Cette histoire s’est passée il y a quelques années, j’avais tout juste 18 ans et je venais d’entrer en fac de droit. D’un naturel très timide, je me liais difficilement avec les garçons de mon âge, qui d’ailleurs ne m’intéressaient guère. Ce matin là, je me suis réveillée avec une mal de tête épouvantable. J’étais incapable de me rendre en cours tellement la douleur était insupportable. J’ai donc décidé de me rendre chez le médecin de cette petite ville universitaire. Une amie m’avait conseillé le médecin chez qui elle avait l’habitude de se rendre, me disant qu’il était sans conteste le meilleur et surtout le plus séduisant des médecins du campus. J’ai donc pris rendez-vous et me suis rendue à son cabinet. Ce que mon amie m’avait dit était en dessous de la vérité ; je me suis retrouvée devant un homme magnifique, aux mains longues et soignées, et au sourire ravageur. Je me suis donc installée dans son cabinet, sur la table de consultations. Il m’a demandé d’oter mon pull, pour écouter les battements de mon coeur ..... ils étaient très rapides (il n’y était pas étranger). Bizarrement, il m’a demandé : c’est moi qui vous mets dans un état pareil ? J’ai baffouillé quelque chose d’incompréhensible, j’étais écarlate ! ’Il ne faut pas vous mettre dans des états pareils voyons, ce n’est pas bon pour votre petit coeur’ En disant ces mots, il a posé la main sur mon sein .. j’ai cru que j’allais défaillir. Sans doute encouragé par mon sourire étonné, il a laissé la main plusieurs minutes, caressant le téton à travers la dentelle blanche. Je me sentais transportée, cette sensation était très forte, il savait s’y prendre le bougre ! Quand il a retiré sa main, je me suis entendue lui dire : oh non s’il vous plait, n’arrêtez pas. J’avais perdu toute timidité, comme par magie. C’est alors qu’il m’a dit ’d’accord, mais alors vous m’aidez, vous aussi vous pouvez me caresser’ Déjà très excitée à l’idée de ce bel homme contre moi, j’ai passé la main sous la blouse blanche, l’ai posée sur le pantalon et là j’ai découvert un sexe très dûr et très chaud qui ne demandait qu’à être libéré de son carcan. Je me suis alors appliquée à baisser ce pantalon qui le gênait, le boxer également, et j’ai découvert un sexe d’une taille plus que respectable, que je me suis tout de suite entreprise à sucer avec avidité. Sa queue avait un goût délicieux, je la dévorais avec gourmandise. Il ne fut pas long à m’envoyer son sperme chaud au fond de la gorge, en poussant de petits râles. Notre séance de baise matinale fut interrompue par un coup de téléphone, il se rhabilla en regardant sa montre (il y avait du monde dans la salle d’attente) mais me promit de mieux s’occuper de moi la fois suivante ..... Je retourne chez lui demain, je vous raconterai une prochaine fois !
