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La visite de Christophe

Chapitre 1

Erotique
Samedi après midi. Le temps est maussade. On ne se croirait pas en été. Installée dans le salon, un livre en main, Elodie regarde par la porte-fenêtre Luc travailler dans le jardin. Enfin, travailler (hum !) Elodie n’en est pas persuadée. Elle le soupçonne plutôt de faire semblant. Lisette traverse la salle une pile d’assiette sur les bras. Elle se dirige vers l’armoire pour les ranger. — Viens ici s’il te plaît. La jeune bonne s’approche intriguée. Elodie passe la main sous la jupe et, à la surprise de la jeune fille, tâte les fesses nues. C’est la première fois que sa patronne se permet cette familiarité habituelle pour Luc. — C’est bien ce que je pensais, tu n’as pas mis de culotte. — Je fais bien attention maintenant! — Eh bien, cet après-midi, tu vas en mettre une. — Mais, Luc… — Luc, j’en fais mon affaire. Range tes assiettes et monte vite l’enfiler. Perplexe, Lisette termine son rangement. Que va-t-il se passer cet après-midi? Elle lance des regards interrogateurs à Elodie qui les ignore. La jeune bonne monte dans sa chambre pas plus renseignée qu’auparavant. Elle est redescendue et époussette les meubles quand Luc s’affale dans un fauteuil. — Hé là! s’insurge Elodie, pas avec mains et tes pieds tout crottés! — Je suis passé par la cuisine. Je me suis lavé les mains et changé de chaussures… Regarde! montre-t-il en exhibant ses paumes et ses pantoufles. — Bon ça va, je retire mes reproches. Il s’étire. — Ouf! Je suis fatigué! — Tu ne t’es pas beaucoup démené pourtant. — Euh… Si! — Ne blague pas! Je te surveillais! — J’aimerais t’y voir, au soleil! — Au soleil? Où as-tu vu du soleil? Il pleut presque! Et personne ne te demandait d’y aller! — Personne, personne! Qui prétend que le jardin est mal tenu? Qui exige que je plante des fleurs, hein? Elodie le laisse grommeler et reprend sa lecture. Luc se penche vers le porte-revue. Il consulte les premières pages et choisit un hebdomadaire. La jeune bonne va et vient en rangeant la vaisselle. Il la contemple attendri. Elle est toujours aussi mignonne avec sa mini jupe et son corsage. Il profite de ce qu’elle passe à sa portée pour l’agripper. La pauvre fille implore Elodie du regard. Elle n’est pas rassurée et craint la réaction de Luc. Celle-ci ne se fait pas attendre: — Lisette ! Je… Sa femme intervient immédiatement: — Non, non, ne te mets pas en colère, c’est moi qui lui ai demandé d’enfiler un slip.
Le soupir de soulagement de Lisette la fait sourire. — Pourquoi? — As-tu oublié que nous attendons la visite de Christophe? Elle regarde sa montre. — Il devrait être là à cette heure-ci. Luc n’y pensait plus. Christophe! Le jeune étudiant qu’Elodie et lui ont rencontré faisant du stop, l’été précédent. Depuis le jeune homme est devenu un hôte assidu du couple. Luc ferme les yeux pour mieux se souvenir du cul du garçon. Revenant à la réalité il s’exclame, vexé de la remontrance d’Elodie: — D’accord, Christophe vient, mais je ne vois pas le rapport avec Lisette. — Tu ne vois pas le rapport? — Non! — Moi, si! Christophe n’a pas besoin de connaître tous nos petits secrets. La pertinence du propos calme Luc. — Ah bon! Je reconnais que tu as raison. — Comme toujours! Il ouvre la bouche pour répliquer mais la sonnette de l’entrée l’interrompt. Il se tourne vers la bonne: — Va ouvrir, Lisette. A mon avis, voilà notre visite…
Christophe range la voiture contre le trottoir de la maison de Luc et Elodie. Il a hésité à venir car il n’est pas question de prendre un bain par ce temps maussade. S’il ne s’était imposé hier au téléphone, il serait resté à lire et rêvasser dans son studio. Non! Il fabule! Un après-midi chez ses amis n’est jamais perdu. Il emprunte l’allée qui conduit à la porte d’entrée et sonne d’un coup décidé. Des pas dans le vestibule, la porte s’ouvre. Surprise! Ce n’est pas Luc ou Elodie, mais une jeune et jolie inconnue qui s’encadre dans le chambranle. — Euh… Bonjour Mad… euh… Mademoiselle. — Bonjour Monsieur. Christophe s’attarde à l’admirer. Elle est ravissante cette petite, pense-t-il englobant du regard le chemisier qui s’entrouvre sur des rondeurs prometteuses et la jupe courte. — Vous désirez? — Euh… Je suis bien chez Luc et Elodie? La jeune fille sourit, consciente de l’examen subit. Elle-même, détaille le jeune homme. Elle le trouve mignon. — Oui, Monsieur. Vous êtes Christophe? — Pour vous servir belle enfant. — Entrez, vous êtes attendu. Elle s’efface pour le laisser entrer. Elle ne s’écarte pas suffisamment et le bras du garçon frôle sa poitrine. Il ne sait si c’est involontaire ou intentionnel. Il regarde la jeune fille mais elle s’est retournée pour refermer la porte et il ne peut lire dans ses yeux. — Luc et Elodie sont au salon. — Passez devant pour me montrer le chemin. Elle n’est pas dupe. Elle est sûre qu’il connaît le chemin! Si elle doit le précéder, c’est pour qu’il puisse contempler son cul! Si cela lui fait plaisir! La jeune fille se prête à son caprice en souriant. Elle s’amuse à accentuer le déhanchement de sa démarche et balance les fesses au rythme de ses pas. — Madame, Monsieur, voici Monsieur Christophe qui vient vous rendre visite. Son ton cérémonieux surprend le jeune homme. Qu’est-ce cette nouvelle mode? Les yeux plissés de Lisette le renseignent, elle se moque de lui! Elle fait mine de s’effacer mais s’arrange pour qu’il la frôle de nouveau au passage. — Bonjour Christophe. Les yeux du garçon restent fixés sur la poitrine de la jeune fille. — Hé! Bonjour Christophe. — Euh… Bonjour Elodie. Il contemple les pointes qui poussent le corsage de la bonne. — C’est ainsi que tu nous dis bonjour maintenant? — Oh! Pardon. Il se penche sur Elodie et l’embrasse sur la bouche. Lisette est interloquée. Le comportement des ses employeurs la surprend encore, elle ne s’y est pas habituée. Luc attire le garçon à lui. Christophe trébuche sur le tapis et manque de s’étaler. Sous prétexte de l’aider, Luc passe la main entre ses jambes. Le garçon rougit, mais ne se dérobe pas. Inconsciemment, il attendait la caresse de Luc, caresse qui a le don de le faire frémir jusqu’aux orteils. Lisette est de plus en plus surprise. La main sur ses fesses, Luc pousse le jeune homme en avant: — Lisette, je te présente Christophe, un de nos bons amis, de nos très bons amis devrai-je dire. Comme il fait presque parti de la famille, nous t’autorisons à être gentille et serviable avec lui. — Ou… oui, Luc. La jeune fille sait ce que « serviable »signifie dans la bouche de son patron. Elle lève des yeux étonnés. Luc hoche la tête en souriant. Oui, elle a bien compris le sous-entendu. Elle devrait s’en offusquer. N’est-il pas entrain de lui proposer de faire l’amour avec ce garçon? Au lieu de cela, elle rougit. Pour cacher son trouble, elle s’enfuit dans la cuisine. Christophe l’accompagne du regard. — Qui est cette charmante jeune fille? — Lisette? — Ah! Elle s’appelle Lisette? Elodie consent à le renseigner: — C’est la nouvelle bonne que nous avons engagé pour remplacer Sylvie. — Sylvie n’est plus là? — Non, elle nous a quittés brusquement. — Et cette… Euh…— …Lisette. — Oui Lisette, elle est bien? Luc ne résiste pas au plaisir de le taquiner: — Tu ne la trouves pas jolie? — Si, si, mais ce n’est pas ça que je voulais dire. — Qu’est-ce qui est important pour toi? — Euh… Elodie a pitié de lui: — Tu veux demander si nous en sommes satisfaits? — Voilà, c’est ça! — Pour ma part, j’en suis satisfaite, et toi Luc? — Moi aussi, très satisfait, es-tu content? Il ne répond pas et rougit de plus belle. Il se doute de ce qu’il faut que Lisette fasse pour satisfaire Luc! Elodie et lui s’amuse de son trouble: — Ne la trouves-tu pas mignonne? — N’est-elle pas à croquer dans sa mini jupe? — Comment trouves-tu ses seins? Adorables n’est-ce pas? — Et ses cuisses? Il ne sait plus où se mettre. Il danse sur place comme sur des charbons ardents. — Si, si, elle… Elle est drôlement gironde. Elodie se récrie faussement offusquée : — Gironde? Est-ce que ce sont des manières de parler d’une jeune fille! — Euh! Je voulais dire… Euh… Que je la trouve très mignonne. Pendant tout l’échange Luc lui pelote le cul. Il voudrait, il devrait s’écarter, mais n’en a pas la force, c’est si bon! — Elle a l’air de te plaire dit donc! — Ah! Bon, Je croyais que c’était moi à qui tu rendais visite. Je vais être jalouse! Christophe rougit de plus belle sous les moqueries d’Elodie. Il essaye de rattraper le coup et bafouille : — Oh!… Je… Toi, tu es ma préférée! — On dit ça, on dit ça. — C’est moi qui vais être jaloux! Le pauvre garçon les regarde à tour de rôle: — Moi qui venais simplement vous dire bonjour, voilà comment on m’accueille! — Bon, on fait la paix. Que deviens-tu… Il s’installe aux pieds d’Elodie. Pendant qu’ils bavardent, elle ébouriffe sa tignasse des doigts. Lisette revient avec un plateau chargé de verres pleins. Luc la félicite pour son initiative. — Oh! C’est gentil, merci d’y avoir pensé. Elle rougit sous le compliment et pose les verres sur la table. En se baissant, sa jupe découvre les cuisses. De sa place Christophe fixe d’un regard gourmand les fesses cachées par la culotte blanche qui se veut sage, mais qui, tendue, dessine avec précision les deux globes ronds. Luc attentif aux faits et gestes du garçon propose à la jeune fille de boire avec eux: — Je vois que tu ne t’es pas servie! Va vite chercher un verre, et viens t’asseoir près de moi. Elle s’éclipse et réapparaît un instant après, un verre en main. Elle s’installe sur l’accoudoir du fauteuil de Luc, la cuisse à portée de sa main. Elodie s’étonne qu’il n’y mette pas la main dessus. Serait-ce Christophe qui les regarde l’élément perturbateur? Cela serait nouveau! Ah! Elle se disait bien! La main disparaît sous la jupe au moment où le garçon avale une bonne gorgée et termine son verre. Il semble surpris en découvrant l’avant bras caché par le tissu. Lisette n’a pas bougé. Le geste de Luc est si naturel qu’elle n’en a presque pas conscience. Lui, fixe le jeune homme d’un regard goguenard et Elodie caresse ses cheveux en lui souriant. Le garçon soupçonne un nouveau rituel et se promet d’en profiter. Avec un regard de défi à Luc, il pose la main sur le genou rond à coté de sa figure. Elodie lui accorde la permission en farfouillant dans sa tignasse. La jupe de Lisette bouge, trahissant l’activité sur ses cuisses. La jeune fille prend brusquement conscience de se donner en spectacle au jeune homme. Elle veut écarter la main et s’attire une remontrance de Luc qui lui fait les gros yeux: — Tst! Tst! Tst!Les remous du tissu dopent Christophe. Il s’agenouille entre les jambes d’Elodie, remonte sa jupe et couvre ses cuisses de baisers qui la chatouillent agréablement. Lisette s’inquiète auprès de Luc: — Que fait-il? — Ben, ce que je te fais! — Il caresse Elodie? Devant toi? — Qu’est-ce que nous faisons, nous? Elle n’insiste pas. Puisque Elodie est d’accord, pourquoi se priver? Elle se déplace sur l’accoudoir pour faciliter les recherches de Luc. Les mains de Christophe remontent le long des hanches. Elles dépassent le slip. Il agrippe la dentelle et tire pour faire descendre le dessous. Elodie se soulève. Il peut sans difficulté le faire glisser sur les cuisses et les jambes. Il lui soulève un pied puis l’autre. Lisette sursaute quand il le jette sur le tapis. — Oh! Elle fixe le petit tas de dentelle blanche. Elle comprend ce qui l’attend. Il n’y a plus de raison pour qu’elle garde sa culotte maintenant. Effectivement, Luc l’en débarrasse illico. Christophe n’a rien vu. Il attire le bassin d’Elodie vers sa bouche. Elle s’avance au bord du fauteuil, écartant les cuisses et avance son ventre impatient de caresses. Luc introduit un doigt dans le vagin de Lisette qui gémit doucement. Elle est imitée par Elodie lorsque les lèvres de Christophe happent le clitoris. Le bruit fait retourner la petite bonne. Elles échangent un sourire complice. Le garçon a une furieuse envie de serrer la jeune femme dans ses bras, la transpercer, mais la présence de Lisette le bloque. Il a beau se traiter d’idiot car il sait bien que derrière son dos Luc ne perd pas son temps, mais c’est plus fort que lui, il ne peut décoller les lèvres du sexe d’Elodie. De son coté Luc éprouve le besoin de caresses plus consistantes. Il attend en vain que le garçon prenne une initiative avant de comprendre que la présence de Lisette, cette inconnue, bloque ses moyens. — Viens, je sens que tu intimides Christophe. Il se lève à la satisfaction d’Elodie qui commençait à trouver le temps long. Lisette est dubitative, intimidé ce jeune homme qui fait minette à sa maîtresse? — Je n’en ai pas l’impression. Elle résiste à la sollicitation de Luc. Il lui plairait d’assister aux ébats. Il l’entraîne de force: — Si, si, laissons-les. Viens dans la cuisine. Le garçon a tout entendu. Il est à la fois, soulagé qu’ils s’en aillent et vexé qu’ils se soient rendu compte de son trouble. Elodie est surprise de son comportement. Elle ne le croyait pas si timoré. Comme quoi, on ne connaît pas bien son monde. Le départ de Luc lui rend ses moyens. Christophe se redresse, ouvre le chemisier de la jeune femme et patouille sa poitrine tant désirée. Elodie le débarrasse de son jeans et du slip. Il aimerait qu’elle caresse son sexe qu’il présente. Elle refuse et le repousse. Il tombe à la renverse sur le tapis. Elle se précipite pour l’empêcher de se relever. Elle caresse son ventre avec les cheveux. Ses doigts font glisser le prépuce et approchent le gland des lèvres. Il l’a bien sucé tout à l’heure, elle lui rend la politesse. Seulement, ce n’est pas sa bouche qui a envie de la verge raidie et luisante. Elle se redresse, l’enjambe et s’empale. Elle aime sentir la progression du cylindre de chair dans son vagin et pouvoir en maîtriser l’introduction… pas toujours, doit-elle admettre. Christophe veut la tenir aux hanches, imposer son rythme. Elle repousse ses mains. C’est sa jouissance, son plaisir qu’elle conduit à sa guise. La chevauchée dure un bon moment. Il subit la domination. Il est bien. Le fourmillement annonciateur de l’éjaculation envahie son ventre. Il éclate de plaisir, une nuée d’étoiles scintillent devant ses yeux. L’orgasme ne ralentit pas les mouvements d’Elodie qui ne s’arrête que lorsque la verge ramollie sort toute seule de son étui naturel. Hors d’haleine, elle se couche sur sa poitrine. Il l’enlace et la berce. Elle ne reste pas longtemps immobile. Elle redresse le torse, et s’assied sur son bassin. Ses cuisses le maintiennent prisonnier. — Tu avais peur de quoi tout à l’heure? — Moi? — Oui, toi! C’est Lisette qui t’intimide? Il élude la question. — Il y a longtemps qu’elle est ici? — Deux semaines, pourquoi? — Oh! Pour rien. — Elle te plaît? — Elle n’est pas mal. — Voyez ce jeune blanc-bec qui fait la fine bouche! Pas mal! Pas mal! C’est peu pour qualifier une des plus jolies filles que je connaisse! Elle ponctue sa phrase en appuyant de toutes ses forces sur sa poitrine: — Theu!… Theu!… Si, j’avoue! Elle est très jolie. — Surtout que tu n’as pas cessé de la reluquer tout le temps qu’elle était avec nous. — Ce n’est pas vrai! Elle tire sur les rares poils de sa poitrine. — Aïe! — Si! Il n’y a que pendant que tu me faisais une langue, que tu ne t’es pas occupé d’elle! Il grommelle car elle a raison. — Tu ne m’as pas répondu, elle te plaît? — Oui, elle me plaît. — Ah la bonne heure! Avoue que tu aimerais faire plus que la regarder! Ce ne sont pas des choses à demander après avoir fait l’amour ensemble! Ils n’ont aucune pudeur dans cette maison! s’indigne Christophe. Elle appuie sur son torse. — Aïe! Tu me fais mal! — Alors? Tu avoues? — Oui, j’avoue, j’avoue tout ce que tu veux. Elle presse sur les côtes: — Aïe! Aïe! — Ce n’est pas ce que je te demande. Aimerais-tu la baiser oui ou non? Il n’en revient pas: Elle lui demande de faire l’amour à une autre femme! — Alors, oui ou non? Que si! Il aimerait baiser Lisette! Il en crève d’envie, mais pas question d’avouer. Nouvelle poussée sur ses côtes: — Aïe! — J’attends. Il capitule. — Oui. — Oui, quoi? — Oui j’aimerais la baiser. Oui j’aimerais baiser Lisette. Tu es contente? Elle consent à le libérer. Il récupère slip et jeans et se rhabille. Elodie fait disparaître sa culotte et s’assied en lissant la jupe sur ses cuisses. Elle est satisfaite. — Cela pourrait se faire maintenant que tu as rempli tes devoirs envers la maîtresse de maison!
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