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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée.

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
On vient de se reposer, on a bu un coup, et sans le dire, juste en se regardant, on sait que l’on a tous envie de reprendre la partie.Quand je dis tous, et pour rappel, on est sept avec une seule idée en tête: baiser comme des bêtes. Il y a mon beauf Christian, son pote Augustin et sa femme Jocelyne, Amédée un copain black, le grand-père et moi-même. Cela fait six, tous de cinquante ans et bien plus, à part Jocelyne qui n’en a que quarante-cinq. Il manque la septième à présenter: il s’agit de Vanessa, la petite fille du papy, la reine de la soirée, une belle blonde de vingt-sept ans, avide de grosses queues, de sodomies sauvages, et toujours prête à offrir son magnifique cul accueillant à tout le monde, et ses autres orifices aussi.Chaque homme, moi y compris, se caresse la queue et se fait bander en se branlant gentiment, tout en reluquant Vanessa avec désir. Elle mâte nos bites et se masturbe elle aussi:— Vous avez envie de me baiser les mecs?— On a surtout envie de t’enculer, salope, de te défoncer le cul.— Salauds, vous savez que j’aime ça, mais j’aime être prise par devant aussi.— Rien à foutre, c’est ton petit trou que l’on veut, et tu vas en prendre et en redemander, petite pute.On continue quelques échanges, peu importe celui d’entre nous qui lui répond, jusqu’à ce que Jocelyne intervienne. Elle se propose de s’occuper de la chatte de notre jeune partenaire, et on accepte sans hésiter.
Vanessa est assise dan un fauteuil, et Jocelyne s’agenouille entre ses jambes et les remonte sur les accoudoirs. La petite salope se laisse faire, s’offre sans aucun scrupule. Jocelyne dévore sa chatte comme une folle, sans s’inquiéter de notre présence, nous les mecs:— Hum, ce qu’elle est bonne ta chatte ma chérie, c’est bon comme tu jouis, vas-y, mouille encore, abreuve moi de ta liqueur.— Je vais essayer, mais je ne suis pas sûre de dégouliner autant que toi. Ce que tu m’as mis hier, c’était mon meilleur moment entre filles.— Tu aimes les femmes?— Oui, j’aime tout. Je t’offre ma moule, mais tu m’offres la tienne ensuite, j’ai soif de ta chatte.— Ok ma puce, c’est ce que je comptais faire.Elle lui bouffe la chatte, branle son clito, fouille son vagin, la fait dégouliner et s’empiffre avec des slups les plus obscènes. On contemple le spectacle en se branlant de plus en plus fort, puis on leur demande de stopper leur gouinage pour profiter de notre jeune salope.On va à la chambre, Vanessa s’installe à quatre pattes sur le lit, et Jocelyne nous demande la permission de préparer son fion; permission accordée.Vanessa rapproche l’oreiller, pose la tête dessus, les reins bien cambrés, et écarte ses fesses au maximum. Elle dévoile sa sublime rondelle à laquelle Jocelyne ne peut résister. Elle allonge sa langue et parcours sa raie. Elle s’attarde sur le petit œillet qu’elle tente de transpercer en vain. Elle suce alors son majeur avant de l’enfoncer dans le fion de notre salope. Ca rentre comme dans du beurre, elle le retire, le suce à nouveau en appréciant le parfum, puis le remet accompagné de son index. Elle la lime, et Vanessa gémit, l’encourage à mieux la pénétrer. Un troisième doigt, un quatrième, ne trouvent aucune résistance. La petite est aux anges et en demande plus:— Oui, oui, c’est bon, met ta main, fiste moi, fouille moi, lèche moi, il adore ça mon cul.Sa partenaire est prête à la satisfaire mais on l’en empêche. On ne veut pas qu’elle lui élargisse trop le fion, pour mieux apprécier son petit trou dans lequel vont coulisser nos queues.
Jocelyne nous obéit, puis s’allonge sur le lit. Elle retire l’oreiller et le remplace par son bas ventre. Elle a les cuisses grandes ouvertes, et offre sa belle vulve, parfaitement lisse, bien en chair, et déjà dégoulinante. Notre jeune blonde ne perd pas une seconde, et s’empresse de dévorer cette choune des plus appétissantes.Elle tient toujours ses fesses ouvertes, comme une invitation à venir en elle. On laisse son grand-père ouvrir la séance, et il la pénètre d’un seul coup, bien profond, puis se met en mouvement. Sa petite fille semble apprécier ce début de partie:— C’est toi mon papy?— Oui ma chérie, tu la reconnais la bite à grand-père?— Je la connais par cœur, à fonds, depuis le temps que tu me la mets. Je l’aime ta queue papy, c’est bon de la sentir bien dure à nouveau!— Et moi c’est ton cul que j’aime ma petite fille, et grâce au viagra je vais te le ramoner comme au bon vieux temps.— Oh oui papy, encule moi bien, je suis ta petite salope. — Non ma chérie, tu es la salope à tout le monde. On va tous t’enculer comme tu le mérites. Mais tu arrêtes de parler et tu t’occupes de ta copine. C’est bon de savoir que tu aimes les femmes autant que les hommes, les chattes autant que les queues, la mouille autant que le sperme.— Oui, tu as......— Ferme la je t’ai dit, et bouffe.En même temps qu’il dit ça il lui appuie sur la tête et écrase son museau sur la belle huître de Jocelyne. Celle-ci agrippe les cheveux blonds de sa partenaire, encouragée par l’attitude de son grand-père:— Ecoute ton papy ma puce, montre lui que tu es une belle vicieuse qui bouffe à tous les râteliers. Lèche moi salope, et je vais t’offrir des flots de mouille, puisque tu aimes ça.Vanessa ne parle plus, et dévore l’entre cuisses qui lui est offert en toute impudeur.Grand-père lui met encore quelques coups de reins bien appuyés, puis se retire pour nous laisser la place. On se relaie dans son trou, et on la matraque tous avec des mots obscènes, des insultes, qui nous excitent mais lui font savoir aussi qui est en train de la farcir, pour le cas où elle aurait un doute (à part papy qu’elle reconnaitrait entre mille, et bien sûr Amédée et son énorme calibre).On se remplace plusieurs fois pour se reposer, récupérer, mais surtout éviter de jouir trop vite.Pendant ce temps où on la sodomise non stop, Vanessa n’en finit pas d’engloutir la mouille de sa femme fontaine, mais aussi du foutre et sa propre mouille. On a en effet récupéré le saladier de la séance vélo, celui qui contient toutes nos éjaculations entre les reins de notre chienne, mais aussi le récipient qu’elle a remplit à chaque fois de sa cyprine abondante. Jocelyne a la faculté de jouir à répétition, et après chaque orgasme dont Vanessa s’est régalée, elle relève la tête de celle ci, trempe ses doigts dans le saladier, et se badigeonne la vulve avec ce mélange orgiaque, s’en introduit dans sa fente, puis plaque à nouveau la bouche de notre putain de service contre sa choune toute souillée, pour se la faire nettoyer.Cela fait près de deux heures que l’on embroche notre femelle à tour de rôle, et l’envie de jouir se fait sentir. On s’entend pour tous décharger rapidement, chacun son tour, au fonds de son trou. On l’encule sauvagement, en y mettant toutes nos forces, et on décharge tous les cinq à la suite dans son cul assoiffé. On la remplit, son fion va en finir avec nos queues, mais pas sa bouche. Dès qu’un lui a farci l’anus de tout son sperme, il se dégage et lui donne sa bite à nettoyer. Jocelyne s’est en effet levée pour nous laisser la place sur le lit. Notre petite salope se jette avidement sur nos sexes trempés de nos sécrétions et des siennes, et dévore tout ce qu’elle peut en gémissant, d’autant plus fort qu’elle continue à se faire mettre.Jocelyne attend que le dernier d’entre nous ait terminé de se soulager entre les reins de notre copine, puis se met en position pour récupérer toutes nos offrandes. Elle place le saladier entre les cuisses de Vanessa, toujours à quatre pattes pour nous nettoyer les queues. Elle doigte sa consœur, fouille son cul profond, la fiste, pour vider son conduit de toutes nos éjaculations abondantes. Ca dégouline dans le récipient et, lorsque plus rien ne tombe, cette cochonne de Jocelyne suce ses doigts, et lèche la raie et la rondelle de sa partenaire pour finir de la nettoyer. Ensuite elle se masturbe violemment et jouit à flots dans le grand bol.A propos de nettoyage, Vanessa en a terminé avec nos manches qu’elle a tous fait reluire. La séance est terminée et elle va devoir exécuter une dernière demande. Elle se lève et se saisit du saladier contenant tous nos plaisirs généreux et bien liquides, à savoir le foutre de cinq hommes et la mouille d’une femme fontaine. Elle le porte à sa bouche et se met à tout boire, en plusieurs gorgées vu la quantité de jus. Elle engloutit tout, puis lèche l’intérieur pour ne rien perdre. Elle a droit à nos félicitations.
La rencontre est terminée. On se rhabille tous, excepté Vanessa à qui son grand-père a ordonné de ne pas bouger. Augustin et sa femme, ainsi que leur ami Amédée nous quittent, et je reste avec mon beauf, le grand-père, et notre déesse à tous, Vanessa.On s’approche d’elle, et elle remonte sur le lit, à quatre pattes, les reins bien cambrés, la croupe offerte. Papy s’adresse à elle, on comprend la suite avec Christian, et on reste spectateurs:— Tu sais ce qui t’attend ma petite fille?
A suivre...
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