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Je vais vous dresser

Chapitre 1

SM / Fétichisme
    Aujourd’hui, c’est le premier jour du reste de ma vie. Hier ma copine m’a plaqué. Afin mon ex-copine. Elle a dit je cite : « Tu es insensible, prétentieux, paranoïaque et de surcroît, égocentrique. » Voilà. J’ai eu toute la nuit pour réfléchir et en fin de compte, je n’en ai rien à foutre.  Qu’elle aille au diable avec ses belles formes, sa voluptueuse poitrine et ses fesses de « goddess suédoise ». Malgré tout ça, je ne ressentais pour ainsi dire rien au lit. C’était une coincée du cul.     Ce matin je suis allé me payer un café dans un café-restau de mon quartier. Lorsque je me suis assis pour commencer à déguster, une femme s’est assise juste en face de moi. C’est une femme d’une quarantaine d’année (ou plus), très agréable à regarder à tous les niveaux. Son corps est très bien entretenu, les seins prisonniers d’une robe noire qui marient finement toutes les formes de son corps. Rouge à lèvres, décoté outrageant ; Elle est tout simplement délicieuse avec son petit sac à main. -    Salut. Je reste bouche bée, je n’arrive pas à croire que c’est à moi qu’elle s’adresse. Je reprends vite contenance et fait mine désinvolte :-    Ouais Salut !-    Je crois vous avoir déjà vu ici, z’etes un habitué ? Je la fixe longuement, apparemment je suis une identité remarquable. On continu et elle me fait comprendre qu’elle se prénomme Alice,  43 ans Docteur en pharmacie (pharmacienne), vit dans le quartier voisin avec son mari (Marc – professeur des lycées) et leur fille (Arielle  - Etudiante) de dix-neuf ans. Je me sens obligé de me confier aussi : Jean, 27 ans je suis ingénieur en informatique mobile.-Ah c’est bien, fait-elle, ma fille étudie justement l’administration des réseaux informatiques.J’ai donc logiquement pensé à cette instant qu’elle voulait ma maquer avec sa fille. Mais elle a ajouté : -    C’est une véritable peste en ce moment, elle découche, me méprise et… bref Une vrai peste.-    Parlez-en à votre mari. Rétorquais-je.-    Je l’ai fait mais cet enfoiré n’a pas de couilles. Il regarde sans rien dire ni rien faire. Je commence à me dire à cet instant qu’elle est sûrement au bout du rouleau et qu’un bon prédateur n’en ferait qu’une bouchée. C’est alors qu’elle me demande :-    Vous habitez loin ? -    Non ! répondis-je interloqué ! J’habite au coin de la rue pourquoi ?-    J’ai envie de vous baiser.  Nos regards joutent ; J’essaie de déterminer si elle se paye ma tête, mais son regard ne laisse rien transparaître de tel, non ! Elle est plus que sérieuse. Me faire une femme de cette age , même dans le plus hot de mes rêves ça n’est pas arrivé. Je ne vais pas me faire prier.   Je vous fais grâce de détails techniques ; une trentaine de minutes plus tard, nous sommes chez moi. trente minutes d’excitation. Je referme la porte derrière elle qui s’avance vers le canapé sur lequel elle dépose son sac à main. Elle se retourne et me lance un regard provocateur : Le signal. Je m’approche, j’hésite, elle prend l’initiative, elle m’embrasse. Je l’enlace avec mes bras. Notre baiser s’étend dans la minute. Alors je me lance à la découverte de son corps, j’explore chaque recoin.  Mais ça ne produit pas l’effet escompté. Donc j’entame de soulever sa robe et chose étrange, elle gémit. Notre baiser se fait plus intense, fougueux. Je la vois sourire du coin des lèvres. Je commence déboutonner ma chemise mais elle m’arrête : « non n’enlève pas la chemise juste le pantalon» Je retire et dévoile ma queue en érection ! Je descends sur les seins, je palpe, je presse, mordille tout en lui malaxant les fesses. Je m’apprête à descendre vers son trésor pour lui faire un cunni quand elle m’arrête : « Non pas de cunni ni de fellation », pénètre moi !Perplexe, je la fixe intensément : Elle sait que je désapprouve mais aussi que c’est la chance de ma vie. Je ne vais pas renoncer pour si peu. -    D’accord allons dans la chambre.-    Non, pénètre-moi ci.Elle soulève son pied gauche et le pose sur mon épaule droite en y prenant appui de ses mains. OMG ! Avec un sourire plein de malice, elle me lance « Au travail ». Je saisi mon sexe et le dirige vers l’entrée de son triangle magique ou chaleur et humidité se mélangent. Je sens sa main droite qui oriente ma tête vers la sienne :-    Tu dois me regarder, m’ordonne-t-elle.
Regard contre regard, son pied sur mon épaule, je pousse doucement ma queue à l’intérieur de son con. Ses yeux s’écarquillent, ses ongles s’enfoncent dans ma chair. Je commence à la limer. Par intensité de : Un, un ; un, deux, deux, deux, Trois, Trois, trois, trois, deux, trois quatre ; un, trois, quatre, cinq, cinq, quatre, cinq, cinq… Son corps devient raide. Soudain, elle pousse un grand cri, tremble, me plante les ongles sous la chair. Je contemple la beauté d’une femme heureuse, comblée par le sexe. Elle reprend ses esprits et se retire. (De notre étreinte génitale)-    Merci Jean, les toilettes sont par où ?-    Pardon ? les toilettes !-    Oui je ne peux pas aller au boulot avec cette odeur de mâle ! je dois me rafraîchir !-    Tu es sérieuse ? fais-je en désignant ma bite toujours en érection. Tu veux me dans cette état ?Elle sourit et se retourne en ironisant un « Masturbe toi, ça va baisser ». Je sens une vague de colère qui me traverse tout le corps. Elle se tient au niveau de la table qui me sert de salle à manger (environ 1m 30 de hauteur).-    Madame veut jouer à la salope ? je vais te traiter comme une salope.En trois enjambées je suis derrière elle. Je l’empoigne par le bras et la plaque le ventre contre la table. Elle pousse un léger cri et me darde un regard provocateur du coin de l’épaule.— Enfin tu réagis comme un homme ; Tu vas faire qu…Sans la laisser terminer sa phrase, je croise ses deux mains dans son dos et je la pénètre d’une traite avec une intensité de 5/7. Sa réaction est immédiate « Oh Mon Dieu ». Je continu : cinq, cinq, trois, deux, quatre, cinq, cinq, cinq, quatre, cinq, trois, cinq. Je serre les dents par moment sinon j’inspire et expire très fort. Le bruit du claquement de mon bassin sur ses fesses s’entend sûrement chez les voisins et commence à sonner comme le beat d’un morceau Hip-hop et les paroles suivent : « Oh, Oui ; Oui, c’est bon ; vas-y, mmm Oh Oui ; comme ça oui ; » — C’est bien ce que tu voulais si ? que je prenne sur ma table comme une salope !— Oui ! oui vas-y baise ta salope ! On ne se contrôle plus, répétant tout ce qui nous passe par la tête. Notre chorégraphie dure quatre à cinq minutes et je sens que je vais jouir. Je comprends alors que cette position a un effet psychologique sur moi. Alice, cette femme de 43 ans (soit 16 ans mon aîné), complètement nue et que je viens de plaquer contre ma salle à manger, à qui j’assène des coups de butoir semble bientôt atteindre le summum de la jouissance charnelle. Et à chacun de mes coups de reins, j’ai l’impression de prendre et d’augmenter mon emprise sur elle. J’ai l’impression d’avoir un pouvoir de domination sur elle. Je la vois qui se tord d’un plaisir masochiste quand je vais en elle et moi qui finit par jouir d’un plaisir sadique en elle sans me soucier des conséquences. Automatiquement, ce « creampie » a déclenché un violent orgasme chez elle. Je me retire et je contemple à nouveau la beauté d’une femme en plein orgasme*. Y’a-t-il plus beau ? Je commence sérieusement à en douter. Après quelques minutes, elle sort de la salle de bain. Un large sourire barre son visage. Et son regard me confirme ce que je savais déjà. Je l’ai fait atteindre un pôle de l’extase. — T’as pas vu mon string ? — Tu n’en portais pas. — Ah ! Bon écoute… Jean, sache que je n’ai pas l’habitude de faire ca ?— Quoi ? te faire du bien ?Elle me lance un regard complice et récupère son sac sur le canapé.— Non ! Oui... afin… bref Oui ça aussi. En fait je veux te dire que je n’avais jamais trompé mon mari avant… Toi. Ça doit être dû au fait que je n’avais pas fait l’amour depuis… Et surtout de cette façon… bref je pense qu’on devrait oublier ce qui s’est passé. Tu comprends je ne suis pas ce genre… — J’ai enregistré mon numéro dans ton téléphone. Appelle-moi quand tu voudras remettre ça. Je sais déjà que ça ne vas pas tarder donc... Mon appart, ma bite et moi sommes à ton entière disposition.Elle part d‘un rire franc. Consulte son téléphone et on se dit au revoirQuatre Jours passent. Je commence à désespérer de la revoir quand mon téléphone sonne : c’est elle, elle veut me voir ce soir, chez elle !
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