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Virginie, infirmière à domicile

Chapitre 2

Lesbienne
Virginie, infirmière à domicile – 2 - Elodie
Re-bonjour à tous. Je suis contente de voir que ma première histoire vous a plu.
En fait, vous pouvez vous imaginer que ce n’est pas l’unique qui me soit arrivée et je reprends donc la plume pour vous faire part d’une autre aventure, arrivée celle-là quelques semaines plus tard.
J’allais ce jour-là chez Elodie, jeune femme d’une trentaine d’années, enceinte de 6 mois. Elodie n’avait pas de problèmes de santé particuliers, mise à part une grossesse difficile. Contractions précoces, modification du col de l’utérus, tension trop élevée. Bref, elle doit rester chez elle et subir un check deux fois par semaine.
J’arrive donc chez Elodie, elle est seule comme d’habitude mais semble triste aujourd’hui.Après les petits contrôles de routine, je lui demande ce qui ne va pas.— Je me sens grosse, horrible. Benoît (son mari, homme d’affaires souvent à l’étranger) ne me regarde même plus. Ca fait 3 mois qu’on a plus rien fait…
Là-dessus, elle se met à pleurer, tout doucement. Je la prends dans mes bras, comme une amie. Elle est très sensible à mon geste et se blottit contre mon épaule. Je la laisse se vider de ses larmes, ça lui fait du bien je pense. Evidemment, dans cette position, elle se presse contre moi et j’ai sa volumineuse poitrine de femme enceinte contre moi. Je n’y prends garde au début mais assez rapidement, je trouve ça agréable de sentir cette poitrine, deux fois comme la mienne, se soulever, bouger. Je sens même ses tétons à travers sa blouse.
Quand je sens qu’elle est un peu calmée, je l’aide à se redresser et se rasseoir dans le fauteuil. Je m’assieds à côté.— Alors, Elodie, pourquoi te trouves-tu grosse ? Tu es magnifique. Tu as pris des formes, c’est vrai, mais regarde-moi ces proportions. Je montre avec mes mains le volume de ses seins, de son ventre, de ses hanches. « Tu es une vraie femme »— Merci, Virginie, tu es gentille tu sais mais j’ai quand même l’impression d’étouffer, d’être trop volumineuse, surtout au niveau de la poitrine— Attends, laisse-moi regarder, on dirait que tu es un peu à l’étroit, là, c’est vrai. Je peux retirer ta blouse ? — Oui, attends, je l’enlève
Et là, je tombe sur un soutien-gorge fort rempli, certainement 2 tailles trop petit !
— Mais enfin, Elodie, tu n’as pas acheté de nouveaux sous-vêtements ? Regarde-moi ce soutien-gorge. Désolé, je vais le retirer pour te montrer ce qui ne va pas. J’ouvre délicatement le fermoir de ce joli soutien, bien que trop petit, et l’enlève très délicatement. S’en dégagent deux seins magnifiques. Je marque un petit temps d’arrêt.— Waouw, quelle beauté. Je serais presque jalouse, tiens ! Mais regarde, les traces rouges qu’ils te font ! Les baleines te serrent en-dessous et à l’arrière, comme c’est trop étroit, tu es aussi toute irritée !
Je joins le geste à la parole et lui montre les traces rouges sous les seins, que je soulève doucement. Prendre ces seins en main me procure un petit frisson que je réprime rapidement. Ils sont gros, souples, et avec une large aréole. De vrais seins de femme enceinte. J’ai envie de les téter, mais n’en fais rien.
— Ecoute, j’ai un peu de crème avec moi, je vais juste un peu apaiser l’irritation— Merci, Virginie. Tu as raison, je me sens déjà beaucoup plus à l’aise, là. — Tu m’étonnes… Voilà, la crème. Tu permets ? — On est entre filles, vas-y, tu sais bien à quoi ressemble un sein- Oui, mais là, c’est du lourd, hein. Quel volume, je suis vraiment impressionnée ! Je commence à masser tout doucement, le dos d’abord, puis sous les seins. Elodie ferme les yeux, elle en profite. Si son mari ne l’a plus touchée depuis 3 mois, je peux imaginer la sensation. Je prends donc mon temps et masse l’entièreté du sein. Pour un peu détendre l’atmosphère, je dis « Et tu me promettras d’aller acheter quelques sous-vêtements adaptés parce que là, ça ne va vraiment pas »— Oui, oui, je passerai en ville, promis. Mmmmh. Elle profite du moment et ne s’en cache pas— Voilà, je pense que tu te sens déjà mieux là— Oui, merci beaucoup. Mais tu sais, tant qu’on est aux confidences…— Oui ? — Ce sont aussi mes jambes qui me font souffrir. Elles sont lourdes…— Attends, je vais jeter un coup d’œil. Tu permets ? Je soulève un peu la pantalon gris clair (genre jogging) qu’elle porte et constate en effet un certain gonflement des jambes. Tu veux que je te fasse un petit massage drainant ? — Ce serait super, mais c’est pas vraiment ça que je voulais te demander— Pas de soucis, j’ai un peu de temps, je vais faire ça pour toi. Je lui enlève le jogging, elle se retrouve en petite culotte, modèle « sport ». « Ah je vois que pour la culotte, tu as adapté à ton état »— Oui, dit-elle avec un petit sourire en coin
Je commence le massage des jambes, du genou vers le pied. La situation est cocasse car je suis tout de même avec une femme en petite culotte à côté de moi. En plus, elle ferme les yeux et profite de mes attentions— Mmmmh, quelles mains douces…dit-elle en se laissant aller en arrière, cheveux étalés sur le rebord du fauteuil.
J’ai une vue parfait maintenant sur l’ensemble de son corps. Ses seins sont vraiment superbes. Quel con ce Benoît de ne pas profiter de pareilles merveilles…Son ventre est joli, et très harmonieux. Mais ma vue s’attarde sur sa culotte. C’est donc une culotte de femme enceinte, mais distinguée. Je décèle une toison assez abondante et il me semble aussi apercevoir une toute fine ligne un peu plus foncée. Ce que je prends pour la forme de son pubis semble pourtant grandir….La coquine est en train de mouiller, sous l’effet de mon massage. Je continue comme si de rien était, remontant un peu plus qu’il ne faudrait.
— Elodie, que penses-tu de retirer ta culotte, que je puisse remonter sans risque de faire de taches. Elle est jolie et je m’en voudrais de la huiler…— Oui, pas de problème, avec toi je n’ai aucune gêne…Elle retire elle-même sa culotte, soulevant pour ce faire son bassin. Ce mouvement du ventre et des seins ne me laisse pas indifférente. Mais c’est la vue de sa vulve qui me laisse sans voix. Un magnifique mont de vénus, touffu mais soigné, d’une forme magnifique. Sans parler de l’humidité qui y perle.
Je continue donc le massage, remontant de plus en plus. J’effleure plusieurs fois l’entrejambe, le sexe même. Elodie ne dit rien, le temps est suspendu.— Ca va, demandé-je par principe- Parfait, je me laisse faire, te fais entièrement confiance.Je lui écarte alors un peu les jambes et caresse plus franchement l’entrecuisse, remontant jusqu’à ses lèvres. Je le fais doucement mais je me gêne plus. Mes doigts s’infiltrent…— Ca va toujours ? — Virginie…que fais-tu ? Est-ce bien ? Et Benoît ? — Benoît est bien idiot de ne pas goûter aux trésors de sa femme. Sur ce, je n’y tiens plus et glisse ma langue dans sa vulve. Elle pousse un cri, un râle presqu’une jouissance instantanée. Je recommence, doucement, et c’est une vague qui submerge Elodie. Quelques minutes de ce traitement et elle m’inonde la bouche de son plaisir.
Je n’y tiens plus, je remonte et me mets à la téter avidement. Elodie se remet de son orgasme et me rend aussi des caresses. Ses mains s’infiltrent sous ma blouse.— Virginie, je ne m’y connais pas, pardonne-moi si je ne suis pas très habile...— Comme tu le sens, Elo, tes mains sont délicieusement douces
Elle ne se fait plus alors prier et continue son exploration. Je la sens avide de sensation et d’expérience. Vu sa position et sa faible mobilité, je me déshabille moi-même. — Waouw, tu es plus belle que je ne l’imaginais…
Je m’approche d’elle et l’embrasse tendrement. Elle est chaude et réceptive. Je n’y tiens vraiment plus et me mets en position et rapproche doucement mon sexe de son visage. Elle en a envie aussi, je le sens, après le plaisir que je lui ai donné. Elle lèche d’abord doucement, fait connaissance avec cette terre inconnue, puis prend de l’assurance, avant de me lécher divinement. Je caresse ses gros seins en même temps, effleure de temps à autre sa vulve en feu et éclate à mon tour, à califourchon sur cette femme enceinte.
On se remet toutes les deux de nos émotions, je lui souhaite une bonne journée et lui dis « à jeudi », avec un petit sourire qui en dit long.
En fait, le jeudi suivant, nous sommes allées acheter des soutiens pour Elodie. Mais ça c’est une autre histoire….
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