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vive les fêtes ratées

Chapitre 2

Inceste
Un esprit chagrin aurait pu estimer qu’Hélène abusait de la situation. Allongée tranquillement sur son lit, cela faisait plus de vingt minutes que je la massais sans qu’elle ne montre une quelconque envie d’écourter la séance. Elle savait que j’avais rendez-vous avec mes potes, mais au lieu de me libérer, elle se contentait de grogner de contentement alors que mes pouces appuyaient le long de sa colonne vertébrale. Cela ne faisait qu’une semaine que cela avait commencé, mais c’était déjà la troisième séance de ce type. La première fois, cela avait été après son cours de tennis, la deuxième après le sport du lycée, et là… ma chère sœur n’avait même pas daigné chercher le moindre prétexte. Juste une demande, grognée par la porte entrouverte de sa chambre quand elle m’avait entendu passer à proximité.
Cependant, j’étais à mille lieues de me plaindre, voire même de regretter les minutes de retard qui s’accumulaient : au lieu d’entourer une manette de console de jeux vidéo, mes mains étaient bien posées sur le corps de ma frangine et mes fesses, au lieu d’êtres affalées sur un canapé avachi, effleuraient le haut de ses cuisses. Mon sexe dur frottait également contre les chairs d’Hélène, le tissu de mon pantalon et sa culotte séparant hélas nos deux épidermes. Le souffle court, essayant de me concentrer sur le massage proprement dit, je me demandais si elle allait m’autoriser à la pénétrer rapidement à la fin, comme lors de la dernière fois. Je priais pour, bien entendu, mais j’entendais parfois notre mère s’activer au rez-de-chaussée, et, à chaque bruit, je sentais Hélène qui se crispait sous mes doigts. Peu de chance qu’elle s’abandonne, se laisse aller… Je me souvenais encore comment ses propres mains s’étaient insinuées vers l’intérieur de ses cuisses, comment elle s’était donné du plaisir avant de retirer son tanga pour m’offrir son sexe humide… Rien de tout cela aujourd’hui.Certes, elle se cambrait parfois pour accentuer la pression de ma tige sur le sillon de ses fesses, mais j’avais le sentiment que c’était plus par jeu, pour s’assurer du niveau constant de ma raideur que pour préparer le feu d’artifice final. Et ses paroles chuchotées achevèrent de ruiner tout espoir :
« Papa ne va pas tarder à rentrer. On ferait mieux d’arrêter.
Je marmonnais un assentiment tout en continuant mes massages, en profitant pour toucher ses fesses de façon ample. Elle écarta quelques secondes ses jambes pour que mes pouces touchent la région de ses adducteurs et remontent jusqu’à sa petite chatte, puis Hélène les referma et tortilla du bassin pour chasser ces intrus de son intimité.
« T’es con, Clément, dit-elle d’un ton mi énervé, mi amusé. Après je vais être toute excitée.
« Parce que tu crois que moi non ?, je répliquais plus rogue, peu enthousiaste à l’idée d’être plantée là avec mon érection qui commençait à me lancer.
Hélène poussa un soupir qui empruntait au ricanement et se dégagea davantage en avançant de quelques centimètres. Toutefois, elle ne se retourna pas pour me faire face et resta le nez dans son matelas quand elle me souffla :
« Soit un peu patient… demain soir on pourrait être tranquille. Les parents vont voir les Leclerc. On aura au moins trois heures de sûres.
J’avalais ma salive et un frisson me remonta l’échine : lorsque ma mère nous avait annoncé leur dîner chez leurs amis, elle y avait donc pensé comme j’y avais pensé. Hélène ne sut pas interpréter ce silence, car elle quitta enfin sa position pour m’envisager en fronçant légèrement les sourcils, interrogative et en proie à un début de colère :
« Tu as quelque chose de prévu ?
Cette fois-ci, je ne pus me maîtriser et éclatais brièvement de rire, avant de me jeter sur elle et de l’embrasser :
« Non mais tu es folle ? Même si je devais aller dans la lune, j’annulerais.
Hélène se laissa faire en riant aussi et répondit à mon baiser, nos langues se mêlant jusqu’à ce que le bruit d’une porte claquée nous sépare brutalement. Nous reprîmes nos distances, l’oreille aux aguets et le cœur battant, mais après quelques instants, il s’avéra qu’il ne s’agissait que de notre génitrice qui avait été plus énergique qu’à l’accoutumée. En tout cas, Hélène ne se réinstalla pas sur le lit et continua d’ajuster ses vêtements, me regardant à la dérobée quand elle lança :
« Tu sais pour demain soir, j’aimerais bien essayer des trucs.
Mon sexe qui s’était calmé sous l’effet de la crainte d’être découvert se redressa immédiatement, même si mon cerveau avait du mal à deviner le sens de ses paroles. Voyant ma perplexité et que je n’allais pas devenir subitement extralucide, Hélène m’expliqua un peu mal à l’aise et d’une petite voix :
« Je me disais, moi j’essaierais bien que tu me… enfin la sodo, quoi.
De perplexe, je passais à stupéfait et elle grogna :
« Ben quoi ? tu veux pas ? Il y en a dans toutes les vidéos pornos que tu regardes, non ? Tu n’es pas tenté toi aussi ?
« Si bien sûr !, je répondis immédiatement. « Je... tout ce que tu veux. C’est juste que…
« Que tu ne sais pas comment faire, compléta-t-elle en me prouvant qu’elle était plus télépathe que moi. Ne t’inquiète pas. On essayera de tout façon ensemble.
« Parce que toi aussi tu…
Hélène grimaça et tenta de sourire :
« Oui, on sera tous les deux puceaux sur ce coup-là., Elle se rapprocha et me masturba à travers mon pantalon. « mais je sais qu’avec toi, on pourra y aller calmement.
Sa main me prodiguait trop de plaisir pour que je puisse réfléchir, mais plus tard, sur le chemin de mon rendez-vous avec mes potes, je me remémorais quelques petites phrases et confidences qu’elle m’avait dites lors de notre première aventure et de nos séances de massage intimes. La confiance et la tranquillité étaient revenues pas mal de fois dans sa bouche. Etait-ce parce que ses précédents petits amis avaient été trop impulsifs, trop indélicats ? Un con qui se l’était joué Rocco Siffredi ? Ce rustre hypothétique, j’avais autant envie de lui casser la gueule que de le remercier. Parce que maintenant, ma sœur avait découvert que chez elle, existait un petit frère qui obéissait sans discuter à ses ordres, avide d’apprendre et attentif à la faire jouir.
J’étais toujours perdu dans ces pensées à la soirée, où je me pris tannées sur tannées tant sur PES que Tekken… Je protestais mollement que j’étais plus Fifa et Street Fighter, mais en réalité, je n’en avais rien à battre de ce concours. Je déclinais la beuverie/ fumette rituelle qui suivait ce pseudo-tournoi et rentrais vite, profitant de l’heure tardive pour allumer le PC. Mot clé : sodomie. Cette fois-ci, je ne materai pas des vidéos mais du texte. Car, à n’en pas douter, il y avait sans doute pleins de clips de sodo sur lesquelles se branler, mais, tout comme l’enchaînement des positions acrobatiques, je savais qu’il était impossible de pénétrer d’un coup un anus de la manière des hardeurs. La vérité était ailleurs. Cuni, préliminaires, sodomie… J’avais lu des conseils sur le sujet rapidement il y avait un moment, mais il me fallait approfondir.« Femme actuelle », « Doctissimo » Les sites disaient tous la même chose : il fallait du temps, de la patience et –tiens !- de la confiance… ainsi qu’une langue, un doigt, puis deux, et, surtout, beaucoup de lubrifiant.
La journée du lendemain se passa de façon atrocement longue, avec, durant une heure d’étude, une expédition gênée et embarrassante à une pharmacie assez éloignée de mon lycée et des quartiers que nous fréquentions. Par bonheur, il n’y avait pas beaucoup de monde et à la caisse, une femme d’une trentaine d’année. Le sang battant aux tempes, je pris le flacon de «Sensitive 50 ML » , le « Crazy » à la cerise, pourtant de la même marque, ne me paraissant pas sérieux. La pharmacienne jeta un regard à la clientèle, assez éloignée et me souffla, très pro :
« Je vous conseille de prendre les préservatifs qui vont avec… mais sinon j’en ai des moins chers et tout à fait aux normes…
Comme je me souvins aussi qu’il était conseillé de se protéger tant tous les cas, j’obéis et un paquet de capotes s’ajouta au lubrifiant sous le regard bienveillant de la demoiselle... mais nettement plus réprobateur d’une vieille qui s’était rapprochée entretemps. Un moment, je me demandais si j’avais l’air d’un jeune homo faisant ses emplettes et, avec un rire intérieur, songea qu’il valait mieux qu’on me prenne pour un gay que l’on connaisse la nature véritable de mon péché.
Je crus devenir fou lors du dernier cours de la journée, deux heures de physique qui ne furent qu’une bouillie de molécules. Mon voisin et ami ne s’y trompa pas d’ailleurs et me demanda pourquoi j’étais à ce point dans la lune aujourd’hui. Comme devant la pharmacienne, je me tus et je rentrais à la maison en ayant l’impression d’être un espion sous couverture, répondant à mon père et à ma mère par le mensonge et la dissimulation, tandis qu’une idée fixe me tournait en tête. Hélène, qui rentra elle aussi à la maison avant le départ de nos parents, joua également le jeu et se permit une seule fois un clin d’œil équivoque à mon égard dans leur dos. Pour ma part, je mis à profit cette période pour préparer la bouffe et prendre une douche, afin de maximiser notre temps libre.Ce fut donc quand je me rinçais que j’entendis la bagnole de mes vieux partir, déclenchant immédiatement une érection. Je soupirais de bonheur et sortis de la salle de bain avec une serviette plus ou moins nouée autour de la taille, pour me retrouver nez à nez avec Hélène qui fixa mon entrejambe avec un grand sourire.
« Et bien, on dirait que tu es pressé… décidément, tu es efficace quand il le faut…, dit-elle en se rapprochant et en m’embrassant à pleine bouche et saisissant mon sexe.
« J’ai pas pu penser à autre chose de la journée, avouais-je en commençant à lui lécher le cou.
Elle gloussa de mon attouchement qui semblait la chatouiller et serra un peu plus mon phallus.
« Garde ta langue pour plus tard, je vais à la douche moi aussi… On fait ça dans ma chambre ?
Je hochais la tête et j’allais à ma chambre prendre mes achats dans mon sac de cours, précédé par un gland fièrement dressé et plus qu’impatient. En passant devant une fenêtre, je me dis que, même si nous n’avions pas de vis-à-vis direct, il était plus sage de fermer les rideaux et volets de la douche à sa chambre et je m’exécutais, tel un malfrat ourdissant un mauvais coup. Sur la table de nuit, je disposais le petit flacon bleu et la boite de préservatif et m’allongeais sur son lit, me forçant à respirer calmement.Hélène passa un assez long moment à la douche. Si elle avait lu les mêmes choses que moi, sans doute lavait-elle soigneusement son petit trou. Est-ce qu’elle avait acheté une poire de lavement ? Cette question pratique m’occupa un certain moment, puis j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir et les pas de ma sœur se rapprocher. Une serviette de bain était juste posée sur son épaule et ne me cachait rien de sa beauté, pourtant elle fit tomber de petit bout de tissu éponge pour que je puisse mieux l’admirer, souriante et fière de son effet sur moi. Elle se rapprocha, sembla vouloir me dire quelque chose mais nota alors les deux objets sur son meuble de lit.
« Pour un petit puceau, tu es trop bien organisé, me dit-elle presque avec soupçon.
Elle prit le lubrifiant et lu l’emballage en s’asseyant à côté de moi. Je la sentais troublée et plus aussi sûre d’elle qu’auparavant.
« Je heu... désolé , j’aurais pas dû, je bafouillais. J’aurais dû te demander, si tu veux plus, c’est pas un problème, j’ai juste lu des trucs et pensé que ça pouvait être utile.
Mon air de chien implorant la fit fondre et elle secoua la tête :
« Non tu as raison, c’est bien. J’en ai pris aussi, mais celui-là à l’air très bien… C’est juste que…
Cela faisait quand même quelques années que je vivais avec elle et je la connaissais un petit peu, aussi je lui répondis rapidement, ne mentant presque pas :
« Non comme j’ai dit, si tu ne le sens pas forcément, on peut oublier ! Là, enfin, nous sommes tranquilles pour quelques heures : j’ai envie de recommencer comme au salon avec plus de temps, ça a été si bref… ou si tu veux, je peux commencer par un massage…
Ma sœur rit et reposa le lubrifiant sur le meuble, m’embrassa de nouveau et commença à frotter ses jambes contre les miennes avec tendresse :
« Mon pauvre petit chou. Ta méchante grande sœur t’a transformé en esclave.
Je riais à mon tour et commençais à la caresser de façon plus poussée, jouissant de pouvoir la toucher de façon clairement sensuelle. Enfin j’avais l’occasion d’embrasser ses seins comme ils le méritaient et de palper ses fesses et l’intérieur de ses cuisses.
« Pas de soucis pour être ton esclave, j’arrivais à lui répondre alors que son genou jouait avec mes bourses et mon sexe.
Détendue, Hélène se coucha sur le dos et inspira profondément. J’avais bien sûr très envie de la pénétrer, mais, comme je l’avais dit, je brûlais aussi d’explorer son corps, de la lécher.Son goût pour les massages n’était pas innocent et je flattais longuement son buste, ses hanches. Ma langue passa sur le sillon de ses seins jusqu’au nombril, puis plus bas encore, mes mains suivant le mouvement pour cajoler ses cuisses. Le souvenir de ses premiers ordres sur le canapé du salon revint en ma mémoire et je commençais à lécher sa chatte avec une langue large et peu appuyée. Cette attention la fit de nouveau rire, mais son souffle était déjà trop haletant pour ne pas traduire son émoi.
« Décidément tu es bien appliqué et tu n’oublies pas… Continue Clément, c’est bon. Tu es un merveilleux petit frère.
Ces félicitations m’excitèrent encore plus et je continuais, les mains plus avides, plus possessives. Elle mouillait abondamment et commença à grogner alors que mes doigts entraient en elle. Ces grognements devinrent des petits cris quand je suçais ses petites lèvres. Je la sentais trembler contre ma bouche. Ma sœur fit quelques efforts pour reprendre le contrôle d’elle-même et, d’un mouvement de jambe, m’invita à remonter :
« viens, viens avec moi, toi aussi…
Sans me faire prier et après un dernier coup de langue, mon sexe rencontra le sien et, malgré une brève hésitation, réussit à rentrer grâce à l‘aide d’Hélène. Cette petite maladresse ne lui déplut pas et elle me sourit en se mordant sa lèvre. Nos mouvements de bassin respectifs se coordonnèrent et bientôt ma verge s’imposa de tout son long. Le visage de mon amante était rouge d’excitation. Encore une fois, nos bouches se mêlèrent et je dardais des petits coups de langue sur son visage, son cou, le lobe de son oreille. J’aimais voir la trace de ma salive sur elle, la marquer. Elle m’agrippa les cheveux et referma ses jambes dans mon dos, poussa un gémissement marqué. Je ne savais pas si elle avait eu un orgasme, mais, pour ma part, j’allais jouir quand elle se redressa, et me força à mon tour à m’allonger sur le dos, retardant mon éjaculation par cette interruption. Elle se réinstalla confortablement sur moi, me chevauchant et imposant son rythme, les yeux fermés. Je jouais un moment avec sa poitrine magnifiquement offerte, la pris par les hanches observant mon sexe entrer dans le sien. Mon attention remonta ensuite de nouveau vers son visage, où je pus voir qu’elle me fixait également de retour, avec le même sourire. Cet échange de regards me porta de nouveau aux portes de la jouissance, qu’Hélène me fit franchir en accentuant ses mouvements de hanches. Cette fois-ci, ce fut à moi de crier et je ne pus retenir une exclamation rauque qui élargit l’expression ravie de ma sœur. Elle s’agita encore, plus pour me vider complètement que pour se donner du plaisir, me détaillant tout au long du processus.Totalement vaincu, les bras en croix, il me fallut un petit moment pour me remettre de ce feu d’artifice sensoriel, bien plus puissant et épanouissant que les deux précédents orgasmes furtifs et pressés que j’avais eu avec elle. Hélène se coucha à mes côtes et nous nous enlaçâmes, envahis par une joie qui nous faisait presque ricaner.
« Waw, c’était génial, ce que c’est bon, merci c’était…
Elle me fit taire en plantant sa langue dans ma bouche puis me répondit :
« Chut. C’était très bien aussi.
Ma sœur se détacha un peu attrapa mon sexe poisseux et explora aussi sa chatte de ses doigts, les retirant pleins de sperme. Nos bas ventres respectifs étaient humides et collants, les draps bien tachés.
« Tu n’as pas fait les choses à moitié. Heureusement que je prends la pilule, fit-elle remarquer.
Je grimaçais un sourire nerveux :
« Depuis samedi soir, au salon, je n’arrête pas de penser à toi… et donc de bander, j’avouais, songeant qu’il ne se passait pas une heure depuis cette superbe soirée où elle m’avait surpris devant le PC sans que mon esprit n’évoque la figure ou le corps d’Hélène, de nuit comme de jour.
« C’est gentil. Moi aussi j’y pense souvent, dit-elle en basculant sur le ventre.
Je profitais de cette nouvelle position pour peloter la chute de ses reins, son joli petit cul, notant qu’Hélène continuait à se toucher, semblant apprécier l’humidité de mon foutre mélangé à sa cyprine. Ce spectacle envoya directement à ma queue un message clair, et celle-ci répondit par quelques protestations de principe : cela m’élançait légèrement, mais ma verge se regonflait néanmoins peu à peu.Pour lui redonner du temps, j’utilisais mes mains, écartant le haut de ses cuisses et de ses fesses pour avoir une meilleure vue de sa masturbation qui devenait de plus en plus décidée et profonde alors que mes mouvements se faisaient eux aussi plus invasifs. Observant son anus, je me penchais vers lui et commença à le lécher, bavant abondamment dessus. Hélène se gela un instant puis reprit ses mouvements, plus lentement cette fois. Elle changea de position elle-même pour s’ouvrir davantage à ma langue et mon pouce explorateur, tandis que deux autres doigts de ma main rencontraient les siens dans sa chatte. A son humidité et la dilatation de son con, j’eus la confirmation qu’elle était vraiment excitée et je me permis donc d’insister sur son anus, redoublant de salive et entrant presque la première phalange de mon pouce. Hélène poussa un petit cri et je m’arrêtais immédiatement, mais, en expirant et sans un mot, elle recula pour s’enfoncer un peu plus sur mon pouce et agita doucement son postérieur.
« La vaseline…, gémit-elle d’une petit voix qui acheva de me refaire bander.
De ma main gauche, je réussi à prendre le flacon, et je bataillais un peu avec le bouchon pour l’ouvrir sans retirer ma droite de ma sœur. Par bonheur, j’avais pensé à retirer le film plastique de protection et je pus bientôt répandre du lubrifiant sur son petit trou, mon deuxième pouce caressant sa rondelle et appuyant doucement pour élargir le passage. Un moment, je crus que j’allais parvenir à insérer mes deux doigts, mais ma sœur poussa de nouveau un cri, cette fois-ci de douleur plus que de plaisir. Elle se retira rapidement.Inquiet et honteux, j’ouvris la bouche pour m’excuser, cependant Hélène se retourna et secoua la tête, comme elle-même en faute :
« Non, c’est moi, tu fais ça très bien… tu es sûr d’ailleurs que c’est la première fois ? ajouta-t-elle pour me rassurer et plaisanter.
Je hochais positivement la tête et elle reprit, voulant visiblement évacuer la tension par la taquinerie :
« t’es sûr ? C’est pas un de tes amis qui t’a appris ça lors d’une soirée spéciale « entre potes » ?
Ma mine offusquée et mes dénégations outrées la firent rire et elle me serra dans ses bras :
« Mon pauvre petit frère, si serviable et moi je me moque de lui. Attends, je vais me faire pardonner…, dit-elle en me faisant asseoir sur le lit.
Là, elle embrassa mon torse et ouvrit sa bouche pour happer mon sexe de la plus admirable manière. Sans aller jusqu’à me prodiguer une gorge profonde d’actrice porno, sa bouche descendit plusieurs fois le long de ma verge de fort admirable manière. Je sentis sa langue, ses mouvements de succion et de déglutition alors qu’elle avalait les quelques gouttes de sperme qui devaient rester de mon précédent orgasme, puis elle sorti mon sexe de sa bouche pour le lécher et sucer son gland. Tout en me prodiguant ses attentions charmantes, elle me jetait des coups d’œil pour jauger de mon état, même si ma raideur absolue était un indicateur on ne peut plus et de mon excitation. Après une dernière prise en bouche, elle me masturba tout en frottant sa joue contre mon sexe.
« C’est bon, j’ai bien été gentille aussi ?
Je hochais la tête et l’observais se mettre en position de levrette, m’indiquant sa chatte :
« Viens me reprendre et recommence avec tes doigts… mais pas tes pouces.
Ma tige, bien lubrifiée par sa bave, rentra très facilement dans sa chatte qui m’avait déjà si bien accueilli, mais après quelques va et vient, je ralentis pour reprendre le flacon de gel et enduire mon index et mon majeur. J’y allais encore plus doucement que la dernière fois, mais, pour mon plus grand bonheur, son anus était encore dilaté et mon index rentra lui aussi très facilement jusqu’à la deuxième phalange, bientôt suivi de mon majeur. Avec ces doigts, je pouvais sentir mon sexe en elle a travers la paroi de son vagin. Je la pénétrais deux fois. Ma sœur se pencha un peu plus en avant et saisit elle-même ses fesses dans chacune de ses mains, les écartant pour m’inviter à aller plus profondément. On ne pouvait que répondre à une telle demande et j’appuyais mes mouvements, donnant un léger mouvement rotatif à ma pénétration. Pour pouvoir me concentrer, adopter une position plus confortable et donner plus de place à mes doigts dans son anus, je retirais ma bite de sa chatte, comblant vite le vide avec le pouce de mon autre main. Hélène ne dit rien, parfaitement immobile et continuait de respirer profondément, soupirant parfois avec ce qui me sembla de la volupté. J’appréciais de lui faire plaisir, mais aussi l’avoir comme une marionnette au bout de mes mains. Ma sœur m’offrait ses parties les plus intimes, et faisait même des efforts pour me les offrir au maximum.Mon index et mon majeur étaient enfoncés jusqu’à la troisième phalange maintenant, et ma langue retourna s’aventurer vers son petit trou, même si le lubrifiant rendait la léchouille moins agréable pour moi. De l’immobilité, ma sœur était repassée aux mêmes mouvements de recherche de pénétration. Après quelques minutes, elle fit d’une voix étouffée :
« Prends-moi, maintenant…
En tremblant, je répandis encore du lubrifiant sur mon sexe, la salive d’Hélène ayant séchée depuis. Je présentais mon gland à son anus et réfrénais une pulsion bestiale de forcer mon chemin d’un coup. Une partie de moi avait envie de s’imposer sauvagement dans ce petit conduit délicieusement étroit. De me rendre maître d’elle… Mais je ne fis qu’utiliser le bout de mon sexe que comme un objet de massage sur sa petite rosette un premier temps. Elle expira alors que les deux premiers centimètres passaient et je priais pour avoir la résistance et la patience de mener l’expérience à son terme. Hélène aussi tremblait un peu et elle accumula coussins et une partie de la couette sous elle afin de l’aider à garder la position. Confortablement installée, je la sentis se relâcher et mon sexe rentra davantage. Elle poussa un petit cri de plaisir.
« ça y’est, je te sens bien en moi !, fit-elle fière d’elle.
Pour moi aussi, les sensations étaient différentes et j’avais l’impression de sentir dans ma queue la vibration de ses paroles du fait de l’étroitesse de son cul. J’avais du mal à me contenir et je lui répondis :
« Je suis juste à moitié… Je…
« Continue ! reprit-elle piquée au vif. Attends, juste un peu…. Me demanda-t-elle en réorganisant les coussins sous elle de façon à pouvoir se caresser le clitoris pendant que je la sodomisais.
Encore une fois, son confort et son excitation furent le plus efficace des lubrifiants et je progressais de nouveau, commençant à recourir à des techniques mentales pour éviter de venir tout de suite. Avec masochisme, je pensais au prochain contrôle de math, je me remémorais la pire honte de ma vie, quand mon jeans qui s’était déchiré de façon ridicule devant toute la classe, puis ressuscitais ma pire douleur : mon accident sanglant sur la cage de foot… Mais il suffît qu’elle tressaute entre mes mains pour que toutes ces mauvaises pensées disparaissent… et ma sœur m’acheva alors qu’elle vint d’elle-même s’empaler sur mon sexe avec un mouvement de corps. Enfin, j’étais enfin totalement en elle, et je sentis sur mes bourses ses doigts occupés à fouiller frénétiquement sa chatte. Accrochée à ses hanches, j’éjaculais de nouveau avec un cri étranglé, continuant de la baiser alors que mon sperme remplissait un peu plus.Hélène poussa elle aussi de petits feulements et articula avec peine :
« Je te sens te vider, je te sens couler en moi ! Continue ! Prends moi à fond !
Des éclairs courraient le long de ma tige mais cette situation était trop bandante pour que mon érection décline tout de suite. Sans plus de ménagement, j’allais et venais en elle, profitant de chaque instant de ma raideur pour marquer sa chair de ma chair. Enfin, je me laissais aller, la pénétrant avec puissance. Au bout d’un moment je n’y tiens plus et je m’écroulais sur son dos, mon sexe encore bien en elle. Ma sœur se masturbait toujours et je lui mordillais l’oreille tout en caressant ses cuisses. Mes mains rejoignirent les siennes sur son mont de vénus et les pressèrent pour les forcer à aller plus profondément en elle. Un frisson final la parcourut et elle s’écroula elle aussi, écartant du bout de ses doigts mes mains de sa chatte. Immobile, ses mains restèrent en rempart pour protéger son sexe qui désirait visiblement un peu de tranquillité. Soit. De toute façon, j’étais complètement crevé et j’étais bien content de pouvoir simplement me consacrer à ma petite mort et la profonde félicité qui s’était emparée de moi. Des étoiles dansaient devant mes yeux et mes cuisses et mon service trois pièces m’élançaient. Ce denier sorti d’ailleurs naturellement du corps de ma sœur, défait et humble.Nous restâmes un bon moment simplement étreints, nous embrassant doucement et reprenant notre souffle. Je gémis alors qu’Hélène caressa mon sexe et elle ricana :
« Je voulais juste être reconnaissante ! Il a très bien travaillé ! Sans rire, t’es un bon coup le frangin, c’était vraiment super.
Aux anges, je ne pus sourire que comme un imbécile et fanfaronnais :
« C’est quand tu veux pour le refaire, toujours prêt.
Elle empoigna plus fermement mon phallus et sourit d’un air sceptique alors que le morceau de chair restait assez inerte et m’envoya en prime une petite douleur de protestation.
« De toute façon il commence à se faire tard, remarqua-t-elle à contrecœur en regardant son réveil.
Je trouvais qu’elle était trop prudente : nous avions au moins encore deux heures devant nous, mais elle se releva, décidée… et un filet de foutre obscène coula de son cul, achevant de ruiner les draps.
« Il ne reste plus qu’à faire une lessive, dit-elle d’un ton léger et blagueur, toutefois, je vis bien à ses joues empourprées qu’elle était un peu choquée et confuse.« Tu as intérêt à m’aider. La prochaine fois on fait ça chez toi.
J’acquiesçais d’un signe de tête, enregistrant dans mon esprit cette fabuleuse image de ma sœur ainée, nue et échevelée, aux cuisses recouvertes par mon sperme. D’un pas un peu incertain, je défis le lit et essuyais mon propre corps avec un coin de sa housse de couette avant de la porter à la machine à laver.Nous prîmes ensuite tous les deux une douche ensemble. Le spectacle de ma sœur passant le jet sur ses orifices commença à me redonner un début d’érection et, après l’avoir remarqué, elle s’agenouilla pour me prodiguer une fellation plus gourmande que sur le lit. Ma relative mollesse lui permettait de m’avoir presque entier en bouche et elle aima jouer avec mon sexe dans cet état. Je devins plus dur, mais l’érection était douloureuse et m’arracha des petit gémissements de plaisir et souffrance mêlée. Elle me regarda dans les yeux en me masturbant :
« Et bien, mon esclave est fatigué ?
« Oui, avouais-je, j’ai envie mais ça me lance un peu.
Elle abandonna ses caresses, m’arrachant un soupir de frustration, et se toucha aussi, tant pour se nettoyer complètement que pour évaluer aussi les conséquences de notre partie de jambes en l’air.
« C’est aussi assez sensible pour moi aussi, tu sais. On pourrait aller manger pour se reposer un peu.
J’opinais du chef et nous descendîmes en pyjama à la cuisine, où nous retrouvâmes les plateaux que j’avais commencé à préparer.
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