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La vie intime de Madame du Tronchay

Chapitre 4

Aimé, à en perdre la raison

Voyeur / Exhibition
C’est aujourd’hui dimanche. Point de robe blanche mais un bel habit sombre. Rasé de près j’ai décidé, pris par une soudaine envie mystique, de me rendre à l’office dominical célébré en la paroisse Saint Germain de Tronchay.
J’arrive juste à l’heure. Quelques têtes chenues ça et là et bien sûr au premier rang des fidèles Monsieur Hubert du Tronchay, accompagné de sa charmante épouse. Je me glisse dans la nef et me positionne à leur hauteur, de l’autre côté de la travée. Madame est charmante, sagement drapée dans une robe sombre. On lui donnerait le bon Dieu sans confession tant elle semble austère.
Fervente, elle s’agenouille, se relève, chante des louanges, communie, la parfaite petite bigote. Qui ne l’aurait  vu hier soir dans ses errements charnels ne pourrait se douter que la baronne a le feu au cul.
La messe s’achève et je vais saluer le baron et sa femme sur le parvis. Lui se montre mondain à son habitude et elle toujours aussi froide et distante. Si tu savais ce que je sais sur ton compte, ma poulette... Je demande au baron s’il est content de mon travail. Il me dit qu’a priori oui mais qu’il n’a pas eu encore l’occasion d’utiliser mon système de surveillance. C’est ce qui fait toute la différence avec moi, qui en ait abusé ces derniers temps.
Avant de me quitter Hubert du Tronchay me fait savoir que lui et sa femme vont aller passer quelques jours dans leur résidence de la Baule et qu’il aura ainsi l’occasion de s’en servir. Avant de nous séparer je lui propose mes services pour protéger sa résidence secondaire. Il me remercie mais m’indique qu’il dispose sur place d’un gardien, Aimé, qui ne trouvant pas de logement en quittant la Guadeloupe pour s’installer en métropole, a été fort heureux de bénéficier de la garde de leur  villa.
Tiens donc, encore une coïncidence. L’univers de la baronne est décidément  bien sombre.
La semaine qui suivit me permit, du fait de son absence, de mettre quelque peu à distance mes pulsions compulsives pour la baronne. Sans plus, épisodiquement des images continuaient à surgir de ma mémoire. Et puis j’avais les enregistrements de ses frasques quand le manque devenait trop cruel.
Le dimanche suivant, dans l’après midi, un bip sur mon portable m’avertit  de mouvements dans la demeure du baron.  J’ouvris l’application qui me renvoya l’image du couple avec ses valises dans l’entrée du manoir. Chic! Hélène était de retour.
Je passai le reste de la journée à attendre. J’étais devenu cinglé de cette bourgeoise en chaleur.
J’attendis 22 heures pour me connecter. C’était un peu trop tôt. La vieille salope, dans son peignoir rose favori achevait un film à la télé. Je constatais, à la faible lueur de sa liseuse, que son mari dormait à poings fermés. Je pris une bière et me plongeai dans résultats et commentaires sportifs du weekend.
Ça y est! Le détecteur du bureau d’Hélène du Tronchay vient de se déclencher.
 Je plonge sur l’écran. Le cérémonial change. La baronne s’assied devant son bureau, nue comme un ver. Elle ouvre MSN et passe un bref coup de fil. Son interlocuteur  a bien saisi  la manœuvre. Hélène règle sa webcam ouvre sa fenêtre vidéo, le type est déjà présent à l’écran. Son visage  a la couleur de l’ébène. La baronne le salue d’un petit signe de la main.
Le raisonnement est simple. Si cette cochonne ne prend pas la précaution de se travestir et qu’elle se présente directement à poil devant le drille, c’est qu’ils ont une certaine intimité. Partant de là je pense qu’il existe une forte probabilité que son interlocuteur soit le fameux Aimé, le gardien de la villa de la Baule. Et donc le natif de la Guadeloupe cocufie depuis peu Monsieur Hubert.
Le black est aussi nu que la baronne. Ils devisent en échangeant de petits gestes. Ils ont élargi le champ de la caméra et chacun peut jauger l’anatomie de l’autre dans son intégralité.  Aimé semble dans les meilleures dispositions. Fidèle à son habitude, Hélène le fait mijoter. Elle se lève lentement, lui tourne le dos en se déhanchant puis disparaît, direction la cuisine.
Quelques instants plus tard elle est de retour, un large whisky dans une main, une bouteille de coca dans l’autre. Elle se réinstalle devant sa webcam et écarte les jambes afin qu’Aimé puisse mieux se souvenir de l’endroit où il a certainement passé d’agréables moments.
La baronne décapsule la bouteille de verre et remplit son verre du liquide brun. Il reste un tiers de Coca dans la bouteille. Elle semble déshydratée car elle vide au goulot, en quelques rasades, le  reste de la boisson. Elle conserve la bouteille désormais vide dans sa main et entreprend d’en nettoyer l’orifice de sa langue. L’oiseau des îles a entamé un fort mouvement de va et vient qui fait émerger de sa main de manière répétitive un gland rose trapu du meilleur effet.
Hélène du Tronchay s’applique maintenant à pratiquer une fellation improbable sur la fiole. Elle penche la tête en arrière et engloutit autant de verre torsadé que la capacité de sa gorge le permet. Elle a du constater qu’il ne restait pas la moindre goutte de soda car elle finit par  retirer la bouteille de sa bouche.
Elle bave ou plutôt crache de la salive sur le haut de l’objet. Sa main descend jusqu’à hauteur de ses cuisses. Elle constate d’un doigt expert le degré hygrométrique de sa chatte et satisfaite présente le goulot de la bouteille à son vagin. La forme assez adaptée de l’objet permet à l’intimité de la baronne de l’accepter sans mal.
Elle soulève maintenant ses fesses et fait admirer l’étendue de ses capacités d’absorption intime à son interlocuteur.  On ne voit plus que le culot de la canette entre ses doigts, le reste à mystérieusement disparu à l’intérieur de ses chairs. A l’écran le noir balèze éjacule à grands traits. Le contraste  coloré des longs flots de sperme s’écoulant sur le pénis charbonneux du zigue est du meilleur effet.
La baronne se finit en levrette, le fessier tourné vers sa webcam, la chatte toujours dilatée par la fiole. Elle se doigte le clitoris et l’anus en se dandinant d’avant en arrière. Ce manège finit par avoir raison d’elle car la voilà maintenant qui se roule par terre, crispant ses doigts sur le verre, la bouche largement ouverte dans un râle muet.
Elle ouvre et ferme ses cuisses dans un ballet étrange et irrégulier jusqu’à ce que les spasmes qui l’agitent se calment un peu. Les deux tourtereaux électroniques se quittent quelques instants plus tard, non s’en s’être donné rendez-vous pour plus tard. Du moins c’est ce que leurs mimiques semblent indiquer.
Je risque en conséquence d’avoir une semaine passablement longue et fatigante.
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