Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 52 J'aime
  • 7 Commentaires

Vacances, sexe et exhib.

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Les courses

Dans la voiture, je vérifie la liste :
— Passer à la boulangerie acheter un gâteau ; s’il n’y en a pas, prendre une glace à la grande surface.— Apéro avec alcool pour détendre, mais aussi sans alcool.— Amuse-bouche.— Fromages ;— Bière ;— Robe : oui, il me faut une robe à boutons pour me balader la robe à moitié ouverte et à poil dessous, tant qu’à faire… Ça, s’est pour l’exhib ; c’est chaud !— Non, laisse tomber la boulangerie. Le pain et le gâteau, nous les prendrons à la grande surface (ou une glace).
Nous arrivons. Pat stationne la voiture et nous pénétrons dans le magasin. Je réfléchis ; il faut que je lui parle.
— Tu as l’air bien soucieux ; quelque chose ne va pas, ma chérie ? — Si, si, tout va bien. C’est que… On se pose là et on va boire un truc.
Une brasserie. Nous nous installons à une table un peu à l’écart des autres. J’ai le ventre noué.
— Mon chéri, je voudrais…— Qu’y a-t-il ? Un souci ? — Écoute, Pat, je voudrais savoir si vraiment tu veux bien…
Le serveur s’approche pour prendre la commande.

— Madame, Monsieur, bonjour. Que désirez-vous prendre ?— Moi, je vais prendre un demi. Et toi, ma chérie ?— Je vais…— Non, donnez-nous deux irish coffees, s’il vous plaît.
Il a raison : un peu d’alcool va me donner des forces.
— Merci, mon chéri. Tu vas me prendre pour une folle, une dépravée, une nymphomane, mais il faut que je te raconte un truc.— Voici vos irish coffees, annonce le serveur en déposant les boissons.
Un « merci » général accueille les boissons.
— Allez, bois un peu et raconte-moi ce qui te tracasse tant.
Je prends une gorgée de ce chaud et délicieux breuvage dont l’effet est quasi immédiat. La chaleur du café et l’alcool du whisky me délient la langue.
— Je vais te dire, mais promets-moi de m’écouter sans m’interrompre. Promis ?— C’est promis. Je t’écoute.
Il boit une gorgée à la paille et me prend les mains en me regardant droit dans les yeux.
— Bon, voilà : j’ai envie de réaliser des fantasmes. Tu vois, à midi, pour me donner la réponse, Élodie m’a dit de me mettre toute nue, de me caresser et de me masturber jusqu’à l’orgasme, et je l’ai fait.
Mon chéri m’écoute avec une grande attention puis il jette un coup d’œil à gauche, à droite, Il semble réfléchir.
— Tu veux prendre autre chose, ma chérie ? Une glace ? Un autre irish coffee ? Ou tu veux qu’on continue cette discussion très sympathique à la maison ?— Comme tu veux, mais je suis bien, là. Et j’ajoute à voix basse : je mouille comme une fontaine…— Et moi je bande comme un Turc, reprend-il, un sourire au coin des lèvres.— Garçon !
Le serveur s’approche.
— Vous désirez ?— La carte des glaces, s’il vous plaît.
Le serveur repart et revient avec la carte. Nous commandons deux énormes glaces et deux irish coffees supplémentaires.
— Alors, raconte-moi ce que tu veux faire, au juste ; elle devient très intéressante, cette conversation.— Eh bien, je voudrais jouer les scènes de votre histoire et aussi que vous me surpreniez en me faisant faire des choses ou bien me mettre dans des situations un peu compliquées. Tu vois ce que je veux dire ?— Oui, j’ai compris. Si je te dis « Caresse-toi à travers ton short maintenant », tu le fais ?
Je viens de passer de la couleur hâlée au rose.
— Là ? Tout de suite ?— Oui. Si te ne le fais pas, c’est mort.— OK, je le fais.
Je descends ma main discrètement jusqu’à mon entrejambe et commence à me caresser. J’ai une brutale montée d’adrénaline à l’arrivée du serveur. J’interroge Pat du regard.
— Continue, ne t’arrête pas, me susurre-t-il.
Je suis un peu en panique mais je continue. Peur d’être démasquée, mais surexcitée ; imaginez un peu : je suis en train de me masturber sous la table sous le nez du serveur. Il dépose les glaces, les irish coffees, encaisse l’addition, repart avec un large sourire dans ma direction accompagné d’un clin d’œil complice à Pat, le tout couronné d’un « Bonne continuation ! » C’est bon, il a remarqué mon manège.
— C’est bien ; tu peux continuer à me raconter. Tu ne vas quand même pas avoir un orgasme ici ?— T’es fou ! Je suis certaine qu’il s’en est aperçu. — Bien sûr qu’il s’en est aperçu. Tu lui as foutu la trique, et il est sans doute parti se branler dans les toilettes. Bon, alors raconte ! Je te garantis que tu vas prendre du plaisir ; je vais t’en faire, des trucs, tu va voir, ma chérie.— T’es un amour, mon chéri. — OK. Même si ça fait un peu mal, comme au début de l’histoire où les filles étaient attachées et fouettées ?— Oui, tout ce qui te passe par la tête.— OK, je ne te demande rien. Surprends-moi ; il te reste deux minutes.— Tu veux que…— Oui, continue.
Celle-là, je ne m’y attendais pas ! Je continue mes caresses. Je voudrais me mettre toute nue, qu’il me prenne, là, devant tout le monde. Je sens l’orgasme arriver. Je lui prends la main, la serre très fort et me contracte pour que personne ne devine ce qui est en train de se passer en moi. Tremblante, je termine mon irish coffee. Pat a l’air ravi de ce qui vient de se passer, vu la bosse de son short.
— Tu voulais une robe ?— Oui, on y va.
J’ai la tête qui tourne un peu. Nous quittons la brasserie ; il part acheter ce qui manque. Pendant ce temps, je parcours les rayons d’habillement. Juste devant moi, des robes d’été légères, à fleurs et à boutons pression fermant devant. Je cherche, regarde, critique, essaie par-dessus mes fringues pour finir avec une robe. Direction la caisse, et je règle. Pat me rejoint, et direction le parking. Arrivés à la voiture je vais pour m’asseoir à l’intérieure quand…
— Julie, tu as les fesses mouillées et tu vas me tacher les sièges. Tu te changes !
Oh, mon Dieu ! Si je lui tache les sièges de sa BM… il me tue.
— Attends, Pat, il n’y a pas de cabine, ni rien pour me cacher !— Justement : tu te mets derrière la voiture, tu enlèves ça et tu mets une robe. Autrement, toute nue, c’est bien aussi.— En gros, tu veux que je me foute à poil sur le parking ?— Tu as tout compris. Et retiens bien ce que tu fais : demain, tu vas le raconter aux filles.
J’ai la gorge serrée… « Eh bien ma vieille, tu es dans le bain, direct ! » Je rouspète pour la forme et m’exécute malgré tout, inquiète. Un regard autour de moi, et d’un geste rapide j’enlève tout. En panique, j’ai voulu aller trop vite et la robe s’emmêle dans mes pieds. Je l’enfile. Je viens de me prendre une montée de stress ! Vite, je m’installe dans la voiture, le rouge aux joues mais le regard coquin. Je suis à nouveau excitée !
Nous retournons vers la maison. Sur la route du retour, Pat me demande de dégrafer entièrement ma robe pour que je me caresse d’une main et m’occupe de sa queue l’autre. Je prends l’initiative de lui faire une fellation pendant qu’il conduit. Mon plaisir est immense… Je suis entièrement nue, à me caresser. Et si on se fait arrêter ? L’adrénaline est là ; c’est terriblement bon.
Nous arrivons sans encombre à la maison et terminons les préparatifs. Demain, j’irai chercher les filles à l’aéroport de Marignane.

[ à suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live