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Vanessa

Chapitre 1

Hétéro
Avertissements :
Vanessa est la suite de Thomas et la narration ne l’identifiera plus comme un individu masculin même si sa transformation n’est pas aboutie et que son corps, dans les premiers chapitres, reste celui d’un garçon. Par ailleurs, les parents et amis qui la soutiennent, n’envisagent plus de la regarder autrement que comme une fille, même nue.
Une lectrice ou un lecteur qui n’aurait pas lu Thomas peut, sans problème, lire cette histoire indépendamment et découvrir les personnages au fur et à mesure.
Je veux préciser aussi que les aventures de Thomas/Vanessa seront aussi associées à d’autres aventures marginales ou des personnages secondaires deviendront les principaux.
Bonne lecture à toutes et tous,
Manekenpiss

Chapitre I
Quand Vanessa ouvrit le yeux, tout était blanc autours d’elle. Elle était dans une sorte de brouillard lumineux qui se dissipait lentement et quelqu’un pleurait sur son épaule. Elle mit du temps avant de se rappeler les coups de pieds. Elle frissonna en revoyant une lame s’enfoncer dans sa poitrine et réalisa qu’elle était branchée de partout. Elle revint à son épaule mouillée de larmes et elle sentit l’odeur de Karine.
— Ka… rine ?... C’est… toi ? Parvint-elle à articuler en réalisant que sa mâchoire n’était pas très mobile.— Mon Dieu ! Vanessa ! Tu es réveillée !! On te donnait pour morte hier soir.— Je… crois… que… c’est… Thomas… qu’est… mort… mais… moi… je… nais.
Le réveil de Vanessa déclencha tout un tas d’alarmes et des infirmières accoururent.  Elles évincèrent Karine quelque temps pour prendre soin de leur patiente fraichement réveillée. Karine ne pleurait plus de d’angoisse et de tristesse mais de joie et elle se précipita pour prévenir Odile et Daniel.
— Elle est réveillée ! Cria Karine en arrivant dans le hall où se trouvaient les parents de son amie. Elle est vivante ! Elle est réveillée !— Oh mon Dieu ! S’exclama Odile en se précipitant vers la jeune fille.
— Elle est vivante, Elle t’a dit quelque chose ? Demanda Daniel.— Oui ! Elle… elle a même trouvé le moyen de faire de l’humour.— Vite Daniel ! Allons la voir !
Vanessa était tirée d’affaire mais avait encore besoin de soins assez lourds. Elle resta hospitalisée deux moi et Karine passa le plus de temps possible auprès d’elle. Elle se serait même installée à l’hôpital si le personnel soignant l’avait laissée faire. Néanmoins, elle restait jusqu’à la dernière minute et même au-delà. Il n’était pas rare qu’une infirmière passe pour lui demander de quitter l’hôpital et elle le faisait toujours à contrecœur.Jour après jour, après ses dernières opérations, l’état physique de Vanessa s’améliora très nettement. Le professeur en chirurgie qui veillait sur elle depuis son arrivée, considérait que la présence de Karine y était pour beaucoup. Mais autre chose jouait également très favorablement :Il avait fallu lui refaire le nez, et la mâchoire ce qui permit à Vanessa de faire féminiser ses traits en affinant son menton et en réduisant la taille de son nez mais, en plus,  sa gorge ayant été enfoncée, l’opération qu’elle avait subi à ce niveau avait fait disparaître sa pomme d’Adam.Par ailleurs, avec l’accord du chirurgien, Jacques était venu avec un médecin spécialiste qui allait suivre sa transformation. Comme elle était en veille médicale constante, il avait tous les paramètres pour ajuster au mieux son traitement hormonal et, de ce jour, tout le service se mit à l’appeler Vanessa.
— Karine, ma Chérie, regarde ! Hiii. Fit Vanessa en voyant son amie entrer dans sa chambre.— Ça y est ! T’as tes nouvelles dents ! C’est classe, je suis contente. Fais voir que je goûte à cette nouvelle bouche. Mmm…— Tu peux m’aider à me lever, j’allais appeler une infirmière mais vu que t’es là… J’ai besoin d’aller aux chiottes.— T’es sûre ? Tu remarches ?— Marcher c’est un bien grand mot mais j’en avais marre des couches et après une radio de contrôle, mon chirurgien a dit que je pouvais faire quelques pas pour aller aux toilettes ou sous la douche, à condition d’être accompagnée, bien sûr.— Tu l’as déjà fait ?— Ce matin, quand je suis revenue après la pose de mes dents et c’n’est franchement pas très sexy de chier devant une infirmière…— Et devant moi ?— Oh, avec toi, c’est différent ; je sais que t’es une cochonne…
Karine aida Vanessa à s’asseoir sur le bord du lit et lui prit les bras pour l’aider à se lever. Elle la maintint quelque instants, le temps que son équilibre s’établisse et Vanessa se mit en mouvement en lui prenant le bras. Ses pas étaient très petits et mal assurés. Elle s’arrêtait tous les mètres avec un rictus de douleur. Franchir la courte distance qui séparait le lit de la salle d’eau leur prit un temps que Karine trouva interminable. Elles y arrivèrent finalement et Karine aida son amie à s’asseoir sur le siège. Comme elles n’arrêtaient pas de parler, Vanessa trouva que c’était réellement beaucoup plus agréable de faire ses besoins devant Karine qu’en compagnie d’une aide soignante ou d’une infirmière.
— Moi, je trouve même ça très excitant. Ça me donne des envies ; tu te rends compte que ça fait deux mois bientôt que t’es là et qu’on n’peut pas faire l’amour.— Tu aurais pu ; je n’t’en aurais pas voulue, tu sais. En plus, tu passes plein de temps avec mes parents et ils ne diraient pas non pour te satisfaire si tes autres plans cul sont pris.— C’est vrai, mais j’aurais eu l’impression de te tromper… Par contre, là on est tranquilles, dit-elle en s’accroupissant entre les cuisses de son amie. — Mmm, coquine, et si quelqu’un vient ? La porte n’a pas de loquet. Précisa Vanessa tandis que Karine prenait sa verge en bouche.
Karine suça la queue de Vanessa quelques instants et puis elle se défit de son jean et de sa culotte pour se l’enfoncer dans le cul en s’asseyant dessus. Elle bougeait avec précaution en se tenant à une barre de sécurité et Vanessa lui caressait la chatte de ses doigts. Elles furent effectivement surprises par une infirmière qui avait eu peur que Vanessa se soit levée seule. Elle s’excusa en rougissant de ce qu’elle voyait mais elle fut incapable de se soustraire au spectacle et les deux amoureuses ne s’arrêtèrent pas dans leur action. Karine eut un orgasme sous l’action des doigts de Vanessa et elle se releva pour la faire jouir dans sa bouche.
— Je… je suis confuse, dit l’infirmière une main coincée entre les cuisses. Je… je n’aurais pas dû rester là.— Ce n’est pas grave, lui répondit Karine en remontant son string et son pantalon. On n’aurait peut-être pas dû se laisser aller mais ça fait près de deux mois qu’on ne peut rien faire par la force des choses.— Vous voulez que je vous aide à retourner jusque dans votre lit ?— Je peux le faire, dit Karine en souriant, merci.— Et puis il faudrait que je fasse un petit brin de toilette intime, rajouta Vanessa un peu gênée.
Cet épisode les fit rire tout le reste de la soirée et elles ne purent s’empêcher de la raconter en détail à Odile et Daniel Lorsqu’ils vinrent voir Vanessa.
— Je pense que j’aurais fait comme elle, déclara Daniel, car le spectacle devait être très excitant.— À mon avis, elle a joui sous sa blouse, précisa Karine guillerette.
Vanessa insista pour montrer à ses parents comment elle marchait et ils la complimentèrent pour ce progrès important même s’il était évident qu’elle n’était pas prête de courir. Ils restèrent pendant que Vanessa prenait son diner. Elle le trouvait infect mais elle mangea avec plaisir grâce à ses nouvelles dents. Odile et Daniel ne restaient pas souvent jusqu’à la fin des visites et, au moment de partir, ils invitèrent Karine à diner chez eux.
— C’est gentil, avec plaisir.— Tu peux même dormir chez nous si tu veux, précisa Odile.— C’est une proposition malhonnête ? Demanda Karine avec une pointe d’espièglerie. J’accepte ! T’es d’accord Vanessa ?— Bien sûr, Chérie, ça va vous faire du bien à tous les trois et je compte sur toi pour tout me raconter demain.
Vanessa n’aimait pas se retrouver seule après la fin des visites. Chaque soir, ça lui laissait un sentiment de vide que la télévision ne comblait pas. Néanmoins, ce soir là, en pensant au plaisir que ses parents et Karine allaient prendre ensemble, elle se sentit heureuse.
Le lendemain, elle eut la visite d’un kinésithérapeute chargé de sa rééducation pour la marche. Vanessa avait eu le bassin fracturé et un fémur cassé. Il avait été prévenu que son patient était un transgenre en début de transformation et il en tint compte en s’adressant à elle.Vanessa était alitée quand il se présenta à elle et après lui avoir expliqué la raison de sa présence, il retira le drap pour accéder à ses jambes. Elle n’était vêtue que d’une chemise de nuit d’hôpital trop courte et fermée par trois nœuds dans son dos. La première chose qu’il vit furent ses jambes impeccablement lisses. Il en éprouva tout de suite un trouble qui s’accru lorsqu’il se saisi de l’une d’elle pour la plier et évaluer sa capacité de mouvement. Il plaça une main sous la cuisse et prit le mollet dans l’autre pour la remonter en douceur vers le haut.
— À la moindre sensation désagréable, vous m’arrêtez. Dit-il très professionnellement.
Le mouvement dégagea avec lenteur le devant de la chemise de nuit, dévoilant ainsi le sexe imberbe de Vanessa, ses couilles et, enfin, son anus.
— Ça va ?— Oui, très bien, répondit Vanessa en grimaçant, mais il ne faudrait pas aller plus loin.— Vous voulez qu’on rebaisse un peu ? Il faudrait que vous teniez la position pendant au moins une minute.— Non, c’est bon.
Vanessa voyait le regard du praticien se perdre sur ses fesses et machinalement, elle le détailla de la tête aux pieds. L’homme qui la manipulait était assez séduisant. C’était un métis grand et musclé qui paraissait très sûr de lui. Il portait une de ces tenues règlementaires d’hôpital en coton vert, assez ample, qui s’accordait bien avec sa couleur de peau. En descendant son regard vers son bassin, elle découvrit la bosse qui déformait le devant de son pantalon. Il était tendu comme un tepee et la pointe arrondie soulignait la forme du gland. Elle en conclut avec amusement qu’il ne devait rien porter d’autre, que sa bite devait être énorme et que ça devait être plutôt désagréable.Le kiné lui redescendit sa jambe doucement, sa chemise de nuit resta relevée et il fit la même manipulation avec son autre jambe. Elle se montra beaucoup moins souple mais c’était le côté qui avait le plus souffert et le praticien ne put la relever assez pour revoir son anus. Sa verge n’en dégonfla pas pour autant car, dans le même temps, celle de Vanessa avait pris de l’ampleur et il comprit qu’elle aussi était excitée par la situation.Il reproduisit le même exercice plusieurs fois, alternant d’une jambe à l’autre, et ne se lassait pas de la douceur de la peau de Vanessa. Il lui fit ensuite soulever son bassin en gardant les jambes légèrement écartées et profita de la situation de la situation pour passer ses mains sous ses fesses au prétexte de les soutenir. En les maintenant ainsi, il put les écarter doucement et un de ses doigts vint frôler l’anus de Vanessa. Il se mit à lui caresser doucement le petit trou et, comme elle ne réagissait pas, il appliqua une pression suffisante pour le pénétrer. Vanessa se dit que ce n’était pas du tout professionnel mais elle se laissa doigter sans rien dire. Tel qu’il se tenait auprès d’elle, la bosse de son pantalon était à porté de doigts. Elle s’était encore relevée et formait un pic arrogant et très attirant. Mine de rien, elle bougea la main pour toucher cette déformation impressionnante. Il regarda sans réagir la main frôler sa verge au travers du tissu alors elle se mit à la caresser sans ambiguïté. Leur échange de caresses ne dura pas car il prit conscience l’incongruité de la situation et décida d’y mettre fin pour la faire marcher. Il était gêné et décida de s’excuser pour son comportement inapproprié.
— Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’arrive. Je vous prie de m’excuser.— Oh, moi je sais ce qui vous arrive, vous bandez… Comme moi d’ailleurs mais vous avez plus de chance que moi car vous avez tout vu et m’avez mis un doigt dans le cul alors que moi je n’ai pas vu ce qu’il y a sous mes doigts.— Je ne pense pas qu’il soit raisonnable de vous montrer mon sexe, surtout pas ici. Dit il en l’aidant à se lever. On va faire quelques pas dans la chambre, d’abord avec mon soutien, et, si ça se passe bien, vous marcherez toute seule comme une grande.— On pourrait aller jusqu’à la salle de bain, c’est plus discret que la chambre, reprit Vanessa bien décidée à voir sa bite.— Ce n’est pas raisonnable, dit-il sans s’y opposer, mais vous devez apprendre à vous y rendre seule. C’est en partie pour ça que je suis là, pour vous permettre d’acquérir un peu d’autonomie.— Vous pouvez m’aider à m’assoir sur les WC ? Demanda-t-elle une fois sur place. C’est juste pour souffler deux minutes.— Si vous voulez. Prenez mes mains, voilà.
Vanessa se retrouva assise et le kiné se tenait debout devant elle. Comme il lui tenait encore les mains, elle l’attira vers elle en le regardant dans les yeux. Le praticien n’était pas dupe mais il se laissa faire et quand il fut assez proche elle descendit la ceinture de son pantalon pour dégager sa verge. Le sexe était long et épais, un peu noueux et le gland bien dégagé perlait de désir.
— Ce n’est vraiment pas sérieux, dit-il alors que la bouche de Vanessa s’approchait langue tendue de sa bite. Oh non, ce n’est pas du tout sérieux.— Je ne peux pas vous laisser dans cet état, répondit Vanessa, ce serait encore pire si vous quittiez ma chambre avec une aussi grosse érection.— Ooooh, oui… Mmm, tu suces bien, ma parole, ooooh... Oh oui.
Vanessa lui caressait ses grosses couilles et avalait son chibre au point de perdre son nez dans sa toison crépue et chargée de ses odeurs corporelles. Elle trouvait ça très excitant et regrettait qu’il ne puisse pas la lui mettre au fond du cul. Elle se rassura en se disant que, de toute façon, sans capote c’était impossible. Elle mit son point d’honneur à le faire venir très vite. Elle le masturbait activement en gardant son gland en bouche, faisant courir sa langue sous le prépuce puis avalait entièrement sa bite quelques secondes avant de recommencer. Le kiné avait posé ses mains sur sa tête et caressait ses cheveux avec douceur. Il était tellement excité qu’il ne chercha pas à résister à la montée de son plaisir et après quelques minutes il annonça qu’il partait. Vanessa sentit la verge se gonfler et elle la ressortit de sa bouche pour recevoir son sperme au visage.
— Tu n’avales pas, constata le kiné en attrapant du papier. Tu aurais dû me le dire, j’aurais anticipé pour éjaculer dans du papier toilette.— Si j’avale mais pas les inconnus ; une maladie est trop vite attrapée. Et je ne me fais pas prendre sans capote, non plus. Sauf si je sais que je peux avoir confiance. Mais j’aime bien me faire asperger le visage.— Je comprends. Tu aimes te faire prendre le cul ?— J’adore. Tu permets que je me branle ; moi aussi j’ai besoin d’évacuer. C’est dommage qu’on se soit rencontré dans ces conditions et dans cette chambre parce que je te l’aurais bien donné, mon cul. En plus, je suis certaine que c’est lui qui t’intéresse le plus.— C’est vrai que c’est lui qui m’a le plus fait bander avec la douceur de tes jambes. Demain matin, je t’emmènerai en salle de rééducation, on sera tous les deux et personne ne risquera de nous déranger. Je prendrai des capotes, au cas ou, mais, pour info, je suis sain. Je suis marié depuis plus de cinq ans et n’ai encore jamais trompé ma femme. Je t’amènerai un résultat de test. Je ne sais vraiment pas ce qui m’arrive...— Ce n’est peut-être que de la curiosité. Ça ne me gêne pas. J’ai aussi besoin d’une rééducation de ce côté là mais évite de te faire des films. Je suis en couple aussi et j’aime ma copine. Il n’y aura rien de plus que du cul entre nous.
Le kiné calmé, ils reprirent des exercices de marche et il lui apprit à s’asseoir toute seule en se tenant aux barres de sécurité de la douche et des WC. Il n’était cependant pas question qu’elle « galope » de trop et on lui confia un fauteuil roulant afin de lui permettre de circuler plus librement dans l’hôpital.Comme tous les jours, Vanessa eut la visite de Karine dès que celle-ci quitta l’université et aussitôt son amie lui raconta sa soirée.
— Ce sont tes parents qui m’ont déshabillée quand on est arrivés chez toi. On était super excités tous les trois et même si on avait faim, il y avait urgence. En plus, ta mère m’a fait un cadeau qui va nous être très utile.— Ah bon ? C’est quoi ?— Un gode ceinture trop bien. Répondit Karine en le sortant de son sac. Tu vois, c’est un harnais sur lequel tu peux fixer différent modèles de godes devant et dedans. Du coup, je l’ai essayé en mettant celui-ci dans ma chatte et avec celui-là je ai pénétré ta mère. Ton père m’a enculée direct et c’est lui qui me poussait dans sa chatte en me baisant. C’était trop bon et on a vraiment bien joui.— C’est cool, je suis contente. Moi aussi, j’ai un truc à te raconter ; j’ai vu un kiné à qui je fais de l’effet.— Comment ça ?
Karine fit un peu la tête en entendant l’histoire de son amie mais elle se raisonna et réprima sa jalousie. Vanessa s’en rendit compte et lui présenta ses excuses pour s’être laissée aller.
— Demain, je lui dirai que je ne veux plus rien faire avec lui. Je te le promets.— Non, fais exactement ce que tu veux et ne te refuses pas à lui pour moi. C’est ma réaction qui est stupide surtout que j’ai accepté de m’installer plus ou moins chez toi alors il n’y a pas de raison pour que tu t’interdises ce que je m’autorise. Ça m’a fait beaucoup de bien de baiser avec tes parents hier soir et j’ai réalisée que j’étais carrément en manque et pour toi, ça doit être pareil sauf que c’est moins facile.— Ne t’en fait pas, je ne vais pas rester indéfiniment ici. Je suis presque autonome, je n’ai plus besoin de rien d’autre que de rééducation et j’espère bien sortir très vite.
Le lendemain matin, Vanessa put se lever seule et faire sa toilette sans l’aide d’une aide soignante même si celle qui était venue pour sa toilette resta pour s’assurer que tout se passe bien. La jeune transgenre en profita pour regarder son corps dans l’espoir de percevoir une évolution positive mais il n’y avait rien de flagrant. Elle fit la grimace en voyant la cicatrice du coup de couteau et celles laissées par les poses de broches et de plaques. Pour éviter de déprimer, elle se contenta d’admirer son visage, son nouveau nez, son nouveau menton et ses nouvelles dents ; tout cela lui plaisait et elle se trouva très jolie.Sa mère lui avait apporté la veille au soir une chemise de nuit plus sympa que celles fournies par l’hôpital. Elle la trouvait presque sexy et l’enfila avant de se couvrir aussi d’une robe de chambre. Elle se maquilla légèrement et s’assit ensuite dans son fauteuil roulant pour attendre le kiné. Ce dernier arriva quelques minutes après, il la complimenta pour sa toilette et la poussa vers sa salle d’exercices. En chemin, elle apprit qu’il s’appelait Franck, qu’il était martiniquais, qu’il avait un peu plus de trente ans et déjà trois enfants.La salle de rééducation se trouvait au rez-de-chaussée de l’hôpital tout au bout d’un couloir excentré. Elle était chaude et lumineuse et il y avait des agrès dignes d’une salle de sport. Franck la mena jusqu’à une table de massage sur laquelle il lui fit prendre place après lui avoir demandé de se dénuder. Il lui fit les mêmes manipulations de la veille et l’incita à forcer en douceur sur sa hanche la moins souple. En plus des manipulations alternées, il lui fit relever ses deux jambes en même temps sans cacher son désir de voir son cul. Pour faciliter la manœuvre, il prit place sur la table de massage entre les cuisses de Vanessa.
— Mmm, magnifique, dit-il en regardant le petit trou dégagé. Vous êtes toujours partante pour une rééducation spéciale ?— Plus que jamais mais vous aurez du mal à masser mon trou du cul si vous garder votre pantalon.— J’ai fait un test qui est naturellement négatif mais si vous avez des craintes, j’ai aussi des capotes.— Non, je vous fais confiance.
Le kiné reposa les jambes de Vanessa et se déshabilla entièrement. Elle pouvait enfin le voir vraiment et elle admira son corps puissant et musclé qui l’excita. Il reprit place entre ses jambes qu’il releva de nouveau pour révéler l’objet de ses désirs. Il se pencha vers le petit trou aux abords rose foncé et y darda sa langue. Vanessa s’écarta les fesses pour l’aider et savoura cette caresse qu’elle adorait. Le kiné, après l’avoir bien léchée, l’aida à rapprocher ses fesses du bord de la table et prit ses jambes sous ses bras. Vanessa s’écartait toujours les fesses et il pointa sa verge sur le petit orifice humecté de salive. Il s’assura que la position convenait à Vanessa et comme elle confirma que tout allait bien, il la pénétra.La bite de l’antillais était bien plus longue et épaisse que celle de son père mais elle ne rencontra aucune résistance. Il la pénétra en douceur avec des mouvements très lents au départ et se montra bien plus résistant que la veille. Bien entendu il savait que beaucoup de personnes prenaient du plaisir dans ce genre de pénétration mais il n’avait encore jamais vu quelqu’un en jouir avec autant de force. Cependant, il n’osait pas se laisser aller à des mouvements trop frénétiques de peur de transformer le plaisir en souffrances et en complications. Vanessa s’en rendit compte et dut insister pour que, à défaut de venir dans son cul, il le fasse dans sa bouche. Franck était visiblement gêné de lui présenter sa bite fraichement sortie de son cul mais oublia vite ses scrupules quand elle l’avala entièrement comme la veille. Vanessa lui redonna le plaisir d’une fellation gourmande qu’elle mena jusqu’au bout dans sa bouche. Leur appétit sexuel était rassasié et Franck put enfin faire travailler Vanessa normalement mais avant de la remonter dans sa chambre il trouva quand même la force de la reprendre. Il le fit de la même manière et avec les mêmes précautions mais plutôt que de finir dans sa bouche, il se branla activement pour lui remettre sa bite dans le cul et le remplir de son foutre abondant.
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