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Vierge et putain

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je m’appelle Evelyne. A 18 ans, mon Bac en poche, je souhaitais faire des études. Malheureusement, mon père ne l’entendait pas de cette oreille. Il se considérait déjà suffisammen ouvert d’esprit de m’avoir autorisée à faire un bac. Il était maintenant temps de me trouver un mari, de faire des enfants et de me conduire d’une manière qui ne lui fasse pas honte. J’étais majeure et je l’ai envoyé se faire foutre, proclamant que je me débrouillerais seule, mais c’était plus vite dit que fait et je me suis retrouvée à dormir dans une chambre insalubre, allant en cours la journée et travaillant comme serveuse le soir et le week-end. J’ai rapidement compris que je n’allait pas tenir longtemps, mais je m’accrochais pourtant à mon rève. Au mois de novembre, j’ai attrapé une bronchite qui a dégénéré en pneumonie et là j’étais vraiment mal. Je me suis retrouvée in extremis aux urgences et j’ai passé 10 jours à l’hopital. Autant dire que la note allait être salée, et pas question d’appeler mes parents!J’étais très déprimée et le 7ème jour, j’ai refusé de me lever pour aller prendre une douche. Les infirmières ont refusé de compâtir et m’ont laissée mariner toute la journée. J’ai aussi refusé de manger. La nuit venue, je pleurais dans mon lit et les autres pensionnaires de la chambre se sont plaintes. L’infirmière de garde a donc déplacé mon lit dans le couloir. Je suis restée là, tétanisée, mais j’ai fini par m’endormir dans la demi-pénombre, le couloir juste éclairé par les veilleuses. Il devait être le milieu de la nuit lorsque je me suis réveillée, consciente d’une présence. Un homme âgé était assis sur le bord de mon matelas et me regardait. Je n’ai pas eu peur, car j’ai d’abord pensé que c’était un médecin. Mais c’était un patient, bientôt guéri, qui n’arrivait pas à dormir. Il m’a dit s’appeler Jules. Nous avons commencé à discuter et bientôt, je lui racontais toute mon histoire, en pleurant. Il m’écouta jusqu’au bout, puis il me demanda s’il n’y avait pas quelqu’un pour s’occuper de moi, une amie ou un petit ami, peut-être? Mais non, je n’avais pas de petit ami, mon éducation et ma culture s’y opposaient. A cela, Jules me fit remarquer que j’avais en fait rompu avec ma culture et que cela n’avait plus d’importance. De la poche de son peignoir, il sortit un gros portefeuille et en sortit un billet de 20 d’un air mystérieux. — j’ai là la solution à tes problèmes, ma chère Evelyne. Dit-il. M’autorise-tu, pour 20, à enlever ce duvet et ces couvertures?— ...?, heu.. Bon, oui, c’est d’accord.Il ôta les différents couches qui me recouvraient et je me retrouvai juste couverte par la courte chemise d’hôpital, ouverte derrière. Gênée et frissonnante, je n’osais pas bouger. — Tu vois, tu as gagné 20, sans rien faire, dit-il de sa voix douce. Mhm... Tu as de très jolies formes, vraiment. J’aime beaucoup les jeunes femmes un peu rondes, avec de belles formes. Tes seins m’ont l’air particulièrement volumineux, je me trompe?— Arrêtez ça! Dis-je en croisant les bras sur ma poitrine. Laissez-moi tranquille!Mais lui, imperturbable, sorti un billet de 50 de son portefeuille. — Ce billet est pour toi si tu acceptes d’enlever ta chemise et de me laisser te regarder nue. — Non, arrêtez ça! Laissez-moi tranquille! J’ai froid!— Tsss! Siffla-t-il d’un air de commisération. Nous savons toi et moi que tu as besoin de cet argent. Après tout, ce que je te demande n’est pas grand-chose. — Bon, d’accord, faites-le, mais après, tirez-vous!Il se pencha alors sur moi et dénoua délicatement le noeud qui fermait la chemise, qu’il dégagea de mes épaules et fit glisser le long de mon corps. Je me mis à frissonner, mais pas de froid, cette fois-là. Je sentais une légère chaleur dans mon bas-ventre et ma respiration s’accélérait. — Tu es vraiment très très belle, Evelyne. Sans me toucher, il survola mon corps de ses mains, ce qui accru mon excitation et lorsqu’il sorti un billet de 100, il n’eut pas à m’expliquer, je fis oui de la tête. Il se mit alors à me caresser de la tête aux pieds, en se concentrant progressivement sur mes seins, dont il lécha longuement les tétons, puis sa main gauche glissa vers ma chatte, à laquelle il accéda progressivement à mesure que je me détendais et que mon excitation montait. Puis il glissa un doigt dans mon vagin en me caressant le clitoris de son pouce. Bientôt, un second doigt le rejoignis et je me mis à gémir de plaisir. Au bout d’un moment, il s’interrompi et je lui jetai un regard suppliant. Surtout qu’il n’arrête pas!Mais il sorti juste deux billets de 100 supplémentaires de son portefeuille et je fis oui de la tête. Il se déshabilla alors rapidement. Je n’osais pas regarder son entrejambe. Il m’enjamba et se retrouva couché entre mes jambes, appuyé contre mon bassin. Il remonta peu à peu en me léchant les seins et je sentis bientôt le bout de son pénis entrer en contact avec mon sexe. Il joua un moment à effleurer ma chatte avec son dard, puis il appuya et frotta plus fort, enduisant son gland de ma mouille. Il joua à aller et venir, appuyant de plus en plus fort et tout-à-coup, la pointe de son pénis entra en moi! Il resta immobile un moment, puis il me pénétra peu à peu, doucement mais inexorablement, jusqu’à rencontrer mon hymen, qu’il força d’un petit coup sec qui m’arracha un cri. Puis il continua toujours plus au fond. Il commença alors des mouvement de va-et-vient, de plus en plus amples, se retirant parfois complètement pour rentrer avec plus de vigueur. il me fit jouir une première fois, puis son sexe commença à me pilonner de plus en plus fort et me fit jouir une seconde fois. Il explosa alors au fond de moi en jouissant dans un râle profond et libérateur. Il resta un moment ainsi, haletant, alors que ma peau frissonnait d’extase, puis il se retira et s’enfuit! Il réussi à disparaître au moment où l’infirmière de nuit apparaissait. — Mais qu’est-ce qui se passe, ici! Encore vous? Mais qu’est-ce qui est arrivé? dit-elle sévèrement. Ma tenue et le sang qui maculait mes cuisses valait toutes les explications. — Non mais j’y crois pas! J’y crois pas! Cette petite conne réussi à se faire dépuceler à l’hopital alors qu’elle sort d’une pneumonie! Allez redescendez sur terre et aller vous doucher, que je fasse disparaître tout ça avant de me faire virer!Rappelée à la réalité, je me dépéchai vers les douches, ma chemise plaquée contre ma chatte. Je pris une douche bien chaude et sorti nue dans le couloir pour rejoindre ma chambre. L’infirmière avait entretemps refais le lit et l’avait réintroduit dans la chambre. Elle me tendi une chemise propre et sourit en secouant la tête. .— Non mais des fois, c’est bien la première fois que je vois ça... Allez, bonne nuit. Elle partie, je me mis à penser à l’argent. Il était là, soigneusement empilé sous le verre d’eau qui était placé sur ma table de nuit. Je le recomptai plusieurs fois : 20, enlever le drap, 50, me voir nue, 100, me caresser, 200, faire l’amour. Total 370! Une heure plus tôt j’étais vierge et je m’étais faite dépuceler pour 370! J’étais une putain, une putain! Et pourtant, je n’avais pas feint le plaisir! J’étais fière de ce que j’avais fait, en fait. Je retournai l’équation vierge - putain durant un moment, puis je m’endormis, épuisée. Je ne revis pas mon amant de la nuit jusqu’à ma sortie de l’hôpital. Tout était devenu un rêve. S’il n’y avait pas eu l’argent, j’aurais douté que cela ait jamais existé et mon humeur dépressive repris le dessus. Le jour du départ, je signai les papiers et je sortis par la porte principale. J’eus alors la surprise de voir mon amant m’ouvrir la porte de sa voiture et me proposer de me raccompagner. J’acceptai de monter et une fois à l’intérieur, il me tendit une enveloppe. Je l’ouvris et elle contenais 1500! — Je te garde avec moi pour le week-end. Tu pourras rentrer chez toi lundi matin. Je ne dis rien. J’étais une putain et c’était ce que faisaient les putains, non? accepter de l’argent pour coucher avec leur client.
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