Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 12 J'aime
  • 0 Commentaire

Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée.

Chapitre 6

Inceste
La rencontre est terminée. On se rhabille tous, exceptée Vanessa à qui son grand-père a ordonné de ne pas bouger. Augustin et sa femme, ainsi que leur ami Amédée nous quittent, et je reste avec mon beauf, le grand-père, et notre déesse à tous, Vanessa.On s’approche d’elle, et elle remonte sur le lit, à quatre pattes, les reins bien cambrés, la croupe offerte. Papy s’adresse à elle, on comprend la suite avec Christian, et on reste spectateurs:
— Tu sais ce qui t’attend ma petite fille?— Oui papy, tu vas me donner une fessée.— Et tu sais pourquoi, je suppose?— Parce que je suis une vilaine fille, qui aime trop la queue.— C’est ça petite salope, et pas n’importe quelles queues. Dis moi celles que tu préfères?— Tu le sais papy.Il lui met alors une grosse baffe sur le cul, et qui lui arrache un petit cri. Il reprend les échanges, et les baffes pleuvent au fil des questions et des réponses; des claques bien cinglantes qui lui martyrisent ses sublimes miches bien fermes et dodues.— Réponds salope, je veux te l’entendre dire.— J’aime les queues de la famille papy, toutes les queues.— Et de qui, salope?— Celle de papa et celles de mes oncles André et Fernand, les frères de maman. Mais celle que je préfère, c’est la tienne mon papy, la première à laquelle j’ai goûté.— Petite chienne, et tu n’as pas honte. Tu te rends compte que l’on vit tous dans l’inceste à cause de toi.Les gifles n’en finissent pas de tomber, de claquer fortement sur ce si beau cul, et Vanessa les acceptent en serrant les dents pour ne pas crier.— Non papy, je n’ai pas honte, elles sont trop belles vos queues, elles sont trop bonnes. Je les aime, et vos couilles aussi, tellement juteuses de sperme.— Pute, fille de pute, tu es aussi pute que ta mère.— Maman! Qu’est-ce qu’elle vient faire la dedans?— Elle est aussi salope que toi ta mère, elle aime aussi les bites de la famille.— Tu baises avec elle?— Oui bien sûr, depuis ses dix-huit ans, comme avec toi. Et elle baise aussi avec ses frères, une vraie putain incestueuse.— Pourquoi tu me racontes tout ça?— Parce qu’elle au courant de tout en ce qui te concerne, de tes incestes et des chevaux, alors il est temps que tu le saches pour elle. Ah, j’oubliais, elle aime les étalons elle aussi.S’en suivent encore quelques tartes, sans parler, puis la correction est terminée.
Vanessa se rhabille, et on reprend la voiture pour les raccompagner.
Je monte à l’avant avec Christian, grand-père s’installe au milieu du siège arrière, et Vanessa s’allonge sur lui, en travers. Il relève sa jupe sur ses reins, elle n’a toujours pas de culotte, et il peut voir les conséquences de ses actes:— Pardon, pardon ma puce. Dans quel état je t’ai mis le cul! Tu me pardonnes?— Papy, tu n’as pas à t’excuser, j’ai mérité ma correction.— Oui, sans doute, mais je m’en veux. C’est toujours pareil, j’aime te baiser et puis quand c’est fini, ça me met en colère et il faut que je te punisse. — Je sais papy, mais ne t’en fais pas. Je suis toujours prête à m’offrir à toi, ça vaut largement la raclée que tu me mets ensuite. Et puis tu vas me passer ma crème pour me soulager!— Avec plaisir petite salope, sans plus tarder.Un silence, et puis j’entends Vanessa gémir, pousser des "ohhhh", des "ouiiiii", des "c’est bon"...Je comprends alors que la crème dont elle parlait n’est autre que sa cyprine que son grand-père recueille ente ses cuisses. Il pénètre de sa main sa chatte ouverte et liquéfiée, récupère sa liqueur sur ses doigts, et l’étale sur ses fesses, la caresse avec, pour la faire pénétrer comme une pommade apaisante:— Ca va ma chérie, ça te fait du bien?— Oui papy, ça calme ma douleur, mais surtout c’est trop bon comme tu me fouilles!— Tu aimes ça salope, ça te fait mouiller!— Oui, mais tu aimes ça toi aussi, t’occuper de ma chatte. Tu bandes papy, je sens ta queue qui grossit et qui durcit sous mon ventre. Ca te fait du bien le viagra!— Plus que tu ne le penses, avec ce que j’ai pris et ce que tu m’excites, je peux triquer pendant quarante-huit heures.— Ouah, génial, on va pouvoir baiser toute la nuit!— Tu es incorrigible petite pute, je t’ai à peine punie que tu es prête à recommencer.— Et toi aussi vieux cochon, tu l’aimes ta putain de petite fille. — Tu as raison, tu sais que je ne peux pas te résister.— Moi non plus papy, j’ai envie de toi. C’est bon comme tu rebandes dur, j’ai envie de te sucer. Sors ta queue, offre me la.Elle se relève, et sans rien dire son grand père s’installe sur le côté et déballe son paquet en pleine forme. La petite se met à quatre pattes sur le siège, s’empare de cette queue dressée pour elle, et approche son visage:— Cette queue, cette queue papy, je ne me rappelais pas qu’elle était aussi belle. Laisse moi faire, je vais te la pomper jusqu’à vider tes grosses couilles, j’ai faim de ta queue, soif de ton sperme.Elle cesse de parler, et engloutit le sceptre incestueux. Son grand-père recommence à la fouiller et on peux entendre un double clapotis, celui de ses doigts qui coulisse dans la fente de sa petite fille, et celui de la bouche saliveuse de celle-ci qui va et vient sur son manche. Il s’abandonne et l’encourage à continuer:— Hum, c’est bon comme tu suces ma chérie, tu me fais trop de bien.— Elle te suce aussi bien maman?— Tu es bien curieuse, mais je vais te répondre pour t’apprendre. Elle est exceptionnelle ta mère, mais il faut dire qu’elle a plus de trente ans d’expérience, et qu’à moi seul elle m’a taillé des milliers de pipes.— Tu es méchant papy, je croyais que j’étais ta préférée!— Mais tu l’es mon amour, mais tu n’es pas la meilleure. Mais rassure toi, tu es plus douée que ta mère ne l’était à ton âge, et je sais que tu vas bientôt la dépasser. En attendant, suce moi et montre moi ce que tu sais faire.— Oui papy, je vais te pomper à fonds et te vider les couilles. Tu as intérêt à tout me donner.— Avec plaisir petite pute et fille de pute, je vais te gaver de sperme puisque tu aime.Vanessa ne répond pas, et se démène sur la queue qui lui est offerte pour la turlutter de tout son savoir faire. Grand-père ne lui résiste plus longtemps et la prévient pour qu’elle ne perde rien de son offrande. Il se libère sans retenue:— Prends, prends salope, bouffe, avale, putain de petite fille, salope, vicieuse, c’est bon, c’est bon de gicler dans ta bouche....Sa petite fille ne répond pas, trop occupée à satisfaire son papy, à tout engloutir, à bien tirer sur sa tige pour en extirper toute la sève. Elle a terminé son affaire, se redresse, et fixe son aïeul dans les yeux en se léchant les babines:— On dirait que ça t’a plu mon papy, j’espère que tu n’es pas à nouveau en colère.— Non ma chérie, pas cette fois, tu es trop mignonne, je t’adore.— Merci papy. On va encore baiser cette nuit?— Tu sais que je ne peux rien te refuser, mais je ne suis pas sûr d’être toujours en forme.— Avec ton viagra ça devrait aller, et puis je vais bien m’occuper de toi, de toi et de ta queue.— Petite salope, tu me donnes déjà envie.
On les laisse discuter jusqu’à arriver chez Vanessa. On dit au revoir au vieux qui doit repartir chez lui le lendemain, et on dit à demain à Vanessa que l’on compte revoir. Elle nous promets d’être au rendez-vous.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live