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Valérie : l'insoupçonnée

Chapitre 6

Hétéro
Les mains sur ses hanches, je dénoue le lacet qui ferme la robe, toute en la tenant fermée.— Tu dis être pudique. Mais là, en pleine nuit au milieu de la campagne…Nous sommes encore à deux bonnes centaines de mètres de la voiture et des premières habitations. Personne ne peut nous voir depuis le village. J’ouvre lentement sa robe et embrasse Valérie. Je fais peu à peu glisser la robe de ses bras. Le vêtement tombe sur la route; Valérie ne porte plus que ses talons. Je fais un pas en arrière pour contempler son corps nu au clair de lune. Je n’ai pas besoin de lui demander de se tourner, Valérie le fait d’elle même. Je reviens l’embrasser, ramasse sa robe et l’invite à reprendre chemin. Elle hésite, sourit et je suis sûr qu’elle doit rougir.— Tu me fais faire des folies.
Une cinquantaine de mètres plus loin, nous nous arrêtons à nouveau et nous embrassons. Valérie me demande sa robe. Entre temps, je l’ai fermement roulé en boule dans ma main. Sous le regard médusé de Valérie, je lance la robe au milieu d’un champ de blé !
Valérie ne crie même pas. Elle regarde voler son habit avant de se tourner vers moi.— Tu n’as pas fais ça ?Je hoche la tête en signe d’approbation. Valérie semble réfléchir si elle doit se fâcher ou si elle doit en rire. Elle soupire alors en souriant. — Tu es un grand malade…Quittant ses talons, elle s’engouffre dans le champ encore vert. Quand elle a fait quelques mètres, je me déshabille à toute hâte et m’apprête à la suivre quand je l’entends jurer :— Merde ! Ils ont arrosé !En la rejoignant, je constate que le sol est effectivement bien boueux et la robe doit encore être une bonne dizaine de mètres devant nous. A l’aide d’une minuscule lampe de poche, nous avançons un peu plus dans le champ.
Nous tombons sur la robe quelques instants plus tard. Par chance, elle se trouve dans une petite zone d’un gros mètre carré sans épi. Moins drôle, la zone est plus humide et boueuse que le reste du champ. Valérie ramasse sa robe avec précaution. Quand elle se tourne vers moi, je l’embrasse avec frénésie. Surprise, Valérie répond à mon baiser avec un temps de retard. J’éteins la lampe de poche et la jette à terre. Valérie lance sa robe sur les épis à côté de nous.
Notre baiser se prolonge et je bande très vite. Valérie s’accroupit pour me sucer quelques secondes. Je m’agenouille dans la boue pour exciter son clitoris de ma langue. Je l’attire vers le bas. Elle tombe à genoux en riant et m’embrasse. — Tourne-toi…Pas besoin de lui dire deux fois. Elle pose les mains dans une flaque et je glisse en elle par derrière. Je la prends très vigoureusement. Ses mains glissent dans l’eau et elle doit fréquemment se redresser. Mais je bombarde son arrière-train avec une telle énergie qu’elle est contrainte de se pencher de plus en plus bas.
Fermement accroché à ses hanches, je pistonne sa croupe toujours dressée, mais Valérie doit désormais prendre appui sur ses coudes. Elle gémit très bruyamment, halète comme si elle était au bord de l’essoufflement. Je l’astique toujours avec une ardeur sans faille, mitraillant ce surexcitant fessier.
A bout de force, Valérie s’allonge à plat ventre dans la boue, non sans garder son petit cul en l’air. Je suis au bout, mais pas tout à fait. Mes derniers mouvements de hanches sont de vrais coups de boutoir dans son vagin. Au moment de jouir, je lui donne une puissante fessée et me laisse choir sur son dos. Après quelques secondes, Valérie murmure :— Je ne peux même pas décrire ce que tu viens de me faire vivre.
Le ton de sa voix est grave. Je m’inquiète soudain. Elle poursuit :— Je ne sais pas ce que je ressens exactement.Je ne dis rien.— Tu m’as fait mal.— Je…Elle me coupe.— Tu m’as baisée comme… je ne sais pas… même une pute, tu ne la baiserais pas ainsi.Elle marque une pause.— Je viens de vivre le moment de ma vie le plus…J’ai peur.— Fabuleux.
Elle sourit largement. Je me soulève pour qu’elle puisse se tourner et m’allonge sur son corps plein de boue. Nous nous embrassons à pleine bouche. Valérie me fait rouler pour venir sur moi, j’ai la tête dans la flaque.
Nous restons encore quelques instants avant de nous lever, hilares. Nous sortons du champ et reprenons la direction du village, boueux de la tête aux pieds et nus comme des vers. Valérie me demande ce que je compte faire. Je ne réponds pas.
A l’entrée du village se trouve le cimetière dans lequel il doit fatalement y avoir de l’eau. Le plus discrètement possible, nous tirons de l’eau dans un arrosoir. L’eau est glacée. Si cela n’est pas pour mettre en valeur mon anatomie, je suis tout à fait charmé par la longueur que prennent les mamelons de Valérie. Elle en rit. Très humides, nous nous rhabillons.
A la voiture, Valérie remet sa tenue précédente. La "douche" nous a refroidi et je dois mettre le chauffage quelques instants en reprenant la route. La voiture de Valérie se trouve sur son lieu de travail. Je me gare en face, sur le parking désert d’une autre entreprise. Nous nous embrassons. — Je n’oublierai jamais cette soirée, crois-moi.Je ris.— Tu es une femme intelligente, vive et cultivée. Ce qui ne gâche rien, c’est que tu es incroyablement désirable, excitante et sexy.Elle rougit et sourit.— Ma confiance est au beau fixe lorsque j’entends de si agréables compliments.Elle m’embrasse tout en commençant à ouvrir mon pantalon. Elle me suce avec hâte. Et une folle intensité. De loin les meilleures fellations de ma vie. Pourtant, elle ne me fait pas jouir. Elle se redresse, ramasse ses sacs et sort de la voiture.
Je fais de même et viens de son côté alors qu’elle remet ses sandales. Elle se redresse et nous nous enlaçons. Je provoque :— Où as-tu appris à sucer comme ça ?Elle éclate de rire.— Je te raconterai ça une prochaine fois, qu’en penses-tu ? — Je n’ai pas le choix, c’est ça.— Pas vraiment.Je l’embrasse.— Et pourquoi tu t’es arrêtée en si bon chemin ?— Pour que tu me désires encore, là, devant moi.— J’ai très envie de toi…— Mmmmh…Valérie a fermé les yeux. Je la pelote délicatement à travers son débardeur. Elle gémit doucement. Je relève sa jupe jusqu’à ses hanches avant de m’agenouiller devant elle. Les jambes écartées et légèrement fléchies, Valérie m’offre son sexe. J’aspire ses grandes lèvres discrètement pendantes puis remonte à son petit bouton sur lequel je ne m’attarde pas encore. Je plaque ma bouche et fouille son vagin de ma langue. Valérie lâche des "Oh oui!" excitants. Son clitoris n’a ensuite qu’à être effleuré pour qu’elle jouisse.
Je lui demande de se tourner. Valérie se cambre et je lèche encore sa chatte humide. Je compte bien remonter à son petit trou, mais Valérie ne semble pas y consentir. Elle serre les fesses. — Laisse-moi…— Non, ça n’est pas mon truc. — Fais-moi confiance. Tu dis juste "non" si tu veux que j’arrête.J’attends quelques secondes. Les fesses se détendent. Je les embrasse. Je les écarte en embrassant sa raie de haut en bas sans toucher à son anus d’un rose très foncé. De ma langue, je viens juste l’effleurer.— Non !! Qu’est-ce que tu fais ?!?— Une agréable caresse.— Mais c’est dégoutant !— Pourquoi dis-tu ça ? Tu ne m’as même pas laisser le temps d’essayer.— Tu as léché mon anus, donc !— Exactement.— C’est non.
Je me lève, Valérie se tourne. — Ne m’en veux pas, je n’aime pas ça. Je souris et indique ma bite tendue comme un arc.— Est-ce que j’ai l’air de t’en vouloir ?Valérie sourit et se penche dessus. Elle reprend une énergique fellation. Sentant qu’elle veut m’emmener au bout, je la relève et la tourne contre la voiture. Je la pénètre doucement. Valérie accompagne mes mouvements de hanches et nous faisons l’amour tendrement. Je ne tarde pas à éjaculer en elle.
Elle m’enlace.— Voilà pourquoi je me suis arrêtée en si bon chemin.Je ris.— Alors pourquoi allais-tu me faire jouir dans ta bouche ?Gênée, elle répond :— Parce que je voulais me faire pardonner de t’avoir dit non.Je l’embrasse et souris.— Tu as le droit et même le devoir de dire non si tu n’as pas envie. Et tu n’a absolument pas à te faire pardonner ensuite de telle ou telle manière. Je n’aime pas ça. Elle sourit à nouveau.— Troublant et adorable. Et surtout respectueux.— Bon, peut-être pas tout à l’heure, dans la boue…Elle éclate de rire.
Valérie ferme la porte. Elle refuse que je l’accompagne jusqu’à l’entrée de son travail à cause des caméras de surveillance. Dernier baiser. Je la regarde s’éloigner et attends qu’elle franchisse la grille sécurisée. De l’intérieur, elle me fait un discret signe de la main.
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