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La venue de ma maitresse chez moi.

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour.Cette histoire date déjà de plusieurs années. Cela faisait 6 mois que j’avais une maîtresse régulière (Fabienne). Profitant d’un déplacement professionnel de ma femme, j’en profitai pour l’inviter à venir passer 3 jours à la maison. Plus la date de son arrivée approchait et plus je devenais impatient de la voir dans la maison et de lui faire l’amour dans le lit conjugal. Le grand jour arriva enfin. C’était un lundi du mois de mai. Il faisait beau et je jardinais quand j’entendis sa voiture. Elle se gara dans la cour. Je la regardai descendre de sa voiture, elle était si jolie avec sa robe bleue, elle m’aperçut et me fit un grand sourire, puis elle commença à s’approcher de moi. Qu’est-ce qu’elle était sexy avec ses cheveux châtains, et ses seins qui tressautaient à chaque pas. Je me surpris à bander alors qu’elle n’était là que depuis 30 secondes et qu’aucun contact physique n’avait eu lieu. Elle arriva enfin à ma hauteur et je l’enlaçai par la taille, puis l’embrassai. Notre étreinte dura au moins une minute. C’était si bon de la revoir (on ne s’était pas vus depuis une semaine). Après l’avoir embrassé, je la fis s’adosser au mur du cabanon de jardin. Je commençai à caresser ses fesses, je sentais sa peau douce au travers du tissu de sa robe légère. Puis je fis glisser mes mains sous sa robe, et je sentis enfin la douceur de la peau de ses cuisses. Elle voulu ouvrir mon pantalon mais je lui ai dit de se laisser faire. Elle eu un sourire car elle comprit que je voulais lui donner un maximum de plaisir. Elle décida donc de me laisser carte blanche. Délaissant ses cuisses, mes mains remontèrent à la recherche de ses fesses. Lorsque je fus en contact avec son joli cul, je fus surpris car je m’aperçus qu’elle ne portait rien sous sa robe. A ce moment, elle me regarda et me sourit en me disant : " petit cadeau pour toi, mon amour". Pour la remercier de cette très belle attention, j’accentuai mes caresses sur ses fesses avec une seule main, tandis que l’autre se faufilait entre ses cuisses. Elle laissa échapper, à ce moment-là, un petit cri de plaisir tout en écartant un peu les jambes pour me laisser le passage. Je fis avec mes doigts des mouvements circulaires, très lentement autour de sa chatte puis, au bout de quelques instants, je commençai à lui entrer un doigt à l’intérieur. Elle mouillait de plus en plus, et je la vis commencer à onduler son bassin. Je retirai mon doigt et fis entrer mon pouce à la place. Je mis de la mouille sur mes doigts, et je les plaçai sur sa rosette. C’est elle qui fit pénétrer mon premier doigt à l’intérieur de ses fesses en s’empalant sur ma main. Elle avait maintenant mon pouce en contact avec son clito et un doigt dans les fesses. Avec ma seconde main, je défis les boutons de sa robe et fit glisser celle-ci à terre. Ce qu’elle était jolie avec les yeux fermés et en se laissant aller vers le plaisir. Sa poitrine bougeait à chacun de ses mouvements et cela me donna envie de lui titiller un mamelon. Je posai donc ma bouche sur son sein gauche et je commençai à le lui lécher, puis je lui mordillai le téton. Au contact de mes dents sur son sein, elle tressauta ; elle bougeait son corps de plus en vite et faisait elle même des va-et-vient sur ma main. J’entrai un deuxième et un troisième doigts dans sa chatte, tandis qu’avec mon pouce je massais toujours son clito. Elle gémissait de plus en plus et se laissait complètement aller vers le plaisir. Son bassin ondulait dans tous les sens tout en faisant des mouvements de bas en haut. Au bout de dix minutes de ce traitement, je sentis ses muscles se contracter et elle m’embrassa. C’est à ce moment-là qu’elle fut prise d’un orgasme surpuissant. Je la laissai reprendre ses esprits en caressant ses seins et en l’embrasant dans le cou. Au bout de quelques minutes, je sentis une main qui commençait à me caresser la queue à travers mon pantalon. J’arrêtai mes caresses et je pris sa place en m’adossant contre l’abri de jardin. Fabienne cessa sa caresse et commença à défaire la boucle de ceinture de mon pantalon. Puis elle le fit tomber à mes pieds en même temps que mon boxer. Je bandais de plus en fort et, comme ma bite était déjà décalotté et tendu au maximum, elle la prit en bouche. Elle commença par tourner sa langue sur mon gland. Qu’est-ce que c’était bon de sentir une si belle bouche de salope sur le bout de ma queue. Pendant ce temps, une de ses mains caressait mes couilles, tandis qu’un doigt de l’autre main commençait à tournoyer autour de mon anus. Je n’attendais que le moment où elle allait enfin entrer ses doigts dans mon cul. Elle faisait durer le plaisir et ne voulait pas me faire jouir trop rapidement. Sa bouche avait maintenant complètement englouti mon sexe, je la tenais par les cheveux car je ne voulais pas qu’elle cesse de me sucer. Elle me regardait droit dans les yeux en souriant, et ne cessait de me branler avec sa bouche. Elle avait pris mes deux couilles dans sa main et commençait à les serrer de plus en fort ; à ce moment-là je sentis un, puis deux et trois doigts me pénétrer. Elle fit aller ses doigts de plus en vite dans mon cul tout en accélérant les mouvements de tête. La pression de sa main sur mes couilles se fit également de plus en forte, j’en pouvais plus, je fis, moi aussi, bouger mon bassin pour aller à la rencontre de ses doigts et pour m’empaler de plus en plus vite et de plus en plus fort. Au bout de quelques instants, je jouis dans sa bouche. Elle avala tout mon sperme en me regardant. Nous n’étions que lundi matin, il était 11 heures, et nous avions encore mardi et mercredi pour nous donner du plaisir. La suite de ces 3 jours très bientôt.
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