s’en amuse. Je ne peux pas me lever avant la fin du repas et surtout pas avec la bosse énorme que je ne peux cacher. Je souffre donc en silence de ce plaisir coupable que m’offre Malya devant et à l’insu de mes parents. La fin du repas approche finalement. Je suis impatient de pouvoir quitter la table car j’ai très envie de pouvoir infliger le même supplice à ma salope de cousine. Pour lui faire comprendre que ce sera sa fête après le repas, je laisse ma main se balader sur son pied et remonter sensuellement su son mollet, son genou et le bas de sa cuisse que je peux atteindre. En sentant ma caresse, Malya laisse échapper un long soupir me faisant comprendre que cela lui fait de l’effet. J’ai réussi à obtenir ce que je voulais : elle est tout aussi impatiente que moi de quitter la table.
— Malya et moi allons regarder un film dans ma chambre, dis-je à mes parents pour expliquer notre départ. — Pas de soucis, dit mon père en se dirigeant vers le salon. A plus tard.
Je presse Malya dans le couloir menant à l’escalier par une main sur sa hanche. Dès que je suis sûr que mes parents ne peuvent plus nous voir, je retiens ma cousine par le bras, la tire vers moi et la soulève avant de la plaquer contre le mur.
— Mais qu’est-ce que tu fais ? me chuchote-t-elle en riant. — Ce que j’ai envie de faire depuis près d’une heure, répondis-je en l’embrassant à pleine bouche.
Nos langues se mêlent, se frayant un chemin dans la bouche de l’autre. Les bras de Malya sont passés autour de mon cou tandis qu’elle vient presser son bassin contre le mien. Je sens alors la chaleur de son entrejambe contre mon sexe désireux. Je la serre encore plus dans mes bras et contre le mur avant de la porter jusque dans ma chambre où je la dépose sur le lit.
— Tu es fou !— Et toi tu me rends fou !
Je n’en peux plus d’attendre. J’arrache chaque vêtement que porte Malya qui se laisse faire. Une fois nue, elle m’aide à me défaire de ma tenue. Dès que je suis libre de mes mouvements, je pousse ma cousine pour qu’elle se couche sur le dos. Je me retrouve donc libre de lui faire ce que je veux. Je m’amuse alors à la faire languir le plus longtemps possible. Tout d’abord, je m’accroupis à ses pieds et j’en attrape un que j’embrasse rapidement avant de remonter. Je passe mes lèvres sur sa cheville, son tibia et continue ma progression jusqu’à ses cuisses que je ne cesse d’embrasser et caresser avec douceur. Par ses soupirs de plus en plus longs et profonds, je comprends que l’attente subie par Malya lui procure du plaisir et du désir. Mais je n’ai pas encore terminé avec elle. Je veux qu’elle patiente encore, autant que j’ai patienté pendant le repas. J’évite donc volontairement de poser mes lèvres sur son sexe humide et attirant. Avec fourberie, je le contourne de très près, arrachant une plainte à Malya qui essaie de pousser ma tête avec sa main. Bien évidemment, je résiste et continue ma petite torture sans dire un mot.
— Hum... salaud !
Je ris alors que ma cousine se cambre de plus en plus en essayant de me pousser à m’occuper de son sexe bouillonnant. Au bout de plusieurs longues minutes, je finis par céder et je passe finalement sur son sexe. Pour surprendre Malya, je débute les hostilités par un grand coup de langue ample et lent qui vient faire sursauter ma chère et tendre ne s’attendant pas à un tel début. Malya se détend et laisse échapper un long gémissement de plaisir et de soulagement.
— Enfin...
Content du résultat de mon travail, je continue à lécher, suçoter et embrasser les endroits faisant régir le plus ma cousine en sueur. Elle n’est visiblement pas habituée à recevoir un tel traitement et me le fait savoir par des gémissements de plus en plus audibles. Malya prend tellement de plaisir que je suis obligé de m’arrêter et de lui rappeler la présence de mes parents à l’étage du dessous avant de pouvoir reprendre là où je me suis arrêté. Au bout de plusieurs minutes, je la sens proche de l’orgasme. J’accélère alors le rythme pour la faire profiter au maximum du plaisir que je lui offre. Au moment précis où elle atteint l’orgasme, je fais rentrer deux doigts dans son sexe ce qui a pour effet de la faire jouir. Malya se cambre aussi fort qu’elle le peut alors qu’elle tente tant bien que mal de retenir un cri de plaisir. Pendant que ma cousine est encore un peu sonnée par l’orgasme dévastateur qu’elle vient de vivre, je me régale de son jus qui s’échappe lentement de son abricot. Malya finit par sortir de son demi-sommeil et me tire vers elle pour m’embrasser. Ce baiser est différent des autres, c’est un baiser plus doux, moins enfiévré. Un baiser beaucoup plus... romantique. Une fois reposée, Malya semble prête pour reprendre nos activités. Elle m’attire au-dessus d’elle et attrape mon sexe pour le diriger vers le sien. Placé devant son antre chaleureux, je m’enfonce lentement tandis que ses jambes viennent m’encercler le bassin. Alors que mon gland est déjà entré dans le sexe de ma cousine, nous entendons tous les deux les bruits de pas de mes parents en train de monter les escaliers. Je me retire alors à toute vitesse et pars attraper mon ordinateur tandis que Malya se glisse sous la couette. Je la rejoins rapidement et pose le portable sur nos genoux. Juste à temps car on entend quelqu’un frapper à la porte.
— Oui ? dis-je le plus innocemment possible.— Je passais juste vous dire bonne nuit, explique ma mère en passant sa tête dans l’entrebâillement de la porte. Vous regardez quoi ?— Un film d’action assez sympa, l’histoire d’un gars qui se venge de la mort de son chien, répondis-je alors que l’ordinateur n’est même pas allumé— D’accord. Bonne nuit !— Bonne nuit !
La porte se referme et on entend les pas de ma mère s’éloigner pour rejoindre sa chambre de l’autre côté du couloir. La lumière s’éteint, signal que le danger est passé.
— C’était moins une ! me dit Malya en se jetant sur moi.— C’est le moins qu’on puisse dire.— Maintenant, on a toute la nuit pour s’amuser...

Note de l’auteur : Ce chapitre est assez court mais il est là pour préparer la suite des évènements que j’essaie de faire évoluer le plus lentement possible afin d’avoir un maximum de chapitre à vous offrir ! J’ai encore pas mal d’idées à écrire, dont certaines ont été inspirées par vos commentaires. Pour l’instant tout va bien entre nos deux protagonistes mais les choses ne vont pas tarder à s’accélérer, ne vous en faites pas !
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