Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 442 J'aime
  • 12 Commentaires

La vétérinaire

Chapitre 1

Zoophilie
— Ah Docteur, je suis contente de vous voir, il est si nerveux ces derniers temps. je crois qu’il a besoin de soins !
Ainsi Viviane fut accueille par Mme Claudel au Haras du Viguier. Vétérinaire de son état, presque la trentaine, petite mais énergique, Viviane acquiesça aux dires de Mme Claudel, passant sa main dans ses longs cheveux châtain, signe de réflexion pour elle.
— Et il est comme ça depuis longtemps ? — Deux jours je pense, peut être trois.
Elle suivi Mme Claudel jusqu’aux écuries, ne faisant pas attention au regard que lui lançait le garçon de ferme. Viviane avait de jolies formes, poitrine opulente, hanche et fesses légèrement rebondie. Mais depuis deux ans, elle n’était concentré que sur sa passion, son métier, soigner les animaux. Ils étaient beaucoup plus malins et affectueux que les hommes, pensait-elle.
Elle arriva au box de Sultan, un étalon acquis par le Haras en vue d’un essai de croisement de race. Le cheval semblait en effet nerveux. Viviane entra dans le box, et flatta le corps, puis l’encolure de l’animal. Elle avait remarqué qu’elle avait un magnétisme particulier avec les animaux, qui s’apaisaient vite en sa présence. Elle remarqua bientôt ce qui avait rendu l’animal nerveux, une petite blessure sur l’arrière de son ventre. Viviane se mit donc à genoux, et frotta le ventre de l’animal avec le médicament adéquat. Ce faisant, elle remarque près de sa main quelque chose qui avait grandit : le sexe de l’animal !
Elle connaissait bien sûr toute l’anatomie du cheval, mais n’avait encore jamais vu de pénis si près. Il était si gros !Faisant semblant de rien, elle continua ses soins, puis pris congé de Mme Claudel.
Viviane termina sa tournée, travailla encore tard à son cabinet, chez elle. Puis, après une bonne douche et après avoir revêtu une chemise de nuit, épuisée, elle alla dormir.
Elle s’endormit bien vite, et profondément. A un moment, en rêve, le sexe chevalin lui apparut, dans toute sa force, sa splendeur. Quelle belle bête. quelle belle queue ! Le sexe de Viviane se mouilla, suivi par une sensation très agréable. Elle ouvrit les yeux, à la fois horrifiée et excitée par son rêve zoophile, et constata qu’il faisait déjà jour. et que la sensation agréable continuait ! En rêvant elle avait fait tomber ses couvertures, et entre ses jambes, Demoiselle, la petite chatte qu’elle avait recueillie, lui léchait le sexe de sa petite langue râpeuse. Viviane ne put la chasser, car c’était très agréable, la petite langue râpeuse passait entre ses lèvres intimes, remontait vers son clitoris. c’était bon !
La sonnette de la porte la tira de l’extase. Elle chassa Demoiselle à contrecour, mit un peignoir, et descendit ouvrir la porte. C’était le livreur qui lui apportait une nouvelle machine qu’elle avait commandée, avec laquelle elle pourrait bloquer des chiens et faire des tests, style électrocardiogramme. Après qu’elle ait enfermé dans une pièce annexe Rocky, son labrador et Dan, un grand chien danois qu’elle gardait pour une amie, le livreur descendit le tout dans le cabinet médical, puis Viviane signa le bon, et l’homme s’en alla.
Viviane, toute excitée de découvrir l’appareil, descendit immédiatement dans son cabinet, l’enleva de sa caisse, et commença à le monter. Ayant chaud, elle retira son peignoir. Ce n’était pas si facile que ça à monter, elle pensait en jurant qu’elle aurait dû payer la somme en plus pour le montage. Elle avait voulu gagner des sous, elle en payait les conséquences ! De plus, elle entendait les chiens qui cognaient contre la porte pour entrer. mais les laisser entre lui aurait vraiment rendu la tâche impossible. L’appareil était presque monté, et Viviane pestait de plus belle. Quelle barbarie cette appareil ! Un arceau métallique qui retenait le chien prisonnier ! On est plus au moyen âge, tout de même ! A quatre pattes, elle passa sous l’arceau pour brancher la partie électrocardiogramme de l’appareil, et à ce moment, à force de frapper contre la porte, les chiens réussirent à l’ouvrir, et se ruèrent dans le cabinet en aboyant. Viviane sursauta, la machine trembla et l’arceau tomba au milieu de son dos et se bloqua, coinçant la jeune femme dans l’appareil. Elle jura comme une charretière ! Là voilà à quatre pattes sur le sol, coincée dans une machine. Elle essaye de bouger, mais pas moyen ! Elle était prisonnière.
— Mais qu’est ce que je vais faire moi maintenant ? Qu’est-ce que. oh.
Quelque chose de râpeux et de tiède venait de lui lécher le sexe. Elle tourna sa tête et constata qu’à quatre pattes comme elle était, sa chemise de nuit était remontée sur son dos, laissant sa croupe dénudée. Et Rocky, attiré par ses odeurs féminines, était venu naturellement la lécher. Sa grosse langue râpeuse léchait ses lèvres intimes et remontait jusqu’à ses fesses, mouillant abondamment de bave son vagin et son anus.

« Rocky arrête ! Mais qu’est-ce que. aaaah ! Arrête ! Aaaaaah » Et le chien continuait, léchait cette moule odorante, arrachant des soupirs de plaisir à Viviane. « Mais que m’arrive-t-il ! aaaaah c’est bon ! C’est si bon ! Mon dieu, mon chien me fait mouiller ! » Son corps fut parcouru de frissons de plaisir. Le chien la léchait avec application, et quelle langue ! Viviane était proche de l’extase, lorsqu’elle vit quelque chose face à elle. C’était Dan, le grand danois noir de son amie. L’excitation de Viviane devait lâcher pleins de phéromone ou d’odeur dans l’air, car elle avait face à elle l’impressionnant pénis rouge vif du danois, entièrement sorti de sa cache poilue.
Cette image troubla très fort Viviane. Son chien lui donnait du plaisir, comme elle n’en avait jamais espéré, ces chiens étaient si bon avec elle. Elle était excitée comme une folle, elle mouillait abondamment, et avait un si beau pénis, là à quelque centimètre d’elle. un pénis qui l’attirait si fort. Guidée par ses sens, par son excitation animale, elle prit doucement le pénis du chien avec sa main. Il était si doux, et tiède. Elle l’approcha de son visage.
Il ne sentait pas mauvais du tout, et était si attirant. si. mmhmm. elle lécha le bout de ce pénis, il n’avait pas mauvais goût du tout. elle le lécha bien vite tout le long, et gagnée par l’excitation de plus en plus forte, elle le mit en bouche et le suça avec plaisir. Un liquide au goût très prononcé de fer en coula, et cela excita encore plus Viviane, qui mouillait comme une folle.
Soudain, elle senti une masse poilue sur elle. Elle ne comprit pas tout de suite. ce n’est que quand le bout du sexe de Rocky vint frapper contre ses fesses qu’elle comprit que son chien voulait la monter. Elle lâche le pénis de Brutus, et cria « Non Rocky, non ! ».
.Mais trop tard.
Elle le sentit chercher du bassin l’entrée de son vagin. Les pattes avant du chien sur son dos, un coup de bassin en plus et le sexe du chien trouva directement la direction du vagin de Viviane. Elle cria lorsqu’elle l’eut complètement en elle. D’abord de surprise et de douleur, le sexe de son chien l’écartelait littéralement. Son pénis avait considérablement gonflé, et la remplissait entièrement. Le chien commença de rapides mouvements, la défonçant comme jamais elle ne l’avait été auparavant. Elle criait, mais de plaisir maintenant. Les couilles du chien frappaient les cuisses de la femme à chacun de ses assauts, sa bite heurtait le fond de sa cavité et tentait à chaque mouvement de s’enfoncer plus profondément. Ces sensations toutes physiques, auxquelles s’ajoutaient la position si humiliante de chienne qui se fait prendre sauvagement par son mâle, sous les yeux d’un autre chien, le sexe bandé, achevèrent de la faire jouir plus intensément que jamais. Et ce n’était qu’un début. Le chien fini par ralentir et elle sentit alors son membre enfler, enfler encore, bien encré dans son intimité, elle se sentait comme déchirée ! « Son noud, c’est son noud. » Pensa-t-elle. Le chien resta ainsi figé en elle, et en un coup, elle sentit de grosses giclées de sperme chaud se déverser en elle. Elle était transportée au summum de la jouissance par ce flot ininterrompu de sperme qui giclait dans son vagin et qui lui gonflait le ventre. Le noud du chien l’empêchait de se détacher d’elle, et faisait bouchon, empêchant le sperme de se déverser hors de son vagin. Le chien continuait à se déverser en elle et elle continuait à être secouée de spasmes de jouissance. Elle comprit alors tout le plaisir que pouvait réserver un tel accouplement contre-nature, quand de grosses giclées de sperme chaud la transportèrent au summum de la jouissance.
Au comble du plaisir, elle sombra dans une frénésie sexuelle. Elle reprit le pénis rouge vif du danois, le lécha, le suça, avalant ce pré-sperme abondant. Elle sentit le sexe se gonfler dans sa bouche, se raidir plus. Rocky était toujours enfoncé en elle, et elle suçait avec délectation le pénis du danois, branlant sa base rouge et tiède. Puis elle sentit le noud se gonfler contre ses lèvres, et le sperme du chien se déversa dans sa bouche, par saccade, mais abondant. Il avait aussi un goût ferreux très prononcé, mais c’était si bon ! Il y en avait trop, et pour ne pas étouffer elle recracha une partie, qui coula hors de sa bouche, coulant sur son menton, faisant une flaque au sol. A ce moment, Rocky put se retirer. Elle gémit encore lorsque son noud, encore gros repassa ses lèvres intimes, et lorsque son pénis sortit de son vagin, un flot de sperme en débordant, et coulant le long de ses jambes.
Alors que Viviane reprenait sa respiration, le corps tremblant, souillée de sperme canin, elle sentit l’arçon bouger. sans doute que les mouvements rapide et brusque de son chien qui la besognait avaient débloqués l’arçon. Elle se dégagea et se remit debout. pantelante. Quels orgasmes ! Elle n’avait jamais rien connus de tel ! Et maintenant, les chiens étaient à ses pieds, léchant ses jambes de leurs langues, comme s’ils voulaient nettoyer ce sperme collant dont ils l’avaient trempée.
Les jambes tremblantes, Viviane monta à l’étage et alla prendre une douche. Alors que l’eau coulait sur son corps, qu’elle savonnait abondamment, les images de ce qu’elle venait de vivre lui revenait en tête. Mais que lui arrivait-il ? Elle qui n’avait jamais été porté sur la chose, qui n’avait eu qu’une ou deux aventures, venait de découvrir des sensations merveilleuses, qu’elle n’imaginait même pas auparavant ! Fermant les yeux, elle ressentait encore le sexe de Rocky se gonfler en elle, elle ressentait le sperme du danois qui coulait dans sa gorge, elle avait encore son goût dans la bouche. en repensant à cela, sa main était instinctivement redescendue sur son sexe, qu’elle caressait, titillant son clitoris, se pénétrant, d’un puis de deux doigts. Bon sang, elle en voulait encore !
Elle entendit un bruit dans la chambre. Les chiens étaient là, sans doute en se ruant vers la douche avait elle oublié de fermer la porte. Son sexe était tout ouvert et mouillait, elle en voulait vraiment encore. Elle sortit de la douche, et sans même s’essuyer elle se mit à quatre pattes et entra ainsi dans sa chambre ! Il n’y avait que Dan, le grand danois, qui la regardait de ses yeux sombres. N’en revenant pas de ce qu’elle osait faire, Viviane, toujours à quatre patte, se tourna et présenta sa croupe au chien, la faisant osciller, cambrant son dos, comme une chienne soumise !
Le chien vint la renifler, donna quelques coups de langues sur ce sexe mouillé, ce qui arracha quelques soupirs d’aise à Viviane, puis il la monta. Elle sentit la force du chien, son poids sur elle, la chaleur de son ventre sur son dos. Elle sentit les coups de bassin, et le sexe du chien sortant de plus en plus contre son ventre. Elle le guida vers l’entrée de son sexe. Il était aussi chaud mais plus grand que celui de Rocky ! Le chien s’enfonça dans son vagin, arrachant un petit cri à Viviane. Oh oui, il était bien plus gros ! Mais ses coups de bassin le faisaient entrer de plus en plus en elle, jusqu’à ce que ses grosses boules noires viennent frapper contre ses cuisses.
Les premiers vas-et viens de Dan la firent déjà venir. Comme il était gros ! Plus il allait et venait, plus elle criait puis hurlait son plaisir ! Puis, alors qu’elle était encore venue deux fois, il s’arrêta, tout à fait entré en elle, et elle sentit son noud grossir ! Mais il allait l’écarteler en deux ! Puis le sexe battit et le flot de sperme se déversa en elle, jusqu’à gonfler son bas ventre ! Quel plaisir ! Et cela dura bien plus de dix minutes. puis, satisfait, Dan se retira, son noud sortant du vagin de Viviane avec un « plop » bien sonore, tandis qu’un flot de sperme coula sur ses jambes tremblantes. Mais malgré cela, elle se retourna vivement, et couchée à terre elle passa sa tête entre les jambes du chien pour attraper son sexe, rouge, qui pendait, suintant de sperme et recouvert de la mouille de Viviane. Elle le mit en bouche, le lécha, le suça. Elle avait en bouche son goût à elle, mélangé au goût ferreux du chien.
Sur ces entre-faits arriva Rocky, qui commença par lécher le sexe de Viviane, puis vint lui aussi près de sa tête. Toujours suçant Dan, sa main libre caressa le flanc de Rocky, puis passa sous son ventre, et, attrapant la gangue de poil, la caressa, jusqu’à faire sortir le pénis de son labrador, qu’elle masturba de la main. Estimant qu’elle avait déjà goûté à Dan, elle arrêta de le sucer, et masturbant les deux chiens, changea de position pour pouvoir sucer Rocky. Elle attrapa son sexe, plus petit et moins rouge que celui de Dan, et le mit en bouche. Ses chiens, bougeant, elle suivait le mouvement, tout en suçant Rocky et masturbant Dan. le pré-sperme abondant de Dan coulait par petit jet de plus en plus fournis sur son ventre et ses seins, tandis qu’elle avalait avec gourmandise celui de Rocky. Elle adorait ce goût ! Bientôt, elle sentit le sexe de Rocky se cabrer, et elle avala le sperme que le chien éjacula dans sa bouche. Moins fort, il avait meilleur goût que celui de Dan, qui éjaculait justement un sperme liquide et abondant sur son ventre. Le sperme abondant des chiens coulaient sur son menton, dans son cou, sur son ventre,.
Epuisée, sa tête retomba sur le sol et elle lâcha les sexes de ses chiens. Ceux-ci voulurent la lécher, mais un bruit quelconque attira leur attention, et ils se ruèrent hors de la chambre, aboyant après elle ne savait quoi. Elle resta couchée, maculée de sperme de chien, et s’endormit ainsi, à même le sol.
Lorsqu’elle se réveilla, l’après-midi était déjà bien entamée. Elle avait un peu mal aux jambes, son sexe était fort rouge, mais elle était d’une excellente humeur ! Elle se sentait bien épanouie. Elle reprit une douche, s’habilla, nourrit les chiens, puis elle put recevoir ses patients et leurs maîtres.
Le soir venu, elle alla promener les chiens, puis après un souper, elle alla se coucher, rêvant encore de ce qui lui était arrivé durant la journée. Et elle se réveilla encore toute excitée. Avec une grande envie d’encore connaître ces sensations de plaisirs, cette euphorie orgasmique. elle décida donc de commencer la journée en se faisant monter par Dan, car sa maîtresse venait le rechercher en début de soirée. Elle le fit entrer dans la chambre, et, à quatre pattes, lui tendit sa croupe. Connaissant l’exercice, le grand chien ne se fit pas prier. Il monta Viviane, après quelques coups de bassin son pénis rouge entra dans le vagin de la femme, elle ressentit ses vas-et-viens puissants avec un plaisir, criant des « oh oui ! Je suis ta chienne ! Prends-moi comme une chienne ! » Puis, lorsque son noud grossit et qu’elle atteint l’orgasme, elle ne sut plus parler, juste crier son plaisir, jusqu’à ce que le pénis puisse ressortir d’elle, un bon quart d’heure après, trempant de sperme et de mouille ses jambes.
    * * *
Dan partit, Viviane laissa à Rocky le plaisir de la monter. Au début chaque matin, puis matin et soir. Plus elle en avait, plus elle en voulait. Elle aimait le sentir en elle, le sentir éjaculer, sentir son sperme couler sur ses jambes, sur son menton, elle aimait le boire, avoir son goût en bouche. elle alla même jusqu’à se mettre un collier, avec une laisse, pour vraiment se sentir sa chienne, et elle essaya avec lui plusieurs positions (missionnaire, le cul-à-cul,.). Ainsi passèrent plusieurs jours.
Cette après-midi là, elle repassa au Haras du Viguier, voir comment allait Sultan. Comme la dernière fois, Mme Claudel la conduisit au box du cheval. Elles parlaient du cheval lorsque le GSM de Mme Claudel sonna. Elle répondit, et après une discussion vint s’excuser auprès de Viviane.
— Excusez-moi, il faut vraiment que je parte, et mon mari ne revient que dans une heure. Il n’y a personne d’autres que vous, le haras est fermé. Puis-je vous laisser seule ? J’ai entière confiance en vous !— Pas de problème pour moi, je dois faire quelque chose avant de partir ?— Lorsque vous aurez fini, il suffit de fermer la grande porte à clef, et de cacher la clef dans la soucoupe du pot de fleur, à l’entrée. Mon mari la trouvera là. C’est notre cachette !— D’accord pas de soucis Mme Claudel. J’en profiterai pour bien m’occuper de Sultan, j’en aurai pour une petite heure !
Elles se saluèrent, et après quelques minutes, Viviane entendit la voiture de Mme Claudel s’éloigner. Elle s’occupa du cheval, qui était en excellente santé suite à sa dernière visite. Alors qu’elle flattait son encolure, elle sentit le cheval un peu nerveux. Elle passa sur le côté, et vit la même chose que la fois passée.
En fait le cheval était excité. Elle allait faire semblant de n’avoir rien vu, lorsqu’elle sentit une chaleur dans son bas ventre. Quel pénis tout de même ! Et il n’était même pas à son maximum ! Quelle force, quelle puissance !
Elle s’agenouilla sous le cheval, et caressa doucement le pénis, rosé, tiède, doux. si doux. En caressant le cheval, elle commença à se caresser l’entre-jambe avec son autre main. Elle ouvrit le bouton et la braguette de son jeans, et passa sa main sous sa culotte. Elle commença à branler le cheval, tout en se caressant la vulve, le clito, et elle se sentit mouiller de plus en plus. Le sexe du cheval se tendait de plus en plus, suintant, près de son visage. Viviane n’hésita pas longtemps. Elle s’approcha et lèche le gland énorme du pénis du cheval. Que c’était doux ! Sa langue tourna autour du gland, puis lécha ce sexe bandé, puissant, tout en le branlant de ses deux mains. Puis elle essaya de mettre tout le gland dans sa bouche. elle avait la bouche remplie de ce sexe, qui suintait de plus en plus. le goût était un peu pareil de celui du chien, mais en plus fort.
Elle le suça, le branla, le frotta contre son visage. et soudain, alors que tout en le branlant, elle venait de sortit le gland énorme de sa bouche pour le frotter contre son visage, un jet puissant de foutre jaillit et macula son front, coulant sur son nez, ses joues, suivit d’un second. Viviane plaça le gland au-dessus de son visage, comme un pommeau de douche, et laissa le sperme du cheval l’asperger, couler sur elle. elle ouvrit la bouche et en avala et lécha ce qu’elle put, elle aimait son gout !
La vision de ce qu’elle faisait, cette sensation de sperme chaud qui coulait sur son visage était si excitante qu’elle sentit son sexe se crisper et qu’elle fut prise par un orgasme. Le sexe du cheval se rétracta pour disparaître dans son fourreau.
Affolée par son audace, elle rentra chez elle le plus discrètement possible, et fonça dans la douche. où en repensant à ce membre puissant, ce sperme, elle se masturba jusqu’à se faire venir deux fois.
Les jours suivants, elle pensait devenir folle. elle n’avait que ce sexe en tête, et elle devait s’avouer que tout ce qu’elle voulait, c’était l’avoir en elle ! Mais comment faire, dans les haras, impossible d’être seule avec l’animal.
Après réflexion, elle décida de réaliser un vieux rêve. Elle réussit à avoir un prêt à la banque, et fit transformer la remise/garage sur le côté de sa maison en clinique pour chevaux, et elle acheta le terrain jouxtant sa maison pour en faire une prairie. Sa « clinique » était en fait une annexe à son cabinet vétérinaire, spécialement conçu pour les chevaux. Elle savait y loger et y soigner deux chevaux en même temps.
Le temps des travaux, elle continua sa pratique habituelle, ses visites dans les fermes et les manèges, les clients qu’elle recevait à son cabinet. Ses pulsions sexuelles envers les animaux ne faisaient qu’augmenter, en même temps qu’elle devenait encore meilleure vétérinaire. Elle se faisait monter par Rocky, le soir, quand elle en avait envie. Ou bien elle se faisait lécher par Demoiselle. Parfois, lorsqu’elle était seule avec un chien dans son cabinet, et qu’elle était excitée et le chien réceptif, elle faisait sortir son sexe et le suçait avec délectation, avalant le sperme canin avec plaisir.
Mais à part Rocky, aucun autre chien ne la montait, car elle avait peur que le bruit qu’elle faisait, au moment de l’orgasme notamment, ne mette la puce à l’oreille de ses clients. Par contre avec Rocky, elle essaya plusieurs positions, plusieurs pièces de la maison, à l’extérieur. elle aimait le contacte de son sexe canin et de ses parties intimes à elle !
Après plusieurs mois de travaux, sa « clinique » fut enfin terminée ! Le bouche à oreille allant bon train, elle ne dut pas attendre longtemps avant d’avoir son premier pensionnaire. Un robuste cheval qui passait sa visite médicale et devait se faire vacciner avant d’aller concourir à l’étranger, pour un championnat hippique. Son propriétaire l’amena un matin, le laissant trois jours en pension chez Viviane. Dès son arrivée, elle fit les tests adéquats, lui donna ses vaccins. A la fin de sa journée de travail, elle voir le cheval et constata qu’il supportait bien le vaccin et était en pleine forme. Elle flatta l’animal, caressa sa peu tiède, ce qu’il semblait apprécier, puis elle ressortit. Mais il ne perdait rien pour attendre !
La nuit tombée, elle se rendit à sa clinique, nue sous son peignoir. Elle entra doucement. Le cheval leva sa tête à son entrée. Son regard équin croisa celui de Viviane, qui fit tomber son peignoir sur le sol. Nue, elle marcha jusqu’à l’animal, le caressa, frotta son corps dénudé et de plus en plus excité contre la fourrure tiède de l’animal. Elle vit son pénis doucement bouger. Sa main passa sous la bête, et caressa ce pieux de chair tiède jusqu’à ce qu’il soit bien tendu. Puis elle le frotta contre son sexe, qui s’humidifiait de plus en plus.
Elle s’agenouilla, se mit à quatre patte, et lécha le gland brun du cheval, son pourtour, son méat d’où suintait ce liquide au goût qu’elle appréciait tant. Puis, tout en branlant son immense hampe, elle mit le gland en bouche, il était tellement énorme qu’il remplissait toute sa bouche gourmande !
Tout à se fellation, elle n’entendit pas la porte s’ouvrir. Elle était tellement excitée qu’elle bougeait son bassin tout en suçant la bite énorme du cheval, ce qui n’avait pas échappé à l’oil connaisseur de celui qui venait d’entrer.
Avant que Viviane n’ait eu le temps de réagir, Rocky fut sur elle ! Elle suçait le pieu du cheval lorsqu’elle sentit le poids de son chien sur elle, sa fourrure chaude contre son dos, et puis son pénis puissant dans son vagin ! « Oh Rocky ! Oh oui ! Oh ouuuiiii ! Bon chien ! ». Et elle continua de sucer le cheval tout en se faisant prendre par son chien ! Quel plaisir incroyable ! Sa bouche était remplie d’un énorme gland de cheval tandis que son vagin se faisait pilonner par un pénis de chien ! Puis, Rocky arrêta ses mouvements, et son noud gonfla en elle ! Elle en eut son premier orgasme, tandis qu’elle sentit un jet puissant lui remplir la bouche ! Le cheval éjaculait lui aussi ! Le sperme de Rocky remplissait son vagin, tandis qu’elle se faisait à nouveau une douche de celui du cheval ! Le sperme du cheval, plus abondant que celui de Sultan, glissait dans ses cheveux, sur son visage, dans son dos, jusqu’à ses fesses, sur son menton, sur ses seins ! Rocky se retira, et elle sentit le sperme du chien couler hors de son vagin et couler le long de ses jambes. Quelle extase !
Elle resta à quatre pattes, sous le cheval, reprenant son souffle. Elle posa même les coudes à terre, levant ainsi encore plus sa croupe, pour s’étirer. A ce moment, Rocky revint à la charge. Il avait l’habitude de la monter deux fois de suite. Elle sourit. Mais, le sexe du chien humide glissa sur le sperme du cheval qui maculait le bas du dos de Viviane. Rocky redonna un coup de boutoir, et le bout de son pénis de chien glissa à nouveau. jusqu’à l’anus de Vivane ! Elle voulut se redresser, mais Rocky, trouvant une ouverture chaude et accueillante ne se fit pas prier. En deux coups de boutoir, rapides et puissants, son pénis était à moitié entré dans l’anus de Viviane. Elle jura, à cause de la douleur. Mais le pénis canin étant maculé par son sperme, par la mouille de Viviane et le sperme de cheval, il coulissa de mieux en mieux, le muscle anal se faisant à l’intrus. Et Viviane cria. Mais plus de douleur ! Elle découvrit un nouveau plaisir, plus puissant, en ayant son rectum pénétré par le sexe de son chien.
Le plaisir était tel qu’elle sentait sa mouille couler le long de ses jambes. Rocky accéléra ses coups de boutoir dans le cul de sa maîtresse. Heureusement pour elle, le noud de Rocky ne rentra pas dans l’anus, mais se gonfla tout contre celui-ci. Et lorsqu’elle sentit les jets de sperme chaud dans son cul, elle atteint un orgasme si fort, qu’elle cru avoir un orgasme vaginal et anal en même temps. Puis Rocky se retira de son anus, qui déborda d’un sperme tiède qui coula le long de ses fesses et de ses cuisses.
Le cour battant, les jambes flageolante, elle se remit lentement debout, et marcha difficilement jusqu’à son lit, où elle s’endormit tout de suite dans un sommeil réparateur.
Le lendemain soir, elle retourna voir le cheval, qui était en parfaite santé. Il avait dû aimer ce qu’elle lui avait fait la veille, car dés que l’animal sentit sa présence, il commença à bander, son pénis brun sortant de sa gangue foncée. Voyant cela, Viviane ne sut rester de marbre. Elle commença à se caresser, tout en dévorant des yeux ce membre puissant. aujourd’hui, elle le voulait en elle !
Elle plaça donc un solide tréteau sous le cheval, avec une couverture, et se déshabilla entièrement. Puis elle se coucha sur le dos sur le tréteau, sa tête vers la tête de l’animal, ses jambes vers son arrière train. Elle avança jusqu’à ce que le pénis de l’animal soit prêt de son vagin, déjà humide d’anticipation à ce quelle allait faire. Elle attrapa doucement la hampe de l’animal, et commença à le branler, tout en frottant son gros gland contre ses lèvres intimes, jusqu’à ce que le pénis équin soit à son maximum ! Quelle pièce ! Puis, elle plaça le gland brun foncé contre son sexe, et poussa jusqu’à ce qu’il rentre. Elle commença alors à faire aller et venir ce sexe dur et animal en elle, le faisant rentrer quasiment à mi-hampe. elle soupirait de plaisir c’était si bon ! Le gland du cheval était si gros qu’il raclait toute la paroi de son vagin, touchant le point G, et elle eut bien vite un orgasme ! Son sexe était tout rempli par celui de l’animal, et elle le poussait encore au maximum. A son grand étonnement, le pénis du cheval se cabra déjà, et il déversa des litres de sperme en elle ! Le sperme déborda, coulant entre ses fesses, sur ses cuisses.
N’en ayant pas assez, toujours dans la même position, elle laissa le pénis du cheval filer, se rétractant de plus en plus, et elle se branla, rentrant facilement trois doigt dans sa chatte remplie de sperme de cheval, tandis que deux doigts de son autre main fouillaient son anus, lui aussi lubrifié par le sperme chevalin. Elle portait de temps en temps ses doigtes en bouche, goûtant à ce sperme mélangé à ces sécrétions intimes, et continua jusqu’à ce faire encore venir deux fois.
Elle avait adoré cette expérience !
Etre trempée par le sperme tiède et abondant d’un cheval ! Quel plaisir ! Elle essaya donc ses nouveaux pensionnaires, dans toutes les positions, à quatre pattes sous eux, en dessous du cheval, le faisant éjaculer dans sa bouche, sur ses seins, dans son vagin, dans son anus.

Et lorsqu’elle voulait plus, Rocky était toujours là pour la satisfaire ! Un vrai paradis sexuel de plaisirs des sens !
    * * *
Ces extases lui donnèrent des envies de plus en plus folles. Un jour, dans son cabinet, elle réussit à se faire prendre par deux chiens en même temps : elle sut enjamber un gros mastiff, couché sur le sol, et à s’empaler sur lui pendant que Rocky la montait et la sodomisait. deux queues de chiens qui la remplissait. et à force de pénétration, son anus prenait le noud de Rocky aussi. Deux nouds en même temps, quelle folie ! Elle connaissait orgasmes sur orgasmes, successifs le plus souvent, et avalait des litres de spermes.
Un jour qu’elle avait deux chevaux dans sa clinique, elle se plaça sur sa petite banquette perpendiculairement, pour pouvoir en sucer un tout en pénétrant son sexe par l’autre. Vous le croirez ou pas, mais les deux chevaux éjaculèrent en même temps, remplissant son vagin et sa bouche de sperme.
Ainsi, mois après mois, années après années, elle suça ou se fit prendre par tous les animaux qui passait par son cabinet. oh il y avait bien des vieilles rombières pour se demander comment il se faisait qu’elle restait célibataire, avec tous ces animaux. Mais elle n’en avait cure, habituée à sa liberté, à ses amants endurants et qui ne faisaient jamais d’histoire, toujours prêt, habituée au plaisir et aux multiples orgasmes. Et c’est ainsi que Viviane devint la meilleure vétérinaire de la ville, puis de la région.
Diffuse en direct !
Regarder son live