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Vanessa

Chapitre 2

Trash
Chapitre II
Vanessa eut droit à deux autres séances de kiné avant que le chirurgien qui suivait la consolidation de ses os ne vienne lui annoncer l’éventualité de sa sortie.
— Mademoiselle, toutes les radios que nous avons faites hier sont très satisfaisantes et d’après le personnel, vous marchez de mieux en mieux chaque jour.— C’est vrai que ma hanche gauche est beaucoup plus mobile.— Tant mieux. Comment se passe votre traitement hormonal ? Vous le supportez bien ?— Heu, oui mais je n’ai pas encore revu le docteur Lacharme. Pour l’instant, je ne vois pas de changement.— Vous le verrez en hôpital de jour. Si je vous laisse sortir ce soir, il m’a demandé de vous fixer un rendez-vous dans son service pour lundi ou mardi soit le matin à onze heures soit le soir après dix-huit heures.— Vous allez me laisser sortir ce soir ?!— On est vendredi et il n’y a pas de sorties le samedi ou le dimanche alors si vous ne sortez pas ce soir avant dix-sept heures, ce sera lundi à quatorze heures mais je comprendrais volontiers que vous en aillez plus qu’assez d’être ici.— C’est vrai, j’en ai carrément marre, pour être très franche. J’ai envie de reprendre ma vie, de retrouver ma copine, mes parents et mes amis, de retourner à la fac…— C’est la raison pour laquelle je pense qu’il est temps pour vous de nous quitter même si, sincèrement, de tous nos patients vous êtes la préférée et la coqueluche du service.— Vous avez tous été super avec moi et franchement je ne serais pas là sans tout ce que vous avez fait pour moi.— Non, je crois que c’est votre amie Karine qui vous a ramenée à la vie et ne me demandez pas comment parce que ce n’est pas rationnel. Quand je l’ai autorisée à rester près de vous pour la nuit vous étiez déjà cliniquement morte et d’expérience, sans plus d’assistance, je ne donnais pas plus de quelques heures à la survie de votre corps. Pour être très franc, j’envisageais déjà des prélèvements d’organes.— C’est dégueulasse, s’exclama Vanessa en faisant la moue. Vous alliez me découper en morceaux ?— Pas vraiment et, je vous le répète, vous étiez morte pour la médecine et la science. Pour nous tous, votre réveil reste un mystère absolu et je suis persuadé que c’est l’amour de Karine qui vous a ramenée. Ça n’a rien de rationnel et je n’oserais sans doute pas défendre votre cas devant une assemblée de confrères mais j’avoue avoir déjà écrit un article médical sur votre cas exceptionnel.— Si ça vous fait bander… C’est pour ça que vous m’avez dit tout ça ?— Oui.— C’était un peu inutile car j’aurais jamais lu votre article par contre ça me fait plaisir de savoir que c’est grâce à l’amour de Karine que je suis là. Qu’est-ce que je dois faire pour sortir ? Il me faut mes habits ! Où sont ceux que je portais ?— Ils ont été découpés. Est-ce que quelqu’un peut vous en amener ? Pour le reste, comme vous dépendez encore de vos parents, il faut la signature de l’un d’entre eux mais j’ai déjà appelé votre mère. Vous sortez à quatorze heures.— Mais…— J’ai aussi prévenu Karine si c’est ce qui vous inquiète ; elle devrait bientôt arriver.— Vous êtes vraiment trop gentil, Professeur, et je vous aime tous ! Ajouta Vanessa en regardant les internes, infirmières et aides soignantes qui se tenaient derrière lui.— Merci mademoiselle mais vous ne m’avez toujours pas dit à quel moment vous pouvez voir le professeur Lacharme.
— Mardi à dix-huit heures c’est très bien ; lundi je veux reprendre la fac et je risque de ne pas être disponible, même le soir.
Le groupe parti, Vanessa n’en revenait toujours pas ; elle sortait enfin. Elle avait envie de se lever et de sauter de joie bien que parfaitement capable de le faire encore. Elle s’assit quand même sur le bord de son lit et Karine entra avec un grand sac.
— Karine ! S’exclama Vanessa en se levant précipitamment avant de s’étaler par terre.— Vany ! Cria Karine en lâchant le sac. Ça va ?— Oui, c’est bon… putain, quelle conne. Je m’suis quand même fait mal mais je crois qu’il n’y a rien de cassé.— Mais qu’est-ce qui t’a pris, bon sang ! Tu t’es jetée comme une malade.— J’avais envie de me jeter à ton cou. Le docteur Béranger m’a dit que c’était toi qui m’avais sauvée et je suis trop contente de sortir enfin pour te retrouver.— Sauf que si tu te casses la gueule tout le temps, tu vas te faire mal et tu vas y retourner ! Tu n’en as pas marre de l’hosto ?— Si, c’est clair ! J’en peux plus. C’est quoi ce sac ?— Des fringues. Lui répondit Karine en la relevant. Heureusement que j’étais à la bourre ce matin, du coup j’étais au fond de l’amphi et j’ai pas mis mon tel en silencieux. Alors quand le doc m’a appelée, j’ai pu m’éclipser dans le couloir et je suis tout de suite retournée chez toi prendre toutes les fringues que je pouvais. C’est que des trucs à moi sauf pour les dessous. Je t’ai pris un des deux body qu’il te reste.— T’es un véritable amour et je t’aime de tout mon cœur.— J’espère bien parce que c’est réciproque. Ça va ? Tu tiens debout ?— Tu le vois bien. C’est aux mains et aux coudes que je me suis fait mal mais ça va passer. Fais voir ce que t’as. Dit Vanessa en retirant sa chemise de nuit.
Karine avait amené pratiquement tous les vêtements qu’elle avait avec elle chez les parents de Vanessa et son amie mit près d’une heure pour choisir ce qu’elle allait mettre pour sortir. Vanessa était tellement heureuse et préoccupée par sa tenue qu’elle renvoya l’aide soignante qui lui portait son repas. Elle n’arrivait pas à se décider et plusieurs pantalons, chemisiers, pulls et gilets étaient étalés sur le lit.
— Il fait vraiment très froid dehors ?— On est en décembre, et il fait un froid de gueux.— Alors je vais mettre ce pull vert et ce pantalon mauve mais j’n’ai pas de chaussures.— Non, avec tes problèmes de marche les talons, mêmes petits, ne sont pas adaptés. Tu vas devoir garder tes chaussons.— Mais… Mais c’n’est pas possible ! De quoi est-ce que je vais avoir l’air ?!— Eh, la petite princesse, tu sors de l’hosto ! Pour des shoes, on verra plus tard. Tu crois que ta mère va te laisser plus d’une demie journée en pantoufles ? C’est la première chose dont elle s’est inquiétée. Vous avez vraiment des priorités bizarres toutes les deux.— Hihihi ! T’as raison mais reconnais que c’est moche.— Oui, mais on s’en pète.
Karine avait raison, Odile ne laissa pas Vanessa sans chaussures adaptées plus d’une heure. À peine sorties de l’hôpital, elles se dirigèrent tout de suite vers un magasin de chaussures où elles trouvèrent une paire de bottes et deux paires de ballerines à semelles plates. La mère de Vanessa craqua également pour des escarpins pour elle et insista pour en offrir à Karine des chaussures à talons qu’elle avait trouvée sexy. L’amie de sa fille essaya de refuser mais ses arguments ne faisaient visiblement pas le poids face à la détermination d’Odile.
— N’insiste pas, Karine, Maman est une vraie fétichiste. Expliqua Vanessa assise dans son fauteuil roulant. Elle doit avoir une centaine de paires et je suis sûre que certaines n’ont jamais été dans la rue. Laisse lui ce plaisir, ça la fait mouiller.— Vanessa ! S’exclama Odile d’un air choqué. Même si c’est un peu vrai, ça ne se dit pas !— Bon, si c’est ça la motivation profonde, j’accepte mais c’est une folie.
Elles rentrèrent ensuite chez Daniel et Odile et Karine et Vanessa avaient de plus en plus hâte de se retrouver plus intimement. La mère de Vanessa, consciente de leur besoin d’être seules, ne fit que les déposer et repartit aussitôt pour « faire des courses ». La jeune transgenre fut heureuse de revenir enfin dans sa maison et son amie l’aida à se déshabiller et à installer ses affaires dans leur chambre.
— Mon dieu ! S’exclama Vanessa en entrant dans la pièce. Vous avez tout refait !— J’ai ! Tout refait ; j’ai estimé que tu serais contente de ne plus retrouver ton vieux papier peint de chambre de garçon alors je me suis mise à la peinture.— C’est super, j’aime bien ce blanc cassé et ça tombe bien parce que j’avais vraiment envie de changer de déco.— J’ai gardé tout tes posters et photos ; c’est dans ce carton.— Ça va je ferai le tri demain mais là on a un truc urgent à faire.
Vanessa prit la main de Karine et, à petits pas, la mena vers le lit. Elle s’y allongea et son amie se plaça au dessus d’elle pour échanger un baiser profond. Elles se caressèrent longuement mais Karine avait une envie terrible et impérieuse de lui lécher le cul et de la prendre avec le gode ceinture offert par Odile. Elle prit le harnais qui possédait trois points de fixation, deux à l’intérieur et un a l’extérieur. Elle prit ensuite trois godes, deux petits pour ses orifices et un énorme pour le cul de Vanessa. La verge factice qu’elle exhibait devant elle était très réaliste, assez douce et presque aussi longue et épaisse que la bite de Franck. Elles se mirent en soixante-neuf et Vanessa s’amusa à la sucer un tandis que Karine prenait en bouche son sexe de chair. Mais la petite blonde avait envie d’autre chose.
— Comment tu fais avec ton kiné ? Tu me montres comment il fait pour te lécher le cul et te prendre ?— On a deux positions. La première me fait travailler la souplesse de mes hanches en me forçant à relever mes jambes comme ça, expliqua Vanessa en s’agrippant les cuisses et  la seconde est plus confortable mais moins sexy. Il suffit que je me mette à plat ventre avec les jambes en dehors du lit mais là, je veux te voir. Si tu m’aides à glisser un coussin sous mes reins ce sera plus facile pour toi et pour moi.
Une fois Vanessa bien installée, Karine embrassa ses tétons, son ventre, son sexe tendu et ses couilles  puis elle poussa sa langue vers son anus bien exposé par la position. Elle lui écartait les fesses pour faciliter la pénétration de son organe. Il y avait deux mois qu’elle attendait ce moment et maintenant qu’Odile lui avait offert le harnais, elle allait enfin pouvoir réaliser son fantasme en l’enculant avec un gode de belle taille. Vanessa se mit à gémir de plaisir sous l’effet de la langue de son amie. Elle avait toujours aimé qu’on s’occupe de son petit trou mais elle devait reconnaître que Karine était la personne qui le faisait avec le plus de plaisir et de gourmandise. Elle trouvait ça terriblement excitant et s’abandonnait totalement à sa jouissance. Son amie ajouta deux doigts à ses caresses anales, les enfonçant profondément dans son cul.Karine léchait et branlait le cul de Vanessa avec délectation et gourmandise. Ses doigts allaient et venaient dans l’étroit conduit, elle les ressortait de temps à autres pour les humecter de sa salive ou pour les donner à lécher à son amie et les renfonçait avec encore plus de conviction. Ni elle ni Vanessa n’avaient de problème avec la saleté de l’endroit et considéraient, au contraire, que ça faisait partie du plaisir. Le travail du petit trou dura plus d’un quart d’heure et Vanessa était prête pour se faire prendre enfin. Karine se redressa et appuya sa grosse bite de latex contre l’anus assoupli. Elle poussa délicatement mais ça résistait un peu.
— Attend, tiens moi les jambes, je vais m’écarté le cul, lui dit Vanessa. Aaaaah… Aah oui, ça y est.— Oh putain, Vany, ça rentre tout seul. Oh, j’n’y crois pas ; je t’encule, Vanessa.
Une fois bien entrée, Karine se mit à bouger doucement et les deux godes qui remplissaient ses deux orifices remuaient en elle avec chacun de ses va-et-vient. Vanessa gémissait de plus en plus fort et Karine aussi pourtant ses mouvements restaient très précautionneux. Elle ressortit le sexe factice du cul de son amie pour admirer l’orifice bien ouvert et constata que l’objet avait perdu sa couleur chair. Ça ne la perturba pas le moins du monde et elle le replongea dans l’orifice avant qu’il ne se referme. Vanessa poussa un cri et elle eut peur de lui avoir fait mal mais c’était uniquement son plaisir qui s’était exprimé. Elle se remit à bouger avec un rythme un peu plus soutenu suite aux encouragements de Vanessa qui jouissait déjà comme une damnée. Les olisbos qui bougeaient dans sa chatte et son cul faisaient aussi leur office et Karine se tendit en jouissant puissamment. Elle s’était tétanisée en plantant profondément sa fausse queue dans le cul de Vanessa qui jouit aussi avec elle.
Odile rentra comme Karine et Vanessa sortait de la douche, leur expliqua qu’elle avait commandé un repas de fête chez un grand traiteur et elle les embrassa toutes deux avec passion.
— Je suis contente de te revoir ici, ma Chérie, dit elle en la serrant contre elle, mais fait attention a ne pas trop te fatiguer en marchant. Je ne sais pas si tu as remarqué mais ton père a retiré toutes les portes et poussé tous les meubles qui auraient pu gêner le passage de ton fauteuil.— Il aurait fallu que je sois vraiment aveugle, ça me touche beaucoup et tu as raison. Je vais même aller m’asseoir dessus de ce pas mais, tu sais, il faut aussi que je marche un peu si je veux pouvoir recourir un jour. Répondit Vanessa en accélérant ses petits pas.— Ne fait pas l’idiote, la gronda gentiment Odile.— Reste là, je vais te le chercher, dit alors Karine. Même a ce rythme t’en as pour dix ans.
Karine se faisait un devoir de pousser le fauteuil de son amie qui pourtant était parfaitement capable de le manipuler seule et Vanessa n’avait aucune envie de la contrarier sur ce sujet. D’ailleurs, elle ne se quittait plus et partout où elle allait, elle emmenait Vanessa et partout où Vanessa voulait se rendre elle l’y emmenait. Odile trouvait ça touchant même si ça lui paraissait aussi un peu excessif.
— Karine, que tu aides Vanessa à se rendre aux toilettes ; je peux comprendre. Il faut la soutenir pour qu’elle s’asseye sur le trône mais qu’elle t’accompagne quand tu y vas ce n’est pas très utile.— Tu te trompes, Maman, réagit aussitôt Vanessa. C’est très utile au contraire. C’est toujours beaucoup plus sympa de pouvoir discuter avec quelqu’un que d’être seule, même quand on fait caca.— Vous êtes vraiment insupportables ! Dès qu’il s’agit de trou du cul et de saletés vous êtes toujours aux premières loges.— À oui ? Parce que tu nous à jamais léché le trou du cul, toi ? Lui demanda Karine qui la trouvait de mauvaise foi.— Si, bien sûr, et j’aime bien qu’on me le fasse aussi, mais je préfère quand il est bien propre. Alors que vous… C’est comme quand vous sucez Daniel après une sodomie ; je ne sais pas comment vous pouvez faire ça.— Eh, Maman, on ne parlait pas de ça ; on disait juste qu’on aime bien pouvoir continuer à se parler même quand on va aux toilettes. On n’y va pas pour se lécher le cul.— Remarque, ça pourrait se faire ; ce n’est pas une si mauvaise idée. Hihihi !— Vous êtes répugnantes…— Oui, enfin, c’est quand même toi qu’y a pensé. Lui répondit Vanessa en se caressant la bite.— C’est par ce que ça l’excite en fait, expliqua Karine en prenant Odile par derrière dans ses bras.
Karine avait une main sur la belle poitrine d’Odile et descendait l’autre vers sa chatte humide. La mère de Vanessa ne disait rien, elle se laissait toucher par celle qu’elle considérait maintenant comme sa belle-fille.
— Alors ? Demanda Vanessa à son amie.— Elle mouille grave. En fait tu nous traites de cochonnes mais ça t’excite quand je suce la bite de Daniel à la sortie de ton cul ou du mien. Et ce soir, tu sais très bien que ce sera un plaisir qu’on réservera à Vany. C’est elle qui lui donnera son cul et le sucera. Tu crois qu’elle sera propre la bite de Daniel ?— Non…— Et ça t’excite plus que ça ne te choque. Tu mouilles de plus en plus… Tu sais, ça fait deux mois que Vanessa ne t’a pas touchée, léchée et baisée et je n’ai pas besoin qu’on me le dise pour savoir que c’est ce que tu veux maintenant. Et ton trou du cul ? T’es sûre qu’il est bien propre ? Lui demanda Karine en la branlant franchement.— Non, sans doute pas vraiment ; je… je n’ai pas repris de douche.— Et tu as envie qu’elle te le lèche, n’est-ce pas ? Qu’elle te le nettoie de sa langue et qu’elle en fouille l’intérieur.— Aaaah ! Aah oui ! Non ! Aaahh ! Oh Oui !— Tiens, allonge-toi sur la table, tu seras à une bonne hauteur pour elle.
Odile se retrouva allongée sur la table de la cuisine, les fesses au niveau du rebord et Karine l’aidait à garder ses jambes bien relevées et écartées. Vanessa approcha son fauteuil et n’eut qu’à se pencher pour aller lécher son petit trou en enfonçant son nez dans sa chatte humide. Odile se mit aussitôt à gémir et son plaisir s’accru quand la langue parvint à forcer son sphincter. Elle se demanda l’espace d’un instant ce qu’elle pouvait atteindre et imagina des choses horribles mais elle n’en éprouvait aucune honte. C’est elle-même qui s’agrippa les jambes pour faciliter l’ouvrage de Vanessa libérant ainsi les mains de Karine qui en profita pour lui écarter les seins.
— Alors Vany, il est comment son petit trou ? Sale ou pas ?— Oh non, il est plutôt propre et tout juste assez parfumé mais au bout de ma langue, c’est mieux. Répondit Vanessa avant d’y retourner.
Karine se pencha vers Odile et l’embrassa à pleine bouche. Odile avait les yeux fermés et elle avait parfaitement suivi leur bref  échange. Elle savait ce que Vanessa avait au bout de la langue mais n’osait pas y penser. Karine se mit à lui chuchoter à l’oreille des propos salaces. Elle lui fit reconnaître qu’elle jouissait de se faire lécher le cul et admettre que d’imaginer que ce soit sale contribuait à son excitation.
— mais là c’est propre, lui chuchota Karine à l’oreille. Tu devrais pousser un peu.— Oooh… Aaah ! Non ! Non, je ne peux pas.— Oh si, tu peux, allez Odile, pousse… laisse toi aller, pousse…— Non, s’il te plait Karine pas ça.— Tu en as envie, pousse… Pousse, Odile… Vas y, juste un petit peu. Pousse…— Ooh ! Oh non, qu’est-ce que je fais… Aaah Karine, c’est… Aaah…
Vanessa sentit l’anus de sa mère gonfler et peu de temps après ce fut ce qu’elle allait chercher du bout de la langue qui vint directement à sa bouche. Odile sentit la bouche de son enfant s’activer avec une gourmandise accrue sur son anus. Langue, doigts, dents et lèvres se déchainaient et lui procurait un plaisir équivalent au soulagement qu’elle ressentait par ailleurs. Vanessa s’agrippa au rebord de la table pour se redresser ; elle avait envie de prendre sa mère et elle commença par enfoncer sa verge dans sa chatte ruisselante. Odile ouvrit les yeux pour la regarder et son excitation atteignit son paroxysme en découvrant le visage de Vanessa. Elle poussa un grand cri sous la puissance de son orgasme et elle jouit encore des mouvements de la verge de sa fille dans son vagin. Vanessa avait trouvé le moyen de la pénétrer sans trop solliciter ses hanches et ses allers et retours se faisaient puissants. Un nouvel orgasme vaginal saisit Odile qui la supplia de lui prendre le cul et Vanessa changea de trou pour finalement jouir avec sa mère en déchargeant dans son rectum. Repue de jouissance, elle s’allongea sur sa mère qui l’embrassa avec tendresse en faisant abstraction de la saleté de sa bouche.
— Vous êtes des monstres… Déclara enfin Odile en reprenant ses esprits. Tu m’as vraiment fait faire quelque chose d’horrible, Karine.— J’avoue que je suis un peu responsable pour t’avoir demandé de le faire mais je n’ai pas eu besoin de beaucoup de persuasion.— Mmm… fit Odile en sachant que la jeune fille avait raison. Et toi, ma Chérie ? Mon Bébé… Je suis désolée ; je ne contrôlais plus rien, je ne voulais faire qu’un tout petit peu. Pardon.— Ne t’excuse pas, Maman. Répondit Vanessa en se redressant. Ça m’a surprise mais j’ai bien aimé. Et si je n’avais pas voulu, j’aurais reculé ma tête plutôt que d’ouvrir la bouche en grand. Par contre, je ne ferai pas ça tous les jours ; il faut que ça s’y prête. C’est quand même un cran nettement au dessus que de sucer la bite de Papa. Toi qui prétends ne pas aimer les choses sales, là c’est quand même crado à souhait. Il y en avait beaucoup trop pour moi et t’en as mis un peu parterre et sur le bord de la table.— Quelle honte…— Oui, enfin, tu ne peux pas dire que ça ne t’a pas plu, Odile, vu comme t’a joui. Pour la table et le sol, je vais m’en charger pendant que vous allez vous doucher.— Tu me dois bien ça, après ce que tu viens de me faire faire… rassis toi dans ton fauteuil, Vanessa, Maman va te laver.
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