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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée.

Chapitre 11

Trash
Vanessa 26 ans, mon beauf 68 ans, et moi même 62 ans.Cela fait plus de dix jours que cette jolie blonde nous accorde ses faveurs.C’est une salope inouïe que j’ai rencontrée grâce à internet, et au fil des jours elle nous prouve qu’elle est au moins aussi cochonne que dans ses récits qui m’ont fait la contacter.On est dimanche soir et on rentre de chez sa famille où on est allé pour un weekend orgiaque, incestueux, zoophile, avec son père, son grand-père, ses oncles, mais aussi sa mère et des chevaux.On roule sur Paris lorsque qu’elle nous demande une pause pipi. Il y a une aire dans quelques kilomètres, et elle nous confiera plus tard que ce n’est pas par hasard qu’elle nous fait stopper. C’est un lieu réputé pour des rencontres entre hommes, et qui la fait fantasmer sans qu’elle n’ait jamais oser s’y arrêter toute seule.
On l’accompagne aux toilettes femmes, mais on passe auparavant devant celles des hommes. Il y a un petit hall ouvert, avec des pissotières, et lavabos. Il y a surtout trois hommes qui se donnent du bon temps, un qui se fait sodomiser en même temps qu’il suce. Notre petite copine est fascinée par le spectacle et on doit la pousser pour aller chez les filles. Elle ne peut s’empêcher de penser à ce qu’elle vient de voir:— Ouah, c’est bon ce qu’il se prend le mec. J’aimerais bien être à sa place!— Tu en veux encore, après tout ce que tu as pris?— Oui, il a faim en permanence mon cul.— Viens, on va leur demander de s’occuper de toi.— J’aimerais bien, mais ils doivent préférer les hommes.— Pas forcément, ce qu’ils cherchent c’est un trou à bites. Ils se font des mecs parce que c’est plus facile à trouver, mais je pense qu’une belle et jeune femelle ne leur déplairait pas.On retourne aux toilettes hommes, et j’aborde celui qui sodomise son partenaire:— Ca te dit de t’occuper de notre petite copine?— Avec plaisir, mais ce que j’aime c’est le cul.— Pas de soucis, c’est ce qu’elle préfère.Il est partant, mais ne veux pas que son homme se trouve abandonné; il nous demande de nous en occuper en échange, et on accepte volontiers.Vanessa qui a tout suivi avec attention se met en position, penchée en avant, la robe relevée sur ses reins, sans rien dessous. Notre nouveau complice se retire de sa monture et viens frotter son sexe dans la raie de notre chérie qui prend soin de bien écarter ses fesses. Son gland se plaque sur sa rondelle, il pousse un peu et n’en revient pas de la facilité avec laquelle son petit trou se dilate pour l’accueillir:— Oh putain, elle est toute ouverte votre salope, vous venez de la farcir?— Non, ça fait un petit moment, mais elle est toujours prête à servir.Il s’active entre ses fesses, et celui qui se faisait pomper vient dans sa bouche. Du coup le troisième homme se retrouve seul et nous demande de le baiser. Ca nous est déjà arrivé de se faire des hommes avec mon beauf, on aime bien même si on préfère les femelles, et on va le baiser; tant pis si Vanessa découvre notre côté bi, après tout comme elle.On se retrouve donc à six, notre copine qui se fait enculer et baiser la bouche par deux inconnus, tandis qu’avec mon beauf on en fait autant à un autre inconnu. On inverse les rôles pour goûter aux deux orifices de nos partenaires, tout en conservant les trios. Les deux mâles de Vanessa finissent par jouir, un entre ses reins, l’autre dans sa bouche qui avale tout. Ils s’en vont.On demande à notre partenaire de sodomiser Vanessa à son tour, et il accepte à condition que l’on continue à l’enculer. C’est ce qui se passe, et on se fait une brochette à trois, lui qui s’enfile un anus féminin, et Christian et moi qui nous partageons le sien. Il finit par décharger dans le fion déjà rempli de notre salope, puis se retire pour nous sucer et nous faire éjaculer dans sa bouche. Il bouffe tout, et Vanessa en fait autant avec le foutre qu’elle récupère en se torchant le cul avec ses doigts. On s’en va, et le mec reste seul, dans l’espoir d’une autre rencontre.
On roule, Vanessa est ravie de cette baise improvisée, mais un peu déçue qu’ils ne se soient occupés de sa chatte en feu. Je lui propose de passer à l’arrière pour la lécher, mais son envie de pisser refait surface; c’est vrai que l’on s’était arrêté pour ça, mais qu’elle n’a pas fait. Je lui propose un plan, on trouve une aire de pique nique déserte et on stoppe la voiture juste devant un banc. Je descend avec Vanessa, je me mets torse nu et m’allonge sur le banc. Elle relève sa robe, m’enfourche pour venir placer sa chatte au ras de ma bouche. La voiture nous cache de la route, et mon beauf reste au volant pour faire le gué.J’ai à peine le temps de donner quelques coups de langue dans sa fente mouillée qu’un liquide chaud, odorant, parfumé, envahit ma bouche. Elle pisse, sur ma demande, puis stoppe aussitôt:— Ca va, tu veux que je continue?— Oui, mais tu fais pareil, de petites rasades entrecoupées que je puisse tout boire.— Tu es un gros porc toi, j’adore, ouvre ta bouche salaud. Elle me sert plusieurs gorgées que j’avale avec délice.-Tu l’aimes mon urine, tu la trouves bonne?— Oui elle est délicieuse, mais avec une femelle comme toi, tous tes jus de choune doivent être succulents.— Tous mes jus! Tu veux dire quoi?— Tu le sais bien, j’aimerais goûter ton sang menstruel.— Tu dis ça comme ça, mais si je te prenais au mot, tu changerais d’avis.— Non, c’est mon fantasme le plus cher. Mais dis moi, tu serais prête à baiser pendant tes règles?— Oh oui, c’est là que je suis la plus chaude, mais aucun homme ne me l’a jamais proposé. Si tu es sérieux, j’ai mes règles le week-end prochain.— Ok, on en reparle, mais tu ne dis rien à mon beauf. Il accepte pour la pisse, mais pour le sang j’ai peur qu’il ne comprenne pas.— T’inquiètes, ça reste entre nous; moi je te comprends très bien, et il me tarde d’être dans huit jours.On revient dans la voiture et je monte à l’arrière avec elle. Je lui bouffe la chatte, et en plus de sa mouille abondante elle m’offre encore quelques petits jets d’urine en prenant soin de me prévenir pour que je m’applique à tout boire.On arrive chez elle, il est tard et elle travaille le lendemain. Elle nous fait monter quand même pour une dernière baise au cours de laquelle on ne va épargner aucun de ses orifices, avant de terminer dans sa gorge. On va la quitter, et elle nous propose de se revoir le lendemain, et les jours suivants.
J’ai déjà retardé mon départ une première fois pour notre chaud week-end, et je demande à mon beauf s’il peut m’héberger encore quelques jours. Il veut bien, sauf qu’il ne pourra me garder le mardi soir. Il a une maîtresse qu’il honore en l’absence de son mari, et ils ont prévu cette date depuis déjà un mois. Peu importe, Vanessa propose que je passe la nuit chez elle.On se retrouve tous les trois le lundi soir pour une baise sympa et débridée, et elle m’accueille le lendemain. On est seul, on baise et on en profite pour s’offrir un plan pisse où elle me démontre qu’elle aime l’urine autant que moi. On se couche enfin, ensemble bien sûr, à poil bien sûr, et on va planifier notre prochain week-end tout en se caressant et s’embrassant.Elle est toute excitée à y penser, à en parler, a du mal à y croire. Jamais un homme ne lui a proposé de faire l’amour pendant ses règles et elle est impatiente que ça arrive. Elle me redit qu’elle n’est jamais aussi chaude et aussi salope que dans cette période. Elle m’avoue qu’elle s’envoie en l’air toute seule, fait des trucs cochons, et que cela remonte au temps où elle était à la fac. Elle vivait en colocation avec une fille de un an sa cadette. Une fille bi, comme elle, et beaucoup plus salope qu’elle ne l’était alors (depuis elle a énormément progressé). Elle ont rapidement baisé ensemble, sauf pendant leurs pertes périodiques. Heureusement elles avaient leurs cycles très réguliers, qui tombaient exactement les mêmes jours, et ça ne les privait que trois jours par mois. C’était trois jours de trop pour sa copine, vraiment accro au sexe, et elle la amenée à s’aimer même ces jours là, puis surtout ces jours là. Leur relation a duré deux ans, à se donner du plaisir sans limites, puis elles se sont perdues de vue.Vanessa est toute émue en me racontant ce passé. Elle a les yeux embués de nostalgie, et surtout la chatte dégoulinante de souvenirs. Je me glisse entre ses cuisses pour la lécher, et je continue à discuter entre deux coups de langues:— Tu ne l’as pas oubliée, on dirait?— Non, c’est la meilleure amante que j’ai eue, la plus sympa.— Et tu n’as pas essayé de la revoir?— Non, on était jeune, et peut-être qu’elle est mariée maintenant, qu’elle a des enfants.— Pas forcément, regarde, toi, tu es toujours célibataire.— Oui, mais moi j’aime trop le sexe pour me lier.— Elle aussi peut-être. Tu n’as pas ses coordonnées?— Mais dis moi, elle semble t’intéresser ma copine, tu as une idée en tête?— Je me dis que si elle est toujours comme toi, réglée comme une pendule tous les vingt-huit jours, ce serait sympa une partie à trois. Pas forcément ce week-end, mais une autre fois.— Salaud, je ne te suffis pas! Mais tu as raison, tu me donnes envie à moi aussi.Elle n’a pas son téléphone, mais me dit que dès le lendemain elle va essayer de la retrouver grâce à internet. On en reste là pour ce soir, et je me mets à la brouter en continu. Elle jouit à plusieurs reprise pour mon plus grand plaisir, puis je lui propose un 69 qu’elle accepte sans hésiter. Elle me pompe comme si elle n’avait rien bouffé depuis huit jours, et je gicle dans sa bouche en même temps qu’elle m’abreuve une fois encore de sa délicieuse cyprine.On décide de dormir.
Le matin on se lève, elle pour aller travailler, moi pour revenir chez mon beauf. On prend le petit déjeuner sur place et elle me dit qu’elle va essayer de retrouver Camille, sa colocataire étudiante, et qu’elle me tient au courant en secret.On se retrouve à nouveau tous les trois, elle, Christian et moi, les mercredi et jeudi soir pour nos dernières baises. Dernière pour mon beauf, mais pas pour moi. Vanessa m’a adressé un message le jeudi à treize heures pour me dire que c’est ok pour Camille, et qu’elle m’attend avec elle le vendredi soir.Je quitte Christian le vendredi matin pour rentrer chez moi, c’est du moins ce que je lui ai dit, un mensonge de circonstance. Il m’emmène à une bouche de métro et on se dit à bientôt.Je traine la journée, attendant avec impatience dix-huit heures trente, l’heure de mon rendez-vous.Vivement Vanessa.Vivement Camille.Vivement leurs chattes saignantes.
A suivre...
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