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Vagabondage

Chapitre 1

SM / Fétichisme
*** J’arpente avec vous les rues sombres et visqueuses de cette ville. Vêtue en pute, je ne porte sous mon manteau de fourrure que ce porte jarretelle serre taille en latex qui tend mes bas résilles. Nos pas mêlent le son de nos talons, à chaque enjambée je perçois la douleur de ce plus anal énorme qui est vrillé dans mon anus de chienne. Je marche derrière vous, mes yeux ne peuvent se détourner de la laisse en épais maillons qui attachée à mon collier de cuir vous sert à me guider, à marquer ma réalité de salope servile.Par moment juste pour exercer votre totale domination vous me faite marcher à quatre pattes, m’insultant à haute voix. Il est des heures de la nuit ou seuls les prédateurs et les gibiers sont de sortis. Vous m’entraînez dans une ruelle où les murs cachent presque le ciel. Un triste néon étiole doucement sa clarté. En ouvrant la porte vous donnez un cou sec sur la laisse et c’est en trébuchant que je pénètre dans ce local. C’est sale, un homme se tient debout, la cinquantaine, il me regarde. Vous êtes entrée à votre tour, avant de discuter avec l’homme vous m’ordonnez d’une voie sèche de m’asseoir sur le tabouret qui se trouve devant l’entrée. Vous m’ordonnez d’ouvrir mon manteau et d’en écarter les pans. Les cuisses à l’équerre face à la porte d’entrée vitrée j’enfonce totalement le plug dans mes entrailles. Sublime sensations que d’offrir à la vue des possibles passants ce corps que vous avez commencer à transformer. *** Je guette les pas dans cette impasse; anxieuse et excitée d’être ainsi montrée. Je vous entends demander à l’homme que vous voulez qu’il me perce mes jeunes pointes, ainsi que ma langue. Vous exigez que cela soit effectué sans aucun anesthésique. De mon côté je perçois mes entrailles totalement dilatée se mettre à couler. Je pèse de tout mon poids sur le plug. *** Vous m’ordonnez de me lever en laissant mon manteau sur le tabouret, au moment ou je me retourne je perçois le regard de l’ homme, ses yeux vont de mon visage à mon sexe . Je m’approche de vous, les yeux baissés. « En effet c’est une servile » annoncez vous. L homme me regarde maintenant les yeux brillants, il me dit de passer devant en direction de la salle du fond. Cambrée, les fesses dures et dilatés j’avance en roulant des hanches, mes petits seins tendus. Je vous entends juste dire »oui « que la main de l’homme se pose sur mon cul, je frémis sans m’arrêter pendant qu’il me pétrit le cul tout en attrapant l’extrémité du plug. Tout en avançant je réalise son souffle court dans ma nuque, il ne peut s’empêcher de m’insulter » catin, pute » Je sais que vous me regardez et je tends encore plus la croupe.
*** Dans la salle vous me faite asseoir à califourchon sur la table, mes jambes pendent de chaque côté. Les reins creusés, le port altier je regarde cet homme. Ses mains pressent désormais mes seins, je suis toujours étonnées de leurs sensibilités, heureuse de voir et sentir leurs pointes épaisses durcir. Je frémis lorsqu’il en écrase une puis l’autre, les enserrant entre ses doigts. Il approche son visage du mien je vous regarde et d’un mouvement de la tête vous donnez votre accord. J’ouvre mes lèvres pour laisser sa langue venir me fouiller, j’avale sa salive, sa main derrière ma nuque nous colle pendant qu’il guide ma main sur sa bite. Vous intervenez alors » Vous pourrez la défoncer après », il se recule et attrape un instrument, me demande d’ouvrir la bouche et à l’aide de son objet il écarte mes mâchoire et parvient à étirer et sortir ma langue. Les yeux tournés vers vous je distingue l’aiguille qu’il semble saisir et c’est d’un seul coup qu’il transperce cette langue, la douleur est vive, elle se propage dans mes reins,mon cerveau est comme électrisé et je devine que mes pointes de seins sont tendues au maximum. Il s’active quelques minutes, un goût d’acier celui de mon sang parfume ma gorge. Il finit par ôter l’appareil, vous approchez, je garde ma langue sortie et en me regardant vous pincez entre vos doigts gantés la perle et son attache. Je vous regarde tandis que des larmes se profilent au coin de mes paupières. *** Il vous demande qu’elle type d’anneaux vous désirez pour mes seins, après réflexion vous en choisissez deux aux contours épais, l’homme vous annonce que cela va créer un trou d’un jolie diamètre dans mes pointes, il vous suffit que vous le regardiez pour qu’il aille préparer son attirail. Je promène ma langue sur mes lèvres, cette nouvelle protubérance est agréable, des éclairs de douleurs se propagent régulièrement lorsque je fais jouer l’objet. Un goût acre flotte dans ma bouche, une brûlure s’insinue peu à peu, j’ai l’impression que ma langue a triplé de volume. Je discerne dans votre regard votre satisfaction. Mes étroites aréoles brunes sont le berceau de pointes épaisses et dures. Vous m’en caressez les bouts avec la paume de vos mains, tendrement. » Profite de tes jolies pointes bientôt elles seront annelées et en permanence travaillées » L homme revient, vous posez un bandeau sur mes yeux et m’attachez les poignets, les coudes dans le dos. Je devine ma poitrine qui se tend, offerte. Être dans le noir décuple les sensations, les terminaisons nerveuses se transcendent, l’esprit ouvre de nouvelles portes. J’entends l’homme vous expliquer qu’il va devoir percer mes pointes en plusieurs étapes pour arriver au diamètre de votre choix. Il a peur que je crie car la douleur sera importante. Vous m’enfoncez vos doigts dans ma bouche, en écarter les mâchoires en me disant que si je pousse un cri et si je cesse de vous sucer et lécher vous m’abandonnerez à jamais. *** Je suce votre main phallique, vous l’enfoncez au plus profond, vos doigts étirent la perle, étouffement et douleurs se mêlent faisant naître des flash devant mes yeux aveugles. L’homme a attrapé le sein droit, il dispose un objet pour en étirer la pointe dans son ensemble. Je perçois le piquant de l’aiguille et l’objet qu’il met en butté de l’autre côté. Je sais qu’il force pour crever la peau, ma nuit est clairsemée de vives couleurs à mesure qu’il pénètre la chair. Sans m’en rendre compte le rythme de ma fellation s’est accentué, comme d’habitude la douleur accrois mon abandon. Il s’occupe du deuxième téton, même sensation. *** Je crois qu’il a répété ses gestes à cinq reprises, au fur et a mesure je sentais ma chair se retrousser sur le passage des instruments, les larmes ont souillées mon visage, vous avez ôté votre main à partir de la troisième étape, je sais que vous m’observez. *** Je perçois dans ce halo de douleurs continues et différentes la pose des anneaux. L’ensemble de ma poitrine est un champ de sensations douloureuses, un labour où le soc de la charrue s’est enfoncé profondément. Libérez du bandeau vous me faite signe de me lever pour aller découvrir ces nouveaux bijoux. Petits joncs de au diamètre large, ils sont épais, j’aperçois la chair boursouflée, je scrute avec délectation mes pointes distordues par l’épaisseur de l’anneau. Sous votre regard je fais tourner ces joncs, je ferme les yeux pour savourer le mal. *** Vous reliez mes seins entre eux avec une petite chaîne qui est attachée à une laisse.
*** Vous me tirez ainsi vers la table ou je m’appuie sur mes mains, les reins creusés, les cuisses ouvertes je vous regarde tendre la laisse de l’autre côté du plateau. Les anneaux étirent mes tétons, ils blanchissent bien que sanguinolents. Je vis chaque instant de cette nouvelle douleur, apprend à la laisser m’envahir, à la laisser se développer, je tremble au fur et à mesure que vous accentuez la traction. Larmes et baves se mélangent. L’homme vient cueillir son du, il m’arrache le plug d’un cou, j’ai l’impression qu’il a arraché l’intérieur de ma chatte, mes petites lèvres ourlées sont totalement retournées vers l’extérieur. Sa bite s’enfonce aux couilles d’un cou, je me cambre, le reçois, ondule du cul pour le caresser. Il me défonce sans retenue en écrasant mes seins de ses mains, il me tire en arrière pendant que vous m’étirer dans le sens contraire. La souffrance est presque insoutenable j’ai l’impression que vous allez arracher les anneaux des chairs. Il se crispe au moment ou il se vide sur mes fesses mes cuisses. *** Je me regarde dans la glace au moment ou je remets mon manteau, mon mascara a coulé, mon rouge à lèvre est baveux. Les yeux rouges, le cul, les seins la bouche supplicié, je me trouve belle dans votre regard
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