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Vanessa

Chapitre 3

Inceste
Chapitre III
Lorsque Daniel rentra, Odile embrassait et caressait la poitrine de Karine, à genoux au dessus de la tête de Vanessa. Visiblement, la jeune fille blonde se faisait tranquillement lécher la chatte par sa fille allongée sur le canapé. Deux godes ceintures trainaient négligemment sur la table basse et il était évident qu’ils avaient déjà servi. Elles ne l’avaient, ni vu, ni entendu, alors il décida d’aller se déshabiller avant de les rejoindre. Lorsqu’il retourna vers la pièce, il s’arrêta et resta caché pour les observer. La situation avait évolué et les deux jeunes étaient maintenant en soixante-neuf et Odile harnachée s’apprêtait à enfoncer une énorme bite de latex dans le trou du cul de Karine. La jeune fille étouffa un cri sans cesser de sucer la bite de Vanessa qui lui léchait la chatte. Odile se mit en mouvement et Chaque fois qu’elle poussait son pieu factice dans le fondement de sa belle-fille, celle-ci avalait un peu plus profondément la queue bien raide de sa fille.Daniel trouvait le spectacle incroyablement érotique et sa verge se gonflait de plus en plus. Il avait peur de les déranger et n’osait pas se faire remarquer, mais Odile et Karine qui lui faisaient pratiquement face le repérèrent. Le fait d’être espionnées les excita et la petite blonde fut de plus en plus secouée. La bouche de Vanessa sur sa vulve et son clitoris, la queue qu’elle suçait avec délice et qui s’enfonçait par à-coups au fond de sa gorge au rythme du gode qui lui écartait le cul, la transportaient vers des sphères lointaines. Sa jouissance fut telle qu’elle éjacula sur le visage de Vanessa en même temps que le foutre de son amie lui remplissait la bouche et la gorge. Elle faillit s’en étouffer et Odile, attentive, cessa sa sodomie sauvage. Elle fit le tour de la jeune femme épuisée de jouissance et lui mit sous le nez l’olisbos qui l’avait pénétrée. Daniel n’en croyait pas ses yeux car lorsqu’il faisait ça habituellement, Odile trouvait toujours l’occasion pour lui faire une réflexion en aparté. Karine lança un regard gourmand à sa belle-mère et elle avala le gode qui lui avait donné tant de plaisir.
— Alors, Chéri, le spectacle te plait ? Demanda Odile à son mari. On ne t’a jamais dit que c’était très mal d’espionner les gens qui font l’amour ?— Alors là ! Tu es toujours pleine de principes, ma Chérie, mais ce qui est bien c’est que tu les fais tous voler en éclats un jour ou un autre. Le spectacle était magnifique et j’avoue que j’ai une vue splendide sur un petit cul qui me manque depuis deux mois.— Je suis toute à toi, Papa, dit Vanessa en dégageant sa tête des cuisses de Karine. Mais faut faire doucement, il paraît que je suis encore un peu fragile.— Je serais tout doux, ma puce, répondit Daniel en venant lui faire un bisous. Mais j’ai cru comprendre que tu sais parfaitement comment il faut s’y prendre.
Daniel commença par lui lécher son trou du cul, il savait parfaitement que l’anulingus, en plus d’assouplir l’anus de Vanessa, attisait son désir d’être prise. Mais, de toute évidence, il n’avait pas besoin d’en faire trop car elle était encore très ouverte par les deux sodomies que lui avait données Odile et Karine un peu plus tôt. Il demanda donc à sa fille comment ils devaient se mettre.
— Maman m’a prise à plat ventre sur la table basse, mais faut me mettre des coussins sous le ventre et les genoux.— Je t’aide à t’installer, Vany. Pousse toi, Daniel, tu gênes. Dit Karine à son beau-père. Je vais faire la cheffe d’orchestre.
Avec l’aide de Karine, Vanessa se retrouva en position, confortablement installée sur des coussins moelleux et le cul parfaitement relevé. Daniel ne résista pas à le sucer encore un peu et Karine lui pris sa bite en bouche pour bien l’humecter. Puis il se redressa et ce fut l’amie de sa fille qui guida sa bite dans le petit trou.
— C’est la meilleure position pour la prendre à fond.— Oh, je vois, répondit Daniel enthousiaste.— Ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas y aller mollo au début, rectifia Karine.
Daniel commença donc très doucement en suivant les conseils de sa belle-fille mais Vanessa l’encouragea à y aller de plus en plus fort. Il s’agrippait à ses hanches et donnait des coups de reins puissants. Karine s’était collée à lui et lui caressait le poitrail et les fesses en l’embrassant à pleine bouche. Odile s’était mise en retrait dans un fauteuil et se masturbait avec un gode en les regardant. Vanessa jouissait, le plaisir de Daniel allait croissant et Karine faisait corps avec eux. Ils étaient dans une bulle de bonheur et d’amour et ce fut Odile qui entendit la sonnette.À contre cœur et pensant que c’était le traiteur, Odile passa un peignoir, et se rendit à la porte d’entrée. Ce n’était pas un livreur mais Jacques, le père de Karine, qui s’était rendu à l’hôpital pour voir Vanessa et finalement apprendre qu’elle était sortie en début d’après-midi. Un peu embarrassée, elle ne pouvait faire autrement que de l’inviter à rentrer alors que dans le salon les gémissements de Vanessa étaient de plus en plus puissants. Elle savait que son mari ne pouvait plus faire marche arrière et décida de faire patienter leur ami dans le corridor de l’entrée.
— Excuse nous, nous aurions dû vous prévenir…
— Je tombe un peu mal, c’est ça… Ne fais pas cette tête, ce n’est pas grave, tu sais. De toute façon, je sais très bien quel type de relations vous entretenez avec Vanessa. Elle nous en a parlé le jour où elle nous a dévoilée sa véritable identité ; lorsqu’elle était encore un peu Thomas. J’imagine que Karine participe aussi.— Euh, oui… on les aime beaucoup toutes les deux.— Alors laisse moi rentrer ; ce n’est pas la première fois que je verrai des gens baiser.— Mets toi à l’aise ; ce ne sera pas la première fois que, Daniel et moi, on te verra bander, répondit Odile en lui caressant la braguette.
Jacques entra dans le salon pour assister à l’orgasme de Daniel qui envoya ses premiers jets dans le cul de Vanessa et les derniers dans la bouche de Karine. Odile s’était mise dans son dos et elle lui caressait la bite. Il bandait fort en regardant la croupe de sa fille penchée sur la verge de Daniel et essayait de réprimer l’envie de la prendre comme ça.
— Ils sont beaux, tu ne trouves pas ? Lui demanda Odile suffisamment fort pour être entendue.— Très… J’aurais bien aimé en voir plus.— Papa ?! S’exclama Karine prise de panique en entendant sa voix. Qu’est-ce que tu fais là ?!— Jacques ? Firent en cœur Vanessa et Daniel en tournant la tête.— Ne t’inquiète pas, ma Chérie, je ne suis pas plus présentable que toi, Dit il a sa fille en allant lui faire une bise très chaste. Je suis allé à l’hôpital pour vous voir mais Vanessa était déjà sortie depuis longtemps alors je suis venu ici. Ça t’ennuie tant que ça ?— Non, bien sûr que non, Papa. C’est vrai que je suis tout le temps ici depuis quelque temps et j’imagine que je vous manque un peu. Pardon… Je suis contente que tu sois là. Et Maman ? Elle n’est pas là ? Elle est où ?— Euh,… je… Enfin, elle est à la maison, évidemment ; ton frère est là ce week-end et j’ai été gentiment invité à les laisser tranquilles pour leurs retrouvailles. Ils ont besoin d’intimité.— Non ? Tu veux dire que Maman et Bruno… ?? C’est une blague ?— Non, c’est très sérieux, au contraire. Il envisage même de quitter l’internat pour revenir à la maison. Dans la mesure où tu t’es installée ici, il pense que plus rien ne s’y oppose.— Oh, mon Papa… S’écria Karine en le prenant dans ses bras. Tu as l’air tout triste…— Et bien, ce n’est pas si simple, parce que j’ai toujours aimé être cocu, surtout quand c’est associé d’un peu d’humiliation. Ta mère le sait et m’a souvent donné ce plaisir. Alors, quand Vanessa nous a parlé de ses rapports incestueux, elle m’a avoué que Bruno la draguait depuis des moi et se proposait pour me faire cocu avec elle. J’ai bien compris qu’elle en avait envie et ça m’excitait aussi que ta mère fasse l’amour avec avec ton frère, alors je leur ai donné ma bénédiction. Jusqu’à ce soir, j’ai toujours pu les regarder mais là, ils m’ont mis à la porte…— Tu veux que je te console ? Tu sais j’en ai toujours eu envie depuis que j’ai commencé à devenir une femme. Ça te plairait, mon petit Papou d’amour ?— Et bien, moi aussi, j’en ai rêvé et j’en rêve encore mais ce n’est pas possible comme ça… Répondit Jacques en baissant la tête. D’abord parce que je suis sensé aller seul à l’hôtel et qu’ensuite, il faudrait qu’elle m’autorise à avoir des rapports sexuels.— Tu n’est pas obligé de lui dire, remarqua Vanessa en se redressant péniblement. Je suis certaine que tu peux rester là et laisser Karine te consoler. Si ça ne suffit pas, je serais très heureuse de contribuer aussi à ton bonheur.— En fait, tu peux compter sur nous tous, ajouta Odile. Je crois qu’il est temps que j’ai une petite conversation avec ma copine. Ça fait combien de temps qu’elle se refuse à toi et qu’elle t’interdit de prendre du plaisir.— Trois semaines, avoua Jacques honteux. Mais ne l’appelle pas s’il te plait… C’est sans doute mieux que j’aille à l’hôtel, comme promis.— Il en est hors de question ! S’exclama Karine en colère. Et moi aussi je vais lui dire deux mots et à Bruno aussi par la même occasion ! Ils ne veulent pas te voir ce soir et je comprends mieux pourquoi mon frère ne m’a jamais dit quand il était là et pourquoi il a fallu pratiquement que je prenne rendez-vous pour passer à la maison la dernière fois que je l’ai vu. Viens, Odile, on va l’appeler de la chambre !
Sans bien comprendre ce qu’elles disaient à Josy, Vanessa, Daniel et Jacques entendaient que ça bardait sévèrement surtout lorsque ce fut Karine qui prit le téléphone pour parler à sa mère. Elles n’en voulaient pas à Josy de jouer à faire cocu Jacques et de l’humilier un peu, si tel était son plaisir, mais de n’y avoir pas mis de limite. Karine était furieuse d’avoir été tenue au secret et, du même coup, presque exclue de chez elle lors des derniers passages de son frère. Elle n’admettait pas non plus que son père ait a lui demander l’autorisation de quoi que ce soit alors qu’il avait été mis à la porte. Elle les traita de tous les noms, elle continua sur des reproches encore plus personnels et Odile considéra qu’il était mieux de la laisser seule. Elle retourna au salon où Daniel et Vanessa entouraient Jacques assis sur le canapé.
— Ça va aller, elle avait déjà compris qu’elle allait trop loin quand j’ai passé le téléphone à Karine mais bon, elle a dit un truc qui l’a vraiment rendu furax. Je n’avais jamais vu ta fille aussi énervée… Mais bon c’est clair que Josy l’a cherché ; je ne peux pas la défendre. Là, je crois qu’elles règlent d’autres comptes… Je crois aussi qu’elle a mis Bruno plus bas que terre en lui faisant une leçon de morale assez curieuse, je dois dire.— Comment ça ?— Oh, elle a pris exemple sur notre relation avec Vanessa et lui a expliqué que si on aime ses parents, on les respecte tous les deux et on respecte leur relation. En gros, elle ne veut plus entendre parler de cocu et exige un changement de comportement radical. J’ai bien peur qu’elle ne leur laisse pas de choix. Il faut dire que, quand elle veut quelque chose, c’est difficile de résister. Elle peut même être très suggestive, et j’en sais quelque chose, ajouta Odile en repensant à ce qu’elle lui avait fait faire avec Vanessa.
L’épisode n’était pas oublié mais il n’y avait plus ni honte, ni culpabilité d’aucune sorte et elles étaient d’accord pour éviter d’en parler. Vanessa inventa donc quelque chose qui n’avait aucune connotation sexuelle afin de dissuader toute curiosité malsaine.
— Oui, elle a réussi à convaincre Maman de nous accompagner demain pour m’acheter des habits plus jeunes et moins guindés que des tailleurs Chenal. Haha !— Oui, c’est vrai, hihihi, elle est vraiment incroyable… Fit Odile qui n’avait jamais inscrit ça à son programme.— C’est bon, Papa, tu restes là et t’es libre de faire exactement ce que tu veux à une exception près. Odile, Daniel, ça ne vous ennuie pas si Papa reste un peu ?— Non, bien entendu… Répondit Daniel— Évidemment, ma Chérie, ajouta Odile. De toute façon tes parents ont toujours été les bienvenues ici. Tu le sais, Jacques.— Euh, oui mais qu’est-ce que tu entends par rester un peu ?— Et bien, quitte à pousser le bouchon un peu loin, j’ai dit à Maman que, puisqu’ils t’avaient viré ce soir, il était hors de question que tu rentres sans qu’elle soit venue jusqu’ici pour te chercher et te faire des excuses devant moi. J’ai aussi dit à Bruno que j’attendais les siennes mais je leur ai interdit de pointer leur nez ce week-end, je suis beaucoup trop en colère pour les voir. Et toi, mon Papou d’amour, tu me promets de ne pas aller à la maison, de ne pas les appeler et de refuser de leur parler s’ils ne respectaient pas mes ordres de nous foutre la paix. Dit Karine en grimpant de face sur les cuisses de son père. Je vais m’occuper de toi et ça commence par ça.
Karine chevauchant son père, à genoux sur le canapé, les cuisses bien écartées, lui attrapa le visage à deux mains et lui roula une pelle magistrale. La surprise passée, Jacques répondit au baiser et laissa ses mains se promener dans le dos de sa fille et vers ses fesses. Vanessa reprit place dans son fauteuil roulant et Daniel s’écarta également. Le traiteur arriva à point nommé pour leur donner une bonne raison de quitter le salon. Daniel enfila un peignoir pour aider Odile à transporter les victuailles vers la cuisine où Vanessa alla les retrouver. Tous trois voulaient laisser le plus d’intimité possible au couple incestueux naissant.
Dans le salon, Jacques embrassait sa fille avec de plus en plus de fougue et sa bite durcissait contre son ventre de Karine. Ses mains n’avaient véritablement accès qu’à son cul et il désirait découvrir le reste de son anatomie féminine. Il l’allongea sur le canapé et s’agenouilla au dessus d’elle, sans cesser de l’embrasser, et puis sa bouche descendit sur le menton, le cou, la gorge et les seins qu’il téta et suça avec gourmandise. Il s’y arrêta un moment, jouant de la langue sur les tétons gonflés et les mordillant avec douceur ; sa progression était lente et très sensuelle. Il passa ensuite au ventre, au nombril et sur le pubis glabre, fraichement épilé par Odile. Karine se tordait, soulevait son bassin pour exprimer son désir de sentir enfin cette bouche goûter à son abricot juteux. Elle releva les genoux et écarta largement ses cuisses en passant ses mains dans la chevelure blonde de son père. Son menton barbu excitait son clitoris et elle avait envie qu’il la lèche vraiment, qu’il suce son bouton. Elle voulait sentir sa langue jouer avec les replis de sa vulve, s’enfoncer dans son vagin et lécher aussi, si elle le souhaitait, son trou du cul alors, elle appuya doucement sur sa tête pour l’amener où elle voulait.Le coquillage nacré de Karine débordait d’humidité, ses petites lèvres bien roses s’écartaient sous la langue de Jacques et son clitoris dépassait légèrement du capuchon. Elle gémit lorsque son père le lécha et le suçota et elle gémit encore plus fort quand sa langue curieuse traversa la fente sur toute sa longueur pour aller exciter son petit trou. Karine attrapa ses jambes pour relever légèrement son bassin et lui donner un meilleur accès. Jacques compris tout de suite que sa fille aimait se faire lécher le cul et il lui donna satisfaction un petit moment mais il avait plutôt envie de retourner à sa chatte. Pour une première fois, il ne voulait pas prendre son plaisir ailleurs. Il reprit un cunnilingus assez classique centré sur le clitoris et le vagin que sa langue fouillait avec aisance. Il trouvait sa mouille délicieuse et elle était tellement abondante qu’il s’en abreuvait. Sa bouche donna un premier orgasme à Karine qui lui éjacula un flot de cyprine au visage et elle en eut un second lorsque, l’instant d’après, il la pénétrai en s’allongeant sur elle.
— Ah, mon Dieu, Karine que… Aah que c’est doux de te pénétrer. Ooh, oh oui, je t’aime… Je t’aime ma petite Chérie, mon amour… Mon Ange, aaah…— Aaah… Ah oui, Papou… Mon petit Papou d’amour, si tu savais comme je t’aime… C’est… Aaaah ! Ah oui, Papou, tu me fais jouir. Aaah… Oh mon Papou, mon petit Papou chéri. Répondit Karine en s’agrippant à son père.
De temps à autres, Odile, Daniel et Vanessa succombaient au plaisir indiscret du voyeurisme et ils finirent par se relayer à l’ouverture donnant sur le salon. Le spectacle était terriblement sensuel et érotique et l’espace sonore de la pièce était remplie de leurs gémissements et de leurs mots d’amour incestueux. Jacques était bien décidé à profiter le plus longtemps possible de sa fille qui se tordait de plaisir sous son corps mais petit à petit, son excitation le menait aussi vers l’orgasme. Il voyait arriver le moment où il ne pourrait plus se contenir et où il commettrait l’acte le plus horrible du monde : jouir dans le ventre de sa propre fille.
— Aaah, ma Chérie, je ne vais… Aaah… Je ne vais plus tenir longtemps…— Aaaah… Vas y, Papou… Ah oui, laisse toi aller… Aaah, joui en moi, Papou, aaah ! Fais moi un bébé, Pap… Aaaaaah !! Aah oui ! Oui, Papou ! Aaah !— Oh, mon Ange, aaah ! Aaah oui ! Oh, je jouis ! Aaah, encore ! Aaah, je jouis, bon Dieu ! Aaaaah, aaaah…
Terrassé par la force de leur jouissance, Jacques et Karine restèrent enlacé durant un moment qui avait la saveur de l’éternité. Ils s’embrassaient, se souriaient et s’embrassaient encore. Jacques débandait lentement et, sentant sa bite sortir, il se redressa pour regarder l’ultime fin de leur accouplement.
— Ouf, qu’est-ce que c’est bon, ma Chérie, je… j’ai jamais joui aussi fort de ma vie. C’est monstrueux, dit il en regardant la chatte de sa fille, et ce n’est pas très poétique mais je n’ai sans doute jamais éjaculé autant de toute ma vie ; tu débordes de foutre…— C’est vrai ? Répondit Karine en portant ses doigts pour vérifier. Mmm, c’est tout crémeux. Je suis contente.— Euh, ma Chérie, pour le bébé, tu n’étais pas sérieuse ? Tu te protèges bien ?— Mais oui, Papou, ne t’inquiètes pas ; je prends la pilule alors tu n’as rien à craindre. Mais l’idée était très excitante… On verra ça dans quelques années, qui sait.— Ne compte pas sur moi pour ça. Par contre, je crois que je n’aurai pas trop de mal à rester ici ne serait-ce que pour revivre au moins une fois ce que tu viens de m’offrir.— Ne te fais pas de souci pour ça mais il ne faut pas délaisser les autres. Et puis j’ai ma chérie d’amour que je retrouve enfin alors ce sera chacune et chacun son tour. T’es d’accord Vany ?! Tu crois que je ne t’ai pas vue, Voyeuse, lorgner depuis la cuisine ? Avec ton char d’assaut, c’est difficile de te louper.— Eh, je n’ai pas été la seule à vous regarder… Vous étiez très beaux et très excitants.— Je vois ça ; approche, ma Chérie, que je m’occupe de ta petite raideur.— Je veux bien le faire aussi, avoua Jacques en regardant, la bite raide de Vanessa.— Oh, parce que tu tailles des pipe, Papou ?— Mm, pas seulement ; je ne déteste pas offrir mon cul aussi même si ça ne m’arrive pas si souvent.— Ça peut s’arranger maintenant, Jacques, déclara Daniel en apportant une bouteille de champagne. Ça fait bien longtemps que je n’ai pas pris ton petit cul poilu.— J’envisageais plutôt de passer à l’apéro et au diner, interrompit Odile en apportant des petits canapés du traiteur. On aura tout le temps de s’amuser comme on veut après.— La cheffe a parlé, dit Karine en se levant, je vais chercher les flûtes.— Non, j’y vais ! S’exclama Vanessa. Ce n’est pas parce que je suis en fauteuil que je ne peux rien faire !
Sans laisser le temps à son amie de la contrarier, elle roula rapidement vers le buffet. Elle sortit d’abord  un plateau qu’elle posa sur ses cuisses en le callant bien sous ses couilles et sa bite raide et attrapa une à une cinq flûtes en cristal qu’elle posa dessus.
— C’est élégant ce cierge au milieu des flûtes, déclara Odile amusée, mais j’avoue que c’est astucieux.— Ça donne même envie de prendre les deux, dit Karine en embrassant son amie. Tu crois que ça irait si je m’asseyais sur toi durant l’apéro.— Le fauteuil résistera, c’est sûr et si j’ai mal, je te le dirai.
Karine retira le plateau des genoux de Vanessa pour le poser sur la table basse et sous les yeux d’Odile dépitée, de Daniel amusé et de son père intrigué, elle s’écarta les fesses et s’enfonça la verge de son amie au fond du cul.
— Ça va ? Je ne suis pas trop lourde ?— Non, ma Chérie, mais ne bouge pas, d’accord ? C’est juste un apéritif. Mmm, c’est vrai que t’en as plein la chatte. Ajouta Vanessa en y enfonçant deux doigts.— Vous êtes vraiment impossibles, toutes les deux, déclara Odile exaspérée. Est-ce qu’il serait possible de passer des moments normaux ? J’ai dit que l’on s’amuserait comme on veut après diner.— Tu as dit toi même que quand Karine voulait quelque chose c’était impossible de lui résister.— Tu sais Jacques, je ne crois pas que Karine et Vanessa aient eu à faire beaucoup d’effort pour la convaincre d’aller faire du shoping demain.— De quoi ? S’exclama Karine, c’est quoi cette histoire ? Il n’en est pas question ; elle va encore vouloir te saper comme une bourgeoise !— C’est moi qui ai dit ça tout à l’heure parce que Maman a dit que tu étais très persuasive.— Oh, je vois… Et bien je vais rétablir la vérité, alors.— Non, Karine, s’il te plait. On avait dit qu’on n’en parlerait pas.— Et bien moi j’ai eu ma dose de secrets débiles pour aujourd’hui et on voit où ça mène.— C’est quoi ce secret que vous vouliez me cacher, demanda Daniel intrigué.— Maman a fait caca dans ma bouche, annonça Vanessa très calmement.— Vanessa ! S’exclama Odile en rougissant.— Ben quoi, c’est vrai, compléta Karine. Et c’est vrai aussi que c’est un peu de ma faute.— Vous nous racontez ? Demanda Daniel en servant les coupes. Vous en avez déjà beaucoup trop dit.
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