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Vengeance personnelle

Chapitre 2

Travesti / Trans
Vengeance personnelle---------------------

Chapitre 2 : La transformation
J’avais tout préparé. L’entretien aurait lieu le lendemain, parfait, cela ne lui laisserait pas le temps de réfléchir à la situation. J’avais informé mon amie Amélie. Elle était au courant de la situation, la filature et la découverte de l’infidélité de mon petit ami. Immédiatement, elle avait décidé de marché dans la combine. Elle tenait un bar, discothèque et avait justement le poste parfait qui venait de se libérer. Son responsable de salle, Anthony cherchait une serveuse pour le service des clients depuis le départ d’une collègue en congé maternité. Amélie le placerait sous les ordres d’Anthony et il verrait ce que c’est d’être une femme.
Le jour J, Sofiane était particulièrement stressé. En matinée, j’avais fait venir la jeune femme dont j’avais parlé à Sofiane. D’après les sites que j’avais consulté elle était très talentueuse. La sonnette retentit. Une jeune femme dans la trentaine, dans une jupe noire et un chemisier se tenait dans l’entrée perchée sur des talons haut. Je la conduisis vers la cuisine. Elle déposa un sac de cuir sur la table et commença à étaler ses affaires. Sofiane était assis sur la chaise et son regard en disait long sur son état. Il n’était pas rassuré pour mon plus grand plaisir. Elle prit sa pince et commença par lui épiler les sourcils pour le rendre un peu plus féminin. Quelle surprise de le voir sans ses épais sourcils broussailleux les lèvres plissés par les petites douleurs des poils arrachés. J’affichais un sourire satisfait, c’est alors qu’en m’observant un accès de panique le pris :
« Comment vais-je faire pour pouvoir retrouver mon apparence d’homme ? »
L’esthéticienne le calma :
« Ne t’inquiète pas de nombreux hommes se font épiler les sourcils et si tu ne veux pas qu’on te remarque dans la rue ou au travail il faut que ce soit bien fait. J’étais impressionné, elle avait si facilement convaincu Sofiane. Elle avait surement beaucoup pratiqué la manipulation. Je ne devais sûrement pas être la seule à recourir à ses services.
Sofiane restait la bouche close, dans le silence. Au fond de moi, j’adorais le voir dans cet état. Mathilde effaçait peu à peu les dernières traces de masculinité sur son visage en appliquant un peu de poudre sur les joues et du fond de teint. Elle saisit un rouge à lèvre et dessina ses lèvres. Puis, sans prévenir, elle saisit dans son sac des boucles d’oreilles et lui les installa et se planta en face de lui pour contrôler le résultat. Je me retenait de rire pour ne pas gâcher toute l’opération. Elle commença à lui couper les cheveux pour lui donner une allure plus efféminée.
« Est-ce vraiment nécessaire, je ne pourrais pas porter une perruque ? » demanda Sofiane
« C’est très dispendieux et si elle est mal portée ça te trahirait immédiatement. Je vais te faire des ajouts pour que tes cheveux paraissent un peu plus longs » répondit-elle.
Ensuite, la partie délicate allait débuter, j’avais demandé à l’estéticenne de lui faire l’intégrale, pour moi le visage ne suffisait pas. Il fallait enlever l’épaisse couche de poils sur ses bras qui risquaient de se découvrir, son torse ou les regards allaient se poser, ses jambes et le maillot par la même occasion. Je voulais qu’il souffre comme une vraie femme souffre quand elle doit se faire belle. Pour les bras, le torse et les jambes aux bandes de cires ce fut assez rapide. En revanche pour le maillot...
« Je refuse ! » Dit-il tout net
« Il va bien falloir sinon tu risques d’être trahi à un moment ou un autre je peux laisser faire ta petite amie si tu veux et que tu es gêné par ma présence » rétorqua Mathilde
Il acceptait à conte cœur. Je procédais à la coupe. Elle prit une bonne dizaine de minutes et lui arracha au passage quelques supplications. En revanche à la fin, il était doux et lisse comme je ne l’avais jamais vu. Je notas mentalement qu’il faudrait que j’en fasse part à mon prochain petit ami, pour bien des choses ça me rendrait la vie plus agréable.
La matinée avançait et ce fut le temps de passer à l’habillage. J’avais fait un peu de shopping pour l’occasion. Je lui tendis deux sacs, le premier contenait une jolie culotte noire avec des motifs et un ruban en dentelle rose. Il l’enfila lentement comme à regret. Elle était exactement à sa taille, j’avais bien choisi. Il se plaignit de tout le reste de l’accoutrement.
« Pourquoi les chaussures à talons, c’est difficile de marcher et pourquoi pas des escarpins ? »
J’étais étonné qu’il connaisse se mot lui qui détestait le shopping.
« Le soutien-gorge rose avec le ruban noir c’est vraiment nécessaire alors que je n’ai pas de seins ? »
Enhardie par son nouveau look et sa tenue, je mis mon doit sur sa bouche et lui fis signe de se taire. Il commençait tout juste à voir de quoi j’étais capable. Il restait silencieux lorsque je lui fis enfiler la culotte de maintien pour dissimuler son sexe. Il était tout plat comme une vraie femme et même avec le maquillage, je le vis rougir. Enfin, quand tout fut achevé le résultat était bluffant, personne n’aurait soupçonné l’homme qui se cachait derrière cette femme. Son beau chemisier blanc et vaporeux et son parfait tailleur noir faisait de lui la parfaite serveuse de bar. Avec l’aide de Mathilde, nous lui donnâmes quelques cours sur les manières à adopter pour paraitre plus féminine en société. Conserver les jambes croisées lorsqu’on est assise, ne jamais faire dépasser sa culotte, marcher convenablement avec des talons. Il s’entraina en face de nous. Je dois dire que cette idée m’excitait beaucoup. Enfin, nous lui tendîmes un miroir pour qu’il puisse voir à quoi il ressemblait. Il n’avait pas encore pu se voir depuis le début de l’opération. Quand je revois la scène, je regrette tellement de ne pas avoir immortaliser cette image sur mon appareil photo plutôt que dans ma tête.
L’horloge indiquait midi et Mathilde pris congé. L’entretien avait lieu à 14 h et approchait à grand pas. A cause de tous ses changements, je le sentais mal à l’aise et je lui proposais gentiment de le conduire au travail. Le bar n’était qu’à quelques rue de l’appartement mais marcher dehors, je pense qu’il ne l’aurait pas supporté. Le trajet fut assez cours, en sortant de la voiture, je lui tendis un sac à main.
« Pourquoi me demanda-t-il ? » "
"Toutes les femmes ont un sac à main, ma chérie, tu ne penses quand même pas faire exception à la règle ».
Je lui donnais quelques ultimes conseils. Il fallait faire très attention à son maquillage pour ne pas se trahir. Pour finir, je lui annonçais que j’étais fière de lui, qu’il comprendrait mieux la vie des femmes après ça. Personnellement je trouvais pour une fois, il saurait ce que c’est d’être à ma place. Je lui promis de l’attendre jusqu’à son retour de l’entretien. Il montait les marches et je voyais cette belle femme aux cheveux noirs entrée dans le bar. Une heure plus tard, je le vis sortir du travail. J’étais légèrement stressé que quelqu’un a découvert la supercherie. Mais il revint, avec un léger sourire aux lèvres. L’entretien était terminé et il s’était déroulé avec succès. J’avais hâte de connaitre les détails de son entrevue. Il m’annonça qu’il commencerait le travail de serveuse le lendemain, sous le joli nom de Sophia.
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