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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Vive la voile ... et les Campings-Car

Chapitre 1

Divers
Salut, je m’appelle Christian et j’ai 26ans et je vais vous raconter une aventure très agréable, qui vient de m’arriver. Voilà, comme quasiment tout les soirs vers les 18h, j’étais sur la bord de la plage à me fumer un p’tit spliff de beuh, mais m’étant fait largué, je n’avais pas franchement le moral. J’étais à regarder les nanas sur la plage, et malgré que l’on soit début juin, il y en avait des petites foufounes à se faire dorer, quand je vis remonter une superbe femme la quarantaine passée, que je l’avais déjà vu la veille au soir en compagnie de son mari, ils avaient du passer la nuit sur le parking dans leur camping-car . Elle portait un maillon de bain 2 pièces très sexy et très échancré, de couleur jaune qui faisaient ressortir son teint halé, avec un paréo jeté sur ces épaules, blonde (une vraie, j’ai pu le constater plus tard) avec un corps somptueux, à faire pâlir les minettes de 20 ans ... Alors qu’elle remontait en direction du camping car, elle passa près de moi, et dû sentir l’odeur d’herbe qui émanait de l’endroit où je me trouvai, elle vient vers moi, me demandant si c’était bien de l’herbe, je lui dit que oui, elle me demanda si elle avait moyen de tirer sur le joint, pas de problème je lui tendis le joint, elle était ravie car cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas fumer, son mari étant assez réac la dessus ... de fil en anguille, on se mets à discuter du coin, de ma beuh, et étant donné la chaleur, elle m’invite à boire quelque chose, j’accepte avec plaisir, je l’accompagne jusqu’au camping-car, elle avait un cul superbe dans ce petit string jaune, il commençait à me venir des idées lubriques, aussi pour savoir où était son mari, je lui dit que je les avaient déjà vu la veille au soir et lui demandait si ils avaient passés la nuit ici, elle me répondit que oui, et que son mari était parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée ... elle me servit un coca bien frais et je pus profiter du panorama de son p’tit cul tendu vers moi, quand elle se pencha pour le prendre dans le frigo. Elle vus tout de suite que je n’avais pas le moral, je lui expliquai pourquoi, elle me dit que la vie était faite ainsi, et qu’il ne fallait pas baisser les bras, qu’il y aurait plein de nanas sur terre, et qu’il y en avait sûrement une pour moi ... Puis elle excusa, et elle partis se changer, elle se retira dans la chambre du camping-car (classe le truc, ça pus la tune la dedans, mais elle commence franchement à m’intéresser cette p’tite bourgeoise, avec son p’tit air de chienne ... aussi je restai les yeux rivés sur la porte d’entrée de la chambre, qu’elle avait laissé entrouverte, et qu’elle ne fut pas ma surprise, quand je vis cette dernière s’ouvrir, en effet Jacqueline (c’est le prénom de cette charmante bourgeoise) se tenais dans l’encadrement de la porte, et je ne pouvais que constater qu’effectivement, elle avait retiré son maillot, mais apparemment elle n’avait pas cru nécessaire de repasser quelque chose ... elle remarqua mon regard plein d’envie, me demandant si je la trouvai désirable, je lui dit que oui, qu’elle était très bandante, elle regarda vers mon maillot, et ne put constater que je ne mentais pas, elle vient vers moi, en verrouillant la porte du camping-car au passage, elle était vraiment très bien foutu pour une femme de son âge, des seins bien ferme, un p’tit minou taillé avec soin, des hanches et un cul à damner un saint ... Elle n’y alla pas par 4 chemins, elle se pencha vers moi, et m’embrassant à pleine bouche, nos langues s’emmêlèrent, c’était divin, je sentis sa main défaire le noeud de mon maillon et descendre vers ma queue qui était déjà très tendue, elle me branla un peu, puis se mis à genoux entre mes genoux et sorti ma queue de sa prison de tissus, et se prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup, se l’enfila au fond de la gorge, elle se mit à faire des aller-retour, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin, c’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait sucer comme ça, elle me caressait les testicules en même temps, et d’un coup je sentis un doigt caresser mon anus, puis d’un p’tit coup sec, il me l’introduit, en reprenant de plus belle sa succion dur ma queue, je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serai pas arrivé, elle est accroché à ma queue comme une sangsue, le camping-car était rempli de bruits de succion et de nos râles, je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dit, et se mis à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon, et je lui déchargeais dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud, après 2 ou 3 jets, elle sortis ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux ... c’était une vraie chienne ... j’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille, aussi je l’as pris par la taille, et l’envoya dans la chambre, je l’as couché sur le lit et là elle m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêter au début des grandes lèvres, le reste était totalement épilé, c’était très excitant, je plongeais ma tête vers ce sexe gonflé par le désir qui n’attendait que ça, mais si elle était experte en fellation, j’en étais pas moins expert en cunnilingus, j’adore ça, je pourrai bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter. Je titillais son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sur je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait une abondante cyprine, une vraie chienne je vous dis, elle mouillait comme une salope, c’était divin, de laper ce miel qui coulait de son sexe, tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduit un doigt, puis 2 dans le vagin, elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe, elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de sa langue, je monta à mon tour sur le lit et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur, ne voulant pas perdre de temps, je la saisis par la taille, et nous voilà parti dans un 69 fort agréable, j’avais au dessus de ma tête un cul splendide, je lui aspirait son clito, tout en la fouillant avec 1 doigt, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduit dans l’anus, elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea, à en introduire un deuxième, par besoin de salive, elle était de plus en plus mouillé, ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachais ma queue de sa bouche, et pris un préservatif dans mes affaires, elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit et le pris dans la bouche et se baissa sur ma queue, elle me l’enfila avec la bouche, j’avais déjà vu faire à la T.V., mais jamais on ne me l’avait fait, j’avais vraiment eu raison de venir sur cette plage ce soir là, j’étais tombé sur une salope en chaleur, elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dit de se mettre à 4 pattes, je frottais mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs, j’alignais ma queue face à son vagin et d’un coup de rein, je m’enfonçais jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir, je la saisis fortement par les hanches et je commençais à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claqué fortement contre son cul, elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue le plus profond en elle, elle avait la tête et les épaules sur le lit, et elle se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond, je voyais sa p’tite feuille de rose se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule, ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, placé mon gland contre son anus, et je commençais à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles, et là elle donna un grand coup de bassin en arrière et, ma queue l’a pénétra d’un trait, je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençais à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort, elle était déchaîné, et elle remuait en même temps que moi, je lui défonçait littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir, à bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirais de son p’tit trou et m’allongea sur le dos, elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va et vient, elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui lui donnait un autre aspect, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis le guida vers son anus et exerça un forte pression et s’empala à nouveau l’anus sur ma queue, elle se déchaîna comme une folle sur ma queue et d’un coup, elle se raidit, et parti en arrière, elle venait d’avoir un orgasme foudroyant, je me remis sur elle, et lui remis ma queue dans son vagin, je repris de plus belle les va et vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi, je me retirais, retirer la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoya la purée en plein visage, elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel ... je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’as dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, c’était pour l’hygiène, et que ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentil pour combler son manque de queue. Vu que son mari n’arrivait que vers les 22h, je me levai pour aller rouler un joint de beuh, puis vient me rallonger près d’elle ... c’était divin, un peu joint après une baise pareille, c’était terrible, pendant que j’allumai le joint, Jacqueline ne caressait ma queue, qui avait débandé après tout les efforts fournis, elle branlait ma p’tite queue toute flasque, mais qui sous ces caresses expertes, commença à réagir, il n’en fallut pas plus à Jacqueline pour se rejeter dessus, comme la misère sur le monde, elle recommença à me sucer d’un façon totalement divine, c’était le pied, un bon p’tit pétard et une bonne pipe, royal, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terrible accompagné d’une branlette, à ce rythme là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche, elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remis en bouche pour ne laisser aucune trace, elle remonta vers moi, je l’embrassais à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme, je lui tendis le joint, qu’elle prit avec plaisir, nous finîmes le joint, et je me levai, regardant ce corps nu de femme encore une dernière fois, je me rhabilla, nous nous embrassames, elle me remercia pour ce moment agréable ... c’est moi qui la remerciait, car jamais on ne m’avait sucé comme ça, et cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas fait l’amour ... Je lui promis que si un jour, je voyais ce camping-car sur un parking, je viendrai la voir, elle m’as dit qu’elle aimerait bien un jour me voir de nouveau au bord d’une plage, pour que de nouveau elle m’offre un rafraîchissement ... et quel rafraîchissement ! ! ! Croyais moi qu’avant de partir, j’ai noté l’immatriculation, mais je ne vous la donnerai pas, on ne s’est jamais, si jamais son mari ou quelqu’un les connaissant venait à lire ce récit ...
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