Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 32 J'aime
  • 2 Commentaires

Visite surprise au bureau

Chapitre 3

Trash
3) Une chef mise à l’épreuve
Le moment tant redouté ! Je me retrouvais devant ma maîtresse. J’essayais de me montrer à la hauteur de la situation, après tout, le reste de ma vie se jouait en cet instant ! Mais il suffisait que Maîtresse Jessica me jette un regard pour que je me sente obligé de baisser la tête. Elle était habillée avec un peu moins de cuir que pour nos réunions du soir, où elle aimait porter des vêtements de dominatrice. Mais elle était presque aussi impressionnante. Une courte jupe noire, un justaucorps serré, des lunettes cerclées de fer. Elle était la sévérité incarnée. Elle était au milieu de l’open-space, tous avaient arrêté de travailler et la regardaient.
Je pensais que le patron allait lui dire de venir dans son bureau, mais avant qu’il ait pu prononcer un mot, elle m’apostropha :
— Alors pétasse. Tu ne me salues pas ?
— Je ne vous connais pas Madame.
J’aurais voulu parler avec autorité comme je le faisais aux réunions de travail. Mais tout ce qui arrivait à sortir de ma gorge était avec une toute petite voix ; comme une petite fille qui ferait face à sa maman en colère.
Je voyais que les employés n’en croyaient pas leurs oreilles, moi qui avais l’habitude de leur hurler dessus, et de leur cracher mon mépris à la gueule.
— Vraiment tu ne me connais pas ? reprit Jessica. Hier tu avais la langue dans ma chatte, ma salope. Et tu crois que tu as le droit de m’ignorer, tu te prends pour qui ?
— Mais c’est vrai, je la connais pas.
Je me tournais vers le patron, le ton de ma voix était suppliant, d’un pathétique horripilant, même moi je me rendais compte que personne ne pouvait croire mes paroles.
— Mais ma petite pute, tu te crois où ? Jessica me saisit la mâchoire. Mettant son visage à quelques centimètres du mien. Tu crois que tu peux faire la morue à mi-temps ? Mais non, tu es ma chose, ma gouine à moi.
— T’as pas le droit de dire tout ça !
— J’ai pas le droit de quoi ?! hurla-t-elle. Tu crois quoi ? T’as lu cinquante nuances de gray et tu crois que tu peux être soumise quand tu en as envie ? Tu crois qu’une pute à des droits ? T’es une salope qui fait ce qu’on dit ! Une pouffiasse de merde !

— C’est faux, murmurais-je espérant désespérément que continuer à nier me sauverait.
— Montre ta chatte salope ! Montre que tu t’es taillé les poils en forme de cœur.
— Excusez-moi, intervint le patron visiblement gêné, de toute façon même si c’était vrai, sa vie privée ne nous concerne pas.
— Vraiment ? Et vous croyez que vos clients accepteraient de recevoir une salope comme elle ?
— Et bien…
— Vous savez qu’elle se balade sans culotte ? Qu’entre des réunions elle s’enfonce un plug dans le cul ?
C’était en partie vrai, Jessica insistait pour que je ne porte pas de culotte de façon à ce que je me rappelle qu’elle pouvait « me péter le cul à tout instant » comme elle disait. Mais je ne m’étais enfoncée qu’une fois un plug, et c’était parce qu’elle m’y avait contrainte. Et je l’avais retiré dès que j’avais pu.
— Vous ne portez pas de culotte, mademoiselle Joubert ?
— Mais si, Maîtresse ment !
Mais non seulement elle disait vrai pour mon absence de culotte, mais j’avais aussi la toison pubienne taillée en forme de cœur, je devais reproduire fidèlement le motif de la chatte de Jessica.
— Euh, vous venez de l’appeler maîtresse...
Merde, je venais de commettre une énorme bévue. J’essayais de nier :
— Quoi, non ! Et puis c’est ridicule, je n’ai pas à subir ce genre d’interrogatoire, c’est injuste et mmmm… Jessica venait de me mettre sa main sur ma bouche
— Ta GUEULE ! J’en ai marre de tes jérémiades ! Remonter donc son tailleur à cette pute, qu’on voie le cul de cette salope.
Alors que je cherchais à retirer la main de Jessica de ma bouche, je sentis qu’on me soulevait mon tailleur. Je ne voyais pas bien qui faisait ça, mais tout le monde put alors se rincer l’œil, j’étais cul nu. Aucune culotte sur moi.
Et on pouvait aussi constater la forme de mes poils pubiens bien taillés en cœur.
J’aimais me faire humilier chez moi par Jessica, mais là, je sentais ma vie s’effondrer en un instant. Mon cœur battait à tout rompre, j’avais l’impression d’être dans un cauchemar. Mais pire… dans un cauchemar on sait inconsciemment que l’on finira par se réveiller, là je savais qu’il ne finirait jamais.
— Et bien Mademoiselle Joubert, vous avez des manières bien peu correctes, énonça le patron.
— Je suis désolé ! C’est elle qui me demande de venir au travail comme ça. tentais-je de me justifier.
— Ce n’est pas une raison. Il n’y a pas de code vestimentaire, mais tout de même vous outrepassez la bonne tenue de notre entreprise. Enfin imaginer si nos clients savaient que vous êtes aussi… euh…
Jessica vint en aide à Monsieur Perteau « il veut savoir ce que tu ferais si on apprenait que t’es une salope dégueulasse. Une pute tout juste bonne à baiser. Tu crois que quelqu’un voudrait traiter avec toi. »
— Mais je ne suis pas comme ça, je suis sérieuse !
Je me rendais compte que j’étais ridicule de vouloir me justifier de mes activités sexuelles devant tout la boîte, mais que pouvais-je faire d’autre ?
— Se pavaner la chatte à l’air, ce n’est pas sérieux. C’est être une saleté de soumise, une garce de la pire espèce. Alors, maintenant comporte-toi comme telle et mets-toi à genoux, insista-t-elle.
— Mais ça ne va pas ?
— Tu crois qu’ils vont te laisser continuer comme ça ? À te considérer comme leur chef ? Mais tu es finie ! Ta place est à genou je te dis.
— Non !
— Tu sais ce que je fais quand tu te comportes comme une sale petite garce désobéissante ? Allez dis-le ! Devant tout le monde !
Elle ne pouvait pas faire ça, pas ici, pas devant tout le monde. On allait prendre ma défense.
— Tu ne veux pas le dire devant tes collègues… Tu as honte hein ? Tu as raison d’avoir honte, tu es méprisable, un tas de merde dans un tailleur. Eh bien, sachez que je lui donne une grosse fessée sur son cucul. Alors p’tite chienne tu me montres tes sales fesses de pétasse.
— Arrêtez là, suppliais-je.
Mais mes collaborateurs restaient les bras ballants sans rien faire. Comme si c’était un spectacle public. Ne comprenaient-ils pas que je me faisais maltraiter !
— Je sais les dresser les petites chiennes qui n’obéissent pas.
Elle me donna une claque. C’était la deuxième qu’elle me donnait dans la journée, la deuxième gifle que je recevais en public aussi. Je levais les bras pour me protéger ; c’est ce que Jessica attendait. Elle les saisit, et les leva au-dessus de ma tête.
— Toi, dit-elle à Jean, tient lui bien les bras, méfie-toi c’est une chienne bâtarde ça se débat.
Jean fit comme indiqué, ça ne me surprenait pas. Il obéissait toujours aux ordres que je lui donnais sans discuter. Mais là quand même… Pendant ce temps, Jessica remonta mon chemisier au-dessus de ma tête. J’essayais de me débarrasser de l’emprise de Jean, mais ses mains me serraient fort. Et puis le chemiser par-dessus la tête je ne voyais pas grand-chose. Alors que le chemisier m’enveloppait le visage, je sentis Jessica faire un nœud avec le bas de ma chemise.
Je ne voyais plus rien. Je me débattais pour me libérer, en vain. Mes mains étaient au-dessus de ma tête, entravées par le tissu. Le nœud était solide, je savais par expérience que Jessica aurait pu en remontrer à un marin en matière de nœud ; je n’avais jamais réussi à me défaire d’un seul. Je sentis alors la main de ma maîtresse me frapper méchamment le cul, je criais :
— Aie !
Une seconde claque s’abattit sur mon postérieur bientôt suivi d’une troisième et d’une quatrième, je me faisais fesser en public ! Devant mes subordonnés !
— Vous voyez comment ça se punit une salope ? demanda Jessica. Il faut leur frapper le cul jusqu’à ce qu’il soit bien rouge, bien tanné.
Je partis en avant effrayé par ses paroles, sans voir où j’allais. Mais j’avais du mal à trouver l’équilibre. On me fit un croche-patte. Une grosse main me frappa alors les fesses. Ce n’était pas la main de ma maîtresse, mais une main d’homme. Je n’arrivais pas à le croire ; je me faisais fesser par un de mes collègues.
— Ouille ! Ne me frappez pas les fesses !
J’avais vraiment l’air d’une petite fille désespérée. Mais la main recommença à me chauffer le cul. Je me relevais et m’enfuis puis loin. J’avais perdu mes repères, je n’avais aucune idée d’où je me trouvais dans l’open-space. Je m’arrêtais pensant que je m’étais éloigné suffisamment du salop qui m’avait frappé : mais ce fut pour recevoir une nouvelle fessée, encore d’une main différente.
— Arrêté ! Ce n’est pas drôle ! Vous n’avez pas le droit !
Mais la même main me frappa les fesses, je criai un peu de surprise, et reparti. Je me cognais contre un bureau. Je sentis une main appuyer contre mon dos. Je me trouvais le ventre écrasé sur la table. On souleva mon tailleur et je sentis mon cul se faire frapper par de multiples tapes. Je reçus une dizaine de fessées, je me mettais à pleurer, mais on ne pouvait pas voir mes larmes qui auraient pu émouvoir mes collaborateurs. Je réussis à me relever et à repartir.
J’entendis Maitresse Jessica parler :
— Je dois partir, vous semblez avoir ma poufiasse bien en main. Ne la laissez surtout pas se reposer, elle doit recevoir une punition à la hauteur de sa saloperie ; quand je reviens, je veux voir ses fesses détruites.
J’entendis alors la porte de l’open-space se refermer. C’était l’occasion de reprendre la main. Maintenant que ma tortionnaire était partie, ils n’allaient quand même pas oser porter la main sur moi.
— Ça suffit ! Il faut mettre fin à tout ça, défaites le nœud immédiatement et on pourra reprendre les choses comme… AIIIIIEEEE !!
Je venais de me prendre un énorme coup de règle sur les fesses ! Comment osaient-ils !
Je faisais quelque pas et me trouvais contre un mur.
— Arrêtez immédiatement ! Je vous défends deeeeee Aiiiie !!
Une règle me cingla à nouveau les fesses, je criais de douleur et repartie.
— Vous le regretterez ! Ça ne se passera pas comme ça…
En chemin quelqu’un me donna une grosse tape sur les fesses et me cria dessus :
— Ta gueule salope ! Si tu parles encore c’est un coup de règle ! Putain de traînée !
Je me tus alors, avec mon chemisier autour de la tête je n’arrivais pas à reconnaître à qui appartenait la voix. Je me sentais au comble du ridicule. Si on exceptait le chemisier sur la tête et mon soutien-gorge, j’étais nue et à la vue de tous. Je me promenais avec mon tailleur replié, et les bras sur la tête, ce qui me donnait avec une allure grotesque. J’aurais dû être en colère, mais j’avais trop honte pour ça. À chaque fois que je m’arrêtais, je me faisais fesser le cul. À un moment, je trébuchais contre une chaise, alors à terre, on me donna un méchant coup de pied au cul, suivi d’un autre. Je sentais l’empreinte des chaussures s’imprimer sur mon postérieur.
Je ne sais pas combien de temps je me trouvais à tourner dans l’open-space. Mes fesses me faisaient souffrir le martyr, à chaque coup supplémentaire j’étais prête à m’effondrer. Un moment, quelqu’un se mit à parler :
— Ce n’est pas très juste... elle passe son temps à se balader cul nu pendant que nous, on travail.
Est-ce qu’il comptait me délivrer ? Je le suppliais :
— Défaites le nœud que je puisse travailler alors ! Pitié ! J’ai les mains prisonnières, je ne peux rien faire.
— Mais tu n’as pas besoin de tes mains pour travailler… Une salope, ça travail avec son cul, non ?
Et aussitôt je sentis qu’on m’enfonçait une longue tige dans le cul.
— Qu’est-ce que vous faites ! Vous…
Aussitôt un coup de règle me cingla les fesses, je criais de douleur.
— Ta gueule sale pute ! Si tu ne peux pas utiliser tes mains pour écrire, alors on va être gentil, on va te mettre des stylos dans le cul.
La tige s’enfonça encore, plus profondément, sous le choc je restais immobile. Je bavais et crachait de la salive sous l’effet de la sodomie. Quelqu’un commença à enfoncer un autre stylo, cette fois-ci il y avait un bouchon. Ça m’irrita l’anus et je repartis à l’aveugle pour échapper à l’enculage. À chaque fois que je me retrouvais bloqué, je sentais qu’on essayait de m’enfoncer un nouveau stylo dans le trou du cul.
Je n’avais aucune idée du temps qui avait passé, mais je sentais mon cul se faire remplir peu à peu. Certains stylos poussaient les précédents plus loin dans les profondeurs. J’avais l’impression de me faire remplir au-delà de ce qui était possible, mais à chaque fois un nouveau stylo me pénétrait, me torturant encore plus.
Je suppliais alors qu’on me laisse tranquille. Mais je recevais qu’un cruel coup de règle en réponse.
Au bout de ce qui me parut de longues heures, j’entendis alors la porte s’ouvrir. C’était Maîtresse Jessica, je l’entendis dire :
— Alors vous vous êtes bien amusé avec ma petite pute ? Voyons voir ces fesses... Elles sont bien violacées, avec de bien belles marques. Je suis sûr qu’elle sera bien mieux debout qu’assise pour une bonne semaine.
— Je vous en prie, maîtresse ! dites-leur d’arrêter !
Mais plutôt que de me soutenir, je la sentis m’écarter l’anus, faisant tomber un ou deux stylos.
— Oh, vous m’avez gavé le cul de ma petite oie. On dirait même un poulpe, elle chie de l’encre.
Je sentis alors le nœud se desserrer. Ma chemise retomba, et je pus voir autour de moi. Mon regard tomba en premier sur une horloge, moins d’une heure seulement s’était écoulée. Mes collègues et tortionnaires étaient à leur poste, me jetant des coups d’œil et travaillant comme si rien ne s’était passé. En fait si je n’étais pas là, la figure couverte de larmes, les fesses zébrées d’entailles et mon cul déchiré par une quantité incroyable de stylos ; on aurait pu croire que je venais de rêver mon calvaire. Mais Maitresse Jessica me fit reposer les pieds sur terre.
— Alors petite pétasse, tu vas être obéissante maintenant ?
Diffuse en direct !
Regarder son live