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Le voisin est un pur-sang

Chapitre 7

Hétéro
"Allez ma belle vient me mouiller la trique. Et toi le petit facteur..." "— Je m’appelle Tugdual m’sieur.... Germain...— et toi donc, encule la; Les garçons présentez vos zobs à cette pompeuse!
Vincent reprit ses élucubrations.... "Quel bordel de pompeuse en effet... la bouche est comme la chatte, comme les nichons... y’a rien à jeter".
Encouragé par ce discours le petit s’y mit aussi. "Quel cul, putain c’est trop cool, ma copine veut pas que je la sodomise..."
"Allez les gars, vous continuez sans-moi" et en disant cela, j’empoignais les cheveux d’Anne-So pour lui pencher la tête en arrière et elle ouvrit immédiatement la bouche comprenant mon attente. Je me finis à la force du poignet et j’éjaculai magistralement sur la bouche ouverte, abondamment pour une fois, le sperme s’égayant sur les joues ou plus bas, allant mouiller le torse de Germain.
 "récure moi la bite" et elle le fit.
Depuis notre toute première fois avec Germain nous étions convenus d’un accord tacite de ne jamais arrêter la baise. Ce qui veut dire que, même couverte de foutre, Anne-So ne s’essuyait pas avant que le dernier des mâles ait vidé ses couilles. Cela impliquait bien souvent que nous fourrions un cul ou un con plein de jute ou que, lors de nos baisers, ou même quand nous bouffions la chatte ou la rondelle qui étaient déjà remplis, nous nous retrouvions avec un sperme qui n’était pas le nôtre dans la bouche. C’est ainsi que la bouche pleine de mon foutre se referma sur les sexe dur de Vincent. Il ne dit rien, mais Tugdual qui avait tout vu, s’écria " et en plus on peut lui juter dessus, ah le pied...".
Pendant que mon sexe dégonflait, je pris mon appareil photo pour immortaliser les plus moments.
Germain, ne participait plus. Il s’était retiré, mais sa bite, grosse comme une courgette, toujours tendue à mort, il faisait le tour du trio donnant des conseils, voire des ordres, aux uns et aux autres.
Vincent était étendu sur le dos, les mains croisées derrière la tête, les yeux fermés, commentant la fellation qui le transportait. Le gland disparaissait dans la bouche puis réapparaissait, la langue le léchait , la bouche faisait ventouse sur le membre et descendait aux couilles, les bouffait pendant qu’une main astiquait le manche, puis à nouveau la bouche avide enfournait le nœud et tournoyait autour du gland à différentes vitesses, pendant que la masturbation continuait sur le chibre. Tendant la bite à mort par une forte pression de façon à ouvrir le trou de pine, la langue venait se poser délicatement dessus et, tournoyant , virevoltant, bondissant, le couvrait de délices. L’homme râlait.
Pendant ce temps, l’employé des postes sodomisait la chienne en chaleur avec allégresse, en bouledogue, tout en s’agrippant aux seins ; "Tu les sens madame mes coups de bite? Tu sens mes couilles te taper le cul... t’es chaude toi... t’aime te faire baiser par des beaux mecs hein... aller prends cela...".
Germain s’y joignait : "profite ma belle, profite, laisse aller ton cul... ouais c’est ça... regarde-moi, je veux voir tes yeux... non n’arrête pas de sucer, regarde-moi en suçant... c’est ça... je veux voir dans tes yeux que tu aimes ces bites qui te chauffent. Quand ils t’auront finie, je vais te déglinguer la chatte... je suis sûr que tu attends mon gros pieu après ces préliminaires... fais-moi un signe, hein tu en veux de mon gros sexe, salope...".
Le petit facteur s’excitait : "OOOOOOOh.... OOOOOOh.... putain, c’est bon je vais jouir....OOOOH".

"Sors du trou et arrose-lui la raie, je veux voir ce que tu as dans les couilles"!
A cet ordre qui lui venait de Germain, Tugdual sortit sa pine, et la branla pour hâter le dénouement. Une demi-douzaine de gros tirs de jute s’épanchèrent sur la raie et les fesses puis les autres moins fournis se perdirent au sol.
Aussitôt, prenant la place, Germain ramassa le sperme du bout du gland et l’introduisit dans la chatte. Puis il commença à bien la troncher, une main posée sur la belle et l’autre pendant le long de son corps.
Le facteur s’était assis et contemplait la scène tout en tripotant son bout humide qui désenflait.Vincent était au bord de la suffocation.
"Mets ta tête sur le coté... il va juter. Je veux tout voir".
Anne-So obéit à l’ordre de Germain. Elle cessa de sucer et mit sa tête contre la cuisse de Vincent qui prit sa pine à pleine main pour se finir. Le sperme jaillit comme d’une fontaine et retomba sur la joue, les cheveux, das le creux de l’oreille de ma femme, mais aussi sur le pubis, la queue, les couilles et les cuisse de mon pote qui, les yeux fermés, se passait la langue sur les lèvres en gémissant de plaisir.
Quand Vincent se fut bien reposé, Germain le fit dégager pour s’asseoir et prendre Anne-So en balançoire, le dos tourné au mâle, elle s’empale sur la bite nous offrant le spectacle grandiose de la virilité masculine exaltée par des cuisses puissantes, recouvertes de fins poils blonds bouclés et des couilles remplies qui s’agitent au rythme de la pine disparaissant entre les lèvres bien ouvertes couronnées par la petite touffe pubienne qui indique comme une flèche, le ventre et les seins qui, plus haut, flottent avec bonheur sous les coups de la queue qui travaille plus bas. Ces deux intimités qui se joignent et qui s’ouvrent à notre regard nous fascinent.
"Putain Eric, t’as du cul. Elle est bonne ta femme et elle est accueillante. Salopard de veinard.... le pied que j’ai pris quand elle m’a bouffé la queue..."— Merci Vincent. Content que tu aimes. J’espère que tu vas passer un bon week-end.— C’est clair que si ça continue comme ça faudra me foutre à la porte lundi matin. Je vais avoir la gaule tendue tout le temps.
Tugdual s’était rapproché du couple. Anne-Sophie, les jambes toujours pliées continuait de sauter sur le chibre de Germain qui aidait la pauvre pute de ses deux bras vigoureux à soulever ses cuisses. Il agitait aussi son bassin avec beaucoup de force.
Le gamin s’enhardissait. Il pelotait désormais les seins de la meuf qui le fixait avec défi. Puis il se mit à genoux pour lui bouffer le clitos. Les bras tendus vers l’arrière, ma femme renversa sa tête et rugit de plaisir. L’orgasme la dévisageait, lui donnant un air de félin qui nous aurait fait bander si nous avions pu repartir dare-dare.
"Eh mais il me lèche les couilles le petit salopiaud"!— Excusez-moi m’sieur.. euh Germain... elles sont trop proches de la chatte et vous bougez tellement. D’ailleurs la dame a mouillé dessus et c’est plutôt bon.— T’inquiète petit. Y’a pas de mal. Ça m’empêche pas de niquer. Tu serait pas un peu bi toi ?— Ben j’sais pas, j’ai jamais essayé.— J’te préviens que j’vais bientôt vider mes couilles. Si tu te ranges pas, tu vas te prendre ma sauce dans la gueule.— Je me rangerai..  ;
J’ajoutai : "Méfie-toi petit. Il va sortir son engin au dernier moment et il pisse sa jute comme un taureau".— Pas grave. Le minou de la dame est trop bon. Ça m’excite grave. Si je pouvais rebander, j’la prendrais bien en double votre dame.— Attends tout à l’heure.
Ce plan a trois dura un petit moment pendant que j’expliquai à Vincent ce qui allait se passer."Cette nuit, tu ne dors pas seul. Elle est à toi jusqu’à demain midi. Tu en fais ce que tu veux."— Vrai ?— Vrai !
"Vous avez trop de bol m’sieur"! ajouta le postier.-Tu peux rester aussi mon garçon si tu sais tenir ta langue et si ta copine ne se demande pas où tu es...— Ma copine c’est pas grave. Elle est pas avec moi. Je suis pas d’ici. Je loue une piaule à cinq kilomètres le temps que je travaille. Y’ avait pas de boulot plus proche. Mais ma copine elle est restée à Bordeaux. Elle peut pas venir me rejoindre. C’est moi qui y vais tous les quinze jours.— Et tu y vas demain?— Non, je suis allé la semaine dernière.— Cool. Tu restes!— Ben non, je travaille demain matin. C’est chiant.— Reviens demain soir !— Sans déconner ? Je peux ?— Bien sur que tu peux !. On va se taper un dingue de week-end à cinq. Tu en penses quoi ma chérie ?.... Anne-So tu en penses quoi ?— De quoi ? J’ai rien suivi .
De fait, avec le mandrin de Germain qui continuait à lui ramoner la matrice, la salope avait autre chose à penser.
"Rien. Termine, je vais t’expliquer après."
De fait, au bout de quelque minutes, Germain sortit sa grosse bite qui explosa, déversant sur le nombril et les seins, une mare de foutre.
"Non seulement il est monté comme un pur-sang mais il jute comme une bête de concours" dit Vincent.— C’est vrai m’sieur... Germain...comment vous faites ça ?— C’est naturel p’tit... J’ai toujours juté comme ça.
Vincent, de son métier andrologue, nous expliqua qu’une telle abondance de sperme et qu’une taille de queue comme celles de Germain dépassaient de loin la norme. Il était possible cependant que le régime alimentaire de notre étalon y fut pour quelque chose. Effectivement, Germain nous confirma qu’il buvait beaucoup d’eau, et qu’il mangeait beaucoup de fruits et légumes."ça peut aider" précisa Vincent".
Je profitai de la pause, le temps que toutes les couilles se rechargent et que les queues s’amidonnent à nouveau, pour expliquer à ma femme ce dont nous étions convenus avec Tugdual. Il fut entendu qu’il reviendrait le lendemain. Mais Anne-Sophie proposa même qu’il vienne vivre à domicile le reste des vacances, jusqu’à la fin de son job d’été. De plus cela le rapprocherait du bureau de poste et ma femme y gagnerait une queue de plus chaque soir, à l’exception des quinze jours où nous partirions, tous les deux, à l’étranger.
La perspective de pouvoir tirer un coup tous les jours leva tous les obstacles. Tugdual accepta notre proposition avec enthousiasme mais il fut précisé que, comme pour chaque nouvelle bite qui se présentait dans notre ménage depuis Henri, et comme ce serait le cas de Vincent ce soir, la nuit suivante appartiendrait entièrement à notre petit facteur dont la jeunesse prenait le pas sur notre âge. Il fut le premier à rebander et en profita aussitôt pour fouiller la chatte avec son bel engin fièrement déployé.
Très vite après, ce fut le tour de Vincent mais il resta prudemment en retrait."Tu n’y retournes pas "?— Tu es fou. Si je rebaise maintenant, que va-t-il me rester cette nuit ? Je veux bien la passer avec ta femme, mais ce n’est pas pour dormir....— Comme tu veux.
Je continuais à photographier ma femme en train de se faire sauter. Germain la remonta peu après.
"Alors gamin tu voulais une double ? On y va ?"— Pas de problème.— Et les deux bites collées l’une à l’autre se firent péniblement un gite dans la moule dilatée.
Nous laissâmes là cette copulation. J’avais à m’entretenir avec Vincent."Tu as regardé mon spermogramme"?— Oui.— Alors ?— Tu as le nombre de spermatozoïdes qu’il faut mais ton liquide est anormalement épais. Ils ne peuvent pas se déplacer assez vite.— Il y a un remède à cela.— Non. Il faudrait fluidifier ton sperme avant, ce qui n’est pas posiible.— Putain! Fait chier !— Par contre si tu veux une fiv, il n’y a pas de problèmes.— Bof... et puis je suis pas sûr qu’Anne-So veuille tomber enceinte maintenant. Elle est trop accro au sexe.— Putain c’est vrai qu’elle est chaude. Je savais pas qu’elle était comme cela.— Elle l’est devenue en pompant le gros dard de Germain.— C’est vrai. Qu’est-ce qu’il est bien monté. Et vous faites souvent des plans comme ça.— Il vient dès qu’il veut, suivant son boulot. Il dort là le week-end en général.— Il se débrouille bien.— Le petit aussi regarde.— C’est vrai.
En effet notre jeune facteur n’était pas à son coup d’essai. Ou alors il avait des heures de film de cul à son actif. Il s’était retiré de la chatte et se faisait faire une branlette espagnole pendant que Germain restait bien au chaud au fond du trou.
Vincent reprit : "Mais tu n’as pas peur que Germain te la foute enceinte... ou d’autres... parce qu’elle a l’air de prendre sa dose de graine".— Pas de risque. Comme tu vois on décharge sur les nichons, dans la bouche ou dans le cul, rarement dans la chatte.— Oui, mais avec ce que vous remettez dedans après...— D’ailleurs, en principe elle prend la pilule et si elle oublie, il y a toujours celle du lendemain.— Putain j’ai trop envie de me la faire... ça te fait rien de voir baiser ta femme ?— Si, ça m’excite. Dès la première fois, j’ai été fasciné par la queue de cheval de Germain. Je voulais voir si elle supporterait un engin pareil... j’ai vu. Elle est accro et moi aussi mais paradoxalement plus comme mateur.
Cependant Tugdual s’excitait et il éjacula entre les deux seins. Germain mit alors ma femme en missionnaire et la sauta pendant qu’elle étalait le sperme sur son corps avec ses mains.Tugdual se rhabillait :"Je viens à quelle heure demain"?— Viens déposer tes affaires dès que tu as fini ta tournée. Tu boufferas avec nous demain soir.... et la nuit t’appartiendra...— Super !On fait comme ça. A demain.
Et il repartit en oubliant de renfiler son slip. Comme je le faisais remarquer, Anne-So s’en saisit pour en renifler les senteurs.
"Hmmmm... Il est bien le petit nouveau... il sent l’homme... Vivement demain".
Là dessus, j’allais me coucher. Je laissais Germain finir de baiser ma femme; Vincent attendit qu’elle fût prête. Pendant la nuit, j’entendis des cris d’orgasme. Il profitait de son droit de cuissage à bon escient ! Et il en profita tout le week-end. La nuit d’après Tugdual fit couiner la garce plus d’une fois.
A la fin du week-end, Vincent nous remercia en nous promettant de revenir et ce n’était pas une promesse en l’air.
Tout l’été, de retour de ses tournées, le petit facteur se montrait assidu et de plus en plus entreprenant. Nous fîmes ménage à quatre... jusqu’à ce que septembre arrive. Mais déjà nous avions dans l’idée de réunir tous nos amis., Henri, Vincent, Tugdual.. et pourquoi pas d’autres si l’occasion s’en présentait.
A suivre
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