Depuis un bon bout de temps maintenant,du haut de mes 20 ans je remettais en cause ma sexualité, même si je me sentait hétéro, je fantasmais de plus en plus à l’idée de sucer un mec en me branlant, puis l’idée me paraissait répugnante juste après l’éjaculation.Finalement j’ai décidé de sauter le pas, j’ai posté sur un site gay une annonce comme quoi je cherchais un mec pour enfin réaliser mes fantasmes, me disant que si je me retenait de me masturber, je pourrais avoir l’esprit assez embué pour réaliser cette folie. Quelques jours passent et je reçois de nombreuses réponses, mais une d’entre elles semble se démarquer des autres, un gars qui a la quarantaine se dit volontiers pour m’aider à passer ce cap, je suis tout excité mais le doute m’envahit, ma propre excitation se bat contre ma raison dans ma tête pendant quelques minutes, dois-je répondre? Ou ignorer toutes les réponses, faire comme si il ne s’était rien passé? Les questions se bousculent dans ma tête jusqu’à ce que je remarque que dans sa réponse, le quadragénaire à inclus une pièce jointe, je l’inspecte donc et ce que j’y découvre scelle ma décision, une photo de son engin, véritable copie de celui de mes fantasmes, long (environ 20 cm), épais, veines apparentes, non circoncis, gros gland et grosses couilles qui pendent bien.Je répond donc et l’homme me propose un plan "gloryhole" pour commencer, je trouve l’idée très bonne alors j’accepte. On se rencontre donc chez lui, quelques semaines plus tard (difficile de trouver une horaire qui nous convenait à tout les deux) et en pleine après-midi, à peine rentré, passé la porte laissé ouverte pour moi, j’aperçois un drap étendu qui couvre l’entrée d’une pièce du sol au plafond avec au centre un trou de la taille du poing, ça y est, je m’apprête à sucer un mec dont je ne connais même pas le visage, je ferme la porte derrière moi et commence à me déshabiller sans un bruit, je me met ensuite entièrement nu devant le trou et inspecte l’autre côté, mais la vue est obstruée par le bas du corps de mon partenaire, il s’avance et en quelques secondes, se tient à quelques centimètres de mon visage, un pénis encore flaccide. Je reste figé quelques instant mais il est irrésistible, j’en approche mon visage délicatement, je sens sa chaleur irradier son entourage et son odeur me remplir entièrement les narines. Il sent fort! Mais au lieu de me dégoûter, l’odeur repoussante n’en est que plus attractive, j’approche alors ma main du sexe et le touche enfin, c’est si chaud! Je l’empoigne et commence un lent va-et-vient avec mes mains, très léger, trop léger pour découvrir entièrement son gland, je soulève son sexe pour observer ses boules, elles sont assez velues et reluisent la transpiration, elles pendent bas et ont l’air d’être bien pleines. Je les soulèves avec la paume de mon autre main, elles sont lourdes et toutes aussi chaudes que le reste. J’approche encore mon visage du sexe encore mou et je dépose un doux baiser sur son gland,et pour la première fois mes lèvres touchent un sexe masculin, j’en suis encore plus excité mais je suis vite surpris par quelque chose, l’odeur semble encore plus forte que je ne le croyais, et encore plus enivrante, intrigué je découvre entièrement son gland jusqu’ici principalement cachée à la recherche de la source d’une odeur si prononcée, je découvris alors que la partie inférieure de son gland était recouverte d’une drôle de substance blanche, et c’est au moment ou son odeur a frappé mes narines 10 fois plus fort que précédemment que je compris que c’était en réalité du smegma. Tout à coup la voix de l’homme brise le silence et ma consternation:« Je ne me suis pas lavé la bite pendant des semaines juste pour toi, tu aimes salope ? »Je n’ai pas pu répondre à sa question, j’était occupé à respirer à plein nez son odeur irrésistible, chaque respiration me faisait bander un peu plus, jusqu’à que je me mette à laper tout sa saleté, pour tout récolter dans ma bouche, je me suis surpris à en apprécier intensément le goût«Il semblerait que tu apprécie, bon appétit dans ce cas ! » dit il en riant.Comme pour en extraire encore plus de saveur, après m’être rempli la bouche de la substance pâteuse, je me suis mis à la faire tourner dans ma bouche comme on ferait pour savourer un met d’exception, c’était divinAffamé par cette mise en bouche, j’ai gobé son gland, en tournant ma langue autour pour tout bien nettoyer, je l’ai senti gonfler dans ma bouche jusqu’à la remplir entièrement et plus, j’ai donc commencé à ma sucer comme dans mes fantasmes en lui malaxant les couilles d’une main et en me branlant férocement de l’autre, je senti son liquide pré-éjaculatoire se déverser lentement dans ma bouche, jusqu’à ce que le vieux pervers intervienne« N’oublie pas mes couilles, sale pute » Vu que ses insultes m’excitaient, je m’exécutais et entrepris de gober ses couilles velues à forte odeur d’abords une par une puis les deux en même temps ou je laissais ma langue farfouiller entre les deux globes de plaisir pendant que son sexe était posé délicatement sur mon visage. Puis je me remis à le pomper avec fougue et à essayer de le faire rentrer le plus loin possible dans ma gorge, même si s’était dur et que cela me donnais presque des hauts-le-cœur mais je continuais à me forcer, complètement hypnotisé pour son plaisir. Je vis soudainement ses deux mains sortir des deux côtés du drap et m’agripper la tête, puis il me baisa la bouche quelques temps pendant que je continuais à me branler et lui masser les couilles, puis dans ma main, j’ai senti ses couilles se contracter et dans ma bouche sa queue se durcir encore plus, il m’a alors retiré sa bite de la bouche presque entièrement, juste afin que son gland enflé touche ma langue et c’est là que j’ai compris, il s’apprêtait à me jouir dans la bouche ! J’ai tenté de m’enfuir en reculant ma tête mais il me tenait fermement et rien ne pu empêcher sa semence de se déverser dans ma bouche.« Prend ça salope, avale tout ! » s’exclama t’il.J’ai enfin senti un spasme dans son gland et une giclée de liquide chaud et visqueux se répandre dans toute ma bouche, et dès l’instant ou son foutre à toucher ma langue, je me suis rendu compte que c’était exquis, l’odeur, le goût, je n’avais jamais goûté quelque chose d’aussi bon, c’était divin, j’en voulais plus, et mes prières furent exaucées car la première giclée fut suivie d’une deuxième, puis d’une troisième jusqu’à remplir ma bouche à moitié de foutre, je savourais l’étendue du délice, qui séjournait dans ma bouche, je le fit tourner longuement, que la saveur s’imprègne bien dans tout mes récepteurs gustatifs. Le liquide était très visqueux, épais et chaud, j’entrepris de le mâcher lentement pour faire ressortir toute sa saveur qui restait parfois logée dans des bouts plus solide et épais que le reste, finalement, j’avalais le nectar goulûment n’ayant plus qu’une envie en tête, il m’en fallait plus! J’entrepris un long baiser sur la queue de mon nouveau maître qui redevenait molle, le remercia, puis me rhabilla et rentra chez moi, le visage sentant fort la bite, la bouche remplie du goût et de l’odeur du sperme et la tête remplie de nouvelles idées.
