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Vive la fac!

Chapitre 2

Hétéro
Le lendemain matin, j’ouvre les yeux en sentant Figaro qui me piétine le ventre pour me signifier que sa gamelle est vide. Je me rappelle alors de la nuit que j’ai passée et je me pose réellement la question … est-ce que j’ai rêvé ? Est-ce que j’ai vraiment fait l’amour avec Lisa ?
Là, tout de suite, je serais tenté de me dire que je n’ai fait qu’un rêve érotique. Ca ressemble trop a un mauvais scénario de film porno. Et puis Lisa n’est pas le genre de fille que j’ai la moindre chance d’embrasser ni de coucher avec, c’est plutôt le type de fille que je materai de loin en me faisant des illusions. Mais une fois levé, je ne peux m’empêcher de vérifier et je constate qu’effectivement, il y a bien un trou minuscule dans la paroi du mur que je partage avec ma ravissante voisine. Une fissure minuscule, entre un poster de zombies et un autre d’une série télé. J’y colle mon œil et aperçois Lisa, une tasse de thé à la main, en sous-vêtements sur son lit, en train de réviser ces cours que je lui ai passés avant de revenir me coucher cette nuit.
Je cligne des yeux et me tâte le menton. C’est cette superbe poitrine si opulente que j’ai caressée et sucée cette nuit ? Ce sont vraiment ces belles jambes fuselées que j’ai fait trembler de plaisir ?
Il faut croire que oui.
C’est vraiment le plus beau jour de ma vie. Après une douche et un solide café, je me dépêche de remplir la gamelle de Figaro qui a entrepris de manifester son mécontentement gastronomique en en entreprenant le déchiquetage de mes chaussons. Finalement, je lui dois bien ça. Si ce chat n’avait pas révélé mes photos de Lisa à…, eh bien, à Lisa, rien ne serait arrivé. Cependant je ne peux m’empêcher de penser que tout ça aurait pu très mal se terminer.
Le lendemain, en jetant a nouveau un coup d’œil dans le trou je constate que l’appartement de Lisa est vide ; elle a dû rentrer chez elles pour les vacances. Elle ne m’a rien dit mais je ne pense pas que l’on va en rester là après cette fameuse nuit. En tout cas je croise les doigts pour que ça ne soit pas le cas. Je passe ces vacances entre de longues session de jeu sur mon ordinateur et des masturbations encore plus longues sur ces photos en tentant de me souvenir de chaque seconde que j’ai passé contre le corps de ma voisine.
Elle finit par rentrer la veille de la reprise des cours et m’embrasse rapidement le lundi matin avant de filer en cours. Je reste sur place pendant quelques secondes, un peu sonné par ce baiser presque volé…
Les jours s’écoulent et je guette la moindre tentative de sa part, en n’osant pas faire le premier pas. J’ai l’impression qu’elle aime jouer avec mon désir, en portant des décolletés à la limite de l’indécence quand elle s’asseoit à côté de moi en cours, et en se promenant presque ou totalement nue chez elle, en me provoquant des érections brutales et irrépressibles. Un mardi midi, je trouve dans ma boîte aux lettres un petit mot signé de sa part me demandant d’être présent à la bibliothèque universitaire le même soir, à partir de 18h, pour « un cours exceptionnel dispensé par Melle Lisa, aucune absence ne sera tolérée ».
Un peu intrigué, je souris en me demandant ce qu’elle me veut. L’heure venue, je me rend à la bibliothèque. Elle est dans l’aile ouest du bâtiment de mon UFR. Au moment où la plupart des étudiants quittent leurs cours, je passe les portes de la bibliothèque et me promène dans les allées. Les étagères recouvertes d’ouvrages montent jusqu’au plafond. A cette heure-ci, les derniers étudiants terminent leurs révisions et rangent leurs affaires. J’aperçois enfin Lisa. Elle porte un imper mouillé par la pluie qui lui descend jusqu’aux jambes et des lunettes tandis que sa chevelure brune est coiffée en un chignon un peu sévère. Rien qu’a penser aux formes délicieuses qui se dissimulent sous ce manteau, je sens le sang affluer dans ma queue.
— Je suis là, « professeur » ! lui dis-je l’air de rien.
— Ah, tant mieux, me répond-elle en me souriant. Ca m’aurait fâchée que mon élève soit absent pour ce cours… mais il va falloir attendre un peu, il y a trop de monde. Fais semblant de consulter des livres, il faut qu’on se laisse enfermer dans la bibliothèque. Allez, file !

Je ne discute pas, je suis trop curieux et trop excité pour remettre ces consignes en question. Pendant une heure encore je me balade entre les rayons en ouvrant des livres au hasard. Impossible de me concentrer sur les bouquins que j’ouvre au hasard, je guette l’heure de la fermeture. Quand elle vient, je me cache dans les allées. Derrière une rangée de livres traitant du mouvement cubiste dans la peinture, j’aperçois les bibliothécaires qui prennent leurs manteaux et se préparent a partir.Je me dissimule de mon mieux à la vue de l’un d’entre eux qui passe dans les allées en vérifiant que plus personne ne se trouve dans la bibliothèque.
Et viens enfin le moment où j’entend le « clang » lointain de la porte d’entrée qui s’est fermée, avec le rideau de fer. Je me demande encore si ce que je fais est bien raisonnable : si je suis surpris dans la bibliothèque universitaire hors des heures d’ouverture, je risque gros. Bah, tant pis, ce qui est fait est fait. De toutes façons, il y a une sortie de secours. Presque effrayé par le silence et l’obscurité qui s’étend au fur et à mesure que le jour baisse, je me met a chercher Lisa. A voix basse, elle m’interpelle depuis la mezzanine où se trouve la section « histoire » de la B.U.
— Je suis là !
Je monte quatre à quatre les escaliers et la retrouve. Qu’est-ce qu’elle est belle. Débarrassée de son manteau, elle arbore une tenue que je trouve terriblement excitante. Des chaussures à talons cours, des bas, une jupe grise un peu courte et une chemise blanche dont les boutons paraissent avoir bien du mal a tenir en place au niveau de sa poitrine, ainsi qu’une cravate noire. Et toujours ses lunettes et son chignon qui lui donnent des airs de professeur très coquine.
— On ne risque rien ?, ose-je en posant mes affaires sur une chaise.
— Bien sûr qu’on risque quelque chose !, me dit-elle. Au mieux un avertissement et une exclusion temporaire de cours, au pire un renvoi. Mais je pense que l’on sera tranquilles, il n’y a pas de gardien et personne ne peut nous voir des fenêtres, ici. Le responsable avait l’air pressé de retourner s’abrutir devant TF1, peu de chances de le voir revenir pour chercher quelque chose. Maintenant, assis !
— Bien m’dame.
Ca m’amuse. Je m’asseois sans protester face a elle, sur une chaise.
— J’ai décidé de te faire passer un examen de sexe, jeune homme.
Il n’y a pas grand-chose d’autre que j’aurais plus voulu entendre de sa bouche.
— La dernière fois, c’était passable, mais je pense que tu es un élève avec beaucoup plus de potentiel. Tu vas devoir me prouver que tu sais faire jouir une femme.
Elle allume une petite lampe qui nous éclaire suffisamment pour ne pas être dans l’obscurité totale. Après quoi elle installe un tableau chipé dans une des petites salles de réunions qui sont juste a côté pour y écrire avec un marqueur. Elle y dessine un corps féminin et se retourne vers moi.
— Comment appelle-t-on l’endroit qui provoque chez une femme son plus fort orgasme ? me demande-t-elle d’une voix sévère.
— Euh… le point G ? dis-je, les mains sur les genoux.
— Bonne réponse.
Elle inscrit la réponse au tableau en se cambrant légèrement. Je ne peux m’empêcher de fixer ses longues jambes et son petit derrière mal dissimulé sous cette jupe.
    - Quel est le moyen de contraception le plus sûr qui existe? Me demande-t-elle, une main derrière le dos et une autre me désignant de son marqueur.
Alors là, aucune idée. Je ne me suis jamais posé la question... ça doit être les appareils plus compliqués a "enfiler" qu’un simple préservatif, je suppose. Le stérilet? La vasectomie?
    - Je crois que c’est la vasectomie, non?
    - Ca ira, j’accepte cette réponse, me dit-elle. Statistiquement c’est la stérilisation masculine et l’implant chez les femmes qui sont les méthodes les plus sûres.
  Elle retourne au tableau et entoure différents points du corps qu’elle a dessiné.
— Vrai ou faux: le corps féminin possède plus de zones érogènes que celui masculin?
— Euh.. c’est vrai!
-Exact, répond-elle avec un clin d’oeil.
Je m’impatiente un peu. Lisa joue avec mon désir impunément. Je brûle d’envie d’arracher plus ou moins brutalement ces quelques épaisseurs de tissus et d’élastiques pour la faire gémir de bonheur. Mais elle en a conscience.
— Quelle est la taille moyenne du pénis en érection?
Je n’en sais rien non plus. Mais depuis un bon quart d’heure que je la vois se dandiner devant moi dans cette tenue atrocement excitante, la mienne va finir par crever mon jean.
- Je ne sais pas... seize centimètres?
Elle ne répond pas et s’approche de moi, en penchant son visage vers le mien. Je me retiens d’embrasser ces lèvres si apétissantes, d’un rouge fraise et dissimulant des dents blanches..Elle me met une petite claque sur la joue.
— C’est faux, monsieur! La taille moyenne est à treize centimètres, pas plus.
Elle se redresse et met les mains sur ses hanches. Un peu surpris par la gifle , je reste planté sur ma chaise comme un élève pris sur le fait.
- Vous n’avez pas assez étudié le sexe, monsieur... et puisque c’est ainsi, vous allez devoir montrer à la classe si vous êtes, vous, dans la moyenne. Debout! Et baissez-moi ce pantalon.
Ce petit jeu de rôle a vraiment l’air de la passionner. En tout cas c’est une bonne actrice, on s’y croirait. Je m’exécute et me lève d’un bond de ma chaise, en ouvrant nerveusement ma chemise. Je défais ma ceinture et baisse mon pantalon non sans difficultés. Mon calecon est déformé par une énorme bosse. Mais c’est sa faute aussi.
- Cela m’a l’air pas mal, tout ça... articule-t-elle en me fixant droit dans les yeux de derrière les montures noires de ses lunettes. Elle se met a genoux devant moi et sors un mètre ruban. Elle baisse lentement mon caleçon, peut-être pour apprécier la "vue". Mon sexe tendu bondit de l’élastique et vient presque caresser son visage.
Elle sourit et déplie son ruban. Elle en pose l’extrémité sur mon aine et prend tout son temps pour atteindre mon gland brûlant pointé vers sa bouche.
— Dix-neuf centimètres... pour quinze centimètres de circonférence. C’est bien au-dessus de la moyenne, ça, monsieur, dit-elle en ayant presque l’air de me le reprocher.
— C’est presque illégal d’avoir une bite aussi grosse que la vôtre, vous savez! Vraiment trop grosse!
— Ayez pitié, m’dame, réponds-je en souriant, c’est une éloge a votre beauté!
— Ah oui? dit-elle. A peine le mot est-il sorti de sa bouche qu’elle donne un coup de langue sur l’extrémité de ma queue. Elle ne me quitte pas des yeux et en donne un second, puis un troisiéme, sans s’attarder sur ma queue brûlante mais juste assez pour me provoquer des chocs électriques de désir. Ma bite se tend encore un peu plus et pointe vers son nez.Ses petits doigts agiles se mettent a me caresser la queue doucement pendant qu’elle la lèche pour de bon en fermant les yeux, en partant de la base de mes couilles pour remonter jusqu’en haut.
Mon dieu, qu’est-ce que c’est bon! Je pousse un grognement de satisfaction en sentant sa langue me goûter comme elle le ferait d’une pâtisserie. Allant toujours plus loin, elle avale quelques centimètres, me suçant quelques secondes avant de la ressortir, et ainsi de suite pendant de longues minutes dont je savoure chaque seconde. C’est vraiment le paradis. J’ai sous les yeux son visage d’ange qui me regarde droit dans les yeux, avec ses délicieuses lèvres autour de ma bite gonflée. Elle m’avale complètement, en tenant ses mains sur mes hanches.
Je ne peux résister longtemps a ce traitement et finit par éjaculer violemment. Dans un grognement rauque j’expulse plusieurs jets de sperme brûlant au fond de sa gorge. Je m’attend à ce qu’elle le recrache mais à ma grande surprise, elle avale tout! Elle continue de me lécher conscienceusement et de me téter la queue comme elle le ferait d’un biberon de sperme. Une fois qu’elle est sûre que ma bite est propre, elle se relève comme si ne rien n’était. Elle me fixe encore un peu en se léchant les lèvres avec une expression gourmande, avant de se jeter sur moi. Nos deux langues se cherchent et se mélangent passionnément et je la serre fort avant de la soulever par les fesses pour la porter jusqu’à la table. Je l’y dépose comme si elle ne pesait rien et je commence à détacher un par un les boutons de sa chemise qui paraît prête à éclater. Lisa me regarde avec convoitise et son souffle s’accélère quand je fais sauter le dernier bouton, libérant d’un coup sa grosse poitrine enfin libérée de ce carcan de tissu. Ses seins sont parfaits, ronds et massifs, débordant légèrement, bien ferme avec des tétons rouges vifs encore mal dissimulés sous un soutien-gorge en dentelle noire. Je pense à lui enlever ce soutien-gorge mais elle me dit d’une voix rauque de désir :
— Maintenant baisez-moi, monsieur ! Sinon vous allez avoir une mauvaise note !
Ses désirs sont des ordres. Je ne peux rien lui refuser. Ma queue a déjà récupéré et est prête à l’action. En passant une main sous sa jupe je constate que depuis le début, cette coquine n’avait pas de culotte ! Je ne sais pas pourquoi mais ça m’excite encore plus. Je présente ma bite à l’entrée de son sexe déjà humide et en la voyant s’agripper au bord de la table, le souffle court, je m’introduis en elle d’une poussée longue mais ferme. Elle pousse un gémissement de plaisir. Puis un autre, et encore un autre quand mes coups de reins font trembler la table. Pendant un long moment, je me régale du spectacle de ses gros seins qui tremblent et tressautent a chacun de mes coups de bite et des bruits de Lisa qui crie son plaisir sans retenue.Quand je pense que nous faisons l’amour sur une table où quelques heures auparavant, des étudiants travaillaient leurs partiels. S’ils savaient…Lisa a l’air d’aimer ça. Elle ne cesse de m’encourager et de se mordre la lèvre sous les vagues de plaisir. Sa peau de pèche est parcourue de frissons à chaque fois que je donne un nouveau coup de rein et que mes couilles claquent contre ses fesses.
— Oh putain, ne t’arrête pas ! Aaaahn, continue ! Continue, j’aime ça, ahn, han, mh…. Ça vient !!
C’en est trop pour moi. Je m’accroche à ses belles cuisses encore gainées de ses bas en accélérant autant que je puisse le faire. Lisa ne résiste pas à ce pilonnage effréné et jouit brutalement en compressant ma queue avec son vagin brûlant. Je sens un flot de cyprine couler de ses cuisses en même temps qu’elle pousse un long cri de plaisir. Mais ce n’est pas terminé. Après quelques minutes de récupération, elle se relève et me pousse sur une chaise. Elle m’y lie les mains dans le dos avec son mètre ruban et entreprend une danse sensuelle sous mon nez alors que je suis immobilisé. Je suis impuissant, contraint de la voir agiter son petit derrière tellement bandant sous mon nez sans rien faire, sans pouvoir la toucher, la caresser… c’est une vraie torture. Elle le sait et agite encore sous mes yeux sa superbe poitrine. On dirait que ses gros seins vont me sauter dessus. Lisa porte encore sa cravate et ses lunettes. Elle a gardé ses bas, ses chaussures à talon et sa jupe mais elle cède enfin à mes yeux de chien battu qui la supplient et dégrave enfin son soutien-gorge. La dentelle tombe sur le sol et je peux enfin apprécier ces deux globes de chair gonflés d’amour, de jeunesse et de désir sexuel. Je n’avais même pas remarqué mais je me suis remis à bander aussi fort que tout à l’heure.
Sans plus de cérémonie, Lisa m’enfourche sur ma chaise et entreprend de me chevaucher. Nous repartons ainsi pour un long moment, les yeux dans les yeux et la langue cherchant celle de l’autre, à jouer à celui qui ira le plus loin. Elle danse sur ma queue et s’empale dessus, exprimant son plaisir sans aucune retenue. J’ai pu m’empêcher de jouir tout à l’heure mais la sensation du corps parfait de Lisa se déhanchant sur ma bite est insupportable. Je finis par céder et j’inonde sa petite chatte de sperme crémeux et brûlant au moment où elle m’enfonce les ongles dans les épaules en criant son bonheur.
L’éjaculation m’a assommé. Elle me détache et me branle doucement pendant que je récupère. Elle me malaxe le sexe avec ses petits doigts fins et agiles d’un air innocent, les tétons encore turgescent.
Je lis dans ses yeux son envie de sexe. Je n’en ai pas terminé avec elle ; si elle veut un bon « élève », elle va en avoir un, et j’ai encore suffisamment d’énergie en moi pour la faire hurler. Sous ses caresses, je me remets à bander encore une fois.Je la prends dans mes bras et la retourne pour la diriger vers un des canapés du coin lecture.
Elle s’y met à genoux, les mains sur la rambarde de la mezzanine. Je prends mon temps pour apprécier la vue de son petit cul et je lui enlève sa minijupe.
Décidément cette vue me fera toujours bander comme un taureau en rut. Ses petites fesses sont parfaites, bombées et roses, galbées et encadrant son sexe frais et rasé, avec un petit espace entre ses cuisses. C’est un vrai don divin que d’avoir un fessier pareil. Je présente ma bite à l’entrée de son minou et lui murmure à l’oreille.
— Après ça j’espère obtenir mon examen avec succès, madame…
Elle se mordille la lèvre d’anticipation et me demande de ne pas hésiter et de la rentrer. Je la pénètre encore une fois et prend un rythme soutenu. Je lui donne même quelques tapes sur les fesses qui lui font pousser des exclamations de plaisir. Lisa ahane son bonheur d’être baisée contre l’acier de la rambarde. Elle s’y agrippe de toutes ses forces pendant que je pilonne sa petite chatte de plus en plus forté&, en lui introduisant un doigt dans l’anus pour pousser plus loin son plaisir. Par moments je change et profite d’une de mes mains libres pour venir lui caresser le minou, sans cesser mes va-et-vient.Ayant déjà éjaculé deux fois, je sens que je n’ai presque plus de jus, mais j’ai l’avantage de tenir « en selle » beaucoup plus longtemps. Je ne mesure pas le temps qui passe mais je repousse mes limites pour faire aller crescendo les gémissements de Lisa qui s’apprête à jouir la bouche ouverte.Je sens instinctivement que c’est le moment. Une main posée fermement sur ses fesses et l’autre qui lui titille ses tétons durs comme du bois, je l’achève avec de grands coups de reins.
Lisa hurle comme une possédée sa jouissance à travers toute la bibliothèque universitaire. A tel point que je crains un instant que quelqu’un nous aie entendus. Mon sperme brûlant fuse à travers ma queue et coule le long de ses cuisses…
Nous restons vingt minutes encore sur le divan à reprendre notre souffle et à nous embrasser tendrement.
— Est-ce que vous êtes satisfaite maintenant, « professeur » ? lui dis-je alors qu’elle est encore étendue les yeux fermés et le corps luisant de sueur.
— Très ! répond-elle en souriant. C’était parfait, je vous donne un bon 18/20.
Je regarde l’heure et constate qu’il est presque dix heures du soir. Il fait nuit noire dehors… nous sommes restés plus de deux heures ici à faire l’amour comme des bêtes. Nous nous rhabillons, et après avoir effacé les traces de notre passage, nous sortons aussi discrètement que possible par une des issues de secours. Sur le chemin du retour à notre résidence étudiante, nous nous arrêtons dans une sandwicherie pour recharger les batteries. C’est que toutes ces émotions nous ont donné faim !Il n’est pas onze heures quand nous rentrons chez nous. Avec la même attitude innocente qui me fait tant craquer, Lisa me proposa par la suite de venir l’aider à « se nettoyer après tout cet exercice physique ». Mon sang ne fait qu’un tour et quelques minutes plus tard, nous étions en train de faire l’amour dans sa douche, à lui ramoner la chatte contre le mur.
Je peux vous garantir que cela a été une longue nuit, et que nous n’avons que très peu dormi…
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