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La vie intime de Madame du Tronchay

Chapitre 2

Hélène et les glaçons

Voyeur / Exhibition
Quand le réveil me sort du sommeil vers les sept heures,  c’est la vision de la baronne en train de prendre son bain qui me vient directement à l’esprit. Je prends mon café et file bosser. L’installation de l’alarme du magasin se révèle plus tranquille que prévu, Il y a des gainages partout dans les faux plafonds et cela me fait gagner un temps fou.
Épisodiquement,  je me repasse des scènes d’hier soir. Décidément cette salope snob me travaille le système.
Je profite de ma pause de midi pour aller à la pêche aux infos sur mon portable. C’est fou le nombre de renseignements que l’on peut trouver sur n’importe qui avec Google  Il suffit d’un peu de patience et de savoir faire. La notoriété locale du baron est telle que je n’ai aucun mal dans mes recherches
La propriété du Tronchay est aux mains de la même famille depuis 1702, date à laquelle le roi Louis XIV l’a donnée, pour services rendus, à l’ancêtre d’Hubert. Ce dernier, administrateur de biens, a épousé en deuxièmes noces et en grandes pompes, Hélène Bockel, notaire, de trente et un ans sa cadette. La baronne a donc 49 ans. Ils sont mariés depuis dix ans.  Je visionne quelques photos officielles de la cérémonie. Hélène du Tronchay a le même air sérieux qu’aujourd’hui, sa physionomie est aussi quasiment identique.
Un peu plus loin, je lis qu’Hubert a été victime d’un grave accident de la circulation voilà cinq ans. J’en déduis que son état physique actuel en résulte. Ils sont tous deux très impliqués dans des associations de bienfaisance catholiques. Hélène du Tronchay, décrite comme fervente pratiquante, a même contribué sur ses deniers à la restauration partielle de l’église locale, ce dont se réjouit le journal de la paroisse.
Bon, c’est pas tout, je dois faire le job. J’avais vu large. A 17 heures passées de quelques minutes c’est fait. Je rentre directement chez moi, obnubilé par des images de la mature brune. Je prends une douche et une bière dans mon frigo et me colle devant mon ordinateur. J’ai plus d’un heure d’enregistrement à visionner.
Rien de bien inattendu à vrai dire. La baronne se lève vers les huit heures, va se refaire une beauté dans la salle des bains. Là j’ai un petit passage sympa au moment où elle tombe sa nuisette de soie noire pour passer sous la douche. On la voit sous toutes les coutures. J’adore le corps musclé de cette vieille salope. Quand elle sort pour s’essuyer j’ai encore une vue plongeante sur son intimité.
 Puis elle enfile son peignoir rose et le reste devient moins palpitant, sauf pour les fétichistes du brossage de dents et de maquillage auxquels je n’appartiens pas. J’éteins le bousin et sors boire un verre avec quelques habitués au troquet du coin. Au bout d’un moment mon voyeurisme reprend le dessus. Je m’achète un chinois et rentre le déguster dans mon appartement.
J’active toutes les caméras. Vers 20 heures une infirmière vient et s’occupe du traitement, de la toilette et du repas du vieil impotent. Sa femme n’est pas encore rentrée. Quand elle a finit, elle conduit Hubert dans sa chambre avant de repartir.
10 minutes après, Hélène fait son apparition. Executive woman, tailleur sobre, mocassins. Le couple doit avoir quelqu’un à son service car elle trouve un repas, prêt à être réchauffé, dans la cuisine. Elle le prend là en lisant le journal.
Je suis ses déambulations tout en passant commande à mes fournisseurs. J’établis aussi quelques devis pour des clients.
La baronne a fini son repas et son journal. Elle passe rapidement donner le bonsoir à son époux. Pas d’effusion. Elle l’aide à absorber un comprimé puis le laisse sans autre forme de procès. Je vois le vieillard sombrer rapidement dans le sommeil, sa veilleuse toujours allumée comme hier soir.
Hélène file dans son bureau et allume son ordinateur. Je zoome. Elle va directement sur MSN. Elle semble avoir plus de succès que la veille, ses doigts s’agitent sans cesse sur le clavier. Brusquement elle s’interrompt, ouvre un tiroir de son secrétaire, en ressort une perruque blonde qu’elle enfile aussitôt sans trop d’attention. Elle complète son camouflage avec de grosses lunettes de soleil rondes en écaille qui lui mangent la moitié du visage.
Je n’aurais pas attendu pour rien. La bonne dame patronnesse a des activités qui surprendraient certainement bien de ses paroissiens. Elle passe en mode visuel. Je vois la tête d’un jeune type apparaître à l’écran. Ils se mettent à parler mais cela m’échappe complètement car je n’ai pas installé de dispositif sonore, conformément aux souhaits du  baron.
Hélène recule légèrement son fauteuil et entrouvre son chemisier. Le gars de son côté lui montre en gros plan ses attributs génitaux  dont l’état confirme tout l’intérêt qu’il porte à son interlocutrice. La vieille peau ouvre un à un tous les boutons de son chemisier clair et lui révèle sa menue poitrine. Elle promène  ses deux mains ouvertes sur ses seins .
Le type entame alors une branlette sauvage. Notre exhibitionniste sait y faire. Elle le plante là quelques instants, le temps de faire un saut à la cuisine. Je la vois se verser un large whisky qu’elle coupe largement de glace.
Madame la baronne reprend sa place devant l’écran. Elle abandonne sa liquette et se présente torse nu à son interlocuteur. Elle allume une cigarette tout en sirotant son verre. De temps à autre elle titille un de ses mamelons. Le jeune voyeur a repris sa masturbation et semble ravi du spectacle. Hélène a fini son verre. Délicatement elle saisit un glaçon entre le pouce et l’index et le promène sur sa frêle poitrine, insistant sur les tétons.
Visiblement sensibles au froid les deux pointes de chair deviennent rapidement turgescentes. La baronne passe du froid au chaud. Elle coince chacune de ses auréoles entre pouce et index et les malaxe fortement, se chargeant de prouver toute leur élasticité au branleur qui agite frénétiquement son organe. Le type décharge dans le vide une rasade de foutre puis coupe le dispositif.
Hélène se retrouve devant un écran blanc.
Cela à l’air de lui suffire, car elle coupe la connexion et part dans sa chambre. Elle finit de se dévêtir, me gratifiant une nouvelle fois au passage de sa nudité. Je ne me lasse pas d’admirer sa plastique. Seuls quelques légers plis au bas de son ventre quand elle se courbe et quelques vergetures sur le bas de ses fesses pommelées trahissent son âge.
Elle ne voit pas la nécessité d’enfiler un vêtement pour la nuit. En tenue d’Eve, elle se glisse sous ses draps et éteint sa lampe de chevet. Rideau.
Je regarde ma montre. Il est 23 heures, je ferai bien d’en faire de même. Je revisite mentalement la scène avant de sombrer. J’ai appris ce soir qu’Hélène de Tronchay était finalement assez joueuse, ce que son apparence quotidienne ne permettait pas de déceler. Il me reste beaucoup de temps pour visiter son univers fantasmatique.
Je suis devenu fan de la baronne anorexique. Les images se mélangent puis je sombre.
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