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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Ma vicieuse de voisine...

Chapitre 1

Hétéro
Le prologue de ce récit semble un peu long, mais il me faut bien définir les bases de celui-ci afin qu?il puisse être compréhensible.

PROLOGUE...
Ces faits ce sont déroulés très récemment. Ma voisine se prénomme Marianne et elle a environ 55 ans. Pour ma part je suis un jeune homme de 20 ans, étudiant en lettres.
Un jour d?été durant les vacances, en début d?après midi, Marianne vint à frapper à la porte de la maison familiale. J?était à ce moment la seul à la maison. Mes parents et ma soeur s?étaient absentés.
Après lui avoir ouvert la porte celle-ci me demande si je peux lui rendre un petit service qui consiste à déplacer des objets lourds chez elle. En effet sont mari n?était pas la à ce moment là et elle devait déplacer des meubles. J?acceptait et me voila parti chez elle afin de l?aider. Une fois le travail terminé, celle-ci me proposa de prendre un café afin de me remercier ce que j?acceptai volontiers. Nous montâmes alors tous les deux à l?étage. Elle me demanda alors ce que je voulais boire. Je lui répondit du thé. Elle s?en alla alors à la cuisine préparer les boissons me laissant seul dans le salon. Quelques minutes plus tard, elle revint avec un plateau ou étaient disposés les différents composant nécessaire à la préparation. Après avoir posé une tasse devant moi elle commença a versé l?eau chaude dans celle-ci. Seulement, par mégarde, du moins c?est ce que je croyais à ce moment là elle renversa une bonne quantité d?eau bouillante sur moi. Cela me fit aussitôt sursauter. J?avais le pantalon humide et cela m?avait brûlé la cuisse gauche. On peut dire que s?était passé tout près de m?ébouillanter les valseuses. C?est alors que Marianne me pris par la main et m?emmena dans la salle de bain. Elle répéta à plusieurs reprises qu?elle était désolée. Elle dégrafa alors les boutons de mon jean et le fit descendre à mes pieds. Elle sorti ensuite un pommade d?un placard et commença son application sur la cuisse qui avait était rougit par le choc thermique. Je dois dire que s?était la première fois que ce que je pourrais appeler des caresses m?étaient prodigué par une femme. Eh oui malgré mes vingt ans, j?étais encore puceau.

LES CHOSES SERIEUSES COMMENCENT...
C?est alors que mon sexe se mis à grossir et cela eu pour effet de tendre mon slip. Marianne le remarqua. Elle me dit alors : ? C?est moi qui te fait cet effet là ? avec une intonation que je trouva particulièrement sensuelle. Je ne su alors quoi répondre. ? Ne t?en fait pas ? dit-elle alors, ? ce n?est pas grave. C?est même très flatteur pour moi ?. Elle entreprit alors de descendre mon slip, ce qu?elle fit d?un geste gracieux. Mon jeune sexe se tenait alors fièrement tendu devant son visage.
Marianne s?exclama alors : ? Ben dit moi avec une bite pareille, ce sont tes copines qui doivent être heureuses ! ?. (En effet mon sexe n?est pas particulièrement long, il fait environ 16 cm, mais il est en revanche assez gros de part son diamètre notamment au niveau du gland qui est assez proéminent.) Je répondis alors d?une voix légère que je n?avais jamais eu de petite amie. Ceci l?étonna. Alors cette vicieuse lança ? En tout cas je ne peux pas te laisser dans cet état là, ce ne serait pas très correct de ma part, surtout avec un engin pareil. En plus ce sera un moyen de vérifier si il n?a pas été affecté par le petit accident ...?.
Elle se saisit alors de mon vît à l?aide de sa main droite et imprima un mouvement de va et vient à mon sexe.
Je bégayai alors qu?elle devait arrêter que cela n?était pas bien.
C?est alors qu?elle me dit tout en continuant son va et vient : ? Ne t?inquiète pas cela va te faire du bien ?.
Puis elle déposa un léger baisé sur mon gland déjà bien gonflé par l?excitation.

La raison m?avait alors quitté et je me laissa aller au plaisir des sens.
Elle me fit alors enlever mon tee-shirt afin de me mettre plus à l?aise.
Elle accéléra légèrement son mouvement puis déposa un peu de salive sur mon gland pour faire office de lubrification. Ce n?était pas forcément nécessaire car avec l?excitation naissante en moi, quelques gouttes de pré éjacula avaient perlées de mon méat et cela jouait déjà très bien son rôle de lubrification. Elle dit alors : ? Que c?est bon ! J?avais oublié à quel point c?est raide à cet age là ?. Puis elle se mit à me sucer. Elle engloba d?abord mon gland et appliqua une forte sucions en se creusant les joues. Par la suite elle commença a appliquer un mouvement de va et vient. Ma queue apparaissait et disparaissait de sa bouche dans un bruit de sucions assez fort et que l?on pourrait presque qualifier de obscène. Je sentais par moment mon gland heurter contre son palais. Pendant ce temps la elle appliquait un massage des plus agréable de sa main droite a mes couilles gorgées de désir. Les sensations que je ressentais dans cette bouche chaude et humides étaient tellement intenses que j?en fermai les yeux et m?abandonna ainsi au plaisir. Etant encore relativement jeune en ce qui concerne le sexe. Ma jouissance ne tarda pas à arriver. Je sentais la sève monter le long de ma hampe et mon gland se gonfler de plus en plus sous les coups de la jouissance proche. Marianne le sentit également et c?est alors qu?elle accéléra son mouvement. Ca y est j?était arrivé au point de non retour et l?extase s?offrit à moi. La première giclée de foutre se dirigea puissamment au fond de sa gorge. Marianne manqua par ailleurs de s?étouffer. C?est pour cela qu?elle retira précipitamment ma queue de sa bouche. Les deux giclées suivantes s?écrasèrent sur son chemisier bleu puisque à ce moment elle dirigeait mon vît vers le bas. Le jet suivant d?une puissance encore soutenue alla s?étaller au niveau de son cou. Au moment où la cinquième giclée sorti, elle lâcha brusquement ma queue. Ceci eu pour effet d?étaler cette giclée sur son visage, en partant de la commissure de ses lèvres jusqu?au dessus de son oeil droit. Elle eut alors un rapide mouvement de recul. Enfin la dernière giclée qui finît de m?achever alla s?écraser sur son front et ses cheveux.
Après avoir repris correctement son souffle, Marianne inspecta toutes les souillures que je venais de déposer sur elle. C?est alors qu?elle me dit : ? Eh bien dit moi tu avais vraiment besoin de te vider ! ?. Cela faisait au moins un mois que je ne m?étais pas masturbé. Voilà pourquoi j?ai éclaté en aussi grande quantité. Au moment où elle me disait cela elle récupérait le sperme qui avait maculé son visage à l?aide de sa main droite. Elle ammena ensuite ce qu?elle venait de récupérer à sa bouche. Elle avalla alors goulument ma semance tout en me regardant profondément dans les yeux. Elle s?exclama alors : ? Hum qu?est ce que c?est bon le sperme d?un jeune puceau ! ? Elle aperçu ensuite les deux grosses taches de foutre qui ressortait bien sur son chemisier bleu. Elle dit alors : ? Eh bien celui-la, il n?a plus qu?à passer au lavage ?. Elle se releva, enleva alors son chemisier et se dirigea vers la corbeille de linge salle. Elle pris soin de laper le sperme encore apparent sur le chemisier avant de le poser sur la pile de linge. Elle revint ensuite vers moi, moi qui était encore dans un certain état second. Je la regardais tendrement. Mon regard se posa alors sur le haut de son corps enfin nu et je découvrais ainsi ses seins, elle ne portait pas de soutien gorge, ses seins qui de part son âge commençaient à tomber légèrement mais qui restaient tout de même très désirables. Je vis alors un filet de ma semence qui s?étalait de la base de son cou jusqu?au bout de son seins droit. Une petite goutte perlait sur le bout de son téton durcit qui pointait et je trouva l?image terriblement érotique. Elle commença a étaler sur sa poitrine ce liquide blanchâtre que je venais d?y déposer. Elle se massait alors les seins vigoureusement pendant que de mon coté je ne réagissais toujours pas. Elle dit alors : ? Eh bien dis-moi, tu m?en a mis de partout ?. Elle dit ensuite en rigolant légèrement : ? j?en ai même jusque dans les cheveux... ?. ? Il va falloir que je prenne une douche pour enlever tout cette souillure ?. Elle me regarda alors et son regard descendit au niveau de mon bas ventre. Mon sexe commençait à reprendre forme normale. Elle me fit remarquer que moi aussi j?en avait plein de partout sur le ventre. Cela avait du se produire lorsqu?elle avait lâché brusquement ma pine. Elle me proposa alors de prendre une douche avec elle ce que j?accepta sans hésiter.

LA DOUCHE...
Nous nous retrouvâmes donc tous les deux sous la douche. Nous nous sommes dans un premier temps occupé de notre toilette en nous savonnant mutuellement et en enlevant les traces encore apparentes sur nos corps de ce qui venait de ce passer. Après cela, je commençai par l?embrasser. Elle avait encore le goût de mon sperme dans la bouche.
La confiance m?avait gagnée quelque peu, et c?est alors que je pris l?initiative de lui faire un cunnilingus. N?ayant pas d?expérience je me basais sur ce que j?avais pu voir ça et la dans des films porno. Je m?agenouillait donc devant elle et commença ma besogne. Elle fut dans un premier étonné de cette soudaine initiative mais se laissa faire. Elle avait ce que l?on pourrait appeler une chatte soignée, c’est-à-dire complètement rasée. Ceci m?aida grandement pour cette première expérience de ce genre. J?appliquais complètement ma bouche contre sa vulve qui s?ouvrait de plus en plus telle un fleur sous les prémices de la jouissance. Je leva les yeux et regarda alors son visage angélique. Elle avait fermé les yeux, sans doute afin de mieux apprécier le traitement que je lui faisais subir. J?aspirais littéralement cette chatte qui s?offrait à moi. Il m?arrivait parfois de faire pénétrait ma langue dans le vagin. Je titillais également son petit bouton du plaisir. Son clitoris était rouge et tendu par le plaisir. Elle avait posé ses mains sur ma tête et imprégnait à celle-ci un léger mouvement d?avant en arrière. Elle se trouvait au bord de l?orgasme. Je sentais la pression de ses mains sur ma tête se renforcer. D?un coup son corps se cambra. Ca y est elle avait atteint les signes du plaisir. Elle accompagnait sa jouissance d?un cri fort et aigu. De mon coté je sentais un liquide abondant s?écouler sur mon visage. Ce n?était pas l?eau de la douche qui continuait à ruisseler sur nos corps. Ce liquide était plus chaud et avait un goût particulier. Ca cyprine m?enivrait littéralement. Ceci eut pour effet de redonner de la vigueur à mon membre qui devenait de plus en plus turgescent. Je me relevais pendant que Marianne reprenait ses esprits. Lorsqu?elle ouvrit les yeux, elle découvrit mon membre tendu et prêt à remplir son office. Je pu distinguer un léger sourire en coin de ses lèvres. Aussitôt elle empoigna mon membre et comme pour maintenir mon érection commença une légère masturbation. Je pris alors l?initiative de la prendre dans mes bras en déposant mes mains sur ses fesses. Elle entoura alors mon corps de ses jambes. Pour m?aider à la tenir je tentai de la plaquer contre le mur. Elle poussa dans un premier temps de son dos le robinet de la douche, ce qui eut pour effet de stopper celle-ci. Ceci n?étant pas confortable pour elle, nous nous déplaçâmes sur le mur d?en face ce qui me permit de plaquer celle-ci bien contre le mûr. Elle dirigea alors de sa main experte ma bite qui n?attendait que ça à l?entré de son vagin brûlant puis elle serra ses jambes contre moi ce qui eu pour effet une pénétration nette de mon membre. C?est un peu elle qui dirigeait l?amplitude de mes pénétrations. Après quelques aller et retour, la position ne me convenait plus. Je commençai un peu à fatiguer. Nous décidâmes alors de changer de position. Elle se mit debout dos face à moi. Elle écarta légèrement les jambes. Moi derrière elle, je guidais mon sexe tendu à l?entrée de sa chatte et commençait une pénétration lente. Je plaçait ensuite mes mains sur ses seins et commença un massage de ceux-ci durant ma pénétration. Ses tétons étaient fièrement dressés indiquant l?état de plaisir dans lequel elle se trouvait. Je plaça ensuite ma main gauche sur sa nuque et appliqua une pression afin de lui faire comprendre que je désirais qu?elle se positionne en levrette ce qu?elle fit. Ma main droite tâtait toujours son sein droit. Je commençai alors un va et vient plus puissant et d?une plus forte amplitude. Marianne avait le souffle de plus en plus court. De plus de légers cris commençaient à émaner de sa bouche. Ces seins ballottaient sous mes coups de boutoir. Elle mouillait abondamment et je sentais ça cyprine couler sur mes couilles et le long de mes cuisses. Toutes ces sensations étaient nouvelles pour moi. Le fait de sentir mon sexe dans ce fourreau chaud et humide, c?était divin. Marianne releva la tête en arrière et cria fortement. Elle venait de jouir. Ca cyprine était alors encore plus abondante et je sentais tout son vagin je resserrer sur ma bite. Cette impression me conduisit à l?extase. Je me vidais alors au fond d?elle. C?est alors qu?elle me dit : ? Oui c?est ça vas y remplit moi ?. Je ne comprenais pas trop ces paroles pour le moins crus sur le coup. Elle continua : ? Oh oui donne moi tout ce que tu as ! ?. Elle ressentait donc mes giclées de foutre en elle. Elle re-jouit une seconde fois m?arrosant encore copieusement la bite de sa mouille mélangée à ma semence. Je ressortis alors ma queue de son vagin largement ouvert et d?où sortait un mélange visqueux de mouille et de sperme. Elle pris celle-ci en bouche afin enlever une dernière goutte qui perlait au sommet de mon gland violacé.
Après s?être passé un petit coup d?eau par si par là et s?être essuyé, Marianne m?emmena dans sa chambre.

LE CALME AVANT LA TEMPETE...
Nous nous allongeâmes sur le lit afin de nous reposer de nos récents exploits.
Je m?étais assoupi quand des chatouillements sur le corps me réveillèrent. Marianne était en train de déposer des baisers sur tout mon corps. Mon sexe qui lui aussi s?était endormi se ranima et repris sa taille opérationnelle. Marianne surpris par ce regain d?envie s?exclama : ? On dirait que rien ne t?arrête toi ! ? La jeunesse était sans nul doute la cause de cette soif de sexe. Elle enchaîna : ? Ben puisque que tu en redemandes, autant en profiter ?. Elle me demanda alors de me lever et de me mettre debout au bord du lit. Elle s?agenouilla devant moi, mon sexe tendu devant son visage. Elle commença par m?astiquer tendrement le membre de sa main experte. Puis elle me dit tout d?un coup : ? Je te pari que je peux te faire éjaculer violemment quand je le souhaite ! ?. Moi je ne croyait pas ce qu?elle venais d?annoncer c?est pour cela que je releva le pari, sûr de moi. On se mit alors d?accord sur l?enjeu. En fait si elle gagnait je deviendrais son esclave sexuel pour le reste de la journée et si c?est moi qui remportai le pari ça serait le contraire. On s?est mis également d?accord sur le signal qu?elle utiliserait afin de signifier que j?allais éjaculer. Elle devait crier ? Maintenant !?. J?étais à ce moment sûr que le pari m?était acquis. Elle commença tout d?abord pas titiller mon gland de sa langue. Puis elle l?engloba dans la bouche. Ces lèvres se refermaient alors autour de celui-ci. En même temps sa main gauche me massait les boules. Tout en continuant elle commença alors de me titiller la rondelle a l?aide de son index. Un moment elle tenta de me pénétrer à l?aide de son doigt. Je me dégageai alors rapidement. Elle me dit : ? Ne t?inquiète pas ça ne fait pas mal, ça va même de faire du bien tu verras ?.
Puis elle me reprit en bouche. Elle retenta une pénétration. Cette fois-ci je me laissai faire. Cela procurait une sensation bizarre mais pas désagréable. Elle accéléra alors son mouvement de succion. Je ne sentais pas du tout la jouissance proche à ce moment là. D?un coup Marianne recracha ma bite et cria ? Maintenant ? tout en appuyant sur ma prostate à l?aide du doigt qu?elle avait de fiché dans mon cul. J?éjaculai immédiatement de longues lignées de sperme avec une violence qui m?était inconnu à ce jour tout en lâchant un cri que l?on pourrait qualifier de bestiale. Presque tout mon foutre alla se déposer sur le visage de Marianne. Je finissais de me vider avec les jambes tremblantes. Elle avait donc raison et je venais de mon pari. J?allais devenir son esclave sexuelle pour le reste de la journée qui était au demeurant déjà bien entamée. C?est pourquoi cela ne m?inquiétait pas des masses. Elle ne fit pas attendre la sanction puisqu?elle me demande aussitôt de lui enlever tout le sperme qu?elle avec sur le visage en le récupérant par la bouche. Cela ne me dérangeait pas trop étant donné que j?avais déjà lors de mes expériences solitaires goûtés à mon sperme et que je n?avais pas trouvé ça désagréable. Je m?exécuta donc et avala mon sperme petit à petit. Je n?eux le temps d?avaler les dernières bouchées que Marianne m?embrassa goulûment. Le sperme que j?avais accumulé passait alors d?une bouche à l?autre mais c?est Marianne qui l?avala. Après s?être remis de nos émotions, elle me demanda de la pénétrer d?une manière nouvelle pour moi. Vous l?aurez compris, elle voulait tout simplement que je la sodomise. Elle me demanda dans un premier temps de lui lécher la rondelle. Elle se trouvait à ce moment là encore à genoux sur le lit. Je me mis donc à genoux au bord du lit positionnant chacune de mes mains sur une de ses fesses. Je commençai avec hésitation dans un premier temps à luis lécher se petite pastille. Je tentai de temps à autre une pénétration de la langue. Au bout de quelques minutes elle me demanda de me relever et dans un premier temps de la pénétrer mais vaginalement dans le but de lubrifier ma queue ce que je fis bien naturellement. Elle avait tout à fait raison surtout que Marianne avait tendance à mouiller abondamment. Lorsqu?elle estima que cela était suffisant, elle me demanda de la sodomiser. Je sorti donc ma queue de son fourreau pourtant si accueillant et en premier lieux je commença par jouer avec sa rondelle à l?aide de mon gland. Enfin j?essaya mais en vint de la pénétrer. Elle me demanda qu?est ce que je foutais et je lui rétorquai qu?il m?était impossible de m?insérer en elle. Peut-être avais-je un peu peur de lui faire mal C?est alors qu?elle pris ma queue en main à l?aide de sa main droite. A ce moment là c?est elle qui me guidait totalement, je ne contrôlais plus rien. Elle força l?entrée de son anus avec mon gland et après quelques secondes où d?ailleurs Marianne soufflait assez fort mon gland fini par disparaître totalement dans son antre. Elle recula ensuite sa main jusqu?à la garde de ma queue et continua à enfoncer celle-ci dans ces entrailles, non sans difficultés. Je lui dis même à un moment que cela commençait à me faire un peu mal, cependant, elle ne m?écoutait pas. Ca y est ! Enfin toute ma pine était en elle. La sensation était spécial c?était très chaud et serré à la fois. J?étais comme abruti par la situation. Je ne bougeais pas. Elle me dit alors assez sèchement : ? Ben alors qu?est ce que tu branles ! ?. Cela me réveilla aussitôt et je commençai à m?activer en elle. Au début de manière assez lente, puis au fur et à mesure que son cul se dilatait le mouvement s?accélérait. Marianne quant à elle gloussait de plaisir. Elle m?avoua plus tard que son mari ne voulait plus la pénétrer de cette manière et que cela lui manquait terriblement car elle adorait ça. Donc elle avait le souffle cours sous mes attaques répétitives. Il lui arrivait parfois de lâcher des mots du genre : ? Continue comme ça, c?est bien encule moi bien profond... ? et je sentait sa mouille qui continuait de dégouliner le long de mes cuisses. Mes couilles étaient moites de son plaisir. Par ailleurs a chacune de mes pénétrations mes couille venait claquer contre sa chatte et son périnée ce qui remplissait la pièce d?une sonorité caractéristique. Je ressortais parfois ma que de son cul pour lui fourrer dans la chatte. Elle avait l?air d?apprécier ces changements. Enfin le moment fatidique arrivait puisque je sentais que j?allais bientôt venir. Je lui demandais alors où elle voulait que je jute. Elle me répondit d?un voix étouffé qui marquais ça jouissance proche ? dans les deux ?. C?est donc après quelques va et vient dans son cul que je crachais mon bonheur. La première giclé s?étala donc au fond de celui-ci tandis que j?essayer avec difficulté de m?en extraire. C?est pourquoi je lui glorifiai ces entrailles d?une seconde rasade. Pendant ce temps la Marianne braillait des mots qui paraissaient vulgaires venant de sa bouche. Elle répétait des choses du genres : ? Vas y souille moi... Remplis moi comme une chienne... Donnes moi toute ta purée...?. Arrivant enfin a me dégager je me précipitais de lui enfoncer mon crachoir dans la chatte mais je n?eux pas le temps et c?est ainsi que la troisième s?écrasa à l?entré de sa vulve ouverte. Je parvenais enfin à pénétrer ce fourreau si accueillant et fini de larguer tout ce qui me restait. Je me laissai tomber sur le corps humide de Marianne, épuisé. Elle finissait de jouir dans un râle profond. Je sentais son coeur battre la chamade en elle. Le mien n?était pas en reste n?ont plus. Ce corps humide sous moi avec cette femme submergé par le plaisir me donna l?impression d?une tache bien accomplie. Je me relevais quelques secondes plus tard. Elle fit de même. Je la regardait le regard vague et j?aperçu un liquide visqueux mélangeant mon sperme et sa cyprine sortir de ses orifices. Quelques gouttes de ce mélange sexuel finirent sur le sol. Marianne regarda alors sa montre et vit qu?il était déjà tard et que son mari ne tarderait pas de rentrer. Elle me demanda de me rhabiller mais avant ça elle prit soin de nettoyer de sa langue ma queue qui avait beaucoup perdu en taille. Je n?étais pas mécontent que cela se termine car mes couilles et ma queue commençaient à me faire souffrir. Aussitôt fait je me rhabilla pendant qu?elle essuyait les traces qui s?étaient déposées sur le sol de la chambre. J?étais sur le point de partir quand elle me rappela en me demandant si je n?avais pas oublié quelque chose. Je ne comprenais pas où elle voulait en venir. Elle s?approcha de moi et me roula une pelle magistrale. Elle me dit ensuite qu?elle avait été très heureuse et que durant cette après-midi, c?est comme si elle était redevenue une jeune adolescente.
Elle m?avoua enfin même si je m?en était rendu compte que le coup de l?eau bouillante sur le pantalon, elle l?avait fait exprès et que d?ailleurs elle n?était pas mécontente du résultat et moi non plus par la même occasion.

EPILOGUE...
Je quittais donc Marianne pour rentrer chez moi, plein de joie. Ma soeur était déjà rentrai et elle ne comprenait pas pourquoi j?étais dans cet état de bonheur. Je lui répondis que cet après-midi j?étais devenu un homme nouveau.
J?ai revu Marianne ma vicieuse de voisine plusieurs fois par la suite et nous avons refait l?amour ensemble. D?ailleurs une fois nous nous sommes fait surprendre par sa fille... Mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai bien volontiers si vous le souhaitez.
J?espère que ce récit vous a plus et j?attend vos réactions concernant celui-ci, à l?adresse suivante : sxlovers@altern.org
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