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Visite chez la Sexologue

Chapitre 1

Erotique
5 mois sans sexe. A ce compte là, j’en venais à regretter le célibat, du temps où ma vie sexuelle était un désert, mais ponctué de nombreuses et merveilleuses oasis. Maintenant que j’étais en couple, amoureux bêta que je suis, la fidélité comptait pour moi. Elle comptait mais elle me pesait. L’origine de cette abstinence bien forcée? Mademoiselle avait mal pendant les rapports. Du moins était-ce la raison invoquée.
Elle était trop fière, ou trop gênée de m’imposer ce néant sexuel, et toutes les discussions tournaient court, soit en se fermant net, soit en devenant de pénibles engueulades. J’ai pensé à bien des solutions bien peu nobles. La tromper? Recourir aux services d’une prostituée? Continuer stupidement à user de ma main droite en cachette?Finalement j’ai opté pour quelque chose de plus raisonnable: j’ai pris rendez-vous en secret avec une sexologue et conseillère conjugale réputée, le docteur Livia. Je n’en ai pas parlé à ma copine, car elle se serait sans nul doute vexée de me voir réclamer une aide extérieure à nos problèmes de couple. C’est donc seul que j’allais voir la praticienne dans son cabinet du centre-ville amiénois, en milieu de matinée, tandis que ma copine me croyait au travail et que la salle d’attente était assurément vide.
Ayant eu à peine le temps d’ouvrir un magazine sportif largement périmé qui traînait dans la pièce vide, le docteur me reçu. Je devrais normalement dire, la doctoresse, car Livia était une femme. Une femme mûre, au regard perçant et aux rides nobles qui traduisait bien plus l’expérience que l’âge. Un tailleur sombre ouvert sur un chemisier bleu, lui même ouvert en un décolleté magnifique laissant voir un entre-sein abyssal cerné de deux collines imposantes. Dans un sourire neutre et d’une voix invitante, la superbe créature me pria d’entrer et étendant sa main vers son bureau. Je passai devant elle, inspirant son parfum sucré qui semblait émaner de sa chevelure brune.
Ce n’était pas le manque de sexe, non. Le docteur Livia était naturellement excitante. Je l’ai ressenti d’une façon physique bien connue de tout homme à l’instant même où mes yeux se sont posés sur elle. Et je ne tardais pas à m’asseoir devant son bureau pour cacher au plus vite mon embarrassante érection.
Les politesses ordinaires, puis l’explication des faits: abstinence, moral à 0 intimement lié, couple battant de l’aile malgré un amour et un respect puissants. Rassurante, le docteur me dit sur un ton persuasif que si j’ai rénoncé à tromper ma copine, c’est que j’en suis sincèrement amoureux et qu’il ne peut donc y avoir qu’un "happy end". Ombrageuse, fronçant les sourcils, elle cerna bien vite le problème en l’énonçant ainsi:"Tout se passe sur l’oreiller". Un interrogatoire commença au tac-au-tac:
"L’un des deux est-il porteur d’une MST/IST?"
-"Non"
"Etes-vous sujet à des pannes?"
-"Oh ça non, c’est tout l’inverse!"
"L’un des deux a-t-il subi une opération ayant trait au cerveau et/ou au système génital"
-"Non"
"A-t-elle mal durant les rapports?"

-"Oui, absolument!"
"Aaaahh" lance le docteur Livia en trouvant la piste à suivre.
Constatant que je suis sur la bonne voie, je me met en devoir d’expliciter ce point-"Elle prétend que quand je la pénètre, elle sens son vagin se faire dilater comme jamais et ça lui fait peur. Elle se sent à deux doigts...hum si vous me passez l’expression...d’avoir comme une déchirure...et du coup elle refuse que je la pénètre par là. Comme je le lui reproche un peu à force d’être patient, la tension a fini par s’installer, et elle me refuse même désormais les petites...euuuhh...gateries....Ce n’est pas pour me vanter mais...enfin...elle trouve que j’ai un trop gros....engin..."
Alors qu’elle écrivait à toute allure sur un papier en écoutant attentivement mes mots, le docteur releva sa tête et me lança un regard intrigué. Je dirais même, soudainement intéressé. Elle acheva de noter quelque chose sur son papier puis me dit alors:
"Je sais que c’est toujours délicat, mais il faudrait que je vois...l’objet du délit...et éventuellement que je lui fasse quelques analyses; Cela vous gênerait-il d’abaisser votre pantalon et votre caleçon?"
Ce n’était pas de montrer mon pénis à une femme, qui plus est tenue au secret médical, qui me gênait. C’était de lui montrer mon membre bandé pour elle depuis 10 bonnes minutes. Mais que faire quand il y a une question de santé, que dis-je, de vie ou de mort quand on sait l’importance de la sexualité au cœur de notre existence!Timidement, sans mot dire, je défis ma ceinture, ouvrai ma braguette puis retirai mon pantalon d’une jambe puis l’autre. Avec encore plus de lenteur, comme si j’espérais laisser le temps à mon organe de débander, j’abaissai mon caleçon. Mais le miracle ne se produisit pas. Mon sexe en érection jaillit de sa prison de tissu comme un diable hors de sa boîte dès l’instant où l’élastique de mon boxer fut abaissé à mes cuisses.
La dame poussa un petit rire taquin avant même que je n’ai pu présenter un mot d’excuse quant au comportement cavalier de mon membre:
"ohohoh...ne vous inquiétez pas...ça prouve qu’il est plein de vigueur" dit-elle avec un large sourire. Elle poursuivit en se levant de son bureau pour venir à moi:
"C’est même mieux qu’il soit en érection: ça va me permettre de faire les examens en bonne condition...et puis ça me permet de vérifier que mon décolleté fait toujours de l’effet aux hommes"
Avec la gestuelle assurée d’une experte à l’œuvre, madame Livia enserra mon organe à la base, formant un anneau avec son pouce et son index. Les deux doigts se rejoignaient tout juste autour de ma hampe. Elle attrapa sur son bureau un pied à coulisse qu’elle écarta pour venir le resserrer autour de mon sexe, juste sous le gland, afin d’en mesurer le diamètre. Elle lu et mémorisa la mesure indiquée puis retira le pied à coulisse pour, cette fois, l’écarter sur la longueur de mon sexe. Lorsqu’elle parvint à placer les extrémités de l’instrument sur mon gland d’une part, et sur mes testicules d’autre part, elle prit mentalement note du chiffre. Puis elle s’en retourna sur son bureau pour écrire les résultats.
Moi, confus, c’est à peine si j’osais respirer. On entendait d’ailleurs dans le cabinet que le grattement du crayon sur la feuille du docteur Livia. Elle rompit enfin le silence en prenant le ton affirmatif typique du docteur énonçant son diagnostique:
"Votre problème est très simple à déceler, mais je crains qu’il n’y ait pas de solution: vous avez tout simplement un gros sexe, et pour peu que votre petite amie ait un vagin un peu étroit, ou qu’elle soit un peu crispée durant le rapport, il n’est pas étonnant que vous lui fassiez mal et qu’elle se refuse à vous. Dans l’absolu, le mieux que vous ayez à faire et de bien la préparer avant la pénétration, en utilisant vos doigts, votre bouche, etc...Vous pouvez également exciter ses seins, lui dire des mots crus, la caresser en divers endroits, déposer des baisers sur sa peau...."
Tandis qu’elle énumérait ces préliminaires, je vis son regard changer. Vide, perdu dans des pensées qu’il fut facile de deviner. Ses yeux, tout en ayant l’air de rien voir, étaient posés sur mon membre, que le discours du docteur n’aidait pas à apaiser. Elle s’assit sur le bureau en écartant les cuisses, me laissant voir sous sa courte jupe que sa culotte était mouillée. Elle savait que je le voyais et se justifia très simplement:
"Vous savez, mon mari me délaisse...et il est loin d’avoir un membre de cette taille"
Elle passa ses mains sous sa jupe et retira sa culotte
"Je vous prescris donc de vous exercer à préparer une femme à la pénétration. Je vais également vous prescrire de vous faire soulager les testicules par une femme sachant apprécier les pénis volumineux...et nous allons commencer le traitement tout de suite, je vous ferai votre ordonnance quand vous sortirez..."
Je me sentais attiré, aimanté par cette chatte humide qui s’offrait à moi sous la jupe de madame Livia. Mon instinct de mâle en manque cruel de sexe me faisais déjà faire un pas en avant, et poser un genoux à terre pour me mettre à hauteur de cette vulve qui s’ouvrait comme une fleur devant moi. Le docteur s’étendait sur le bureau en écartant les cuisses au maximum, sa tête ballée en arrière, prête à recevoir le plaisir de mes lèvres. Un ultime rempart de ma conscience me bloqua cependant à quelques centimètre de sa chatte, mon nez déjà glissé sous le tissu de sa jupe. Je bégayai:
"J’aime ma copine...je ne sais pas si je peux...."Le docteur Livia me coupa net en se redressant d’un coup et en passant sa main derrière ma chevelure
"C’est purement médical! Elle sera bien contente d’avoir un homme qui lui bouffe la chatte comme un véritable expert, et ainsi, d’avoir des rapports sexuels normaux. Et puis en ce qui vous concerne, vous n’avez qu’à voir ça comme prélèvement de sperme un peu...élaboré..."
C’est stupide mais sur le moment, le contexte aidant à me décider, je trouvais ces argument viables. De toute façon, me tirant à elle par sa main derrière ma tête, madame Livia plaquait déjà ma tête entre ces cuisses, ma bouche trouvant spontanément l’accès à sa vulve gonflée.
Mes lèvres eurent tôt fait d’épouser sa fente rasée qui perlait déjà de mouille. Je commençai à sucer ses lèvres vaginales, l’une et l’autre, avec ce bruit indescriptiblement palpitant de succion gourmande. Le docteur Livia en eut un gémissement torride qui m’invitait déjà à lui insérer un doigt dans la fente. Mais il n’en fut rien, car au moment où la belle senti mon index se frayer un chemin entre ses chairs, elle tira mes cheveux en arrière pour m’arrêter, me disant sur le ton d’une enseignante émettant un reproche à l’élève dissipé:
" Attention, sois progressif....lèche moi bien la chatte avant de la pénétrer. Et n’oublie pas mon clito...sers-toi de ta langue...recommence..."
Les directives furent brèves, la voix du docteur était empressée. Je n’eus pas le temps de saisir ses conseils, qui ressemblaient franchement à des ordres, que déjà elles ramenait ma tête entre ses cuisses. A nouveau, ma bouche se fit ventouse sur le minou de la sexologue.
J’y apposai un baiser sonore, puis un second en remontant, et un troisième parvenant juste sur son clito. Le quatrième baiser se prolongea en une lente succion de son bourgeon d’amour qui durcissait entre mes lèvres. Ma bouche était une prison qui aspirait sans relâche ce petit jouet rougeoyant, ne le relâchant que pour me laisser expirer, avant de s’en emparer à nouveau lorsque j’inspirais en inondant mon nez du parfum amer qui émanait de ce minou trempé. Le cabinet résonnait des gémissements de la doctoresse, qui se faisaient tantôt plaintifs, tantôt exaltés, sur le rythme des "smack" et des "smouitch" claquant à chaque fois que son clitoris humide et fugace s’échappait de mes lèvres.
"Ah c’est ainsi! Ah tu glisses de mes lèvres lorsque je veux te sucer? Eh bien voilà pour toi, vilain bouton de rose" prenais-je plaisir à penser en assénant à la fente de cette cochonne de Livia un coup de langue dégoulinant de salive. Partant presque de son anus, ma langue remonta entre ses lèvres pour venir terminer sa course en petits cercles roulant sur son clitoris. Les gémissements de la belle traduisirent le succès de la manoeuvre. La tête enfoncée sous sa jupe, je ne pouvais pas la voir, mais je sentais qu’elle se tortillait de plaisir sur le bureau. Mes mains glissèrent sous le tissu pour attrapper ses hanches et s’assurer que son bassin ne bougerait pas pendant le cunnilingus que je m’apprêtais à lui infliger.
Une seule idée m’obstinait: bien la préparer pour ensuite lui enfourner mon membre bandé. Si j’y parvenais avec elle, alors j’y parviendrait ensuite avec ma copine. Du moins le croyais-je.Avec une vivacité que seul l’ardeur de l’acte sexuel procure, ma langue se déchaîna alors sur la chatte de ma proie. Sa pointe glissait frénétiquement sur le clitoris de la belle, tantôt de long en large, tantôt en décrivant des circonvolutions hypnotiques qui s’achevaient en un baiser torride. Un baiser langoureux qui voyait danser ma langue et le bouton de rose de Mme Livia dans la chaleur de ma bouche avide de mouille. Et de ce point de vue, la belle me régalait en déversant sans cesses des gouttes de cyprine qui s’agglutinaient à ma barbe de "trois jours". Je prenais d’autant plus plaisir à user de la pilosité de mon menton pour agacer l’entrée de son vagin tandis que son clito flirtait sensuellement avec mes lèvres. Je décidai de porter ce petit jeu à ébullition en descendant sur sa fente pour la laper avec insistance, jusqu’à faire rentrer ma langue dans son trou. Cette fois, chaque assaut ne lui arrachait non pas des gémissements, mais de petits cris stridents qui ne m’invitaient qu’à redoubler d’agressivité.
Je lui insérai alors ma langue dans la chatte sans pitié, la plantant comme une lame entre ses chairs pour l’y agiter afin de visiter son orifice. Mon nez collé au creux de sa cuisse insufflait une chaleur qui irradiait son intimité tandis que j’explorais son trou, laissant le plus agile de mes muscles louvoyer aussi profond qu’il le pouvait dans cette chatte accueillante. Tous les mouvements possibles dans notre univers tri-dimensionnel furent mis en oeuvre dans son orifice. Ma langue glissait dehors-dedans, tournicotait à l’intérieur même de son vagin, zigzaguait de gauche à droite en écartelant ses lèvres, s’immobilisait au plus profond pour reprendre une folle cavalcade sur les rebords gonflés de sa vulve ayant perdu son rose orginal pour une teinte rougeoyante. Je me régalais presqu’autant de ses cris, lancés à pleins poumons sous l’effet d’un orgasme implacable, que de sa chatte dégoulinante qui ne demandait plus qu’à se faire défoncer. Le docteur Livia sentait, d’ailleurs, qu’il lui en fallait plus. Avec maladresse, comme quelqu’un qui peine à retrouver ses esprits, elle me repoussa pour que je quitte le dessous de sa jupe.
Je pu voir alors qu’elle s’était plus ou moins déshabillée en haut. Son tailleur était en chiffon sur le bureau, sa généreuse paire de seins débordait de son soutif négligemment abaissé, les bretelles tombant probablement de ses épaule sous son chemisier ouvert. Vision de rêve, qui fit bouillir mon sang. Je me jetai tête la première entre ses obus et m’y étouffai de bonheur en les palpant éhontément à travers le tissu. Son parfum m’enivrait, sa peau me rendait totalement fou. Quant à la sensation que l’on éprouve en inspirant dans cet entre-sein, peinant à trouver de l’oxygène...elle ne connaît aucun mot ni aucune comparaison. Je me laissais asphixier de bonheur au milieu de ces nichons opulents. La doctoresse, imbue du pouvoir de ses seins sur moi, enlaça ma tête de ses bras pour me plaquer contre sa poitrine. Le visage enfoncé dans son entre-sein, j’acceptais volontiers d’étouffer. Mais la divine sexologue en décida autrement après une bonne minute à me noyer dans sa poitrine.
Elle tira mes cheveux en ailleurs, pressa son sein droit d’une main et le tendit à ma bouche. Docilement, je me mis à le téter comme un bébé affamé. Elle le laissa durcir quelques secondes entre mes lèvres puis inversa, agrippant ma tête de sa main droite pour me présenter son sein gauche, que je dus sucer avec tout autant d’appétit. Inversement. A nouveau le sein droit, qu’elle m’imposa de téter abondamment. Puis encore le gauche. Ce faisant, je la regardais dans les yeux pour constater qu’elle souriait en alternant l’offrande de ces seins. Elle posa ses mains sur sa poitrine et frotta ses obus l’un contre l’autre juste devant mon visage. Je les léchai l’un et l’autre tandis qu’elle les secouait. Peinant à atteindre les tetons de la belle, ce qui m’agaça rapidement, je pris le parti de lui lécher les seins sans vergogne, peu importe ce que ma langue touchait pourvue que sa poitrine luise de ma salive. Elle poussait de petit rire en me regardant laper ses mamelles comme un sauvage, et se permit même de m’asséner un petit coup de nichon sur le nez pour me taquiner.
J’approchais mes mains de ses seins pour les agripper, mais elle fut plus prompte que moi en attrappant mes poignets pour les rediriger entre ses cuisses. Comprenant son souhait tacite, je ne tardais pas à poser le majeur et l’index de ma main droite sur sa fente brulante. Prenant mes aises, je m’assis sur le bureau à côté d’elle tandis qu’elle défaisait ma chemise, et je lui caressait lentement la chatte dans un petit mouvement circulaire. Gémissant d’excitation, elle peinait à défaire le tissu qui lui masquait mon torse, et moi, concentré à user de ma main droite sur sa chatte, je peinais à l’aider de ma main gauche.
Mes doigts lui frottaient la vulve sans vergogne tandis qu’elle défaisait enfin le dernier obstacle à l’ouverture de ma chemise. Elle ne fut pas longue à poser ses mains sur mon buste et à le masser, en prenant particulièrement soin de jouer avec mes tetons, qu’elle pinçait et tordait, doucement biensur, entre ses petits doigts agiles. Son regard rivé sur ma peau en disait long sur le plaisir qu’elle prenait à caresser ce corps jeune et ferme. Elle en semblait presque oublier que je lui pétrissai la chatte, et je dus donc lui rappeler que je m’occupais de son vagin...en lui insérant deux doigts. Elle sursauta, ne s’attendant pas à se faire pénétrer, trop occupée qu’elle était à masser et griffer mes pectoraux, et instantanément elle se crispa de surprise et de plaisir sur mon majeur et mon index qui, instantanément, limèrent rageusement sa fente.
Le docteur Livia ne caressait plus mon torse désormais: elle s’y agrippait littéralement en se tortillant tant la férocité de mes doigts dans son minou lui infligeait de puissantes sensations de plaisir crispé. Fier du résultat, je violais d’autant plus son intimité, ravageant son trou avec mes longs doigts qui avaient passé sans doute trop de temps sans visiter un orifice féminin. Ivre de plaisir à force d’être ramonée avec tant de fougue, la belle doctoresse s’étala sur le bureau, la tête renversée en arrière sur l’autre bord, les yeux clos, la voix frémissante, elle alternait entre murmures et hurlements. Ses cuisses grandes ouvertes m’ouvraient une voie royale et je m’autorisai même à lui rentrer trois doigts, joignant mon annulaire à la fête.
Je me penchai sur elle et lui tétai le sein droit en lui martelant la fente comme un damné. De petits jets de mouille giclèrent ça et là tandis que ma main fonctionnait sur la cadence d’une scie sauteuse allant et venant dans son trou. Elle cherchait des points du bureaux où s’agripper, où crisper ses mains pour ne pas se mettre à perdre la raison face au déferlement de plaisir hargneux que j’instaurais dans sa chatte. J’en vins à mordre son sein en respirant fortement pour ne pas pousser les râles bestiaux qui ne demandaient qu’à sortir de moi tant mon acharnement suscitait un effort démesuré de mon poignet. Mes dents marquèrent la chair de son nichon, juste à côté du téton, tandis que mes doigts lui fourraient le minou avec une force qui n’avait d’égal que ma vélocité. Ma paume de mains, sous mes doigts plantés dans son vagin, venait claquer comme des impacts de mitraillette sur son bas-ventre. C’en était trop: elle cria, elle hurla, elle s’époumona, elle se cassa la voix en lançant des "OUIIIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII OUIIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII" tandis que je donnais tout ce qu’il fut humainement possible de donner. Son orgasme sembla ne pas connaître de fin. Mais elle finit par attrapper mon bras luisant de sueur et, au niveau du poignet, de cyprine, pour le faire s’arrêter progressivement.
Péniblement, elle se redressa assise contre moi sur le bureau. Les yeux hagards, la chevelure en bataille, les seins durs et rougis...elle n’était plus cette sexologue renommée qui m’avait accueilli en tailleur et chemisier classieux. Elle n’était plus que luxure et jouissance. Sa main gauche se porta sous sa jupe à son sexe, mis à rude épreuve par cette séance de doigtage. Mais sa main droite, elle, se posa éhontément sur mon membre. Elle agrippa mes testicules et les soupesa. Puis elle empoigna ma hampe à sa base. Sa petite main peinait à faire tout le tour de mon membre gonflé d’orgueil et de désir. Elle entama un lent mouvement de masturbation en remontant et descendant le long des 22cm de mon chibre. Reprenant enfin son souffle et ses esprits, elle murmura à mon oreille, en glissant des baisers coquins dans ma nuque:
"Je crois...mmmm...que je suis...mmmm....bien préparée...."
Ses baisers se portèrent sur mon épaule, puis elle se leva du bureau sans que sa bouche ne s’éloignât de ma peau ni que sa main ne quittât mon sexe. Elle embrassa mon torse en descendant lentement puis elle attegnit mon abdomen en continuant:
"...Mais si je ne te fais pas...mmmm.....certains examens avant la pénétration....mmmm.....je sens que tu vas....mmmm....me faire mal avec un si gros membre...mmm...tu es trop excité...."
Ses baisers arrivèrent à hauteur de mon nombril, correspondant également à la hauteur de mon gland qui culminait au sommet de mon membre dressé. Elle passa alors sa langue au creux de ma cicatrice post-natale, me regardant dans les yeux pour constater avec défiance qu’elle me faisait languir. Puis, posant son autre main sur mon manche pour couvrir une plus grande longueur, elle me lança:
"Ohlalala même avec deux mains dessus, il reste encore de la marge....je me vois donc dans l’obligation de le lubrifier abondamment pour une bonne pénétration...."
Elle dirigea alors ma queue au bord de ses lèvres, et me regarda avec un large sourire...

Mon gland gonflé ne tarda pas à entrer dans cette bouche chaude et humide, et à y être accueilli par une langue agile venue s’enrouler autour. Prenant son aise tout en commençant à me sucer, le docteur Livia posa ses genoux à terre, face à moi. Ses grands yeux louchaient avidement sur ma queue qu’elle parvenait, au renfort de ses deux mains et de ses lèvres charnues, à couvrir presque entièrement. Elle semblait être une flutiste jouant d’un instrument un peu trop gros pour elle. Ses mains glissaient d’un même mouvement sur ma hampe, de bas en haut en se vrillant symétriquement autour d’elle, pour ne laisser que mon gland dans sa bouche. La belle pouvait difficilement en avaler plus! Mais quel bonheur, quel plaisir d’avoir cette seule extrémité de mon chibre dans cet orifice magique, où le moindre mouvement de langue était source de mille sensations.


Professionnelle de la sexualité, la belle maniait mon engin avec le juste dosage de fermeté et de douceur. Quand ses mains descendaient, leur étreinte se desserrait pour effleurer ma hampe. Lorsqu’elles remontaient, elle pressaient mon sexe comme s’il eut été un fruit dont elle souhaitait soutirer quelque jus. Un jus qu’elle aurait eut tôt fait de boire, tant sa bouche aspirait mon gland comme on aspire à travers une paille. Le massage bien cadencé que le docteur procurait à mon sexe faisait cliqueter les bracelets multiples et dorés qu’elle portait à ses poignets. Cela ressemblait à une étrange musique tribale et percussive sur laquelle, par intermittence, un son de ventouse éclatait. Le son de ses lèvres pulpeuses quittant mon gland pour trouver un peu d’air, et reprendre de plus belle leur succion intensive.


Tout le sang de mon corps semblait affluer dans mon sexe, lui donnant ce volume imposant et cette rigidité peu commune qui font ma fierté virile. Mon corps bouillonnait de toutes ses hormones. L’être civilisé et urbain que je me plaisais à être s’estompait pour laisser place au mâle alpha, trop longtemps frustré, et qui redécouvrait le plaisir de se voir offrir une gâterie dans les règles de l’art. Je voulais savoir à quel point la sexologue, agenouillée devant moi en train de me sucer, saurait maîtriser son art. Sans réfléchir dans mon élan dominateur, je lui agrippait sa chevelure en y enroulant ma main gauche, et entreprenait de lui baiser la bouche.


Elle comprit tout de suite la manœuvre et lâcha mon sexe pour venir poser ses mains sur mes cuisses. Pas en signe de refus, mais plutôt de tempérance. Ses lèvres se fermèrent sur ma queue, sa langue se glissa sous mon gland, et ainsi la voie s’ouvrait vers sa gorge. Je commençais doucement à faire des va-et-vient en oscillant du bassin. Ses mains glissèrent de mes cuisses à mes fesses pour m’inviter à forcer le mouvement. Alors insensiblement, j’augmentais la cadence et l’amplitude de cette irrumation. De centimètre en centimètre, la belle parvenait peu à peu à gober une bonne moitié de mon sexe. Sa langue me guidait vers le creux de sa joue, que mon gland venait étirer en le culbutant. Mais je voulais sa gorge, elle le savait. Plantant ses ongles dans mes fesses, elle me fit arrêter ma course alors qu’une douzaine de centimètres de mon sexe étaient engouffré dans sa bouche. Tenant fermement mon cul pour que je reste en place, le docteur Livia fit lentement progresser ses lèvres le long de mon membre. Elle parvint au trois-quart lorsque je la sentis déglutir et repousser ma queue. Elle recula pour la laisser s’échapper, et eut un sourire complice à mon égard. Contemplant un moment sa salive dégouliner en long filins de part et d’autre de mon organe, elle se mit en devoir de m’essuyer avec sa langue.


Partant de la base de mon sexe, elle remontait tout du long. Une fois sur la gauche, une fois sur la droite, une fois en dessous, terminant à chaque fois son périple par un coup de langue sous mon gland qui le faisait rebondir. Puis, comme si elle se rendait subitement compte qu’elle avait oublié quelque chose d’important, la sexologue coquine se jeta sur mes bourses pour les gober avidement. Elle ne parvint pas à les mettre toutes les deux en même temps dans sa bouche, alors elle prit le parti de les happer alternativement, s’attardant parfois sur l’une afin de prendre le temps de la sucer, puis léchant l’autre avec véhémence pour ne pas faire de jalouse. Je la sentais devenir sauvage. Elle avait glissé une main entre ses cuisses et se caressait la chatte. Ses doigts dessinaient frénétiquement des cercles sur son clito, et le plaisir semblait d’autant plus au rendez-vous que le tapis sous elle se tachait peu à peu de quelques gouttes de mouille. Les dents posées sur mes testicules, elle laissait mon membre peser sur son visage. Elle eut un sourire carnassier en apposant, l’espace d’un instant, mon membre contre son visage pour se montrer à elle même qu’il était plus grand que sa tête. Mes bourses contre son menton, ma hampe plaquée sur sa joue et mon gland se perdant dans ses cheveux contre sa tempe, elle tenait amoureusement mon sexe contre elle. Ses grands yeux me fixaient avec une merveilleuse expression bleutée. Sa bouche me murmura sobrement:


"Remplis-moi..."


Il n’en fallut pas plus pour déchaîner ma fureur sexuelle. J’agrippai virilement sa chevelure et fit se relever la belle pour littéralement la jeter contre son bureau. Elle n’eut que le temps de poser ses mains entre les piles de paperasse, avant que je n’agrippe ses hanches pour lui faire cambrer son cul rebondi en relevant sa courte jupe. Mon membre tendu n’eut même pas besoin d’une aide quelconque pour trouver la voie. Caressant l’entre-cuisse de la coquine du bout de ma hampe rigide, je ne tardai pas à trouver la chaleur de ses lèvres vaginales, et à pénétrer tel un dard affuté dans cette fleur chaude et humide qui s’ouvrait doucement pour moi. Avançant lentement le bassin, je me frayai un chemin dans son intimité par la seule pression de mon gland entre ses chairs. Je sentais le corps de la belle frémir sous mes mains au fur et à mesure qu’elle accueillait mon membre dans son ventre. Centimètre après centimètre, j’entrai, certes avec lenteur, mais sans ménager le minou de la doctoresse, qui peu à peu se remplissait de moi, s’écartelait pour s’ouvrir au delà de sa contenance habituelle, atteignait une flexibilité encore inexploitée pour englober finalement mon organe jusqu’à la garde. Je restai un instant au fond d’elle, profitant de ce plaisir dont j’avais été trop longtemps privé: ressentir cette sensation unique et soyeuse de tout rentrer dans un vagin humide. Tout. Seules mes bourses restaient au dehors de cet antre et en ornaient l’entrée. Crispée entre douleur, plaisir, surprise et appréhension en sentant son vagin plein à craquer, madame Livia ne faisait plus un geste, me laissant savourer le confort de son intérieur qui réalisait la performance de m’accueillir entièrement. Son sexe palpitait autour du mien, comme s’il avait atteint ses limites. Ce n’était pourtant que le début.


J’enroulai ma main gauche dans sa crinière et la tirait en arrière pour que tout son corps se cabre comme une monture docile. Ma main droite vint malaxer son sein avec fermeté, le faisant rouler en le pétrissant. Usant alors des bons appuis apportés par cette position, je lui assénai un puissant coup de rein qui la fit hurler. Mon gland avait heurté un lieu si profond que rien n’y été jamais parvenu. Tout son corps tressaillit à cet assaut. Elle aurait perdu son équilibre si je ne tenais pas fermement sa chevelure et son corps. Elle écarta un peu plus les cuisses en prévention du second coup de boutoir, qui ne tarda pas à émaner de mon bassin. Puis un troisième. Et encore. A chaque fois, je reculais lentement pour que ma hampe caresse doucement l’intérieur de son trou. A chaque fois, je revenais à l’assaut plus férocement, projetant tout mon corps en avant pour clouer mon membre dans les tréfonds les plus étroits de son intimité. A chaque fois, tout mon corps claquait contre elle: mon ventre contre ses fesses, mes bourses contre sa fente, mes cuisses contre les siennes. Ses seins imposants ballotaient lourdement et réclamaient que je les lui tienne. A chaque fois, le choc de ma queue contre son utérus se propageait comme une onde qui remontait en elle jusqu’à lui déclencher un hurlement. Les assauts se firent plus cadencés. Un ramonage en règle s’amorça dans le vagin du docteur Livia. Comme une machine se mettant lentement en action, j’adoptai progressivement une cadence de pénétration véloce et profonde rythmée par le clappement de nos corps et les gémissements étouffés, presque plaintifs, de la sexologue. Chaque recoin de son intimité brûlait d’un plaisir nouveau. Celui de se faire démonter comme jamais. Chaque coup de rein la poussait à ses limites, mais la crispation laissa peu à peu place au plaisir. Je sentais son corps se détendre. Ses gémissements se firent plus clairs, comme si elle desserrait soudain les dents. Les parois de son vagin s’ouvraient à moi avec plus d’aisance. C’était si bon d’enfourner mon membre dans un lieu si accueillant.


Le fait de l’entendre passer de petits cris timides à de vrais râles de plaisir ne fit qu’augmenter mon excitation. Prenant appui en agrippant ses épaules , je lui donnai un coup de rein si brutal qu’elle s’effondra sur le bureau, faisant s’écrouler tout ce qui s’y trouvait. D’une main dans sa nuque, je la maintenais plaquée sur le bois froid, elle ne pouvait plus que subir. Je me mis alors en devoir de la clouer sur place en martelant sa fente. Ma frustration cumulée par des mois de privation sexuelle se changea en frénésie. La pauvre petite fente de la thérapeute était le théâtre d’une virilité animale qui reprenait ses droits. Telle une foreuse, ma queue lui pilonnait la chatte comme si des vies étaient en jeu. Avec des râles de brute sauvage, je m’évertuais à déchirer ce minou qui avait eu le seul tort de s’ouvrir à moi. Les mouvements amples du début avaient cédé la place à un mitraillage consistant à cogner mon gland inlassablement au fond d’elle, laissant toujours au moins une quinzaine de centimètres en elle lorsque je reculais, pour laisser les sept restants venir sans cesse se heurter à ses abysses féminines. Ce mouvement était répété au rythme endiablé de deux à trois fois par seconde. Miss Livia hurlait à pleins poumons alternant les "OOOOOOhh", les "AAAAAaaaah", les "OUIIIIIIIIIIIIiii" avec des compliments sur mes dimensions qu’elle peinait à articuler sous l’effet d’un orgasme fulgurant. Ou peut-être que je ne les entendait qu’à moitié car trop occupé à dévaster sa chatte. J’étais probablement rouge, le corps luisant de transpiration, les muscles bandés. Je m’acharnais moins à lui donner du plaisir qu’à la fourrer purement et simplement. Mes coups de burin en rafales lui mettaient la vulve en feu. Toujours plaquée sur le bureau, elle parvint néanmoins à glisser une main entre ses cuisses pour se caresser pendant que je la baisais. Je sentais ses doigts sous mes boules ballottantes qui caressaient son clito, la faisant mouiller abondamment. L’intérieur de son vagin s’inonda et se fit plus glissant, plus propice à être limé sur le rythme que je lui imposait. Plus propice à être ravagé, ce que je ne me gênais pas pour faire de toutes mes forces, de toute la longueur de mon sexe, et de toute mon énergie explosant après avoir été tant bridée. Les cris de la belle tremblotaient sur le tempo de mes assauts. Le bureau tout entier s’était décalé de quelques centimètres à force d’encaisser le choc de mes coups de rein.


Lasse de se faire labourer le vagin, la sexologue cessa de caresser son clito pour agripper mon sexe à sa base, derrière elle, et me freiner dans mon élan. Je lui assénai encore quelques assauts dans son vagin tressaillant avant de me laisser guider hors d’elle avec lenteur. Elle mit quelques secondes pour reprendre ses esprits, se redresser et se tourner face à moi. Caressant sa chatte en feu pour tacher de l’apaiser, elle me dit en riant:


"Je me sens vide maintenant!"


Moi, n’étant plus que virilité et hormones en ébullition, je n’eus pour toute réponse que de poser mes mains sur son corps, et d’embrasser follement sa bouche, son cou, son buste, ses joues, les lobes de ses oreilles...en malaxant ses seins opulents. Ses mains empoignèrent mon membre en le branlant délicatement, glissant sur sa peau fine qui luisait de mouille. Puis elle tira sur mon sexe comme sur une laisse pour m’amener au bord du bureau, devenu une vrai pagaille à force d’être le support de nos ébats. Le docteur Livia me fit faire demi-tour en me guidant à l’aide de mon membre puis me repoussa assis sur le bord du meuble. Elle grimpa accroupie au dessus de moi, me poussant à m’allonger, puis frotta mon gland sur sa fente en tenant ma hampe d’une main. Son bassin oscillait sensuellement, exerçant parfois quelques pressions sur ma queue pour en faire rentrer l’extrémité dans les rebords de sa vulve. Déjà, mes mains se ruaient vers le corps de la belle mais elle les repoussa, lançant pour toute explication:


"Nous allons faire à ma façon....c’est que j’ai des méthodes professionnelles, môa, môssieur"


Le ton volontairement hautain et pédant de ses mots, ainsi que son sourire, traduisaient surtout son envie de s’empaler, cette fois à son rythme, sur mon engin tendu. Je m’abandonnai alors à elle, bras ouverts en croix, jambes pendant sur le rebord du bureau. Elle inséra enfin mon organe à mi-longueur dans son intimité, posa ses mains sur mon torse et entama un mouvement de balancier. Ses cuisses ouvertes au dessus de mon ventre me laissaient voir sa fente grande ouverte dont les lèvres montaient et descendaient le long de mon organe en s’écartelant pour lui faire place. Voyant mes yeux portés sur ce spectacle si coquin, si sexuel, si excitant, la doctoresse alla poser ses mains derrière elle, posées sur mes genoux pour renverser tout son corps vers l’arrière et m’exhiber sa fente remplie de mon chibre. Puis elle reprit son mouvement, agitant ses hanches de bas en haut pour empaler son minou sur moi à bon rythme. Appuyant de ses fesses sur mon entre-cuisse, elle ne me permettait sciemment aucun mouvement, m’interdisant de la pénétrer à ma façon. Je ne pouvais que la regarder se déhancher, faisant visiter chaque recoin de son intimité à mon membre. Avec une subtilité toute féminine, doublée d’une agilité experte, la sexologue se tortillait et balançait son corps en tous sens, alternant une sorte de danse sensuelle avec des pressions plus accentuées, qui englobaient intégralement mon sexe quelques instants pour remonter et n’offrir de refuge qu’à mon gland gonflé. Là, par d’infimes mouvements, en se redressant pour tenir la base de mon organe d’une main, elle effectuait des aller-retours uniquement sur lui, frottant le pourtour de son antre comme si elle tenait un sextoy entre ses doigts. Je la sentais, frémissante et gémissante, prendre le temps d’apprécier les sensations offertes par un calibre tel que le mien, non sans ressentir une virile fierté. Tout en la regardant envelopper et ressortir le bout de ma queue dans sa chatte soyeuse, je vins poser mes mains sous ses fesses comme pour la soutenir. Elle se rassit alors brusquement sur moi en s’empalant net, nous faisant pousser un "OOOoohh" d’une même voix, de surprise pour ma part, et de plaisir pour elle. Je n’eus que le temps de retirer mes mains de sous elle. Elle me dit avec une sévérité feinte:


"J’ai dit non!! On fait à ma façon!! Vous êtes vraiment un obsédé, jeune homme!!....Mais bon, puisque vous tenez temps à mes fesses, je vais vous laisser les regarder..."


A ces mots, elle entreprit de faire demi-tour pour m’exposer son postérieur, mais cela, sans retirer mon sexe du sien. Effectuant une rotation quelque peu acrobatique en m’enjambant, la belle fit lentement vriller son vagin autour de mon chibre pour se retrouver assise à cheval sur moi. Elle caressa sa chevelure un bref instant, fière de cette figure savamment exécutée, puis, les mains à nouveaux posées sur mes genoux, se mit en devoir d’enfourner mon sexe en elle jusqu’à la garde pour s’y déhancher. Cette fois, le mouvement était hardi. L’énergie déployée était démentielle. La pénétration était d’autant plus profonde que l’angle offert par cette position s’y prêtait bien. Hypnotisé, je regardais les fesses de la belle qui montaient et descendaient sous mes yeux, arrachant de petits cris à ma cavalière qui se faisait visiter en profondeur. Chevauchant au galop, elle plantait délibérément ma tige rigide dans les méandres de sa fente à chaque fois qu’elle se laissait chuter de tout son poids, avant de remonter lentement pour une nouvelle série d’allers et venues frénétiques. Je ne résistai pas à la tentation de lui pétrir les fesses, posant avidement mes mains dessus. En représailles, elle glissa ses deux mains entre ses cuisses: l’une pour se caresser le clitoris afin d’atteindre l’orgasme, et l’autre pour agripper mes testicules et les malaxer de la même façon que je pelotait son cul. Elle n’hésitait pas à les presser et à les faire rouler, me faisant me crisper de tout mon corps sous l’effet d’une surprise qui me plaçait entre douleur et plaisir. Par réflexe, je me redressai et vint en position assise, mon torse contre le dos de miss Livia, qui n’arrêtait pour autant ni de se déhancher, frottant ses fesses contre mon ventre en laissant mon membre la pénétrer, ni de se caresser, ni d’agripper mes boules. Les serrant sèchement en se mettant à sautiller frénétiquement sur ma bite, elle clama entre ses râles de plaisir:


"Je sens...aah...qu’elles sont pleines de foutre....et que ça veut sortir..."


L’effet de ces mots, de cette accélération soudaine, de sa main qui tenait fermement ma virilité lui donnèrent raison. Je sentais poindre dans mon bas-ventre un orgasme puissant et libérateur. Comme si la frustration allait se déverser en même temps que mon sperme et quitter mon corps. Par réflexe, je pris appui, les mains posées derrière moi, pour fourrer la sexologue par en dessous. Mes coups de reins la faisaient décoller de mon corps et elle se laissait retomber de tout son poids en hurlant de plaisir de de surprise face à ces ultimes assauts à la puissance incontrôlée. Elle se pencha en avant. Je pensais que c’était pour mieux m’exposer ses fesses, mais j’entendis, sans le voir, qu’elle cherchait un objet dans le tiroir du bureau sur lequel nous baisions. Elle en retira une petite boîte de culture et, sans me prévenir, se leva de moi et attrapa mon membre bandé d’une poigne ferme pour le secouer comme une folle. Elle vint à genoux devant moi en présentant ses seins, qu’elle visait ostensiblement avec mon sexe tout en le branlant. Assis sur le rebord du bureau, je me laissais astiquer, la tête renversée en arrière, en gardant toutefois un oeil pour admirer le spectacle qui s’annonçait. Mon membre s’anima soudain du spasme annonçant le point de non-retour. Je me mis à gémir de plaisir tandis que madame Livia trépignait sur place, les deux mains frottant frénétiquement ma queue juste en dessous du gland pointé vers son buste. Un premier jet partit en m’arrachant un râle, suivi d’un autre, puis encore, et encore....une dizaine de giclées puissantes vinrent maculer les seins de la belle. Sa poitrine généreuse fut recouverte de ma semence en un instant. Alors, avec un professionnalisme presque ironique, la sexologue ouvrit sa petite boîte de culture, et y laissa couler un long filin de sperme depuis le bout de son téton. Elle enferma ainsi quelques millilitres de mon foutre dans le récipient avant de le fermer hermétiquement. Devant mon regard circonspect, elle clama avec tout le sérieux du monde:


"Hé! C’est un prélèvement, je prend mon métier très à cœur...."


Elle vit une ultime goutte de sperme poindre au bout de mon gland, et se mit en devoir de me sucer quelques instants pour un nettoyage complet


"...et je suis dévouée au bien-être de mes patients!"


Sa bouche me parcourut de bas en haut en aspirant mon membre qui connaissait ses derniers instant d’érection post-éjaculation. Elle acheva une ultime succion en un sourire complice puis revint derrière son bureau dévasté. Attrapant son feuillet d’ordonnances, elle écrivit en autodictant à voix haute


"Bien, bien, bien! Vous pouvez vous rhabiller...Je vous prescris 5 rendez-vous hebdomadaires avec moi pour pratiquer le traitement. Je vous recommande également des exercices avec votre petite amie le week-end"


En attendant que je sois rhabillé, elle ramassa quelques affaires pour redonner un semblant d’ordre à son office. Puis, elle me tendit la feuille verte après l’avoir vivement arrachée du calepin.


"Tenez. Au moins, c’est un traitement qui ne nécessite aucun médicament! Juste un peu de pratique physique."


Lessivé par nos ébats, et me sentant un peu étrange à l’idée de tromper ma copine, même pour un besoin médical, je m’exclamais déjà...


"5 fois par semaines..."


Tout en me raccompagnant vers la porte pour couper court à la discussion, madame Livia mit le point final à toute vélléité de refus:


"Qui est sexologue ici, vous ou moi?!"


Je n’eus qu’un sourire timide et complice pour toute réponse.


En essuyant le sperme qui restait sur ses seins avec un kleenex d’une main, et en m’ouvrant la porte de l’autre, restant bien à l’intérieur de la pièce de peur que quelqu’un soit dans la salle d’attente, la divine madame Livia me lança dans un sourire de satisfaction:


"A demain, Thomas! Et aux jours d’après aussi! Je pense que nous allons bien vous soigner! :) "


Je quittais son cabinet sans un mot...rien qu’un sourire béat sur le visage.
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