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Valérie, ronde et docile.

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Introduction :
« Je me présente : je m’appelle Stéphane, j’ai 45 ans, je suis brun, cheveux légèrement ondulés, 80 kg pour 1,78 m. J’ai les yeux bleus acier, le visage un peu carré, sportif, je suis plutôt BCBG et instruit. J’ai un bac+5 et je gagne très bien ma vie !Mais je suis un sadique, un pervers sexuel, qui trouve un plaisir incroyable dans l’humiliation des femmes et dans les cris qu’elles poussent, lorsque je les maltraite. »
« J’ai toujours eu honte de ces pulsions et, pendant des années, j’ai mené une vie bien rangée. Mais aujourd’hui j’ai trouvé un équilibre entre mon plaisir sadique et la jouissance d’une femme. »
« C’est vrai que leur visage se déchire avec les mêmes tensions lorsqu’elles orgasment ou lorsqu’elles hurlent de douleur ! »« J’ai donc désormais décidé de partir en chasse pour débusquer ces femmes qui n’attendent que ça : vivre une émotion intense, incroyable, unique, quel qu’en soit le prix, pour fuir leur morosité quotidienne ! »
« Désormais, je ne suis plus un pervers sexuel, mais une agence de voyages, un professeur particulier, un psychothérapeute à l’écoute de son malade. Je ne cherche plus désormais à satisfaire mes pulsions, mais celle des autres ! Et c’est en cela que j’ai trouvé l’harmonie dans ma vie ! »
« Je vais donc vous raconter une de mes histoires et je suis persuadé que malgré votre répulsion et vos critiques, vous tremblerez de bonheur en vous imaginant ma victime, ou libérerez vos mauvaises pensées par procuration. »

Rencontre :J’ai ouvert un blog, dans lequel j’écris des histoires, vraies ou fausses, je publie des dessins, piqués de ci de là sur Internet, mais surtout je lis le courrier et les commentaires des lecteurs. Cela m’aide à débusquer mes futures proies !Un soir, je tombais sur le commentaire d’une jeune femme, qui venait de lire mon histoire sur cette femme mariée, déçue de sa vie et qui offrait, une fois par an, ses grosses fesses à une punition nourrie, avant de reprendre le cours de sa morne existence !Elle paraissait très émue de l’émotion que lui procurait la lecture de ce récit et me faisait part, au cours de notre discussion, des doutes qu’elle avait quant à son propre mariage à venir.Son petit ami ne débordait pas d’attention et elle lui servait surtout de bonne, faisant cuisine, ménage, sans trop recevoir d’affection en retour. Mais cela avait toujours été le cas avec les autres garçons.C’est exactement le genre de femme que je traque !
Après plusieurs jours de discussions et d’échanges de photos par Snapchat, j’avais obtenu un rendez-vous.Nous nous sommes retrouvés dans un bar, en plein après-midi, pour n’éveiller aucun soupçon du futur cocu.
Elle est entrée, plus jolie que sur sa photo, marchant sur des talons trop haut, un collant noir brillant moulant ses mollets et galbant ses grosses cuisses bien rondes. Une jupe moulait son gros cul dodu et lui serrait la taille.Un blazer ouvert laissait sa grosse poitrine débordée, tendant à craquer un chemisier de fin coton blanc fermé jusqu’au cou, à travers lequel on pouvait voir se dessiner la dentelle d’un soutien-gorge à balconnet.Joliment coiffée, les cheveux châtains clair ondulés, un maquillage un peu trop soutenu, typique d’une jeune femme qui doute de ses charmes, elle s’est approchée très nerveuse, en m’apercevant sur une banquette dans un coin.
« Bonjour, je suis Valérie. Vous devez être Stéphane ? »« Oui, vous êtes magnifiques ! Vraiment beaucoup plus belle que je ne le croyais. Asseyez-vous donc, qu’est-ce que vous prenez ? »« Heu, un coca sans sucre. »« OK, un coca avec sucre, avec moi tous les excès sont permis ! »Après une heure à blaguer, la charmer, la fait rougir, on s’est quitté sur un petit piou ... et je l’ai laissée partir, les pommettes toutes rouges, un sourire illuminant son visage.Ce que j’aime voir une femme heureuse lorsqu’elle me quitte !
Les rendez-vous qui ont suivi se sont fait chez elle, toujours dans l’après-midi, afin d’éviter une rencontre malheureuse.Mais comment amener, une jeune femme complexée et timide, à devenir une esclave docile ?Ce coup marche toujours :Alors qu’on était allongé, assez dénudé, en train de s’embrasser et de se caresser, quelqu’un trifouilla la serrure et puis frappa à la porte.Elle a sursauté, poussé un cri et tenté de réenfiler son chemisier, tandis que je cachais le soutien-gorge sous les coussins.En trottinant vers l’entrée, elle rabaissait sa jupe sur ses grosses fesses et j’admirais les nichons qui ballottaient nus, avant qu’elle ne referme les boutons.C’est très nerveusement, finissant de se rhabiller, qu’elle lorgnait à travers le judas.Ouf, ce n’était pas son petit copain qui rentrait tôt et qui avait oublié ses clés !Juste un voisin, qui s’était trompé d’étage.
Il faut pour ça un ami, qu’on laisse rentrer dans l’immeuble et qui attend le moment opportun pour agir !
Je la récupérais, tremblante, les jambes flageolantes, la voix entrecoupée de sa respiration saccadée, heureuse et encore sous le choc.L’adrénaline fait alors son effet, du stress on passe à la grande euphorie ! C’est le moment d’agir !« Mon dieu ! Tu trembles de partout, quelle trouille ! »« Tu m’étonnes, tu imagines si ça avait été lui ! Ah, c’est fou, je n’arrête pas de trembler ! »« Tu as eu chaud, mais si c’était lui, tu dois pouvoir le regarder en face sans montrer tes émotions. Je vais t’aider à faire ça. Tu dois te sentir coupable, n’est-ce pas ?»« Oui, j’ai toujours peur qu’il comprenne ! »« La seule solution, c’est que je te punisse pour ta mauvaise conduite, ainsi, déjà punie, tu ne te sentiras plus coupable d’avoir pris du plaisir sans lui et ça t’aidera à faire redescendre tes émotions et à redevenir la petite bonne insignifiante qu’il s’attend à retrouver. »« Crois-moi, ajoutai-je, je sais de quoi je parle. J’ai toujours vu dans les yeux de ma femme lorsqu’elle me trahissait ! Et elle a toujours su quand c’était moi. Jusqu’au jour où j’ai divorcé ! Je ne te le souhaite pas et je veux que tu puisses garder ton couple et t’arrêter avec moi quand tu le décideras.Tu verras, être puni apporte un autre plaisir, tout aussi grisant ! Mais en plus, cela va te protéger de ton sourire naïf que tu n’arrives pas à effacer lorsque je m’en vais !Tu auras peut-être encore les yeux rouges de larmes, le cul bien chaud, mal un peu partout, mais lui retrouvera son petit boudin qui fait la gueule. Et ça, même si tu as pris trois orgasmes avant avec moi ! »« Me punir ? Ça fait mal ? Tu crois que c’est nécessaire ? Je vais essayer de me contrôler. »« Un jour, j’ai retrouvé une de mes maîtresses avec des lunettes noires, les yeux au beurre noir et deux côtes cassées ! Je t’assure que je ne pourrais jamais te faire aussi mal. Et puis si tu un gros cul bien joufflu, c’est pour prendre des fessées dessus ! »
Pour ajouter le geste à la parole, je décidais de lui administrer sa première correction et, main levée, j’abattais sur ses grosses fesses de belles claques qui résonnaient dans toute la pièce. Elle criait en riant et sautillait en courant dans la pièce, tandis que je la poursuivais en riant aussi, frappant des deux mains ce gros popotin qui se tortillait devant moi.
J’étais surexcité et lorsque je l’ai enfin plaquée dans le canapé, j’ai arraché ses vêtements, tandis qu’elle m’ôtait les miens nerveusement et je l’ai pénétré sans protection, limant comme un fou, la bouche collée dans son cou, pendant qu’elle se contractait, m’enlaçant de ses grosses cuisses !
Nous avons joui ensemble, d’un orgasme fou et nous sommes restés ensuite longuement allongés pour reprendre notre souffle, lovés l’un contre l’autre, heureux.
« Alors, ça te plaît d’avoir les fesses qui chauffent, on dirait ? »« Oui, c’est fou ! C’est d’accord, punis moi ! Je suis une vilaine fille ! »Alors je l’ai emmené dans la salle de bain et je l’ai mise toute nue devant la glace, debout sur ses grands talons.« Voilà le visage d’une femme heureuse et épanouie, d’une femme qui vient de prendre un plaisir incroyable ! »Je vais donc fesser ton gros cul jusqu’à ce que ce sourire disparaisse. Tu vas voir que ça prend du temps ! Mais j’ai tout mon temps et je connais des tas de manière pour te punir, ma chérie ! »
Si elle arborait un sourire épanoui, n’ayant jamais joui aussi fort, je vous avoue que moi, j’avais le visage en feu, débordé par le plaisir d’admirer ce cul offert, sentant mes pulsions sadiques monter en moi et me submerger !Je visais alors une fesse et je la claquais fermement, faisant se secouer la jeune femme qui poussait un cri étouffé à chaque fois.Je claquais alternativement la fesse droite puis la fesse gauche, la laissant reprendre son souffle entre chaque claque et admirant les rougeurs qui s’étalaient sur sa peau frissonnante.
Je prenais mon souffle et alors, j’impactais le gras de son cul par-dessous, regardant dans la glace son beau visage qui se crispait, sa bouche s’ouvrir, écoutant le cri qui sortait de sa gorge grande ouverte.Je caressais doucement la peau, préparant la zone, tandis qu’elle poussait des petits "non, non, non" et puis je claquais sèchement sa fesse, la faisant se cabrer et pousser à nouveau un long cri.
Par moment, elle se frottait les fesses, pour marquer une pause. Alors je la laissais un instant reprendre son souffle et je lui faisais constater que son joli visage n’avait pas disparu. Donc je lui replaçais les mains autour du lavabo et je reprenais les grandes claques sur son gros cul, la faisant à nouveau crier.
J’adore les gros culs, larges, ronds et fermes, ils sont idéals pour de longues fessées.
Elle sautillait sur place, les fesses prises de spasmes et suppliant que j’arrête la punition.Je m’approchais alors doucement d’elle et, posant un baiser sur son épaule, je lui murmurai :« Le seul moyen, en fait : c’est que tu pleures à chaudes larmes ! Seule une grande souffrance peut effacer un si grand plaisir. Et je suis très fier de devoir te punir si fortement, ça veut dire que je t’ai pleinement rendu heureuse ! »« Oh oui ! Mais ça brûle, je ne sais pas si je vais y arriver. »« Soit tu acceptes et nous continuerons de nous voir, soit tu renonces et je serais obligé de te quitter ! Je ne laisserais pas une nouvelle fois un homme tabasser une femme, juste parce qu’il est cocu ! »« D’accord, j’accepte. » Dit-elle d’une voix mourante.
Ayant obtenu son accord, je prétendais l’aider en accélérant maintenant les claques sans plus les retenir, afin de faire monter les larmes encore plus vite et d’en finir.Elle acquiesça de la tête et s’agrippa aux meubles en attendant la suite.
Je pris alors un instant pour me délecter de ma proie, je laissais ma main glisser de ses cheveux dans son dos et jusqu’à la naissance des fesses, appuyant dans le creux des reins pour amplifier leur courbure et admirant ce cul désormais à moi !C’est maintenant que mon instinct sadique se dévoile complètement et je me mis à fesser ma victime sans plus aucune retenue, la saisissant par la taille d’un bras, je frappais les grosses fesses qui se trémoussaient devant moi.
Elle avait beau crier, supplier, se débattre et m’implorer, je continuais inlassablement à lui rougir le cul, en bandant toujours plus fort. Mon sexe nu, collé contre ses hanches, était écrasé par nos deux corps et chacun de ses mouvements faisais se décalotter mon gland.Bref, je me branlais contre elle, tandis que ses cris résonnaient dans ma tête. Mes claques faisaient se secouer les fesses bien grasses et l’onde de choc remontait jusque dans mon bras.
Épuisé, la main bouillante, je relâchais enfin ma victime qui s’écroulait à genoux en pleurant à chaudes larmes. Elle n’arrivait pas reprendre son souffle et se frotter les fesses, les yeux brouillés de larmes, la bouche grande ouverte, respirant par saccades.
Je l’aidais alors à se relever doucement et tendrement, je lui caressais les épaules en lui montrant son visage dans la glace. Il était noyé de larmes et elle avait perdu son beau sourire de femme heureuse et épanouie.À nouveau elle montrait ses traits tirés et ses yeux tristes, une moue sur la bouche et le regard vide.« Ça, c’est à nouveau toi ! Ton petit ami ne se doutera maintenant de rien. »« Je vais te mettre une crème sur le cul pour apaiser les brûlures de la fessée. Tu verras, il va vite réparer. »
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