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La vie « normale » d’un lycéen « normal »

Chapitre 1

Divers
Avant toute chose, je tiens à préciser que cette histoire n’est inspirée d’aucun fait réel que ce soit de par (évidemment) la situation, les personnages ou même les lieux.Elle est totalement sortie de mon imaginaire (peut-être un peu tordu).
Je destine plusieurs chapitres à cette histoire et le premier sert plus d’introduction que de partie érotique. Cependant il est essentiel à la compréhension de l’histoire.
Chapitre 1 : Le Monde
Je venais d’intégrer un prestigieux lycée avec mon meilleur ami que je connaissais depuis l’école primaire. Nous étions assez différent l’un de l’autre : il aimait s’amuser, draguer, faire la fête, boire parfois alors que moi je pouvais rester une journée entière cloîtré chez moi à jouer de la musique sans parler à personne (ma mère étant peu présente). Mais nous n’étions pas dans la même classe.Première heure je me retrouve à côté d’un mec à lunettes, le parfait intello, un vrai connard (comme moi mais sans les lunettes). Patati patata vas-y que je te sorte le règlement, les horaires, les profs… en gros je ne bouge jamais de classe sauf pour des cours qui nécessite des matériaux spéciaux (genre les sciences naturelles).
« - Eh mec, ça va ? »
Putain, il était déjà midi et j’étais assis dans le réfectoire, en face de mon ami qui engloutissait une espèce de ratatouille immonde.
« - Pourquoi ça n’irait pas ? C’est bien ici. On dirait un peu un style de vieille école anglaise avec…— Non mais ça je m’en fous. Je te parle d’ELLE, tu t’en remets ? »
Bien sûr que non connard. Tu crois quoi ?
« - Ecoute, je te dis que ça va. »
Il s’en foutait de ma réponse. Il regardait un truc derrière moi. Alors je me suis retourné. Dans l’absolu j’ai vu une fille seule, démarche timide, taille normale, cheveux bruns bouclées qui lui tombaient sur les épaules, mignonne mais ne casse pas trois pattes à un canard.
« - Explique-moi ce que tu regardes là… ?— Tu ne les vois pas ?
— De quoi ? Les Nazgûl ?— Mais… les meufs là ! »
Evidemment je me suis encore retourné et là, effectivement, j’ai vu un groupe de filles. Elles ont dégagé celle que j’avais vu avant (ce n’est pas imagé, elles l’ont poussée au sol) pour avoir une table entière. Elles étaient bien formées mais maquillées comme des sacs et puis ce n’était pas mon style.
« - Mec elles sont trop bonnes !— Ca sent la pouf quoi. »
Après cela, je l’ai laissé à ses fantasmes, je suis allé aider la fille à ramasser son plateau et je me suis cassé traîner dans l’enceinte.J’ai enchaîné avec un cours de STL (où d’ailleurs j’ai revu la fille que j’avais aidé) et de mathématiques. Je suis rentré chez moi en bus.Une fois à la maison, ma mère n’étant pas là, j’ai regardé la télé et me suis fais des pâtes. Quelle vie palpitante. Enfin ma mère est rentrée, on a parlé et je suis parti me coucher. Enfin j’ai regardé un film d’abord, "Le Cinquième Elément" je crois.Je me suis réveillé vers trois heures du matin. J’ai encore rêvé d’elle… je n’arrive pas à l’oublier putain, je ne peux pas oublier, je ne veux pas oublier.
« Shame, shame, shame… shame on you ! »
Putain de réveille-matin ! Un thé et je pars en courant. Rater le bus et arriver en retard le deuxième jour ne fais pas très bonne impression.Cours de français. « Si on me presse de vous dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut s’exprimer qu’en répondant : parce-que c’était lui. Parce-que c’était moi. » Montaigne. Intéressant hein.
A midi, je me suis retrouvé encore avec mon ami. Nous marchions quand j’entendis un « merci ». C’était la fille que j’avais aidée la veille.« - De rien, répondis-je en esquissant un sourire.— Oui…— Tu es seule, hein. Tu veux manger avec nous ?— Tu suces ?— On n’est pas tous comme ta mère, Valentin.— Oh euh… je ne sais pas trop… oui pourquoi pas.— Tu parles de manger, hein ? »
On est arrivé sur une table en même temps que les connasses de la veille.
« - C’est notre table.— Vous êtes quatre, on est trois. Table à douze chaises. Mathématiquement on rentre.— Fais pas le malin petit pédé. Toi, ton boutonneux et ta gourde vous allez voir ailleurs. »
Comme toute réaction normale, je l’ai tirée de sa chaise et plaquée contre le mur en lui susurrant.
« - Ecoute-moi bien connasse. Toi et tes petites amies vous allez, soit dégager, soit fermer vos gueules, soit les deux. Ah oui, soit tu t’en prends une même si ce n’est pas dans ma nature de frapper quelqu’un et encore moi ce qui se rapproche d’femme. »
Evidemment elles sont parties mais j’eus le temps d’entendre.
« - Je préfère le ténébreux au regard glacial que le boutonneux musclé. Et toi Mathilde ?— Putain il m’a niqué l’épaule cet enculé. »
Nous avons discuté de tout avec Valentin et cette fille. Puis les cours ont recommencé et je ne l’ai pas revu de l’après-midi. A la sortie, j’ai discuté un peu avec l’intello à lunettes que je trouvais plutôt sympa avec le recul.
« - Tu fais du sport ?— Je courrais beaucoup l’année dernière. Et toi tu te plonges dans les bouquins ?— Champion d’escrime junior régional— Ah ouais, euh… de la musique ?— Piano et toi ?— Un peu de tout, guitare, piano… même du violon c’est pour dire !— Et sinon, petite amie ?— Plus maintenant. Elle est… ailleurs.— Ah bon et… »
J’ai traversé la rue à l’arrache en le laissant en plan.
« - Eh ! Attends !— Ah c’est toi. On mangera encore ensemble demain ?— Si tu veux… mais par contre on n’a même pas échangé nos prénoms !— Garance, et toi ?— Jules.— Alors enchantée Jules !— Enchanté.
A SUIVRE.
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