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le voisin vicieux

Chapitre 1

Erotique
— Justin, c’est pour toi…La voix de ma mère m’a interrompu en pleine réflexion sur l’intégrale de Riemann… Une bonne occasion de sortir la tête de mes livres de math, d’autant que le bac est dans trois mois et que j’ai du temps devant moi pour réviser… Je sors de ma chambre et prends le téléphone des mains de ma mère qui me chuchote :— C’est ta tante DanielleJ’aime bien tatie Danielle, la sœur ainée de ma mère. La cinquantaine, blonde frisottée, plutôt bien en chair, elle est amusante, vive, sensuelle et elle rayonne d’une joie de vivre qui la rend attachante. Elle habite à quelques kilomètres de chez nous, en banlieue et j’aime lui rendre visite car elle m’interroge sur mes études, me taquine sur mes supposées histoires de cœur et n’oublie jamais de me glisser un billet ou deux pour compléter mon argent de poche. Bref nous nous aimons bien.— Bonjour tatie, claironnais-je dans le téléphone en regagnant ma chambre— Bonjour Justin. Es-tu seul ?— Comment cela ?— Peut-on parler tranquillement ?— Bien sûr ! Je suis dans ma chambre. Que se passe-t-il ?— Écoute Justin, je suis dans une situation très embarrassante et j’ai besoin que tu me rendes un grand service. Un service que je ne peux demander qu’à toi et qui doit rester entre nous…— Tu m’intrigues. Que se passe-t-il ?— Tu me jures de n’en parler à personne ?— C’est juré— Voilà, j’ai un souci avec mon voisin. Tu sais le vieux voyeur… Figure-toi qu’il m’a pris en photo. Dans ma salle de bain. Depuis une fenêtre de son étage. Il faisait beau ma fenêtre était ouverte et je sortais de ma douche…— Il t’a photographiée toute nue….— Exactement. Et ce vieux saligaud me menace de diffuser ma photo. Il veut des sous le malhonnête Alors j’ai eu une idée mais j’ai besoin de toi. Mais il faut que tu fasses exactement ce que je te demande. Tu as toujours ton appareil photo ?— Bien sûr, tatie, tu oublies que je suis président du club photo de mon lycée…— Parfait. Mercredi après-midi, tu viendras chez moi. La porte d’entrée ne sera pas fermée à clef. Tu entreras sans bruit à 16h précise. Tu pousseras la porte du salon et tu photographieras.— Mais tatie, que dois-je photographier, je dois le savoir pour régler mon appareil.— Et bien imagine que ce soit deux personnes au milieu du salon. — OK… Au grand angle. Tu ne veux pas m’en dire plus…— Non, mais je compte sur toi…. 16 heures ! Pas une minute avant pas une minute de retard…— Compte sur moi.
Mercredi à 15h 45 je suis devant chez ma tante. Je pose mon vélo à quelques distance en prenant soin de l’attacher à un réverbère. Je suis en jogging et je cramponne mon précieux Nikon D7000 équipé d’un objectif de 28mm. Je l’ai réglé en mode rafale, la batterie est chargée…
A 15h 55 je suis dans la maison et à 16h pile je pousse la porte du salon et je mitraille.Il y a bien deux personnes dans le salon, mais dans quelle posture… Ma tante est entièrement nue, à quatre pattes, la tête entre les cuisses d’un individu qui est assis dans un fauteuil, le pantalon et le slip sur ses chevilles…A mon entrée, l’individu, après un moment de stupeur, tente de se relever, extirpant un sexe à moitié mou de la bouche ma tante. Celle-ci se relève, se saisit d’une robe de chambre qui traîne sur le sol et vient se placer dans l’embrasure de la porte, derrière moi, coupant toute retraite à l’homme que je reconnais comme étant son voisin, le vicieux voyeur.Celui-ci essaie de cacher son sexe et remonte tant bien que mal son pantalon et son slip. Lorsqu’il y est enfin parvenu, il reste au milieu de la pièce les bras ballant et l’air ahuri. Je relâche la pression de mon doigt sur le déclencheur et le bruit de mitraillette de mon appareil s’arrête.Ma tante s’avance en finissant de serrer la ceinture de sa robe de chambre.— Espèce de vieux vicieux, lui crie-t-elle. Maintenant, si tu essaie de m’ennuyer, de me faire chanter ou de me nuire, les photos que mon neveux a prises vont direct chez toi. Ou devrai-je dire chez ta femme. Car la maison lui appartient n’est-ce pas ? Et si elle te fout dehors, tu es à la rue avec ta pension minable. SDF que tu deviens… Allez file… L’homme s’est décomposé devant les menaces de ma tante— Vous ne feriez pas cela. C’était… C’était pour rire… Je ne voulais pas de mal— Espèce de porc… Fout le camp, dit-elle en s’écartant pour lui permettre le passage…L’homme ne demande pas son reste et s’enfuit prestement. Ma tante porte la main sur son cœur et souffle de soulagement. La tension commence à tomber…— Hé bien Justin, je te dois un sacré service… Tu veux boire quelque chose ? Une bière ? Moi j’en prends une…— D’autant que tu dois vouloir retirer un sale goût de ta bouche…Elle me regarde d’un air inquiet— Qu’as-tu vu exactement— Mais tatie, j’ai vu ce que tu m’as demandé de photographier. Regarde su tu veux.Je sors un câble de ma poche et le branche sur le téléviseur. En un rien de temps, la première photo apparait sur laquelle ma tante, nue et en train de sucer le voisin…— Quelle horreur, quelle honte, gémit-elle. Je ne voulais pas faire cela. Je l’ai invité à venir discuter… Je voulais le provoquer. J’espérais l’amener à sortir son sexe, au pire le caresser au moment où tu entrerais. Mais le salaud était pressé. Il m’a demandé de me déshabiller et si je ne l’avais pas fait il serait parti et mon plan tombait à l’eau… Ensuite je devais gagner du temps… Il me fallait une photo compromettante de lui.— Mais je ne te juge pas tatie. Et la photo compromettante tu l’as, lui dis-je en désignant le téléviseurNous sommes tous les deux face à l’écran…— Tu es drôlement jolie nue, ajoutais-je— Tu trouves ? Minaude-t-elle. Je passe mon bras autour de sa taille puis je laisse descendre ma main sur son fessier dont je sens la chaleur au travers de la robe de chambre. — Oui, je te trouve très excitante.Ma caresse s’accentue tandis que de mon autre main je m’emploie à dénuer sa ceinture.— Ce vicieux a eu de la chance de pouvoir ce faire caresser par une femme aussi sexy..Ça y est la ceinture est tombée et le peignoir entrouvert me permet d’apercevoir sa chatte recouverte d’une toison abondante mais bien entretenue. Visiblement elle prend soin de son intimité…Hélas, elle reprend ses esprits et se dégage…— Justin ! Qu’est-ce qui te prend ?Je lui montre le téléviseur :— C’est cela tatie qui m’excite…— Tout de même, tu es joli garçon. Tu dois avoir des copines… — Aucune n’accepterais de me faire cela. Du moins je n’ai jamais osé leur demander…Elle regarde mon jogging— C’est vrai que tu es excité. Tu bandes comme un âne…Elle saisit mon sexe à travers le tissu— Tu es gros et dur…Elle se laisse tomber à genoux et baisse mon pantalon. Ma verge jaillit, tendue…Elle s’en saisit et me regarde :— Considère que c’est pour te remercier de m’avoir sortie d’un mauvais pas et que j’achète ton silence. Tout ceci doit rester entre nousJe réponds d’une voix rendue chevrotante par l’excitation ;— Promis tatieEt elle introduit mon sexe dans sa bouche… Ah quel moment, quelle sensation !!! Quelle fierté aussi : une femme me suce. Comme dans les films. Et c’est ma tante !Je ne suis pas expérimenté mais il me semble que la coquine sait y faire. Ta tête monte et descend régulièrement, je sens la chaleur de sa bouche, sa langue qui virevolte autour de mon gland, une main experte qui me caresse les bourses. Des frémissements annonciateurs du plaisir montent dans mes reins. Elle a dû le sentir car elle s’interrompt. Elle me branle doucement et me regarde :— C’est bien vrai, c’est la première fois ?Je bégaie :— C’est la première fois…— Alors il faut que ce soit un bon souvenir….Et elle reprend sa fellation… De la pointe de sa langue elle titille mon gland, caresse le frein puis enfourne ma hampe dans sa bouche quasiment sur toute la longueur. Lorsque sa tête recule, ses lèvres se serrent autour de ma queue, ses joues se creusent sous l’effet de sa succion, puis elle replonge. Son mouvement n’est plus régulier. Elle accélère, ralentit, s’arrête pour me masturber et au moment où je vais lui demander de continuer, elle replonge, m’évitant de la supplier. Un supplice de tantale et une sensation inouïe.Je ne bouge pas. Je n’essaie pas d’aller à sa rencontre. Je reste immobile, bras ballants, la laissant égoïstement faire tout le travail. Je suis sur un nuage…Mais les plus grands plaisirs ont une fin et de nouveau je sens les contractions annonçant la montée de mon orgasme. Elle serre les lèvres, accélère le mouvement jusqu’à ma délivrance. De sa main elle presse mes bourses accélérant la montée de la sève. Dans un grognement incontrôlé, je me vide à long traits dans sa bouche si accueillante. Elle garde mon sexe dans sa bouche, serre les lèvres autour de ma hampe et continue son lent va et vient en déglutissant plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle ait extirpé la dernière goutte de plaisir.Puis elle me relâche, finit à petit coups de langue de me nettoyer la queue et la remet dans mon slip avec des gestes doux.— Maintenant dit-elle, nous avons mérité une bière….Je suis reparti un peu plus tard après avoir renouveler mon serment de silence. J’ai les jambes flageolantes sur mon vélo et dans ma poche un billet de 50 euros.J’ai transféré les photos sur son ordinateur et, à sa demande, les ai effacé de mon appareil. J’aurais pu tricher, je ne l’ai pas fait. Je préfère rester sur le souvenir de ma première fellation. En espérant que bientôt ma tante me montre ses autres talents…
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