Pendant près de deux ans, j’entretins une relation passionnée avec une femme mariée.Valérie, banquière de son état, passait me voir entre midi et deux heures, ou en soirée, quand son mari était en déplacement. Bien sûr, nos rendez-vous étaient strictement sexuels. Pour l’occasion, elle s’habillait de façon particulièrement sexy, voire de manière provocante. Pour ma part, je n’adorais rien tant que retrousser sa jupe au-dessus de ses bas et la prendre puissamment en levrette. Au cours d’un de ces midis, où ma maîtresse s’employait à me finir dans sa bouche, je remarquai que nous étions épiés par le voisin de l’immeuble d’en face. Il avait même sorti un appareil-photo, le petit salaud. De là où il était placé, il avait une vue idéale sur la scène de baise. Enervé et excité à la fois, je sortis ma queue de la divine bouche de Valérie pour répandre mon sperme sur son visage. C’est ainsi que Valérie, sans qu’elle ne comprenne pourquoi, eut droit à sa première éjaculation faciale. En fin d’après-midi, sur le chemin des courses, je croisai mon voisin. Il avait la tête basse, mais je l’interpellai : "Dites donc, vous êtes-vous bien rincé l’oeil ?Dans un premier temps, il fit semblant de ne pas comprendre. Mais comme j’insistais, il tenta de s’expliquer : " Ecoutez, je ne fais rien de mal. Je ne suis qu’un simple voyeur... Et je trouve que madame est très belle...""Ah oui ? Et les photos alors ?""Ce n’est que pour mon usage personnel, je vous jure !" Nous discutâmes encore un peu jusqu’à ce qu’il me propose de venir prendre un apéritif chez lui plutôt que de parler de tout ça en pleine rue. J’acceptai. Contre toute attente, nous commençâmes à sympathiser. J’appris que ce n’était pas la première fois qu’il matait mes ébats derrière sa fenêtre. De mon côté, je lui appris que Valérie n’était pas ma copine, mais une femme mariée qui aimait se faire démonter la chatte en cachette de son mari. Ce dont Alain, mon voisin, se doutait bien sûr.La conversation prenait un tour de plus en plus grivois.
