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La vertigineuse spirale de la volupté

Chapitre 1

Inceste
Chapitre 1

Maman est une personne fort timide. Elle a toujours été douce et attentionnée avec moi.Femme au foyer, elle sort peu, sauf pour aller à la messe chaque dimanche accompagné évidemment de mon père, ce qui lui convient très bien.La maison, chez nous, brille toujours comme un sous neuf, sous ses entretiens quotidiens. Maman est une ménagère exemplaire.Son visage effilé, délicat faisait ressortir la grande timidité de ses yeux.En revanche sa chevelure et sa coupe style "Année 60" ne l’avantage pas.Par contre, elle a un très beau corps.Une taille fine surplombant un bassin ample et des jambes !!!Elle porte toujours des jupes ou des tailleurs ajustés mettant en valeurs son joli corps.J’aime bien la regarder quand, pieds nus, elle passe l’aspirateur dans la maison.Je me rince alors allègrement les yeux de ses mollets galbés et bien coupés et de ses jolis petits pieds.
Je m’appelle Sébastien, j’ai 17 ans. Comme la plupart des jeunes de mon âge, je regarde les mères de mes copains en fantasmant sur elles, enfin, quand elles en valent la peine... ! On s’entend !Ma mère n’échappe pas à ma longue liste. Mes copains, non plus, ne se privent pas de la mater avidement, en me passant leurs commentaires. Surtout lorsqu’elle vient passer l’aspirateur dans ma chambre, pendant que mes trois copains et moi, faisons nos travaux scolaires.
La plupart de temps, vêtu d’une robe moulante lui arrivant à mi-cuisse, elle déambule devant nous, sans prêter attention à nos regards.Parfois pieds nus, parfois en escarpins à talons hauts, faisant ressortir la beauté de ses jambes. Maman a de jolis seins aussi. Pas énormes, mais bien présents, surtout avec les robes moulantes qu’elle porte toujours.
Maman étant très timide, je n’ai jamais été témoin d’ébats sexuels ou de quelque situation avec mon père, ni ne l’ai jamais vu nue. J’ai, par contre, mis la main, à de rares occasions, sur ses petites culottes que j’ai senties avec excitation.J’insiste sur le "à de rares occasions", maman, en ménagère modèle, prend un soin fou de laver sa lingerie intime sitôt celle-ci retirée. Si bien que j’ai rarement la chance de pouvoir fouiller le panier à linge sale et trouver les jolies culottes qu’elle a portées.
Récemment par contre, j’ai vécu, par hasard, un petit évènement inattendu. Parti pour le week-end chez mes copains, je fis un bref détour par la maison, en après-midi, pour y ramasser un jeu que nous voulions jouer ce samedi soir.Entrant dans la maison, j’entendis l’aspirateur au salon. Me penchant pour saluer maman, je fus foudroyé en la voyant !
Maman, seule dans la maison, passait l’aspirateur vêtue uniquement d’un corsage délicat et moulant, genre "victoria’s secret".Le tissu blanc, diaphane, alternant entre satin et dentelle, était de très bon goût, moulant son corps à perfection. De très discrètes bretelles passaient sur ses épaules, dénudant la moitié de son dos.
Je pus, pour la première fois de ma vie, voir la forme de son corps, presque sans entrave.Maman avait définitivement un cul d’enfer et des jambes de rêves, le tout mis en valeur par la finesse de sa taille.Absorbée par sa tâche et inconsciente de ma présence, en raison du bruit de l’aspirateur, ma mère, dos à moi, bougeait harmonieusement son corps.En silence, j’entrai dans le salon et m’assis derrière elle sur le canapé, sans rien dire.Un spectacle d’une grande beauté devant moi, j’avais une érection monstre dans mon pantalon.Regardant ses jolies jambes, la peau de ses cuisses et du bas des fesses qui n’était pas recouvert.Pieds nus, elle faisait de légers petits pas en avant et en arrière, s’approchant de moi à chaque pas.Je fus cependant très surpris, de voir les rideaux des grandes vitres du salon entièrement tirés, exposant maman à tout passant ou même au regard des voisins d’en face.Soudain, replaçant le boyau derrière elle, elle sursauta en me voyant et partit d’un coup dans sa chambre.Elle revint assez rapidement, toute vêtue et ferma l’aspirateur.
« Qu’est ce tu fais ici ?– Je suis passé chercher un jeu pour ce soir !– Ça faisait longtemps que tu étais là ?– Oui, quelques minutes !– Tu aurais pu m’avertir ! »
Maman me semblait anormalement nerveuse.
« Tu étais trop sexy, je n’ai pas pu résister à admirer le spectacle !– Sébastien... ! Dit-elle, sur un ton indigné.– Je sais maman, mais je te trouvais tellement belle et sexy habillée dans cette lingerie !– Quand-même, on reste poli ! Dit-elle, choquée par mon propos... Je suis ta mère..., et si ton père apprenait ce que tu as fait, il ne serait pas content ! »
Je trouvais maman étrangement réactive.
« Et toi ?– Qu’est-ce que tu veux dire ?– Eh bien, qu’est-ce que tu faisais à passer l’aspirateur, dans de la lingerie fine, devant les vitres du salon avec les rideaux entièrement tirés ?– Je..., je..., je venais tout juste de les ouvrir et j’allais les refermer quand je t’ai aperçu ! »
Maman mentait mal ! De plus, elle réagissait comme un larron pris la main dans le sac.Je ne connaissais pas ce coté de maman, mais je trouvais que la situation devenait intéressante.
« Je me demande bien ce que penserait papa de te savoir habillée de cette façon devant les voisins ?.. Sa femme qui s’exhibe volontairement, presque nue ! »
À son regard, je vis que je venais de viser juste.
« Il n’a pas à savoir, Sébastien ! Dit-elle, en me prenant la main et me regardant de ses grands yeux.– Il t’a déjà vue, habillée comme ça ?– Ça ne te regarde pas, Sébastien ! Dit-elle, avec empressement.– Bon... ! Je verrai ça avec lui ! » Dis-je, d’un air indifférent.
Je sentais maman prise au piège. À son expression, je devinais déjà la réponse.
« De toute façon, il ne remarquerait même pas ! Dit-elle, avec défiance.– Il ne t’a jamais vue, vêtue de cette lingerie ? »
Au lieu de répondre, elle hocha la tête négativement en se mordant la lèvre inférieure.Puis, apeurée, elle brisa le silence.
« Ne lui dis rien, Sébastien ! Je t’en prie ! Sa main serrait la mienne.– Tu sais que tu es vraiment belle et sexy, habillée en lingerie !.. En tout cas, moi, je t’ai remarquée... ! »
Trop gênée pour répondre, je voyais ses yeux bouger, comme si elle réfléchissait à voix haute. Je venais de découvrir un petit secret du jardin intime de maman.Bien que très timide, maman avait, semble-t-il, un petit coté exhibitionniste!Elle avait le corps pour le faire ! J’aimais bien le malaise dans lequel elle se trouvait, je n’avais jamais vu maman si vulnérable et, surtout, je n’ai jamais rien su de sa vie sexuelle, mais là, je venais de découvrir un important bout de sa vie intime, que je devinai inconnu à papa.
« Tu sais que tu as vraiment un beau corps maman ?.. Je dirais même que tu as les plus belles jambes que j’ai eu l’occasion d’admirer ! »
Maman ne disait rien. Elle regardait ma main qu’elle tenait toujours, puis me fixait en alternance.Ma mère attendait que je lui dise que je serai discret et que je n’en parlerai pas à papa.Attendant pour lui répondre, j’en profitai pour lui dire ce que je pensais d’elle, sachant bien qu’elle garderait ça pour elle. Poussant mon insolence, je lui dis :
« Ça m’as vraiment plu de te voir presque nue !– Sébastien ! Arrête... !– Non sérieux ! Tu as vraiment un cul d’enfer, maman !.. Et je ne te parle pas de tes seins !– Comment peux-tu me parler comme ça ? »
Maman découvrait à mes paroles que je fantasmais sur elle.Pourtant, je comprenais maintenant le petit jeu qu’elle se faisait, en venant dans ma chambre toujours vêtu d’une jolie robe courte ou décolletée et y passer l’aspirateur devant moi ou mes copains.Elle s’émoustillait volontairement en s’exposant à son entourage, toujours dans les limites du bon goût.
« J’aimerais bien que tu passes l’aspirateur dans ma chambre, vêtue en lingerie !– Jamais, tu m’entends !– Mmm... ! Pourtant, moi je te regarderai !– Ciel, Sébastien ! Je suis ta mère... !– Peut-être, mais je te trouve super bandante !– Surveille ton langage !– Je suis certain que ça plairait à mes copains, aussi !.. Ils aiment bien déjà te mater !– Vous en avez parlé ?– Bien oui ! Souvent même !– Ne dis rien à ton père, s’il te plaît ? »
Sa main caressait la mienne, doucement. Je sentais bien qu’elle voulait partir, qu’elle en avait trop entendu, mais pas sans avoir eu sa réponse.
« Ce sera notre petit secret ? À toi et moi ? D’accord ? Murmura-t-elle, avec un brin de complicité dans la voix.– À une condition !– Ça dépend laquelle ! Rétorqua-t-elle, en me voyant venir.– J’aimerais que tu ailles chez la coiffeuse et que tu te fasses faire une coupe jeune et moins "matrone" !
Elle fut fort surprise de ma demande.
« Tu es vraiment une belle femme, maman, mais ta coupe et tes cheveux remontés, ça ne te va pas bien et ça te vieillit !.. Tu as, tout juste, quarante ans ! Pas 60 !– Je ne m’attendais pas à ça ! »
Elle hésita un moment, puis soupesant les conséquences, elle accepta.
« Bon d’accord ! Tu me promets, alors ?– Je te le promets !– Tu n’en parleras à personne?– Ce sera notre petit secret à toi et moi, maman ! »
Elle se leva et quitta le salon, laissant le boyau sur le sol du salon, ce qui n’était vraiment pas son genre.
Au souper, elle prépara le terrain en annonçant à mon père qu’elle irait se faire couper les cheveux et qu’elle aurait un autre style.Papa marmonna quelque chose, signifiant sa totale indifférence à la question.
« Tu m’écoutes ? Dit-elle, frustrée.– Oui, oui ! Pas de problème ! Tu vas changer de tête, j’ai compris, je ne fais pas de cas à toutes les fois que je vais chez le barbier ! »
Je commençais à comprendre maman.
Le samedi suivant, elle quitta tôt pour aller chez la coiffeuse et ne revint qu’en milieu d’après- midi.Entendant maman entrer, je me précipitai vers l’entrée, afin de voir le résultat.
« TADAMmmm ! Fit-elle, en me voyant.– Wow ! Trop hot ! Ça, ce te va bien!– Ça te plait ? »
Maman avait naturellement les cheveux noir ébène et ne frisait pas.La coiffeuse avait capitalisé sur ces atouts en lui faisant une coupe Cléopâtre avec un jolie toupet coupé bien droit au dessus des yeux et le reste coupé bien droit à la base de son cou.Son maquillage assorti faisait ressortir la beauté de son visage et de ses yeux.
« Tu es...tellement belle, maman ! »
Maman tournait devant moi en faisant virevolter ses cheveux.Papa sortit en même temps du salon et passa près de nous en se rendant à la cuisine.Maman, visiblement déçue de l’absence de réaction de son époux, le suivit.
« Tu as pensé à acheter le jambon ? Lui demanda-t-il.– Le jambon ! Répéta-t-elle, visiblement choquée, puis elle lui tendit le sac.– Merci chérie ! »
Il coupa l’emballage, se prépara un sandwich, puis quitta pour aller chez son frère.Maman resta debout devant l’entrée, les bras le long du corps, visiblement déçue de l’absence de réaction de mon père.M’approchant d’elle, je mis mes mains sur sa taille.Sentant ma présence, elle se retourna en mettant ses bras sur mes épaules.
« Moi je te vois ! Lui dis-je... Et tu es la plus belle femme au monde... ! »
Maman, debout devant moi, à une demi-distance de bras, me regardait droit dans les yeux. Au bout d’un moment de silence, un sourire apparut sur ses lèvres et elle commença à danser doucement avec moi en riant.
« Tu es ma reine, Cléopâtre, tu veux bien me faire une danse royale ? »
Maman me regarda avait un air suspicieux puis, empoignant ma main me tira vers le salon où elle me repoussa sur le divan, avant de faire partir la musique.
« Tu triches, ce n’est pas de la musique de Cléopâtre..., et tes vêtements non plus ! »
Maman habillée de sa robe, s’enroula dans le rideau transparent du salon, en se couvrant la bouche.
« Et, elle était habillée comment, Cléopâtre? Me demanda-t-elle.– Dans ton rideau, mais seulement en petite tenue dessous ! »
Ma mère se déhanchait avec délice. Quelle danseuse !
« Dans tes rêves, jeune homme ! Me lança-t-elle, comme réponse... Mais je te promets, quand-même, de l’améliorer ! »
Je savais que maman passait l’aspirateur à chaque lundi dans la maison et qu’elle faisait le salon en après midi, j’eus donc l’idée de quitter l’école au déjeuner et de sécher mes cours pour aller épier maman.M’installant confortablement derrière la haie de cèdre de notre voisin, j’aurais une vue imprenable sur la fenêtre du salon, en fait, la seule autre meilleure place serait derrière la vitre de la maison de Monsieur Lehmman, notre voisin, les maisons étant bâties très près les unes des autres.
Le temps me parut long, cependant, je fus récompensé de mon attente en voyant les rideaux s’ouvrir.Maman, debout devant la fenêtre, s’était drapée dans un voile blanc attaché sur son épaule dénudée.On pouvait aisément voir au travers du tissu et je pus apercevoir sa petite culotte blanche, ainsi que son soutien-gorge.Plutôt que de passer l’aspirateur, maman dansait, je devine, au son d’une musique arabe.J’entendis un léger bruit au-dessus de moi et, me penchant discrètement, je pus apercevoir la silhouette de Monsieur Lehmman, debout devant sa fenêtre, n’essayant même pas de se dissimuler.
Je compris que maman savait très bien qu’il était là et qu’elle devait faire des petites sessions d’exhibitions lorsqu’elle le savait seul à la maison.En effet, Monsieur Lehmman était représentant de vente et travaillait de chez lui quelques jours par semaine.Âgé d’une soixantaine d’année, marié et d’un naturel réservé, il ne représentait donc pas une menace pour maman qui devait se sentir en confiance de s’exhiber devant lui.Je savais que maman dansait bien, mais là, je dois dire qu’elle y mettait le paquet, ses mains glissant sur son corps qui se déhanchait devant la vitre.Tournant sur elle même, elle nous montrait allègrement son derrière en caressant ses fesses.Debout, devant la fenêtre, Monsieur Lehmann se masturbait en la regardant. Au bout d’un moment, il quitta la fenêtre et maman referma les rideaux.Je pris soin de sortir discrètement de ma cachette pour aller passer le reste de l’après-midi à la bibliothèque près de chez moi.
En arrivant à la fin de l’après midi, je fus accueilli par une odeur forte d’encens et de musique traditionnelle arabe, Maman dans le salon, me cria :
– Ferme tes yeux, Sébastien, j’ai une surprise pour toi ! »
Elle saisit ma main et m’entraîna dans le salon, puis après m’avoir installé dans le divan me dit :
« Ouvre maintenant... ! TADAM... !!!!!.. Je t’avais promis de l’améliorer ! » Dit-elle, en tournant sur elle-même.
Quelle ne fut pas ma déception en voyant qu’elle avait enfilé un jupon blanc sous le voile blanc transparent, cachant son corps jusqu’aux genoux.Seules ses épaules étaient restées dénudées, à part, bien-sûr, du voile attaché à son épaule droite.Elle commença alors une jolie danse du ventre assez langoureuse, mais bien plus censurée que celle de l’après-midi, par contre, elle avançait parfois près de moi en se déhanchant à portée de main, si bien que le spectacle en devenait très intéressant.J’avais une érection monstre dans mon pantalon que je pouvais difficilement dissimuler sans mettre mes mains sur la tente.Maman ne sembla pas remarquer. Debout, tout juste devant moi, son corps oscillait au rythme de la musique envoûtante lorsqu’à la fin du morceau, elle se laissa choir par terre dans un amas de coussins qu’elle avait étendus un peu partout autour d’elle.Toujours couchée à mes pieds, elle me demanda :
« Ça t’a plu... ?– Euh..., oui ! »
Voyant mon hésitation, elle me questionna du regard.
« Mais pas autant que la danse que tu as fait devant la fenêtre cet après-midi!
Les yeux de maman s’ouvrirent grand de surprise et d’embêtement.
« Qu’est-ce que tu faisais là ? Me demanda-t-elle.– Ce serait plutôt à moi de te poser cette question ?.. Et j’ai bien vu que Monsieur Lehmman semblait apprécier ta performance ! »
Me levant en allant dans ma chambre.J’eu à peine le temps de m’asseoir à mon ordi, que maman entra dans ma chambre en s’asseyant sur le rebord du lit.
« Écoute Sébastien..., il faut que l’on parle !– Vas-y, je t’écoute ! »
Maman se mordait la lèvre inférieure, témoignant de la difficulté à ce qu’elle avait à me dire :
« Tout ça, a commencé doucement... !.. Ton père ne me donne pas beaucoup d’attention, comme tu as pu le constater et je voyais souvent le voisin regardant ici par la fenêtre... !.. Un jour, alors que je n’avais pas pris la peine de m’habiller décemment, je passais l’aspirateur en peignoir à peine noué, Monsieur Lehmman me regardait faire et j’ai réalisé que...– Que ça t’excitait ? »
Maman hocha la tête positivement en regardant le sol.
« Puis c’est devenu un petit jeu où tous les deux en tirent plaisir ?
Elle hocha la tête de nouveau, n’osant pas me regarder.Puis, relevant la tête, elle me dit :
« Mais toi ? Ce n’est pas bien que tu me regardes comme tu le fais !.. Je suis ta mère, quand-même !– Les autres peuvent te regarder, mais pas moi ?– Sébastien, tu ne me regardes pas, tu me dévores des yeux !.. Je suis même surprise que ton père ne l’ai pas remarqué !.. Mais ce qui m’inquiète le plus maintenant, c’est que tu manques des cours pour venir m’épier !.. Promets-moi que tu ne referas plus jamais ?– Je te trouve tellement belle, maman, je me sens attiré par toi, tu occupes toutes mes pensées ! »
Elle s’approcha de moi et me caressa la joue de sa main, toujours assis, maman debout devant moi, me prit dans ses bras, tandis que j’enroulai mes bras autour de son bassin en collant mon visage contre sa poitrine.
« Promets-moi ! Dit-elle doucement.– À une condition... ! »
Elle ne répondit pas.
« Que ma reine Cléopâtre danse pour moi lorsque je lui demande ! »
Maman hésita, puis accepta à voix basse.
Je n’attendis pas très longtemps pour lui demander de danser pour moi.J’avais demandé à maman de danser à mon retour de classe ce lundi.Je me doutais bien, de toute façon, qu’elle ferait son petit spectacle au voisin et qu’elle aurait déjà son joli et délicat costume.Cette fois, par contre, je pris la peine de mettre mes bras sur mes cuisses pour dissimuler mon érection.Toujours vêtue de son jupon protecteur, maman m’offrait quand même un spectacle très sensuel.Elle resta aussi beaucoup plus près de moi en dansant et virevoltant tout juste à mes pieds, puis comme l’autre fois, elle se laissa retomber sur le sol, unique et brève occasion pour moi de mater ses cuisses et sa petite culotte.
« Merci maman, c’était très..., beau ! Dis-je, en pesant mes mots.– Heureuse que ça te plaise !.. Ton père sera ici tôt cette semaine, si bien que je n’aurai pas l’occasion de danser pour toi si tu me le demandes !– Et samedi ?– Il sera ici en matinée, il doit retourner chez son frère en après midi !– Alors samedi ?– Petit coquin, va ! » Dit-elle en me pinçant le nez et quittant le salon pour se changer.
Le reste de la semaine se déroula paisiblement si bien que j’avais l’impression que le samedi n’arriverait jamais.Je sortis le vendredi soir avec mes copains, je me levai plutôt tardivement, si bien que j’eus à peine le temps de croiser mon père, à sa sortie de la maison.Maman, habillée de façon conventionnelle, vaquait à ses occupations.Je suis allé prendre ma douche, puis à ma sortie de la salle de bain, je fus accueilli par l’odeur d’encens et la musique singulière.Elle avait pris soin d’étendre les coussins un peu partout dans le salon, un peu comme un harem.
« Tu aimes ?– Oui ! On se croirait dans un film de Sinbad le marin !– Allez ! Viens t’asseoir, mon petit prince ! » Me commanda-t-elle.
Sortant de la douche, je n’avais sur moi que mon bas de pyjama.Torse nu, je pris place dans le divan.Je remarquai alors que maman portait toujours un jupon blanc, mais que celui-là était bien plus court et ne couvrait à peine le bas de sa petite culotte blanche.Je pouvais voir la peau de ses cuisses au travers du voile.La musique aussi avait changé. On pouvait entendre un tabla faire un rythme soutenu sur un fond de cithare indienne.Genre de musique tantrique sans début ni fin et sans air précis.Prévenant le pire, je déposai sur moi mes bras cachant toute érection à ma mère.Dansant beaucoup plus lentement et lascivement, maman, debout devant moi, laissait aller son corps en de jolis mouvements rappelant des vagues et ondulations.La lumière du jour éclairait son corps accentuant la transparence de son voile.À chaque fois qu’elle levait les bras au dessus de sa tête, je pouvais voir apparaitre, en totalité, la jolie petite culotte de dentelle qu’elle avait revêtue.Maman dansait en me regardant et se rendait sûrement compte de ma fixation sur sa culotte.Je sentais maintenant clairement mon érection sous mes mains.Glissant son genou entre les miens, elle s’approcha au maximum du divan, puis d’un geste lent mit ses mains sur mes poignets en les retirant doucement et en déposant mes bras sur les accoudoirs du divan.Privé de mes mains, mon pénis se redressa dans mon pyjama, formant une tente impossible à dissimuler.Maman savait clairement qu’elle me faisait bander. Toujours près de moi, ses jambes touchait les miennes, elle accentua le déhanchement de son bassin en relevant les bras et déposa ses avant-bras sur sa tête, m’offrant du coup, un total accès visuel à sa culotte.
Je pouvais distinguer à cette proximité, des parcelles de sa vulve dans la dentelle semi-transparente.Maman garda la position en fermant les yeux, puis redescendit ses bras en se caressant le corps du même coup.Le spectacle devenait terriblement érotique et le rythme appuyé des tabla n’annonçait aucune fin éminente.Elle avait bien choisit la musique.Utilisant ses mains comme elle ne l’avait jamais encore fait, elle commença de suggestives caresses sur son corps.Les yeux toujours fermés, elle semblait entrer en transe avec la musique.Ses jolies cuisses devant moi allant et venant. Je la regarderais des heures faire ça !
Pour la première fois, je réalisai que maman semblait vraiment apprécier et je n’étais plus certain, à ce moment, si c’était pour moi ou pour elle qu’elle le faisait.Soudain, sa main remonta sur son épaule et, discrètement, repoussa l’une des fines bretelles de son jupon, puis dans un geste aussi lent que subtil, elle en retira la seconde bretelle.Je pouvais percevoir son corps trembler, excitée par ce qu’elle était en train de faire.Lentement, le jupon lâche de satin commença à glisser doucement de son corps, les bretelles suivant le long de ses bras.Elle dut dégager les bretelles de ses coudes, puis laissa glisser le jupon à ses pieds, me dévoilant sa petite culotte, ainsi que son soutien-gorge qui laissait apparaitre une bonne portion de ses seins.Maman me regardait, maintenant, admirer son corps.Elle avait de superbes cuisses aux formes parfaites, une taille fine que l’on a envie de saisir et ses seins, attiraient mon regard comme des aimants, se valsant au rythme de ses mouvements.Tellement excité, mon pénis pulsait dans mon pyjama, rendant évident à ma mère le fait qu’elle m’excitait beaucoup.Je fus surpris de voir son regard qui alternait entre mon pyjama et mes yeux.Dansant maintenant en caressant son corps scrupuleusement de ses mains, maman semblait elle aussi très excitée.
Elle m’étonna alors en saisissant le nœud du voile sur son épaule et en le repoussant comme pour s’en dégager.La situation, le jupon, le fait que maman s’apprêtait à retirer le mince voile la couvrant, fut pour moi trop fort.Tout juste avant d’éjaculer dans mon pyjama, maman ayant anticipé mon orgasme, saisit mes poignets en les plaquant fermement sur les accoudoirs, m’empêchant ainsi de porter mes mains à mon pénis.
Un son incontrôlable sortit de moi, mêlé entre douleur et jouissance intense, mon pénis livré à lui même par ma contention, donnait de grand coup qu’observait maman.Le plaisir que j’en ressentis fut innommable !Malheureusement, un sentiment intense de honte et de malaise d’avoir éjaculé devant maman remonta aussi intensément, si bien que je me libérai de sa contrainte et m’en allai directement dans ma chambre, en refermant la porte derrière moi !Elle dut comprendre mes états d’âme, car maman me laissa tranquille pour le reste de la journée.
Sortant de ma chambre, tout juste avant le souper, tout le salon replacé dans son état initial, il me fit drôle de voir mon père assis sur le divan, lisant son journal et ma mère habillée d’une jolie robe, cuisinant pour nous à la cuisine.
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