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La vengeance du cocu mécontent, suite 3 réécrite

Chapitre 2

Erotique
La conclusion de ma vie précédenteDans un journal de quartier, faits divers. La mort de la reine marocaine de la turlute, Marie Blanchot a été retrouvée étouffée à son domicile, la gorge encombrée de semence, les obsèques se feront dans toute intimité au cimetière des chiens écrasés, la faculté ayant refusé son corps à fin d’expérience. Je vois qu’elle avait repris son nom de jeune fille, finalement dans sa déchéance, elle a quand même voulu m’épargner le rapprochement du nom de famille.
Myriam
Aïcha m’a fait trois beaux enfants et  après la mort de Marie, je lui proposais le mariage, ce qui réglait tous les problèmes de papier.Est apparu un autre problème, Aïcha avait une autre sœur Myriam, beaucoup plus jeune qu’elle, mais ses parents n’ont pas amélioré sensiblement leur situation financière, elle voyait clairement que ses parents allaient la vendre pour la prostitution. Aïcha m’a suggéré de marier aussi sa sœur, ce qui est possible si on est musulman. Pour moi, se posait le problème, est-ce que c’était légal en France ou en Belgique ou en Suisse à défaut ? Car il n’est pas évident de se marier en polygynie, même de religion musulman pour faciliter la venue de sa sœur en Europe. Ce n’est pas que la conversion à une autre religion me pose un problème quelconque, s’il y a bénéfice.Il en ressort que c’est possible que religieusement, mais en aucun cas civilement. Mais on pourrait invoquer le rapprochement familial pour la faire venir en Europe. Je pose la question à Aïcha :
– Est-ce que ta sœur serait d’accord de venir en Europe ? Pose-lui la question ! Et n’oublie pas de demander à tes parents combien de chameaux il faut offrir pour l’obtenir, ajoutais-je en rigolant.
Une semaine après, nous reçûmes deux réponses, oui, sa sœur voulait bien venir en Europe pour échapper à la prostitution et les parents étaient divisés entre le prix à payer, une nouvelle Renault R4 (c’était la demande du père qui voulait changer son R con contre une R4) ou une machine à laver qui dit bonjour quand on l’ouvre, c’était la demande de la mère.
Comme je savais que le bled où habitaient ses parents n’avait ni l’électricité, ni l’eau courante et il n’existait pas de canalisations d’égout que pour ceux qui en avaient les moyens, le problème de la machine à laver ne se posait pas. Si de changer son R con serait un plus pour le père, il faudrait encore qu’il ait les moyens de se payer du carburant et surtout qu’il sache conduire. Finalement, j’ai voulu leur proposer une dote utile pour eux, l’achat d’un terrain agricole suffisant et une serre conséquente pour faire de la culture biologique en vue de l’exportation et surtout un mode d’emploi vidéo avec lecteur. (un livre aurait été mieux, mais je sais que la lecture, dans une langue étrangère n’est pas leur fort, aussi je demandais à Aïcha de leur traduire sur cd un mode d’emploi en arabe marocain. )
Je m’assurai encore qu’il n’était pas nécessaire que je sois obligé de me faire couper le prépuce, vu mon âge et finalement, je me préparais à dire qu’Allah est grand, même très grand et que Mahomet est son prophète, Je m’enquis au près des autorités compétentes sur la possibilité du rapprochement familial, tout semblait baigner dans l’huile. Cependant, pris d’un doute, je demandais à ma femme si elle avait une photo de sa sœur, que je voie un peu à quoi elle ressemblait.
Bien que nous ne reçûmes pas de réponses directes à notre dernière demande, on nous invitait à venir une semaine pour faire les choses en ordre. Avant de partir, je m’assurai que ma banque était liée avec la Banque Royale du Maroc.En arrivant, nous nous installâmes dans un hôtel modeste qui était à 3 ou 4 km de la famille. Ainsi, nous étions indépendants, car nous avons fait le voyage en voiture. Nous avons recherché un terrain agricole dans les environs du domicile des parents d’Aïcha et nous trouvâmes quelque chose de très bien, restait à importer une serre, ce que je fis avec un entrepreneur local qui s’engagea à l’importer et la monter pour un prix modique.
Par la suite, avec Aïcha, je me rendis chez l’Imam local et il enregistra ma conversion pour une modique somme et tout était prêt pour le mariage. Ali le père, bien que frustré de sa voiture était cependant super content de mon cadeau qui allait peut-être les sortir de la misère. Je le rendis attentif de ne pas faire des investissements coûteux sans avoir une garantie d’écoulement de sa production et qu’en cas de propositions de vente, de faire dépendre le payement, du prix de vente qui était à garantir.Enfin, je pus voir ma promise, je ne fus pas déçu, moi qui commençais à apprécier de plus en plus le charme des femmes maghrébines. Le mariage fût célébré très modestement, la famille étant peu nombreuse et surtout ne s’était pas montrée très solidaire avec le père de la mariée, la cérémonie s’est faite simplement, même en l’absence de la mariée, vu qu’elle n’a pas droit au chapitre selon la loi musulmane.

La nuit de noce fut une épreuve assez difficile à résoudre. Aïcha n’ayant pas gardé un souvenir positif et impérissable de son dépucelage avant d’être destinée au turbin, voulait que sa sœur rentre dans la vie amoureuse, avec un bon souvenir de ce moment-là, elle tenait absolument à m’aider à ce que tout se passe bien.Après avoir pris un bain rituel, nous nous retirâmes dans notre chambre d’hôtel et nous nous sommes déshabillés. Myriam ouvrit de gros yeux en fixant mon sexe, à moitié en forme :
– Mais Aïcha, il n’a pas un sexe ḥalāl, cela ne va pas.– Je m’en doutais que tu ailles dire des conneries. Regarde-moi ! j’ai des enfants avec lui et je ne suis ni malade, ni damnée. Si tu veux te lancer dans la prostitution, parce que tu ne veux que du sexe ḥalāl, je ne suis pas sûr que tu vas y gagner, penses-tu que ton souteneur va tenir compte de tes remarques quand tu dois gagner ta vie et la sienne avec tes cuisses ? L’imam l’a dispensé de l’opération vu son âge et pour le mariage, donc ne soit pas plus docte que lui. – Oui, mais je ne sais pas ce qu’il faut faire.– T’occupe, c’est lui qui va faire ce qu’il faut. Tu avais deux options qui aboutissent au même résultat :… Tu te refuses et il est obligé de te violer pour son honneur. … Tu te soumets et tout se passe bien. … Heureusement que tu as choisi la bonne option, du reste je vais t’aider, car je suis un peu responsable de ton mariage. Déshabille-toi et mets ce joli déshabillé que j’ai acheté exprès pour toi et ton mariage.
Sortant de la douche, je vois mes deux femmes sur le lit nuptial en petite tenue, Aïcha massant ma nouvelle épouse pour la décontracter. Je m’assois de l’autre côté de Myriam et la félicite de sa beauté. (toutes les femmes adorent qu’on les félicite de leur beauté, alors vu que cela ne coûte rien, autant leur faire plaisir), Aïcha me demande :
– Tu désirerais que je lui teinte les seins avec du henné ?– Tu peux, mais après, c’est toi qui les lécheras et suceras, j’aime pas le goût du henné et je pense que pour ta sœur, de se faire caresser, lécher et sucer les seins, juste avant la pénétration fera que son pucelage partira agréablement.– Tu as raison, je n’aime pas non plus le goût du henné. Veux-tu que je lui rase la motte ?– Non, c’est très bien comme cela, éventuellement juste les bords des grandes lèvres, en me disant que ce serait dommage d’abîmer une si belle toison.
Pauvre Myriam, elle ne sait à quelle sauce, elle va être mangée, il faut que je sois très doux avec elle si je veux l’apprivoiser.
Doucement, je lui caresse la nuque, ses cheveux, lui donne de petits bisous dans le cou, puis lentement, je commence à descendre vers la poitrine qu’elle a ma foi bien jolie, après l’avoir doucement caressée dans son ensemble, je me concentre sur les tétons qui s’érigent, sa peau est parcourue de frissons. – Tu as froid ? je lui demande– Non, mais je n’ai jamais eu ces sensations, cela me fait frissonner, mais j’aime bien.
Continuant la manœuvre, délicatement je pose ma main sur sa belle toison et la caresse amoureusement, je sens une certaine humidité poindre au bout de mes doigts quand je m’approche de ses grandes lèvres et son petit pistil a surgi de son étui et demande qu’on s’en occupe. Je prends la peau qui l’entoure et le caresse lentement, ce qui contribue à augmenter l’humidité de son cloaque. Je me déplace pour me mettre en face de son sexe et j’avance ma bouche pour recueillir son nectar, ce qui provoque un mouvement de recul. Heureusement qu’Aïcha est là pour la rassurer en lui expliquant qu’en Europe, les maris aimant font toujours cela à leur épouse et qu’elle verra, c’est très agréable pour ne pas dire délicieux. Myriam se calme et me laisse investir avec ma bouche sa bouche d’en bas, son jus est bon quoiqu’un peu fade, comparé à celui de sa sœur, mais en insistant, il commence à avoir un goût tout à fait agréable. Suite à mon léchage et le suçage de son clitoris, Myriam manifeste une excitation de plus en plus forte et les coups de rein, conjugués à sa main sur ma tête me font penser que c’est gagné. La belle prend bien son pied et pas qu’un peu. je sais que maintenant, je vais pouvoir la dépuceler dans les règles de l’art.
– Aïcha, je pense que je vais venir en elle, mais avant, tu ne lui lécherais pas les seins ? Cela augmentera encore son excitation et son dépucelage va passer comme une lettre à la poste.– J’ai jamais fait le suçage des seins d’une femme, si ce n’est comme bébé, c’est spécial.– Il faudra bien que vous vous habituiez l’une à l’autre aussi comme cela.
Sans se faire prier plus, elle penche sa tête, vers la poitrine de sa sœur et commence à lui sucer le sein droit alors que le téton gauche est titillé par sa main. Sans attendre, je place mon sexe à l’entrée du vagin de Myriam et caresse avec ma perforatrice les bords de son sexe, je veux que ce soit elle qui se lance à l’assaut de ma queue. Après quelques jurons en arabe que je ne comprends pas, soudain, mon intuition se révèle juste et d’un coup de rein, elle s’embroche brusquement sur ma queue se déflorant elle-même. – Aïe murmure la pauvre enfant, plus aïe, vas-y.Alors je me mets tranquillement en mouvement et commence à labourer ce champ qui était inculte jusqu’à ce jour, le soc de ma charrue s’enfonce et ressort régulièrement, presque comme un métronome, Aïcha n’a pas quitté son poste et suce toujours le sein de sa sœur qui lui maintient la tête sur la poitrine. Myriam ne sent plus sa douleur première, mais apprécie de plus en plus le mouvement alternatif de mon bélier qui baratte cette jolie conque tout ce qu’il peut. Elle se crispe, ses mains ont abandonné la tête de sa sœur pour venir m’enserrer contre elle, je sens ses griffes me labourer le dos, il n’en faut pas plus pour que je décharge mes munitions et lui arrose son puits d’amour, déclenchant son orgasme.
Flapis, épuisé, je m’écroule sur le dos quand d’un coup, je sens qu’Aïcha m’a pris la bite dans la bouche, malgré les traces de sang de sa sœur et essaye de ranimer le colle os, mais patience et longueur de temps font plus que force ni que rage, dit le proverbe, à force de léchouilles et de bisous, mon obélisque relève la tête.
À ce moment-là, Aïcha invite sa sœur à rendre hommage à ce qui lui a donné ce bel orgasme. – Viens sœurette, Viens dire merci à ce bel organe. Il est tien désormais comme il est aussi mien, on va se le partager avec amour.S’ensuit une discussion en arabe que je ne comprends évidement pas, jusqu’à ce que Aïcha me traduise les propos : – Elle aimerait d’abord un baiser français avec toi. – Je veux bien, mais dans ma bouche, c’est pas l’odeur de dentifrice, mais de sa moule en jouissance. Si cela ne lui fait rien.
Rebelote en arabe et Myriam me prend le visage et me colle ses lèvres contre les miennes et me lèche les lèvres. À ce moment, profitant de ses bonnes dispositions, je sors aussi ma langue et nous jouons à nous l’entortiller, pendant ce temps, curieuse, elle descend sa main vers mon bas ventre et me prend la gaule et la caresse et enfin, abandonnant ma bouche, place sa tête sur mon ventre et viens observer ce serpent qui l’a si bien bourrée. Elle le caresse doucement, tire un peu, beaucoup sur la peau, contemple l’objet et une fois bien décalotté, elle dit :– Maintenant, il est hallal je peux le goûter.Mais comme c’est sa première turlute et que son éducation dans ce domaine était plus que succincte, évidement les petites dents se mettent de la partie, causant un sentiment très désagréable. Je me sens obligé d’intervenir : – C’est pas une merguez, ne plante pas les dents dedans, c’est très désagréable.À ce moment, sa sœur comble, en arabe, son manque de connaissances et lui explique la marche à suivre, tout de suite c’est meilleur, c’est une excellente instructrice mon Aïcha. À nouveau, j’ai la trique quand se pose la question qui va en bénéficier.– C’est la nuit à Myriam, moi j’aide seulement. Va et satisfais-la, Bourre et bourre et ratatam. Me dit-elle. Pique Dame.– Oui, mais j’aimerais qu’elle me le demande en français, puis en arabe, il faut que je sache au moins quelques mots. Myriam me dit alors : – Toi encore, puis elle ajouta « Ouada dekofi beledi kas » traduit en caractères : وضع الديك في بلدي كس Et me revoilà comme un ouvrier de la voie ferrée avec la pioche à bourrer en mouvement, mais même si après cette première passe d’armes, j’arrive bien à maîtriser mes émotions, à la longue de faire des pompes, ça fatigue et je me démanche et me couche sur le dos.
La belle fait une mine désappointée, mais je la rassure en lui faisant signe que maintenant c’est à elle de venir dessus. Là, alors, c’est l’explosion, tout y passe, c’est pire que Gengis Khan quand il semait la terreur à travers la steppe, c’est la horde d’or qui défile sur Bagdad. Un rythme d’enfer, si elle continue elle pourrait presque participer aux épreuves olympiques.
Finalement, après un galop endiablé, elle s’abat sur ma poitrine à bout de souffle, non sans avoir avisé le monde d’une série d’onomatopées bruyantes en arabe dont je vous passe la traductionاللحمة، ياهو، أطير، يه! الله شكرا لك، وأكثر من ذلك *
Le lendemain matin, toute la famille est rassemblée devant le balcon, attendant la suspente du drap nuptial, mais je ne le savais pas. C’est Aïcha qui m’a annoncé qu’il fallait le suspendre au balcon. Ce fut une explosion de joie, comme si c’était eux qui avaient participé au perçage du tunnel du Mont-Blanc Nous reçûmes avant de partir un beau tapis de Tlemcen, un couscoussier géant, malheureusement inutilisable avec notre plaque à induction, un coran arabe-français, un nécessaire pour faire le café maure, mais avec les mêmes remarques que pour le couscoussier. On a remercié le mieux possible en se posant la question à qui va-t-on pouvoir les refourguer puis nous rentrâmes en Europe.
Conformément à la tradition musulmane, chaque épouse avait sa chambre à elle, je n’ai pas poussé le vice si loin pour leur faire une entrée séparée pour chacune, il ne faut pas pousser le bouchon trop loin. Mais la nuit, on dort les trois ensembles et parfois avec un enfant s’il n’est pas bien ou dérangé dans son sommeil. Bientôt le ventre de Myriam s’arrondit et neuf mois après notre mariage, un nouveau né naquit**, un beau garçon. La joie dans la famille, mais les ennuis ont commencé. Le maire et l’officier d’état civile ont fait mine de faire un scandale, Je leur rappelais que j’avais des enregistrements de leurs actions avec ma précédente femme et qu’il serait mieux pour tout le monde qu’ils restent où ils sont, ces enregistrements
– Mais il faut le reconnaître et comment allez-vous faire pour le nom ?– Mais bien sûr que je le reconnais et du fait que je le reconnais, il prendra mon nom et cela ne gênera personne, au besoin, je l’adopterai ou je dirais que c’est l’enfant de ma femme, comme cela il n’y a pas de problème administratif.– Cela peut aller, mais les intéressées doivent confirmer qu’elles sont d’accord.– Qui veut recueillir sa déposition ? Pour Myriam, il faut qu’il y ait sa sœur, ma femme, pour lui expliquer le problème, elle ne parle pas encore très bien le français, mais cela ne devrait pas poser de problème, au pire venez avec l’Imam de la mosquée pour être sûr que tout est en ordre et qu’il n’y a pas d’entourloupe en arabe, mais il faut d’abord que je lui parle et qu’il ait le temps de se renseigner chez son confrère au Maroc. 
En sortant, j’ai quand même une pensée émue pour feu mon ex épouse, grâce à ses turpitudes et à la largeur de ses relations, j’ai l’administration locale dans la main. Merci Marie si tu me vois de là-haut.
PS je ne sais si l’inspiration me viendra pour une suite. Tantum dicam, futura* Merci Google-traduction pour les onomatopées. ** excusez ce pléonasme, car que peut faire en premier un nouveau né à part naître?
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