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Vilain Chiot

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Ah, j’entends les pneus de la voiture sur le gravier devant la maison. Cela fait une heure que je suis rentré. J’ai eu le temps de ranger un peu lesalon, passer un coup de balai, et me préparer à l’arrivée de Maîtresse. La portière claque, et ses pas se rapprochent. Alors qu’elle avance dans l’allée, ses talons claquant au rythme de ses pas, je me tiens droit, vêtu de mon pantalon noir, torse nu avec simplement mon collier autour du cou. Elle aime me voir ainsi quand elle rentre, en sachant que j’ai occupé mon temps en prenant soin de la maison. Je frémis de bonheur quand ses pas son proches de la porte. Elle semble pressée, mais pas tant que moi, qui trépigne d’impatience derrière la porte. Que j’ai hâte de la revoir, ma belle Maîtresse. La porte s’ouvre et je suis ébloui comme chaque jour de la voir. Elle me lance un sourire tendu en balançant ses beaux cheveux châtains alors qu’elle ferme la porte derrière elle. Je lui souris également, les yeux brillants de joie et lui lance un « Bonjour Maîtresse » avec beaucoup de retenue.
    Elle ne me répond pas et elle semble en effet crispée. Elle passe devant moi, frôlant mon visage. J’empli mes narines de son odeur, plus divine que le gazon de l’Eden, et cela me réchauffe de l’intérieur. Je la regarde avancer dans la maison, vêtue de son tailleur jupe noir, et de son chemisier blanc. Pourtant quelque chose cloche. Elle file dans le salon, s’arrête net et m’appelle.« Benjamin ? Viens là ! »


    Je m’approche alors, ne sachant pas à quoi m’en tenir. J’avais pourtant tout bien fait, enfin je le pensais tout du moins. C’est tête baissé comme un enfant que l’on vient de prendre à faire une bêtise que je m’avance devant elle.
« Tu n’as pas passé la serpillière ? » me demande Léa.« Non Maîtresse, j’ai seulement passé le balai, je n’ai pas eu le... »« Le quoi ? Me coupe-t-elle sèchement. Le temps ? Trouves-tu le sol propre ? »« Je... »
Maîtresse me coupe une fois de plus en se retournant vers moi. Elle lève le doigt en l’air pour me faire taire et me foudroie de son regard le plus noir. Doucement, elle pose sa main sur le sommet de mon crâne, et m’appuie vers le sol. Je plis alors les genoux, sur lesquels je me laisse tomber lourdement. Le carrelage est froid et pour le moment, mon pantalon m’en protège encore. Je crains cependant que cela ne dure pas très longtemps.
« Vois-tu mieux les traces d’ici ? » me demande-t-elle. »
    Et sans attendre ma réponse, alors que je commence déjà à perdre mon regard le long de ses jambes gracieuses, elle pointe du doigt le sol presque immaculé. Je me penche alors en avant pour prendre appuie sur mes mains et baisse les yeux. Le sol est clairement propre, mais je crois qu’Léa est de mauvaise humeur. A sa question « Ne vois-tu pas les traces ? », et n’en voyant aucune, je me répandis tout de même en excuses et lui promis de nettoyer le sol de nouveau dès qu’elle l’exigera. Elle pose alors son escarpin, dont je sens le cuir, sur mon épaule. Je n’ose lever les yeux de peur de voir sous son tailleur, ce qui serait un affront terrible dans une telle situation. Elle appuie sur son pied :
« Tu mens mal Benjamin, je te connais. Tu ne vois pas de trace ? – Elle appuie encore sur mon épaule, me faisant fléchir les bras. Vilain chiot ! Tu mériterais que je te fasse lécher ce que tu n’as pas lavé ! »« Dois-je ? » lui répondis-je avec empressement.« Non surtout pas ! J’ai d’autres projets pour toi, et ta langue propre en fait partie ! »
    Elle relâche enfin la pression de mon épaule, alors que mon visage n’était plus qu’à quelques centimètres du sol. Elle prend alors la direction du bureau. Nous avons aménagé cette petite pièce afin que nous puissions travailler ou nous relaxer sur les ordinateurs. Elle marche doucement cette fois, et j’ai l’impression qu’elle insiste ses pas pour que résonne son pouvoir sur chacune des dalles du carrelage. Elle jette négligemment sa veste sur le canapé au passage, et s’aère les cheveux. Elle s’engouffre dans le couloir au fond du salon et ouvre, comme je l’avais deviné, la porte du bureau. Je suis toujours à quatre pattes, attendant l’ordre de me relever. J’entends la chaise grincer et l’ordinateur s’allumer, puis ma Maîtresse souffler sa journée de labeur de longues secondes. Après un léger silence, elle dit :
« Viens là ! »
    Je me relève alors presque trop vite, manquant de trébucher. Je marche vers le bureau, dans lequel j’entre à mon tour. Maîtresse me fait dos, face à l’ordinateur qui s’allume. Je m’arrête à un bon mètre d’elle et attends de savoir ce qu’elle veut. Je la distingue alors déboutonner les deux premiers boutons de son chemisier et la voit dégager sa nuque. Je m’approche alors et glisse mes mains délicatement de part et d’autre de son cou. Elle laisse tomber sa tête en arrière, et je glisse mes mains sur le devant de son cou. Elle est magnifique, les yeux fermés, savourant mes caresses. Elle se redresse et je ramène alors mes mains dans le haut de son dos. Sous le col de son chemisier, je masse avec affection ses épaules, sa nuque et son cou. Cela dure de longues minutes et elle grogne son bien-être. Elle commence à cliquer, faire je ne sais quoi sur les réseaux sociaux, comme n’importe qui le ferait pour se détendre après le travail, mais ses mouvements sont assez saccadés. Basculant de nouveau sa tête en arrière, les yeux fermés, elle me dit :
« Caresse-moi les seins, vilain chiot »
    J’adore ce genre de moments. Sensuels, érotiques, je prends un grand plaisir à ces douceurs. Je glisse alors lentement mes mains, de ses épaules je descends dans son chemisier en prenant tout le temps nécessaire pour sentir les frissons la parcourir. Mes mains s’immiscent alors dans son soutien-gorge, jusqu’à ses tétons. Je la caresse tendrement et la sent pointer sous mes mains. Je la regarde, la bouche entre-ouverte, grelottante de plaisir. Alors que mes mains aient caressé sa peau douce comme la soie, Maîtresse glisse une main le long de son ventre alors que l’autre est posée sur sa hanche, et se dirige vers sa jupe. Elle écarte doucement les cuisses, faisant remonter délicatement sa jupe, dévoilant le haut de ses bas auto-fixés. Ses cuisses sont sublimes, elle m’excite énormément et je lui fais ressentir mon état en appliquant un peu plus de pression sur sa poitrine, en m’attardant plus sur le bout de ses seins. Sa main continue son chemin vers son entrejambe, tout doucement, alors que son bassin ondule déjà. Elle respire plus rapidement, les yeux toujours fermés. Ses doigts ont atteints son sexe, et la font sursauter, la font gémir spontanément. Elle s’immobilise comme pour se calmer, ouvre les yeux délicatement me regarde déglutir avec difficulté alors que je la regarde se toucher. Je reste concentré sur les caresse que je lui prodige. Elle sourit, retire finalement sa main de sous sa jupe et, toujours en me regardant, approche ses doigts de ma bouche que j’entrouvre, dans l’espoir de la suite... Mais Maîtresse glisse ses doigts humides et glissants sur mes lèvres, y déposant sa cyprine chaude, et me dit :
« Ne lèche pas ! Tu vois ce que tu me fais vilain chiot ? »
    Le ton qu’elle a employé se veut sévère, mais sans grand succès. Sa voie est aussi chaude que son corps, et elle me susurre plus qu’elle ne me gronde.
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