La route avait été longue, fatigante et encombrée. Il faisait très chaud en cette mi Juillet et je garais ma voiture sur le parking de l’hôtel. Je grimpais jusqu’à ma chambre dont le balcon donnait sur la plage et me précipitais sous la douche avent d’aller déjeuner dans la salle à manger de l’établissement ! En me rendant jusqu’à ma table , près d’une fenêtre, je remarquais un couple de deux garçons d’une vingtaine d’années, aussi beaux l’un que l’autre et assis l’un à côté de l’autre. L’un des deux était d’un noir d’ébène! Je remarquais aussi que chacun des deux, en teeshirt et boxer avait une main posée sur la cuisse d l’autre, sous la nappe, ou plutôt sous leur serviette posée sur leurs genoux et ondulant, de temps à autre ! J’eus un petit frisson de curiosité et de trouble en les voyant bavarder, ainsi, détendus, souriants et bronzés. En buvant l’apéritif, je les observais discrètement et remarquais que l’un des pieds de l’un caressais la jambe de l’autre. Ils semblaient très amis et même très intimes, ce qui, pendant le repas fit monter la pression dans ma libido personnelle, tout en dégustant l’excellent repas qui m’était servi.. Non loin de moi, presque face à moi se trouvait une fille splendide, seulement vêtue d’un boléro et probablement d’un string.. Pendant tout le repas elle ne cessa de me regarder, elle aussi sans en avoir l’air, et en caressant, un épagneul breton feu et blanc qui disparaissait sous les pans de la nappe de temps à autre! En apparence, toutes les autres tables semblaient occupées par des couples ou des "clients qui semblaient normaux" Avant de quitter ma table, je fis un petit sourire de convenance qui me répondit en plongeant l’une de ses mains entre ses cuisses juste au moment où je passais à la hauteur de sa table, et dont j’eus le temps de voir, sans doute le faisait-elle exprès,que le triangle de son string avait une large tache en triangle plus foncée que le tissu alentour! Au moment où j’étais à sa hauteur elle m’arrête de la main en disant: Est ce que vous ne seriez pas, par hasard George Clooney? La ficelle était un peu grosse et je me mis à rire, elle aussi, mais je crus bon de lui répondre:- "Hélàs non ! je n’ai pas cette chance!" -"Pourtant vous êtes presque son sosie et je serais rudement heureuse si je pouvais dîner à votre table!" ! Libre comme l’air, je jouais le jeu et je répondis:-"Ce soir je serai à Paris, mais si je peux retarder mon départ pour avoir le plaisir de dîner avec vous , je suis prêt à le faire!" Soudain rougissante comme une première communiante elle minauda et contrairement à mon espoir elle accepta.; Pris au piège je lui annonçais que je passerai la prendre vers neuf heures, et je m’éloignais avec un petit geste de la main "à le manière de" George Clooney pour échapper à cette passionaria des palaces! En quittant le restaurant j’allais directement aux toilettes et en franchissant le seuil , je vis les deux garçons, mes presque voisins au déjeuner, installés chacun devant une stalle de porcelaine, jambes écartées, et sexes à l’air entrain de se soulager avec des gestes très peu équivoques. Je faillis rebrousser chemin, mais n’en fis rien, non pas de peur de passer pour un couard mais pour ne pas les déranger ou les provoquer ! Ils eurent l’air ravis de me voir et, en me voyant m’installer non loin d’eux ils redoublèrent leur activité et le plus proche de moi qui avait un chibre gros comme un gourdin, crut bon de me dire en regardant mon sexe à demi bandé:-"Oh! qu’elle est belle! N’est ce pas Jérémy?" Le noir confirma avec un sourire éclatant! ! en disant :-" Restez encore un peu qu’on en profite et venez avec nous dans l’une des cabines fermée on pourra comparer nos goûts différents! Je n’aime pas les lieux publics et je déclinais leur invitation et me rajustais au plus vite. Mais les deux garçons avaient bien vu que je bandais à côté d’eux! En me voyant partir le plus costaud me prit par le bras, l’autre m’encadra et je me retrouvais coincé entre eux dans une cabinealors que le noir me roulais une gamelle avec ses énormes lèvres, alors que l’autre avait déjà dégrafé mon pantalon et sorti ma queue en le prenant entre ses lèvres pour l sucer et la branler en même temps. Les deux caresses combinées achevèrent de me faire bander comme un poney et je leur rendais leurs caresses avec avidité si bien que le sperme se mit à gicler partout , mais surtout dans nos bouches et nos lèvres gourmandes. Après que nous ayons joui tous les trois, je réussis à me dégager de leur étreinte et pendant que je me rhabillais, Jérémy et Yann me dirent qu’ils habitaient l’hôtel, venaient des USA et comptais bien me revoir pendant leur séjour en Normandie. J’avais la saveur de leur sperme et du mien dans la bouche et leur assurais qu’on se reverrait! Tout en pensant au dîner de ce soir! A SUIVRE SI ON AIME!
