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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée.

Chapitre 10

Orgie / Partouze
On passe quatre soirées torrides, et enfin arrive le samedi.
Pour rappel, et pour faire court, je m’appelle Eric, j’ai soixante deux ans, et je passe quelques jours à Paris chez mon beau-frère, Christian, soixante-huit ans et veuf de ma regrettée sœur.On a rencontré Vanessa, une jeune et belle salope, une belle blonde de vingt-sept ans que j’ai connue sur internet où elle écrit sur mon site préféré.Elle est aussi vicieuse que dans ses récits, et cela fait une dizaine de jours que l’on s’offre des orgies en sa compagnie: sodomies profondes, animaux, inceste, on a tout réalisé avec son accord le plus total. On arrive maintenant à l’apothéose de notre rencontre, une partie organisée par son grand-père, un vieux salaud avec qui elle fornique sans retenue.
On est samedi, le jour J, et mon beauf prend sa voiture pour nous amener tous les trois, lui, elle et moi, au point de rendez-vous. On a plus de deux heures de route, et on a décidé de rester sage; Vanessa m’a laissé la place devant, et est seule à l’arrière. On discute bien sûr de ce qui nous attend, et elle nous confie tout, à la fois excitée et inquiète. Elle a l’habitude des plans de son grand-père, avec trois hommes le plus souvent, sans oublier les chevaux. Mais cette fois il l’a prévenue qu’elle ne sera pas la seule femelle et que par conséquent il y aura plus de mâles.Ce n’est pas le nombre de participants qui la gêne, très loin sans doute de son record, ni le fait qu’il y ait une autre femme, puisqu’elle est bi et aime autant un sexe que l’autre. Ce qui l’embête c’est que cette femme soit sa mère, si elle a bien compris les sous-entendus de son grand-père.On roule toujours, et son téléphone sonne:— Allo, maman!— ....................— Oui, on est parti il y a une heure environ.— ....................— Oui, il m’a tout raconté papy, et il a dû tout te dire aussi à mon sujet. J’ai honte maman, tu dois m’en vouloir.— ................................— Oh merci maman chérie, ça me soulage tout ce que tu me dis. Alors tu ne m’en veux pas, même pour papa?— ............................— Oui, il n’a pas menti papy, j’adore les femmes autant que les hommes, et je veux bien baiser avec toi puisque tu me le demandes. J’ai envie de toi maman, autant que tu as envie de moi.— .................................Ok, à tout à l’heure. Je t’aime maman, plus que jamais.
Elle est toute heureuse, soulagée de l’appel de sa mère. Elle sait que tout va bien se passer et que sa maman est impatiente de la serrer dans ses bras, et bien plus.Elle nous raconte comment se passaient les précédentes rencontres, nous fait bander et se fait sans doute mouiller. Dix heures vingt on arrive devant un grand portail, elle a une télécommande, on le franchit et il se referme derrière nous. On est dans une grande propriété et on s’avance jusqu’à un grand hangar.
On descend de voiture, on s’avance et on s’arrête stupéfait, bien que s’attendant à quelque chose du genre. Il y a quatre hommes nus, affalés sur des chaises de jardin, et une femme nue elle aussi et qui s’occupe de l’un d’eux.
Vanessa s’avance pour leur dire bonjour et faire les présentations. Elle commence par son père qu’elle embrasse à pleine bouche et félicite pour son érection. Elle continue par ses deux oncles, les frères de sa mère, qu’elle embrasse et félicite identiquement. Elle termine par celui dont s’occupe la femme, son grand-père que l’on connait. Elle ne nous le présente pas, mais nous présente sa mère, la fille de son grand-père.Le grand-père est vraiment le chef du clan, c’est lui qui dirige tout, lui qui a la fortune, et tous ses désirs sont acceptés. C’est lui qui va suggérer toute la suite, et il commence par demander à Vanessa de se déshabiller puis de le sucer. Elle se défringue, et on en fait autant avec mon beauf avant de s’installer sur deux sièges libres. Vanessa s’accroupit contre sa mère, et elles sucent toute les deux la même queue incestueuse, celle d’un père et d’un grand-père. Elles se régalent de cette bite dopée par le viagra, sucent chacune son tour, ou les deux en même temps. Leurs lèvres et leurs langues se touchent, elles s’embrassent fiévreusement, leur première fois. La petite semble toutefois un peu hésitante, mais sa mère se hasarde plus loin et l’encourage à se laisser faire, à en faire autant. Elles pompent toujours, tout en se caressant entre les cuisses, se fouillant pour lécher ensuite leurs doigts et se féliciter réciproquement. Papy est ravi, et propose un autre jeu. Elles se lèvent toutes les deux, et s’approche du gendre, père de l’une et mari de l’autre. Vanessa enfourche son père et se saisit de son manche pour l’enfouir dans sa chatte. Elle le chevauche quelques instants, et ils échangent des mots obscènes:— Oh papa, c’est bon ta grosse queue entre mes cuisses, c’est bon de sentir comme tu bandes.— C’est pour toi que je trique ma chérie, ma petite salope adorée. Elle t’a manqué ma queue?— Oui, j’avais hâte de la retrouver, tu me fais mouiller mon papa chéri!— J’espère bien, dégouline mon amour, inonde mon sexe de ta mouille, et ta putain de mère va me nettoyer.C’est effectivement ce qui se produit. Vanessa se retire, la bite de son père est couverte de ses sécrétions, et sa mère se jette dessus pour la gober goulûment. Elle pompe son homme, et pendant ce temps Vanessa s’installe sur un de ses oncles et fait du yoyo sur son membre bien tendu. Elle lui fait reluire la queue puis se dégage pour venir sur moi. Sa mère abandonne son mari et vient sucer son frère et sa queue dégoulinante du plaisir de sa fille. La séance se répète, et notre jeune femelle s’empale ensuite sur son autre oncle, sur Christian, sur son grand père; sa mère nous nettoie tous à peine nos bites libres.C’est maintenant à son tour d’engloutir nos manches dans son con vorace. Elle a une choune démentielle, des lèvres charnues et pendantes, un clitoris démesuré, et elle ne fait qu’une bouchée de nos virilités. Elle coulisse dessus, dégouline comme une fontaine, et sa fille se régale à passer derrière elle pour savourer le plaisir de sa mère sur nos queues épanouies.Vanessa est en train de sucer la dernière des six queues sur lesquelles a joui sa mère, celle de son grand-père, et il lui glisse quelques mots à l’oreille. Elle se lève et revient vers son père. Elle l’enfourche à nouveau et s’assoit sur sa colonne pour la faire disparaitre entre ses fesses:— Oh papa, papa, c’est bon ta grosse bite dans mon cul. Je ne me rappelais qu’elle été aussi bonne ta queue, c’est toi qui a la meilleure!— Petite morpionne, je sais que tu dis la même chose à tous tes amants, mais ça m’est égal. J’ai ma bite dans ton petit trou et c’est tout ce qui compte. Monte et descend sur ma queue, fais du yoyo, fais moi t’enculer petite salope.— Oui papa, je suis ta salope et je vais bien astiquer ton manche à couilles.Elle baise son père un petit moment, et passe à son oncle. Comme elles l’ont fait avec leur chatte, elle vont nous gober les manches avec leur cul suivi de la bouche de l’autre.Cette séance est terminée et on passe à la suivante. Les femmes sont à genoux, a un mètre l’une de l’autre, et les hommes se plantent devant elles. Chacune d’elles à trois queues devant son visage et va les pomper en passant rapidement de l’une à l’autre. On change de place régulièrement, nous les mâles, pour qu’elles bénéficient de toutes nos triques. Le temps passe, il est midi, et on va conclure. Vanessa est face à son père, un oncle et Christian; Sa mère est face à son père à elle, son frère et moi-même. C’est le père de chacune qui commence, qui baise la gueule de sa fille en gorge profonde, puis se retire et se branle sauvagement pour éjaculer en abondance sur son visage. Ils échangent quelques mots le temps que la sauce monte:— Putain de fille, tu l’aimes ma queue juteuse! Je vais te recouvrir de mon foutre, salope.— Oh oui papa, j’aime avoir ton sperme partout, j’aime quand tu vides tes belles grosses couilles.Elles reçoivent rapidement de longues giclées bien grasses qui s’écrasent puissamment sur toute la figure. C’est à mon tour et celui de Christian de les arroser, et on est encouragé par toute la famille pour décharger sur leurs femelles en les insultant. On a fait notre vidange et c’est au tour des deux derniers, oncle pour l’une, frère pour l’autre, de leur passer une troisième couche. Elles sont recouvertes de nos crèmes qui adhèrent à leur peau, et elles vont se nettoyer. Elles se lèvent, se collent l’une à l’autre en se tenant par les hanches, puis entament une chaude séance. Elles se lèchent à grands coups de langues, récupèrent nos spermes mélangés, pas trop pour faire durer, et se roulent de longues pelles voraces pour tout engloutir. Elles recommencent, encore et encore, jusqu’à ce qu’il ne reste plus la moindre trace de nos dons généreux.
On se félicite une nouvelle fois de ce début de rencontre, et on va passer à table. Un repas très simple, apéro pour se motiver pour la suite, pizza à réchauffer, un peu de vin pour assurer la motivation.On a prévu un après-midi zoophile, avec des chevaux, comme elles en ont l’habitude. Elles vont se faire saillir toutes les deux, et on tire au sort pour savoir laquelle sera la première; c’est la mère.On ne s’est pas rhabillé pour la pause déjeuner, on est toujours tous à poil, prêt à reprendre. La mère est une vaginale hors norme, avec une choune d’une ampleur charnelle incroyable, et une femme fontaine de première. On se lève , et elle se retourne pour s’offrir à nous en levrette. On va tous la prendre vite fait, plusieurs fois, pour la préparer pour son amant à quatre pattes. A chaque fois que l’un de nous se retire pour libérer sa fente pour le suivant, Vanessa s’empresse de sucer son manche couvert de la mouille maternelle. Le grand-père, toujours lui, prend un énorme gode ceinture dans un tiroir, et s’adresse à sa petite fille:— Tiens ma chérie, mets ça, et tu vas baiser ta mère toi aussi.— Mais papy, je ne peux pas, c’est ma maman!— On s’en fout, c’est surtout une grosse salope, comme toi. Tout à l’heure ça va être son tour de t’enfiler, et je peux te dire qu’elle ne va t’épargner; elle attend ça depuis trop longtemps. Sa mère intervient:— Ecoute papy mon amour, il a raison. Je meurs d’envie de te baiser, mais aussi que tu me baises.Vanessa se laisse convaincre, elle s’équipe et on la sent motivée à défoncer sa mère. Elle la prend , ce jeu lui plait, et elle la défonce aussi fort que nous, enfonce son bel engin de toutes ses forces, le plus loin possible, pour le plus grand plaisir de sa mère. Elle nous laisse la place, se penche pour sucer son long gode, tandis que l’on pénètre tous rapidement sa génitrice, et à plusieurs reprises.Vanessa se débarrasse de son jouet et va chercher un cheval, un bel étalon.Elle va le préparer, le sucer, le branler, tandis que l’on finit de préparer sa mère. On la rebaise une dernière fois, et on jouit tous, les uns derrière les autres, dans son vagin des plus accueillants. Elle est à point et s’allonge sur un large banc, les jambes relevées et qu’elle maintient au dessus d’elle. Sa fille colle le cheval contre elle, et se saisit de sa longue queue pour l’enfoncer dans la chatte de sa mère. Elle introduit dix bons centimètres, puis masturbe l’animal, le fait avancer doucement dans le ventre de sa mère hystérique:— Oui! c’est trop bon ma chérie, vas-y, fait le venir encore plus loin, mets me la toute sa belle colonne, fais le jouir dans mon ventre..................— Oui maman, tout ce que tu veux, c’est bon de savoir que je ne suis pas la seule à aimer ça.— Non ma fille, je suis aussi vicieuse que toi, et je suis fière de toi, que tu me ressembles.Quinze centimètres, vingt, vingt-cinq, trente, sa salope de fille lui a enquillé trente bons centimètres et stoppe lorsque sa mère le lui demande. Elle fait aller et venir ce monstrueux morceau entre les cuisses de sa mère qui n’en finit plus de jouir et de gueuler des obscénités. Le cheval va enfin jouir, et Vanessa accélère sa branlette pour lui faire tout cracher, remplir le ventre de sa partenaire. Il a tout lâché et Vanessa s’accroupit au bout du banc. Elle retire le sexe ramolli de l’animal, et soude dans la même seconde sa bouche à la vulve béante qui s’offre à elle. Le cheval se retrouve abandonné et le grand-père le fait avancer d’un pas. Sa bite molle mais encore bien allongée se trouve à portée de bouche de la mère. Elle la prend, l’engloutit, la câline, la cajole, finit de vider son membre et ses couilles, comme pour le remercier de l’avoir si bien baisée. Pendant ce temps Vanessa reste scotchée à la vulve de sa mère, et on la devine aspirer et avaler tout le jus dont elle est pleine, le sperme de la bête, et la mouille de l’humaine. Elle a tout nettoyé, tout englouti, et on va passer à la suite.
Ce serait au tour de Vanessa de se faire mettre, mais on ne se sent pas trop en forme, à part papy dont le viagra est des plus efficaces. Il comprend que l’on fasse une pause, et va chercher un autre cheval. Il ordonne à sa fille et sa petite-fille de nous offrir un spectacle très chaud pour nous faire rebander.Ces salopes comprennent ce qu’il faut sans même se consulter. Elles s’accroupissent sous l’équidé, une de chaque côté, et se mettent à le branler, le sucer. La bite de l’animal se développe vite, autant en longueur qu’en largeur, un pieu gigantesque. Elles le sucent goulûment, prenant soin de nous montrer leur immonde fellation, Elles connaissent l’animal par cœur, l’une comme l’autre, et savent le faire durer ou le faire jouir au moment désiré. Elles sucent en toute impudeur, et surveillent nos queues. On rebande et elle pensent à conclure. Elles pompent l’animal voracement, se passent la queue de l’une à l’autre, jusqu’à deviner qu’il va éjaculer. Elles se collent l’une à l’autre, leurs seins s’écrasent entre eux, et leurs bouches se rejoignent pour engloutir le bout de cette trique bestiale. Elles branlent le manche férocement et la pauvre bête ne peut que décharger. Sa liqueur hyper généreuse leur remplit les bouches, un trop plein, et le surplus malgré tout ce qu’elles avalent dégouline sur leurs mentons, leurs cous, leurs seins. La bête est vidée, dans tous les sens du terme, et elles le laissent s’en aller. Plus rien ne sépare leurs bouches, et elles se roulent une pelle des plus torrides. Puis chacune son tour elles se lèchent le cou, les seins, pour tout récupérer de cette semence dont elles raffolent, puis s’embrassent à nouveau, fiévreusement.
Cette séance nous a tous fait du bien, nous a remis en forme, et on a tous à nouveau la queue en parfait état de marche.C’est maintenant au tour de Vanessa de se faire emplafonner par un nouveau partenaire chevalin, et on va la préparer. Seule différence, c’est que si la mère est une vaginale sans pareille, la fille ne vit que pour l’anal. On va donc s’occuper de son petit trou, bien l’élargir pour recevoir ce membre impossible et en même temps tant espéré. On la monte tous, y compris sa mère qui se délecte à lui éclater le fion avec l’énorme gode. Elle est chaude, bien ouverte, et tandis que sa mère suce et branle le cheval qu’elle a été chercher, on la sodomise tous une dernière fois, père, grand-père, oncles, et invités. On remplit son cul de foutre, tous sans exception, et elle va être parfaitement graissée pour recevoir son partenaire. Elle vient près du cheval, debout, se penche en avant, et sa mère se charge de glisser le sexe animal entre ses fesses. C’est à son tour de lui enfouir dix centimètres, puis vingt, trente, et cette salope de Vanessa ne demande pas d’arrêter. Sa mère incestueuse autant qu’indigne n’hésite pas à lui en mettre encore plus. On frôle les quarante centimètres, le sexe presque entier, lorsque notre jeune chienne implore enfin de ne pas aller plus loin. On est tous interdits devant ses performances anales, mais à la réflexion on réalise que l’animal bande mou, et que son engin démesuré doit facilement se plier dans les courbes de son tube. Sa mère branle le quadrupède, le fait décharger et inonder les reins de sa fille. Elle retire le manche flasque d’entre ses fesses, et s’empresse de bouffer le fion garni de sa fille. Elle l’aspire, le vide, avale, tandis que Vanessa a fait avancer le cheval pour pomper son dard et le remercier de sa prestation.
Notre plan est terminé, on prend une douche, on se rhabille, et on sort en ville, à part les oncles de Vanessa qui rentrent retrouver leurs épouses. Vingt-deux heures trente, on a diné, on s’est aéré, et on va tous dans la maison des parents. On va dormir, ou plutôt coucher, dans deux chambres, trois dans chaque. Vanessa couche avec son père et Christian, tandis que sa mère couche aussi avec son père et moi. C’est une chaude la mère, une véritable nympho, et je me félicite que son père prenne du viagra pour pouvoir combler ses besoins. On passe une nuit agitée, et on s’endort au petit matin. On se réveille vers onze heures, et la chambrée d’à côté ne semble pas plus matinale que nous, preuve d’une nuit de débauche pour eux aussi.On se lève, on reprend doucement nos esprits, on se lave, on s’habille, on déjeune, on va partir.Quand je dis on va partir, c’est juste Vanessa, mon beauf et moi. Nos trois hôtes restent sur place, et nul doute que la mère de notre copine va encore se faire mettre par son mari et son père.
On est dans la voiture, on franchit le portail que l’on referme, et on file chez notre petite salope.
A suivre...........................
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