Chapitre 1 Commençons par le début, je m’appelle Jim, j’ai 32 ans et je bosse comme courtier dans une grosse boite d’investissement boursier. Ce n’était pas temps que j’aime mon travail, mais il paye bien ce qui me permet de satisfaire mais goût dispendieux. Depuis deux mois, je sors avec Sarah, une superbe blonde au corps de rêve et accessoirement la fille de mon patron. Nous nous étions rencontrer à la fête de noël organiser par ma boite et le courent était tout de suite passé entre nous. Plus vielle que moi de quelque années, Sarah venait juste de sortir d’un divorce douloureux. De sa mauvaise expérience elle avait gagné une attitude méfiante en vers la gente masculine en général. Nos premiers rendez-vous s’était passé dans des cafés ou autour d’un bon plats, suivit de baiser échevelé dans la voiture. Mais à chaque fois, elle m’avait arrêté lorsque mes mains s’étaient faites trop entreprenantes. « Je veux qu’on apprenne à mieux se connaitre avant. » me disait-elle à chaque fois avant de sortir de la voiture me laissant bandé comme un cerf. Finalement, après un mois de fréquentation assidue Sarah fini par m’inviter à souper chez elle. Elle désirait me présenter à ses trois filles, une sorte d’épreuve du feu en quelque sorte. Lorsque mon regard se perdait dans le décoté de son opulente poitrine, j’étais prêt à faire n’importe quoi pour réussir la dite épreuve. C’est donc un peu nerveux que je me rendis à son adresse. J’allais m’engager dans le petit chemin qui se rendait jusqu’à l’imposante villa de Sarah, lorsque mon attention fut attirée par une belle femme, d’origine latine, qui portait avec difficulté un sac poubelle jusqu’à un container. -Un coup de main, proposais-je. -Non merci, me répondit la voisine de Sarah avec un sourire. Après un bref salut de la tête je la quittai pour me rendre jusqu’à la porte de la ville, je sonnai un bref coup en essayant de ne pas paraitre trop nerveux, un mois d’abstinence sa laisse des traces. Après un court moment la porte s’ouvrit pour révéler une magnifique femme noire, aussi grande que mince. -Entrez je vous prie, Madame Smith vous attend, me dit la belle inconnue. Je la suivis en suivant du regard sa démarche chaloupée. D’habitude les femmes de couleurs ne m’intéressaient pas mais il se dégageait de mon guide une aura de sensualité troublante. Dans un salon d’écoré du meilleur gout m’attendait Sarah et ses filles. -Je suis heureuse de te voir, me dit ma compagne en venant m’accueillir d’un baisé passionné avant de se tourné vers ma guide. Tu peux nous laisser Juliette. -Bien madame, répondit la jeune femme avant de quitter la pièce. -Tu as du personnel de maison, demandais-je impressionné.
— Mon assistante personnelle, elle à un appartement au second étage. Allez vient que je te présente à ma petite famille. Sarah le guida jusqu’à la table et m’introduisit aux trois jeunes filles qui m’y attendait. Samantha était l’ainé des sœurs, elle était la parfaite image de ce à quoi avait dû ressemblé sa mère à dix-huit ans. Même cheveux blond et lisse, même yeux vert et intense et même poitrine volumineuse. La jeune femme débutait des études de médecine et en même temps préparait son mariage, prévu l’année suivante avec son copain. Diana était la second, contrairement à ses deux sœurs ses cheveux était châtain et ondulé et ses yeux couleur noisette. Je regrettais un moment que le pull trop ample qu’elle portait m’empêche de deviner les formes caché en dessous. L’accueil que me réservait l’adolescent était assez froid pour me faire deviner qu’il serait difficile de gagné son approbation, mais je ne m’encourageais pas. La plus jeune des trois filles, Paola, entrait à peine dans l’adolescence, dynamique elle était le parfait trait d’union entre ses deux grande sœur, ses cheveux coupé court à la garçonne soulignait son beau visage de lutin. La soirée se passa à merveille, je réussi même à m’attirer la sympathie de Diana lorsque j’évoquais mon passé de musicien ainsi que les nombreux concerts au quel j’avais eu l’occasion de participer, j’en rajoutais même un peu rien que pour le plaisir de voir ses yeux admiratif. Finalement lorsque la soirée toucha à son terme Sarah ordonna à sa petite famille d’aller dormir non sans qu’elles me disent bonsoir d’une bise que je trouvai, à mon grand plaisir, un peu trop appuyée. -On dirait que tu les as conquises, me dit Sarah alors que nous nous installions dans le fauteuil. -Ce sont des gosses géniales, la complimentai-je évitant de rajouter à quel points les trois jeunes filles étaient bandante. Soudain Sarah se pencha pour m’embrasser avec fougue, nos langue ne tardèrent pas à se mêler. Mes mains s’égarèrent au niveau de sa poitrine généreuse. -Doucement, me dit-elle entre deux baisers. Ça fait longtemps. -D’accord, mentis-je. Je savais que je n’aurais pas de mal à allumer le volcan de sensualité que j’avais deviné en elle. Nous nous déshabillons mutuellement et je retins un sourire vaniteux lorsque j’entendis son exclamation en découvrant mon sexe d’une taille bien supérieur à la moyenne. -Je n’avais jamais vu de bite pareille, me souffle-t-elle sans réussir à détourner les yeux de ma queue. -Même pas celle de ton mari, demandais-je. -Tu rigoles, à côté de la tienne son sexe ressemblé à celui d’un enfant. Tout en appréciant le compliment, je lui saisis la tête et la guide doucement vers ma bite bandée. Malgré tous ses efforts Sarah ne parvint à mettre en bouche que mon glande de la taille d’une petite pomme. Ses va et vient maladroit, m’apprenne que ma compagne doit être novice dans l’art de la pipe, qu’importe je me fais fort d’y remédier. -Bave bien dessus, lui conseillai-je. Sa facilitera le mouvement. Ma bite ne tarde pas à être couverte de salive alors que Sarah poursuit sa fellation. -T’es une bonne suceuse, la complimentais-je. La bouche pleine ma compagne est incapable de répondre. Finalement je la mette sur le canapé et débite un cunnilingus magistral auquel elle ne tarde pas à répondre par de fort gémissement. -On c’est trop bon, me dit-elle entre deux cris de plaisir. -Et maintenant, je pense qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. -Doucement, tu es tellement gros que je ne sais pas si elle va rentrer. -Bien sûre qu’elle va rentrer dis-je en la pénétrant d’une seul poussé. Sous l’effet d’un orgasme incroyable Sarah s’arcbouc en arrière alors que ses yeux se révulse et que sa langue pend de façon obscène hors de sa bouche. Je me mets alors à la besogner sauvagement alors qu’elle se met à hurler de plaisir. -Ho ta bite de cheval est trop bonne, me dit-elle. Tu me baise comme un dieu. -T’aime ça petit chienne, lui dit-je mes yeux plongé dans les siens. — Oui, gémit-elle. Si j’avais su on l’aurait fait bien avant. Je t’aurai laissé me baiser à la soirée dans les toilettes. -Rassure toi on va bien se rattraper. Je sens sa mouille qui inonde mon bas ventre alors qu’elle est prise d’un nouvel orgasme. Sa lui laissez le temps de reprendre son souffle, je tire ma bite de sa fente la place en levrette sur le canapé et replonge en elle avec fougue. -Prend moi comme une chienne, me supplie-t-elle totalement soumise. Baise-moi. Alors que je suis en train de la bourré à une allure d’enfer je glisse une main pour titiller son anus. -Non pas ça, m’interrompt-elle. Je n’aime pas. J’obtempère non sans me promettre de l’amener à prendre gout à la pratique de la sodomie. Comme pour la punir de son refus j’accélère encore le rythme, je vois les ongles de sa main griffé le cuir du fauteuil alors que je la tringle comme un sauvage. -Encore, encore, encore…me crie-elle. Bourre-moi. Je commence à lui claquer les fesses alors que je sens l’orgasme venir, je finis par éjaculer une quantité impressionnante de foutre à l’intérieur de Sarah. Épuisés, nous nous effondrons l’un à côté de l’autre sur le canapé. -C’était incroyable me dit-elle une sourire lumineux sur le visage. -Merci, répondit-je en la prenant dans mes bras. Nous montons dans sa chambre ou elle m’administre une fellation splendide avant que je la reprenne en levrette sur le lit, une partie de moi espère que ses cris de jouissance vont réveiller ses filles.
