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Venise train de nuit

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Bonjour,Cette histoire est réelle pour l’essentiel. Elle a juste été un peu modifiée pour les besoins du récit.Anne, mon épouse et moi avions décidé pour notre St Valentin d’il y a quatre ans, de nous offrir un séjour dans une ville italienne réputée favorable aux amoureux. Nous avions réservé notre voyage dans un train de nuit, pratique, certes, mais aussi parce que c’était pour nous un fantasme. Nous avions pris une cabine en première classe.Nos enfants posés chez les parents de ma femme, nous nous sommes rendus à la gare de départ. Anne était dans sa période "brune". Cheveux longs bouclés, yeux verts, elle portait ce soir là pour notre voyage, un haut rouge élastiqué, froncé au niveau de la poitrine, avec un col en V très échancré qui se terminait par une fermeture éclair. Celle-ci, selon le réglage pouvait donner un vêtement sage ou très coquin, puisqu’il était possible d’ouvrir ce haut jusqu’à mi-ventre. Anne portait aussi une mini jupe en jean, ainsi que des bas auto fixants, le tout complété par des bottines noires. Pour me faire plaisir, car elle trouvait cela peu confortable, elle avait mis un soutien gorge de type "sous seins" noir, qui la soutenait mais laissait sa poitrine libre, presque comme si elle n’avait rien en haut. Elle portait également un string assorti. Elle s’était couverte avec un manteau noir long.Nous nous sommes rendus dans une salle d’attente ou se trouvaient déjà plusieurs personnes.Anne était très en beauté, particulièrement ce soir avec son maquillage qui rehaussait le vert de ses yeux. Son haut rouge vif moulait une poitrine en 95c qui attirait les regards. Ses yeux amusés par l’effet qu’elle faisait sur moi, en disaient long sur ce qu’elle devinait de notre première nuit en train couchette.Elle se tenait contre moi. Nous conversions sur des sujets anodins, mais une tension existait déjà. Une sorte d’excitation à l’idée de faire des câlins dans des circonstances inconnues pour nous jusque là.Je n’ai pu, à un moment résister à la tentation de lui baisser la fermeture de son top jusque sous le sous sein. Elle, en face de moi se laissait faire, sa poitrine était très visible et ses bouts commençaient à pointer à travers le tissu. Parfois elle se trémoussait. Je l’interrogeai du regard. Elle me souffla qu’elle trouvait son string peu confortable avec cette dentelle mal placée. Je lui montrai d’un mouvement du menton le WC. Elle me dit qu’elle serait ainsi le cul à l’air. Je lui répondis que c’était de toutes façons l’affaire d’un quart d’heures tout au plus. Elle attendit que la place soit libre et elle se rendit aux toilettes. Quelques instants plus tard, elle revint avec un sourire et me montra du regard sa poche gauche.Le haut parleur annonça la mise à disposition du train pour dans quelques minutes.A un moment, Anne sortit un mouchoir de son manteau. Le couple en face de nous, qui nous observait d’ailleurs du coin de l’œil depuis un moment, baissa les yeux pour fixer quelque chose au pied de mon épouse. La femme s’approcha et lui dit d’un ton pincé, "vous avez perdu une culotte, je crois madame". Anne baissa les yeux, aperçut son string se baissa pour le ramasser et le remettre dans sa poche. Elle avait dû le perdre en cherchant son mouchoir.Anne était aussi rouge que son haut . Au regard de ce couple, il était clair pour eux, qu’Anne avait enlevé sa culotte et se promenait dans la gare le cul à l’air. C’était des gens qui n’attiraient pas la sympathie : elle avec sa cinquantaine tassée et un air revêche, un peu négligée, le mari à peu près du même âge qui semblait peu dégourdi.De crainte que d’autres n’aient compris ce qui venait de se passer nous sommes sortis pour attendre la rame à l’extérieur. Il était 21 heuresEn fait, à peine dehors, un appel nous invita à nous rendre dans le train. Nous fûmes ainsi les premiers. Le Stewart nous invita à prendre possession de notre cabine qui se situait vers le fonds, près des toilettes et de son bureau/ mini bar. J’avais noté depuis l’extérieur que lorsque les cabines étaient éteintes, on ne voyait rien à l’intérieur, mais qu’en revanche, dès qu’il y avait un éclairage, on voyait l’aménagement dans les détails.Le compartiment était composé de deux couchettes superposées, d’un mini lavabo. L’ensemble était en bois verni rouge. Cela avait l’air confortable, du moins pour passer une nuit. Nous avons posé nos bagages et, profitant d’un moment sans personne dans le couloir, dans l’encoignure de la porte, j’en profitai pour embrasser ma femme. Non seulement elle me tendit ses lèvres et accueillit ma langue, mais elle se plaqua tout contre moi. Je ne pus résister à l’envie de lui descendre toute la fermeture éclair de son haut rouge. Elle me laissa faire en jetant un regard autour de nous, mais personne à proximité. J’allai plus loin en lui sortant carrément les seins . Elle était magnifique ainsi. Ses tétons étaient dressés. Elle avait écarté son manteau pour se laisser regarder mais aussi pour couvrir les côtés au cas ou quelqu’un aurait regardé par les vitres. Je sentais que la soirée s’annonçait sous les meilleurs hospices.Je pris mon appareil photo dans la poche et lui demandai de prendre la pose, après une hésitation et un « tu crois que c’est prudent ? », un peu mou, elle se laissa faire. Je pris quelques photos, puis je lui demandai de relever sa jupe. Anne accepta à condition de faire vite. C’est à ce moment que des gens sont montés dans le wagon. Ils étaient derrière Anne. Celle-ci voulut baisser sa jupe et fermer le manteau. Je lui demandai de rester ainsi, car je voulais la prendre avec le couloir occupé. Elle accepta mais en marquant ses craintes. Elle se remit en position, sa chatte à l’air, ses seins dressés. Essayant de voir si les gens s’approchaient. Je pris deux photos avant qu’elle ne referme son vêtement. Le couple qui nous avait repérés était juste dans la cabine d’à côté !.Nous sommes rentrés dans la notre. Je remerciai Anne pour ce moment rare et lui demandai après avoir fermé le rideau et la porte, d’enlever son manteau, de s’allonger en travers de la couchette basse. Elle accepta et je la pris de nouveau sous plusieurs angles en lui demandant d’ouvrir ses cuisses. A l’abri des regards, elle se laissa faire, la poitrine offerte et la mini jupe roulée à la taille. Cette situation était d’autant plus rare qu’Anne craignant que les photos ne tombent entre des mains étrangères ou de la famille, n’acceptait que fort rarement de se laisser photographier nue (j’ai gardé celles-ci en souvenir). Le train démarra. Nous nous redressâmes et ouvrîmes le rideau pour voir le départ. Elle avait baissé sa jupe et rentré ses seins.Alors que le train glissait lentement le long du quai, je lui caressai les fesses. Pour ne pas être gêné, je lui retroussai la jupe derrière. Elle me dit d’arrêter qu’elle n’était pas exhibitionniste, qu’elle voulait me faire plaisir mais pas me laisser montrer son cul à tout le monde. En effet, la jupe s’était aussi relevée devant, et se trouvait à la limite de son minou. Sans l’écouter, je lui demandai de mettre sa jambe droite sur la couchette. Elle le fit et je commençai, alors que nous nous trouvions devant des voyageurs sur le bout du quai, à lui caresser la chatte par-dessous. C’était excitant de savoir qu’en un éclair on pouvait nous voir et deviner ce qui se passait. Le train prit un peu de vitesse et nous passâmes devant des gares annexes. Je l’embrassai à nouveau à pleine bouche.Anne se retourna et me dit que si je fermais le rideau, elle pourrait me montrer sa surprise. Curieux, je m’exécutai. Elle prit une nuisette dans son sac et ma la montra, il s’agissait en fait d’un vêtement très court, transparent entièrement ouvert devant, qui fermait seulement par un ruban sous les seins, très évasé en bas semble-t-il. Anne me proposa de se « vêtir » avec. J’acceptai aussitôt. Elle enleva sa jupe. En se baissant, ses seins sortirent du chemisier. C’est à ce moment que le contrôleur frappa pour valider nos billets, pensant que nous étions en train de nous installer. Machinalement j’ouvris et Anne, affolée, s’assit sur la couchette et se couvrit avec son manteau. Je m’interposai et, en sortant, présentai les billets dans la coursive. Lorsque je revins, Anne était toute rouge. Elle me demanda si l’homme avait pu la voir ainsi, je lui répondis que c’était peu probable, ce qui était faux mais cela la rassura. Elle me fit fermer la porte à clef.
Elle enfila la nuisette et la ferma avec le ruban. Ce bout de tissu ne cachait en effet pas grand-chose : celle-ci s’échancrait à partir du ruban de maintien des seins, s’ouvrait sur le ventre et ne cachait rien, ni de son sexe, ni de ses cuisses. Elle finissait de plus au ras du cul et même légèrement plus haut, alors que la poitrine était découverte jusqu’aux tétons !. C’était un véritable appel au viol ce truc !.Je me déshabillai et après de brefs préliminaires, je la pénétrai sans difficultés : elle était trempée. L’excitation du voyage, le fait que nous avions anticipé et fantasmé, les photos coquines prises quelques instants auparavant firent que nous avons joui très vite et très bruyamment. Nous nous sommes allongés sur la couchette basse, essoufflés, en nage.Anne me dit que c’était dommage avec le rideau fermé de ne rien voir des lieux que nous traversions. Elle voulut se rhabiller pour pouvoir ouvrir le store. Je lui dis que c’était inutile, qu’avec la vitesse et en éteignant la lumière on ne pourrait pas nous voir et que je n’avais aucune envie de me rhabiller à ce moment. Elle ne semblait pas convaincue. Je lui dis que nous allions faire une expérience : lors d’un arrêt dans une gare avec des voyageurs en face , elle mettra sa nuisette et dans l’obscurité de la cabine, on verra si elle attire des regards.L’occasion se présenta peu de temps après. Elle remit sa nuisette et accoudée au garde corps de la fenêtre, elle put constater qu’aucun regard des gens sur le quai ne se tournait vers elle.Le train était à l’arrêt et nul ne prêtait attention à notre cabine éteinte. Peut-être, tout au plus aurait-on sans doute pu observer une ombre ?, et encore !.Rassurée Anne resta à observer le mouvement des voyageurs en attente . Je me glissai derrière elle, et recommençai mes caresses.Anne me demanda si j’avais encore envie car elle aussi, cela avait été bien mais elle en reprendrait volontiers. C’est ce que me laissait entendre son corps pendant mes caresses.Le train repartit. Je tirai sur le ruban de la nuisette et celle-ci tomba . Anne était nue à nouveau.Ma femme se retourna et m’embrassa. Elle me dit que çà lui faisait une impression un peu particulière d’être presque nue devant des gens sans qu’ils puissent la voir, mais finalement, ce n’était pas désagréable. Puis elle me prit la verge et se mite à me masturber. Je recommençai, moi aussi à la caresser. Elle s’assit sur la couchette basse. Je continuai à lui caresser les tétons, puis je remontai jusqu’à la tête que j’approchai de mon membre. Anne me demanda si je voulais aller dans sa bouche. Sans un mot je lui présentai mon pénis qu’elle prit aussitôt.C’était magique de rouler dans la nuit, de voir défiler des paysages nocturnes, le reflet de la lune sur la mer en contrebas, parfois des gares vides, alors que j’étais debout, autour des cuisses de ma femme, la tête dans les bras, appuyé sur la couchette du haut, nu, mon sexe coulissant dans sa bouche, ses mains sur mes fesses. J’étais bien . je voulus la voir avec mon sexe dans sa bouche que je devinais grande ouverte à cause de mon excitation, et je décidai d’allumer. Elle me dit d’éteindre car on risquait d’être vus. Je lui répondis qu’à cette allure je défiais quiconque de fixer quoi que ce soit dans un train. Elle me dit tant pis et reprit mon sexe . Désormais, je pouvais voir ma femme me sucer dans le reflet de la vitre. J’accompagnai ses mouvements de tête en relevant ses cheveux et en essayant de m’enfoncer en elle. Elle tourna la tête légèrement et se vit dans le reflet ; la bouche ouverte, ses lèvres coulissant sur ma verge. Elle enleva une main de mes fesses et la glissa entre ses cuisses. Anne cessa la fellation et me dit qu’elle avait envie, qu’elle voulait l’avoir dans son ventre.Sachant qu’elle aimait changer de position, je relevai la couchette supérieure et la fis mettre à quatre pattes sur le lit puis me glissant derrière elle, je la pris en levrette. Elle avait le visage face à la vitre. Je lui demandai de se tenir au garde corps en inox de la fenêtre pour se relever. Je continuai de la pilonner en mettant un pied au sol et un genou sur la couchette. Elle était nue face à la vitre. Elle avait aussi mis un pied à terre pour mieux se tenir et écarter ses cuisses. Elle se tenait cambrée, les seins masturbés par mes mains, exhibés à la vitre. Je la voyais dans le reflet de la fenêtre, la bouche ouverte, le bassin dans un mouvement de va et vient pour mieux être prise.Le train ralentit à plusieurs reprises pour passer des petites gares. Je vis des voyageurs l’air absent regarder passer le train. Je les imaginai réalisant ce qu’ils avaient pu percevoir de nous en un éclair.Anne jouit sans retenue lorsque j’accélérai le mouvement. Je dus lui dire de crier moins fort car les cloisons étant minces on risquait de nous entendre. Elle se retourna en nage et me demanda de prendre mon plaisir dans son ventre, de la remplir, d’éjaculer bien au fond de son vagin, qu’elle en avait très fort envie. Je le fis assez vite. Elle me dit à quel point elle aimait ces spasmes de mon pénis et le jet chaud qu’elle prenait au fond d’elle.Misère, nous ne nous étions pas aperçu que le train s’était arrêté dans une gare. Je plaquai mes mains sur la vitre pour éliminer le reflet et constatai que le quai était heureusement vide. Seules des vitres d’un abri nous renvoyaient une image déformée de nous. Je fermai le store aussitôt. D’ailleurs le train repartait. Je regardai l’heure : 1heure du matin !.Nous nous sentions fatigués mais heureux, rassurés aussi qu’il n’y ait eu personne sur le quai.Anne voulait aller aux wc avant de se coucher et faire aussi une petite toilette, difficile pour elle dans le minuscule lavabo. Elle me laissa celui-ci et envisagea de se rhabiller. C’était compliqué, aussi en accord, elle décida compte tenu de l’heure avancée, de sortir avec sa nuisette car les toilettes étaient toutes proches. Elle serra sa nuisette sur elle au niveau du pubis et s’en alla après avoir constaté que le bureau /buvette était fermé et qu’un ronflement indiquait que le stewart faisait un somme à l’intérieur.Je me couchai. Le temps me parut long mais la fatigue aidant je m’installai dans un demi sommeil.La porte s’ouvrit et je crus apercevoir Anne rentrer dans la cabine. Elle se blottit contre moi et me demanda de la prendre dans ses bras. je lui demandai ce qu’il s’était passé : silence. Devant mon insistance, elle me dit de la prendre à nouveau, sans explications. Bien que fatigué, je lui fis à nouveau l’amour, mais elle ne réagit pas vraiment. Allongés l’un contre l’autre, le sommeil nous gagna. Anne se leva très tôt, elle avait mal dormi, elle était agitée. Elle me demanda de préparer les affaires pour être prêts à partir vite. Devant son mutisme, je la suivis, certain qu’à un moment ou à un autre j’en saurai plus. Longtemps avant l’arrivée, elle me fit placer avec nos bagages près de l’entrée du wagon. Elle se retournait souvent soucieuse. Dès que le train s’arrêta, elle sauta de celui-ci et me demanda d’accélérer, vite. Je la suivis, intrigué par une telle attitude.Nous prîmes le premier bateau bus et nous éloignâmes de la gare. Dès que je la sentis plus rassurée, je lui demandai ce qui se passait.Après une hésitation, elle m’avoua ce qui s’était passé lorsqu’elle est sortie la nuit de la cabine.Le couple d’à côté, celui qui lui avait dit qu’elle avait perdu sa culotte, l’avait vue devant les toilettes : la femme en sortait au moment ou Anne s’en était approchée et son mari arrivait par derrière mon épouse.La femme, d’abord surprise, avait détaillé Anne et lui avait dit qu’elle allait appeler le stewart, qu’on allait nous débarquer après un tel comportement, qu’il était inadmissible qu’une femme se promène presque à poil dans la coursive, et en plus après s’être exhibée en train et de se faire baiser par son mec fenêtre ouverte pour bien qu’on la voie. Anne me dit qu’elle était très gênée, qu’elle avait bredouillé que c’était faux, qu’il n’y avait personne. La femme a dit qu’elle et son mari nous avaient vus dans le reflet de l’abri lors de l’arrêt du train.Elle s’apprêtait à aller appeler le stewart. Anne l’a suppliée de ne pas le faire. La femme lui répondit qu’elle n’avait pas le courage de ses gestes, juste celui de se faire baiser bruyamment et d’importuner les autres, ceux qui voulaient voyager normalement.Anne, presque nue dans sa nuisette n’était pas en position force. Il suffisait que les gens appellent pour qu’on constate sa nudité. Elle m’a dit avoir supplié, qu’elle ne savait pas que nous étions observés d’à côté. Tout cela en chuchotant pour ne pas réveiller le stewart.La femme réfléchit, puis dit à son mari de prendre son téléphone portable et de prendre des photos comme « preuves ». Anne suppliait de ne pas le faire. La femme s’approcha de la cabine du stewart. Anne terrorisée, a baissé la tête et vaincue, apeurée, a dit que c’était d’accord.Le type a sorti son portable, sa femme s’est approchée d’Anne et lui a enlevé les mains du bas de la nuisette. Celle-ci s’est écartée et Anne me dit sa honte de se montrer ainsi à ce moment. Elle qui était pudique à l’ordinaire. La femme tira sur le ruban et ses seins sortirent aussitôt. Elle dit à Anne se mettre entièrement à poil et demanda à son mari de la prendre ainsi. Anne me dit qu’elle voulait mettre ses mains sur son sexe et ses seins mais la fille l’obligea à les écarter. Lorsque le type prit la première photo, Anne tourna la tête pour être masquée par les cheveux.La femme lui ordonna de s’accroupir en écartant bien les cuisses et en se tenant les « nichons », vaincue, elle le fit en essayant de baisser la tête pour masquer son visage.On l’obligea ensuite me dit-elle à se mettre à quatre pattes en écartant les cuisses et en montrant bien ses tétons pendants. La femme fit un commentaire sur le contenu du « trou » de ma femme, encore dégoulinant de foutre. Elle obligea Anne à se cambrer et à écarter les lèvres de son sexe avec les doigts. Un bruit venant de voix venant du fonds du wagon fit que le couple, brusquement, battit en retraite. La femme se retourna cependant pour dire qu’elle reverrait Anne dès le lendemain, et qu’elle avait intérêt à y être. Anne se précipita dans le wc et après avoir procédé à une toilette était revenue avec beaucoup de précautions, après s’être assurée que tout était calme.Lorsque nous sommes revenus à notre domicile, nous avons fait notre possible pour nous rassurer : nous n’avions pas donné notre nom ni notre adresse mail. Anne ayant fait son possible pour cacher son visage, il fallait espérer qu’en cas de diffusion il ne serait pas possible de la reconnaître. Nous avons exploré ensemble plusieurs sites exhibitionnistes pendant des semaines jusqu’au jour ou j’ai eu la surprise de voir ma femme exhibée, méconnaissable avec ses cheveux sur la figure. L’éclairage étant mauvais, les ombres rendaient indéfinissables son visage. Le photographe avait visiblement préféré faire la mise au point sur d’autres parties de son corps.Nous fûmes soulagés de constater qu’elle était méconnaissable et aussi, dans un second temps un peu hypnotisés de voir Anne, à quatre pattes, cambrée, les jambes très écartées, les tétons pendants, une main ouvrant sa chatte comme exigé par sa tortionnaire. A chaque fois que nous sommes retournés sur ce site, cela nous a procuré une excitation intense.
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