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Vive le divorce !

Chapitre 2

La tentation

Inceste
Aux environs de 3 heures du matin, Tom entendit la porte de la chambre d’amis dans laquelle il dormait s’ouvrir et se réveilla. Soudain, la lumière s’alluma et, malgré cet aveuglement inattendu, il put nettement distinguer la fine silhouette de Léna dans l’encadrement de la porte. La jeune femme n’était vêtue que d’une culotte rose et d’un T-shirt blanc à motif qui moulait parfaitement sa somptueuse poitrine. Tom, qui ne portait quant à lui qu’un simple caleçon, trouvait la situation plus qu’ambiguë.
— Qu’est-ce que tu fais là ? demanda-t-il innocemment. — Je ne trouve pas le sommeil. Répondit Léna qui voyait chacune de ses nuits s’interrompre par une crise d’angoisse. J’ai besoin de parler.— On ne pourrait pas plutôt parler demain matin ?— Non, j’en ai envie maintenant.
Sans même en demander la permission, Léna vint rejoindre son beau-père sous la couette, forçant celui-ci à se décaler. Heureusement le lit, prévu à la base pour accueillir plusieurs invités, était plutôt grand.
— Dis Tom, ça ne t’effraie pas ?— De quoi ?— Qu’on se quitte, l’idée qu’on ne va plus se voir ?— On va se revoir. Tu sais, c’est pas parce qu’on se sépare avec Noémie que toi et moi on ne pourra plus se côtoyer. — Tu m’inviteras dans ton nouvel appartement ? demanda la jeune fille dont le moral semblait remonter.— Mais bien sûr !
Ravie, Léna enlaça Tom de joie, ce qui le mit un peu mal à l’aise compte tenu des événements survenus plus tôt dans la journée. Après tout, il n’était qu’à quelques centimètres de la poitrine qu’il avait vue nue quelques heures auparavant.
— Est-ce que je peux dormir là ce soir ? Je me sentirais mieux. Dit-elle après avoir relâché son emprise. — Euh... d’accord.
D’ordinaire, il aurait sûrement refusé mais ce soir, c’était différent. Malgré sa masturbation (dont le mouchoir planqué sous le lit prouvait qu’elle avait eu lieu), son excitation était revenue et il ne se sentait plus maître de ses paroles, comme souvent avec les femmes qui lui plaisaient. Mais mince, que faisait-il ? Jouait-il à un jeu dangereux ?Après s’être correctement placée, Léna éteignit la lumière grâce à un second interrupteur situé au-dessus du lit. Toutefois, la pièce était encore relativement bien éclairée par la pleine Lune, ce qui exposait encore plus Tom à la vue de ce corps qu’il désirait tant. Son sexe se mit progressivement en érection dans son caleçon, ce qui le gênait considérablement. De peur que sa belle-fille le ressente, il se tourna face au mur. Par malchance, il se rendit compte que ses fesses touchaient les siennes. "Et merde" pensa-t-il. Ce fessier rebondi et ferme éveillait chez lui du désir, et rappelait à sa mémoire les souvenirs de sodomie avec Noémie. Finalement, corrompu par sa libido, il prit la décision de reprendre sa position initiale. Sa verge, à travers son caleçon, effleurait le tissu de la culotte de Léna. Peu à peu, il s’en rapprocha, faisant pression sur ce barrage rose. Cela ne manqua pas de réveiller Léna, qui tourna la tête vers son beau-père qui en transpirait presque.
— Qu’est-ce que tu fais ?
Tom ne répondit même pas, hypnotisé par son désir sexuel. Léna baissa les yeux et découvrit la bosse immense qui s’était formée sous le caleçon de son beau-père. Elle n’en revenait pas ! D’un côté, elle était choquée de voir cet homme qu’elle connaissait si bien essayer de la pénétrer, mais de l’autre elle était fascinée. Ce caleçon la frustrait, elle aurait bien aimé savoir à quoi ressemblait le pénis qu’il dissimulait. Ainsi, sans même réfléchir, elle prononça ses mots :
— Personne n’en saura rien.
Ces quelques sons sortis de sa bouche venaient de sceller le cours des événements. Implicitement, elle avait accepté de faire l’amour avec l’ex-compagnon de sa mère. Mais à ce moment-là, elle n’y pensait pas. Seul le désir guidait ses actes. Lentement, elle baissa sa culotte jusqu’à ses pieds, avant de la jeter hors du lit. Tom en fit de même avec son caleçon. Désormais, c’était leurs peaux qui se touchaient. Léna était ébahie par cette bite qui se présentait à elle. Elle était grande (au moins 18 centimètres !) et large comme elle les aimait. La jeune femme n’était plus vierge depuis longtemps mais cette fois-ci, c’était autre chose. Cette fois-ci, pas de cérémonie ni de rendez-vous. Juste une bonne baise en plein milieu de la nuit.
— Écarte tes jambes. Lui demanda Tom dont le rythme cardiaque s’accélérait.
Léna s’exécuta et leva sa jambe gauche, offrant une vue dégagée sur son vagin. Sans même la prévenir, Tom la pénétra d’un coup sec. Léna dut mobiliser toutes ses forces pour se retenir de crier. Il ne fallait surtout pas faire de bruit. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu l’impression qu’un marteau-piqueur lui avait déchiré les entrailles. Son beau-père commença à effectuer des mouvements réguliers en elle. Jamais elle n’avait expérimenté la position en cuillères, et cela ne lui déplaisait pas. Elle accompagnait les mouvements de son partenaire en faisant vibrer son bas-ventre.
— Tu aimes ? demanda-t-il, la respiration difficile.— Oh oui... Murmura-t-elle entre deux coups de queue.
Les va-et-vient se faisaient de plus en plus insistants et écartelaient les parois de cette chatte étroite. Léna mordillait sa lèvre inférieure pour retenir ses cris de plaisir. Elle sentait ce pénis vigoureux la pénétrer et toucher le fond de son antre sacré. Si on lui avait dit qu’un jour, elle coucherait avec Tom, elle n’y aurait jamais cru. Et lui non plus d’ailleurs ! Il parvenait à peine à réaliser qu’une jeune fille de 19 ans était empalée sur son sexe. Il la pilonnait avec fougue, allant même jusqu’à la faire pleurer de plaisir. Des larmes coulaient sur les joues de cette salope.
— Vas-y... vas-y... Disait-elle.
Au bout de quelques minutes, Tom se retira sans avoir éjaculé. Il ne voulait pas que la fête s’arrête si tôt.
— Enlève ton T-shirt. Dit-il d’un ton sec, tenant son pénis en érection dans l’une de ses mains.
Léna se releva et enleva son T-shirt blanc. Pour la seconde fois en moins de 24 heures, le beau-père admirait les obus de sa belle-fille. Très vite, il se jeta dessus et porta l’un des seins jusqu’à sa bouche. Il tétait ce mamelon et mordillait le téton avec ses dents. La jeune femme avait des seins légèrement plus volumineux que ceux de sa mère, et avait l’air d’apprécier cette nouvelle pratique. Pour la première fois de sa vie, elle comprit le potentiel érogène de sa poitrine que la langue de Tom parcourait sensuellement. Il cracha même dessus, avant de reprendre sa succion.
— Oh Tom... gémit-elle.— Ta gueule et retourne-toi.
À peine choquée par cet excès de violence, elle fit de ce qu’il lui avait demandé et vint se placer à quatre pattes sur le lit. Elle comprenait bien où son beau-père voulait en venir. Celui-ci masturbait son pénis pour lui redonner un peu de vigueur et il s’approcha lentement mais sûrement vers l’anus de sa belle-fille. Le gland en évidence, il s’immisça dans ce nouvel orifice. Léna reçut alors comme un choc électrique. Ce n’était plus un marteau-piqueur, mais carrément un camion cette fois-ci ! Elle se demandait même si ce pénis allait pouvoir rentrer entièrement dans son cul ! Mais Tom insistait, malgré les pleurs que Léna ne parvenait pas à réprimer. À son absolu plaisir se mêlait une douleur intense. Les coups de reins reprirent de plus belle. La jeune fille crispait ses doigts, au point d’en arracher les draps. Elle souffrait, mais pour rien au monde elle n’aurait voulu que cela s’arrête. Elle plaça sa main droite sur sa fesse et se la caressa pour augmenter son plaisir. Tom n’en fut que plus excité. Ses couilles touchaient le ferme fessier de sa partenaire et son pénis s’enfonçait avec une rare violence. Peu après, il saisit la main de Léna pour la repousser et s’occupa de lui malaxer lui-même les fesses.
— Je t’aime Léna ! grogna Tom.— Moi aussi Tom ! lui répondit-elle.
Léna ne cherchait même plus à minimiser ses gémissements. Elle en poussait à gorge déployée, quitte à être entendue par sa mère. "Quelle conne" pensait-elle. "Un mastodonte comme ça, on l’abandonne pas". Elle émit un soupir quand vint son premier orgasme. Un orgasme... foudroyant. Tom sentait lui aussi que le jus montait dans son urètre.
— Je vais jouir Léna !— Et bah asperge-moi !
En quelques secondes, Tom se retira de l’anus de sa belle-fille et éjacula férocement. Des filets de sperme se déposèrent tout le long du dos et de la chevelure brune de sa partenaire. Celle-ci en sentit même couler le long de sa nuque. Cette partie de jambes en l’air avait été phénoménale.
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