Je viens de passer un week-end d’orgies avec mes deux jeunes copines, et ces salopes en ont profité pour s’occuper de mon cul. J’ai apprécié comme elles m’ont godé le fion et comme je me suis godé moi même.Camille est repartie chez elle et je reste seul avec Vanessa. Elle sait que je suis bi, comme elle, que j’aime baiser des mecs, les sucer et me faire sucer. Par contre je ne me suis jamais fait mettre mais, suite à nos séances avec les sextoys, elle n’a aucun mal à me faire accepter un plan avec un homme, mon beau-frère, mon compagnon de baise. Il a les mêmes goûts que moi, est vierge anal lui aussi, mais est très intéressé par notre proposition.Vanessa l’a appelé pour un plan à trois, avec elle et un homme bi, sans lui dire que c’était moi. Ce n’est qu’après son accord qu’elle lui a avoué le vérité. Il semblait en colère, mais pour de faux:— Salope, tu m’as bien eu. Passe me le cet enculé.Je prend le téléphone et on échange quelques mots. Il ne m’en veut pas de cette embrouille, au contraire, et me dit qu’il s’empresse d’arriver. On prend un petit déjeuner et on discute en attendant l’arrivée de Christian. Vanessa est une vicieuse, aussi perverse que mon beauf et moi. Elle adore que l’on s’occupe d’elle, de ses trois orifices, mais elle a aussi un penchant pour le voyeurisme. Elle veut juste nous regarder baiser entre mâles, nous mâter, et me détaille ses envies de scénarii.Elle a juste terminé de m’exposer ses idées que l’on sonne à la porte.Elle va ouvrir, à poil, et mon beauf entre. Ils échangent un baiser, puis il reste interloqué en voyant le cordon qui pend entre ses cuisses:— Tu as tes règles?— Et oui, comme toutes les femmes, il faut bien que ça arrive. Ca te dérange?— Non, mais ne compte pas sur moi pour m’occuper de ta chatte.— Ne t’en fais pas pour ça, j’ai l’habitude de faire abstinence, et puis il me reste deux trous disponibles (je me doutais qu’il serait hostile à ses menstrues, et ai demandé à Vanessa de ne rien dire de nos orgies sanguines). Et puis si je t’ai fait venir c’est pour vous voir baiser entre mecs, m’offrir un beau spectacle de mâles homo.— Salope, tu me fais déjà bander, rien qu’à y penser. On va t’en mettre plein les yeux. Il s’approche de moi, je suis à poil moi aussi, on se fait la bise, puis il s’étonne de mon pubis tout glabre:— Tu te rases maintenant?— C’est Vanessa qui voulait que je sois présentable pour sa copine. Tu trouves comment?— C’est superbe, j’adore.— Elle peut te raser si tu veux, elle fait ça très bien, et elle est d’une exquise douceur.— Ok, ça marche.Il demande son accord à notre copine qui accepte de bon cœur. Il se déshabille et confie son intimité aux doigts experts de notre hôtesse. Elle s’applique, avec délicatesse, à supprimer jusqu’au moindre poil de son bas ventre, de ses couilles, de sa raie. Elle semble satisfaite du résultat et voit mon regard admiratif et désireux:— Ca lui fait une queue encore plus belle, tu ne trouves pas?— Oui, elle est magnifique, on en mangerait.C’est mon beauf qui me répond:
— Ne te gêne pas, sers toi si tu as faim.Je ne réponds pas et m’accroupis aussitôt. J’ai sa queue en main, sa grosse queue mi-molle mi-dure, je la caresse quelques instants avant de la prendre en bouche. Je la sens se raidir, s’épanouir, et je la libère pour décalotter le gland et le lécher avant de l’engloutir en gorge profonde. Mon beauf semble ravi de ma prestation:— Hum, salaud, c’est bon comme tu suces. Tu as dû en bouffer des bites mon cochon!— Oui, à la pelle, j’aime trop ça. Et toi, tu suces aussi si j’ai bien compris.— Oui, à chaque fois que je peux. Lève toi, je vais te montrer.
Je me redresse et c’est à son tour de se baisser. Il se jette sur mon manche bien dressé et l’engloutit en une seconde. Sa bouche va et vient sur ma colonne avec d’énormes bruits de succions tellement il salive. Je suis aux anges, le traite de salaud à mon tour, le félicite, puis le relève pour le pomper à mon tour.Vanessa est comme une folle, hystérique, nous complimente, nous traite de tous les noms. Elle se saisit d’une caméra, celle que lui a offert gp, son grand-père, pour filmer leurs orgies incestueuses. Elle nous filme sous tous les angles et on joue le jeu pour lui offrir le meilleur de nos positions masculines. On se turlute à tour de rôle, selon le désir de notre compagne, puis on va à sa chambre pour lui offrir un 69 masculin des plus chauds. Elle nous filme toujours, et on l’entend jouir, preuve que notre séance lui fait de l’effet. A force de se pomper, nos queues, et surtout nos couilles, vont forcément se soulager. On respecte alors ses désirs, et on va éjaculer chacun son tour dans la bouche de l’autre. Je suis à genoux devant mon beauf, la gueule grande ouverte, la langue sortie, et il se branle sauvagement pour se faire gicler et recouvrir ma menteuse de sa sauce épaisse et abondante. J’avale tout, je nettoie sa queue, et c’est à lui de s’agenouiller pour recevoir et dévorer ma semence.On est épuisé et on fait un pause.On s’assied au salon et Vanessa vient se mettre entre nous et démarre sa vidéo. Elle branle nos bites pour leur redonner de la vigueur, tandis que le film s’écoule. On se voit se sucer, dans toutes les positions, on se voit décharger dans la bouche de l ’autre et qui avale tout. On voit aussi cette salope de Vanessa qui se masturbe violemment en nous matant, la caméra dans une main et un gode dans l’autre. Elle frotte son clito, le frappe sauvagement, enfonce son joujou dans sa chatte, pas trop pour laisser son cordon dépasser, puis suce cette fausse bite aussi vraie qu’une vraie.Ses mains qui coulissent sur nos sexes, ces vidéos hyper chaudes, font que nos queues se redressent à nouveau, et de façon magistrale, des triques béton.On va passer à la séance suivante, celle dont on rêve tous, mon beauf et moi pour qui ça va être une première, et cette putain de Vanessa qui veut enfin voir du réel.; on va s’enculer.Mon beauf s’offre à moi, sous prétexte que c’est moi qui ai eu l’idée de notre séance. Il est à quatre pattes sur le lit, écarte ses fesses, s’offre comme une pute. Je lèche son fion, le doigte, le dilate, jusqu’à pouvoir y planter mon pieu. Je l’embroche sauvagement, comme on embroche tous les deux des fiottes sur autoroutes, je lui casse le cul, le fait hurler de plaisir. Je suis crevé , n’ai pas joui, et je m’offre à lui. Il me monte à son tour, me lime de toutes ses forces, jusqu’à épuisement. Je reprend le relai, et Vanessa nous filme toujours tout en se godant le cul avec un de ses jouet:— Salauds, salauds, oh putain c’est bon ce que vous vous mettez dans le cul. Oh, vous me donnez envie, j’ai envie d’une grosse bite entre les fesses.C’est mon beauf qui me défonce et qui lui répond:— Quand tu veux ma chérie, je peux changer de trou si tu veux. Enlève ton gode, salope.— Non, je veux vous voir vous casser le cul comme des chiens. Vous êtes des putains d’enculés, et ça m’excite trop de vous voir. Vas-y, remplis lui le cul de ton foutre, et puis il va tout bouffer.On a promis d’obéir à ses désirs et, après que mon beauf se soit soulager entre mes reins, je me torche le cul avec les doigts pour les sucer et savourer sa chaude et abondante semence. J’ai tout avalé, et c’est maintenant à mon tour de sodomiser mon salaud de beauf et de me répandre abondamment entre ses miches. Il reçoit mon offrande avec plaisir et récupère tout pour la dévorer lui aussi.On fait une pause, et Vanessa nous passe sa nouvelle vidéo. On se voit s’enfiler à tour de rôle, on s’entend grogner et jouir, on entend nos obscénités et insultes. On voit aussi Vanessa qui s’est auto filmée: elle se gode le cul, enfonce son joujou au plus profond, jusqu’à le faire disparaître. On est assis sur le canapé avec mon beauf, on se tripote chacun sa queue dans l’espoir de la réveiller, et Vanessa est assise dans un fauteuil, les cuisses relevées sur les accoudoirs. Elle offre son cul à notre vue, son cul grand ouvert et dans lequel on devine un passager noir. C’est un de ses godes qu’elle s’est introduit en entier. Elle pousse pour l’expulser à moitié, le renfonce, l’expulse à nouveau entièrement, le suce, se le remet profond, et n’en finit pas de recommencer.On lui propose de l’enculer dès que l’on sera en forme, mais elle refuse. Elle veut que l’on s’enfile encore entre hommes et nous propose de participer lors de ma prochaine venue, et quand j’aurais acheter les godes ceintures.Mon beauf rebondit sur cette proposition, nous dit qu’il connait un sex-shop tout près d’ici, et se propose d’aller acheter un beau joujou et de revenir dans moins d’une heure. On s’accorde sur la mensuration, un calibre légèrement supérieur à celui de mon beauf, déjà plus imposant que le mien.Il est de retour une bonne heure après, plus de temps que prévu, ce qui nous a laissé le temps de reprendre des forces.Vanessa s’équipe de sa fausse et trop belle queue, et on va s’aimer tous les trois. On s’encule entre hommes, on encule Vanessa, elle nous encule, on se fait des brochettes à trois, chacun son tour au milieu, enculeur et enculé.On se pénètre pendant plus d’une heure et on va enfin jouir. Je me répands entre les fesses de Vanessa, mon beauf bouffe son cul pour récupérer ma sauce, puis roule une pelle goulue à notre femelle pour se partager mon offrande. C’est ensuite au tour de mon beauf d’éjaculer dans le cul de notre compagne, et à mon tour de le lui vider le cul et partager un long baiser goulu.On est en fin d’après midi et on met fin à notre rencontre. J’ai un train de nuit à vingt-deux heures, Vanessa doit se reposer de ce long week-end, et Christian n’a pas d’autre choix que de partir en même temps que moi.En fait je n’ai mon train que le lendemain matin, et on s’est entendu avec Vanessa pour se débarrasser de mon beauf. Il ne veut pas de sa chatte saignante, alors qu’elle aime trop baiser dans cette période, et que ça me plait moi aussi.Je la rejoins après un faux départ, et on baise comme des bêtes. Je l’ai remplie de foutre et j’ai la queue en panne. Elle me suggère alors de m’équiper du gode ceinture pour la prendre en levrette, chatte et cul en alternance. Je la défonce tant que je peux, jusqu’à rebander. Je me tiens une bonne gaule, et je vais lui offrir une double pénétration: ma vraie bite dans son huître, et ma fausse dans son anus. Elle jouit doublement cette chienne, étant de tous plaisirs, buccale, vaginale, clitoridienne, et plus que tout anale. C’est trop bon de la baiser, de l’entendre jouir, et je finis par me répandre dans son ventre.Je bouffe sa chatte, récupère mon sperme, et recrache tout dans sa bouche. Elle avale.On se fait un câlin et on prévoit nos prochaines rencontres.On va se voir une fois par mois, durant huit jours. Ce sera autour des week-ends où elle aura ses règles et avec sa copine. Il me reste à convaincre mon beauf de participer, et je suis sûr qu’il est assez pervers pour accepter.On se couche et on va s’enculer toute la nuit. FIN
