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Ma voisine Alexandra

Chapitre 1

Erotique
Je travaille de chez moi. Étant en conséquence souvent présent à la maison, le facteur qui me livre certains colis en profite pour me demander de prendre ceux de mes voisins que je connais.L’interphone sonne, c’est justement lui qui passe. Je descends prendre ce qu’il me livre.
— Et vous connaissez Alexandra Y ?— Oui, c’est ma voisine de palier. Vous avez sonné ? Elle ne répond pas ?— Non, personne ne m’ouvre.— Elle doit bosser de nuit en ce moment. Ok, je prends.
Je remonte chez moi et me remets au travail.
Dans le courant de la matinée, j’entends la porte d’à coté se refermer. Alexandra rentre de son travail. Elle est infirmière et a des horaires particuliers.
Peu avant l’heure du déjeuner et pour faire une petite pause bien méritée, je prends son colis et passe sonner chez elle. Aux bruits que j’entends, je sais que je ne vais pas la déranger. Sa « nuit » ne commence qu’après le repas de midi.
Je sonne. J’entends du bruit et je m’adresse à elle directement.
— Saut Alex, c’est Xavier. J’ai un paquet pour toi.— Attends un moment, j’arrive.
Quelques mouvements dans son appartement, un tour de clé et enfin la porte s’ouvre.
Alexandra apparaît.
— J’allais me coucher. Je commence plus tôt ce soir.
Je suis subjugué par sa tenue.Elle porte juste une petite nuisette qui lui arrive sous les fesses, simplement retenue par un lien à la taille. Le décolleté, sans être béant est assez ouvert et je distingue 2 globes laiteux de belle taille.
Alexandra est une petite rousse, que l’on pourrait décrire comme boulotte. Elle est assez quelconque mais sa rousseur et un visage assez fin lui donne un charme agréable.
— Troublé, je bredouille : Je suis désolé de te déranger. Si tu veux, je repasse plus tard ?— Non, non, donne moi juste le paquet. Pas de problème.
Je le lui tends. Elle le prend
— J’attends une bouteille de vin qu’un copain doit m’envoyer. J’espère que c’est ça.
Le paquet s’ouvre et elle sort un petite poche en tissu fermée par un lacet qu’elle s’empresse de défaire. Elle plonge la main dans la poche et ressort l’objet.
Nous restons tous les deux bouche bée. Ce n’est pas une bouteille de vin mais bien un petit godemiché assez large qu’elle vient de sortir.
Je rougis. Je ne sais pas lequel d’entre nous est le plus gêné.
— Je suis désolé Alexandra. Je n’aurais jamais du prendre ce paquet. Ou tout du moins, je ne devrais pas être là au moment où tu l’ouvres.— Non, non, ce n’est pas de ta faute. Je ne pensais pas le recevoir si vite… Enfin… Je ne sais quoi dire. C’est pas du tout mon style en fait. C’était juste un essai pour voir, en fait j’ai des petits copains pour me bai…
Elle devient rouge pivoine.
— Non, non, excuse moi Xavier, ce n’est pas du tout ce que je voulais dire.
Nous restons là, comme 2 imbéciles ne sachant pas quoi faire, puis elle reprend la parole.
— En fait… En ce moment, coté petits copains, c’est plutôt le calme plat.
Elle se retourne, pose le gode sur une table et revient vers moi. Elle saisi le lien qui ferme sa nuisette, tire dessus et le laisse tomber. Le tissu s’ouvre. Elle passe ses pouces sur ses épaules et le tissu suit le lien par terre. Elle est là, devant moi, nue.
Des formes généreuses, une toison fournie, de belles cuisses galbées, des seins lourds constellés de tâches de rousseur qui ne demandent qu’à tomber mais qui sont maintenus par son jeune âge (je sais qu’elle a 20 ans).
— Ca fait même près de 6 mois que c’est le calme plat… Je suis carrément en manque Xavier. Je n’en peux plus. C’est pour ça que j’ai fait venir ce gode. Mais ça ne remplace pas. Qu’en penses tu ?— Je, euh.. écoute, c’est à dire que…— Je ne te plais pas ?— C’est pas le problème, c’est juste que là, comme ça…— Attends, laisse moi faire
Elle se rapproche de moi, se colle contre moi, plaque sa bouche contre la mienne, sors sa langue et tente de s’insinuer.Je m’ouvre bien entendu pour recevoir cette offrande.
Je passe mes mains derrière elle et la serre contre moi du plus que je peux.
Je sens ses seins lourds se presser contre ma poitrine tandis que sa langue s’insinue au plus profond de ma bouche, tournant autour de la mienne.
D’un coup, elle se décolle de moi, s’agenouille et s’active sur mon pantalon.Elle défait ma ceinture, descend ma braguette, baisse mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe apparaît, petit et flasque.
Elle le prend immédiatement en bouche, le tète, l’aspire, enroule sa langue, le relâche et recommence. Elle passe ses mains derrière mes fesses et commence à les masser. Elle reprend ma bite en bouche et rejoue sa partition.
— C’est un régal ma belle… Tu suces comme une déesse.
Je ferme les yeux et me concentre sur cette fellation d’anthologie. Alexandra est une reine. Elle déguste mon vit qui, petit à petit, acquiert sa belle taille. Elle joue splendidement de sa bouche, de sa langue, enfournant ma queue jusqu ‘au fond de sa gorge, l’avalant presque, puis la recrachant afin de reprendre sa respiration.Un long filet de salive commence à se former tandis qu’elle passe d’une position agenouillée à un position accroupie.
Elle prend mon sexe de sa main droite et commence un va et vient qui me ravi. Sa main gauche descend et entre 2 soupirs de plaisir, je la vois qui commence à masturber son petit bouton, à se pénétrer de ses doigts. Elle se frotte, se mouillant à son jus de femelle, remontant cette main vers ses seins, s’en enduisant la poitrine qui devient luisante de cyprine.
Sa bouche quitte mon entrejambe, elle se remonte un peu et colle ma bite entre ses seins énormes.
— Je fais un bonnet F, ce serait dommage de ne pas en profiter tu ne trouves pas ?— Je suis bien d’accord avec toi – lui réponds-je en regardant la scène qui se déroule sous mes yeux.
Elle a pris ses fortes mamelles dans ses mains et commence à branler ma queue avec. Sa cyprine joue bien son rôle de lubrifiant et je glisse agréablement entre ses globes. Je commence un léger mouvement de va et vient.
— Oui, Xavier, c’est bon ça… Baise moi entre les seins, j’aime ça.
A chaque fois que je pousse vers le haut et qu’elle descend sa poitrine, libérant ainsi mon sexe, elle en profite pour donner un petit coup de langue sur mon méat. Parfois, je m’arrête un peu dans cette position et elle en profite pour téter à nouveau mon gland.
Elle redescend, s’accroupit à nouveau et recommence à me sucer. Avec les mains, sans les mains, en titillant mon gland du bout de sa langue ou en gorge profonde. Elle continue de son coté à masturber son clito et sa chatte, mouillant sa main de son jus qu’elle vient déposer sur sa bouche, sur son visage, sur ma verge.
Puis, elle se redresse et m’embrasse goulûment. Je passe ma langue dans sa bouche, autour, sur son visage. Je respire à fond ses effluves.
— Tu sens bien la femelle en chaleur ma toute belle. Ton odeur me rend fou. J’ai envie de te baiser maintenant. J’ai envie de te prendre, de m’introduire en toi, de ramoner ton ventre.— Oui mon tout beau, je vais m’offrir, m’ouvrir, t’accueillir, te recueillir.
Elle va vers le canapé, dépose 2 coussins par terre et se place à 4 pattes, buste sur le sofa, mains sur les fesses, écartant son postérieur de ses 2 mains.
— A toi de jouer – me souffle-t-elle
Je prends aussi 2 coussins pour mes genoux, me place derrière elle, prend mon braquemart dans ma main et commence à passer mon gland sur ses nymphes, son clito et me place devant son orifice. A peine suis-je devant qu’elle se déplace en arrière. Mon gland passe son entrée et se retrouve dans son vagin chaud et humide.
— Ca fait si longtemps Xavier. Il me fallait un membre chaud et palpitant en moi. Prends moi à fond maintenant, vient buter au fond de mon ventre.— Tu me rends fou Alex, tu es bonne, douce, chaude. Je vais te bourrer à fond.
Joignant le geste à la parole, je balance mon bassin en avant, m’enfonçant dans sa grotte. De petite taille, Alex est aussi petite à l’intérieur. Je viens rapidement buter sur son col, lui tirant un petit cri de gène.
— Tu es long Xavier, défonce moi à fond, bien sûr, mais ne me démonte quand même pas – me dit-elle avec un petit sourire narquois.
Je continue mes va-et-vient dans son antre gluante de cyprine. Ses fesses rebondies dansent sous mes coups. Je les malaxe, et donne quelques tapes qui leur confèrent une belle couleur rouge. Je m’accroche à ses hanches et ma plaque contre elle.
Je vois sa main disparaître entre ses cuisses et je sens ses doigt s’agiter sur son bouton. Elle commence à se masturber frénétiquement, faisant onduler son bassin, cherchant à engloutir mon sexe du plus qu’elle peut, réclamant l’accouplement.
— Viens reculons un peu, je veux pétrir tes seins ma belle.
Elle dégage sa poitrine du canapé et libère ses 2 merveilleuses mamelles qui maintenant pendent. Elle ballottent à chacun de mes coups, lourdes et pesantes.
Je me penche en avant sur elle, la couvre et saisi ses 2 globes qui n’attendent que ça. Je les soupèse, les caresse, les malaxe délicatement, parcours ses aréoles de mes doigts agiles, pince légèrement ses mamelons
— Oui Xavier, continue avec mes seins, j’adore quand on s’en occupe. C’est si bon de sentir tes mains dessus, ta queue en moi. Prends moi, baise, moi, monte moi. Fais de moi ta femelle.— Tu es si bonne Alex, douce, chaude, tendre et accueillante, ma queue glisse en toi et je sens que tu sers ton vagin autour. Tes seins, me rendent fou, j’adore jouer avec, ils sont gros, agréables à toucher.— Oui, continue à jouer avec, c’est si bon de les sentir malaxés par des mains d’homme. J’aime le faire moi-même, mes c’est tellement meilleur quand un mâle s’en occupe.
Je suis collé à elle, je ramone son fourreau brûlant, accroché à sa poitrine. Je l’embrasse dans le cou. Hume son odeur de chienne. Elle tourne la tête et ouvre sa bouche. Je commence à l’embrasser. Nos langues se trouvent, s’emmêlent, jouent ensemble.
— T’arrête pas, continue, oui, bourre moi plus fort, oui, je veux te sentir en moi, je veux ton sperme en moi, oui, je veux sentir tout ton foutre se répandre dans mon ventre, oh oui, vas-y continue, plus fort, plus fort.
J’accélère mon mouvement, me levant sur mes jambe pour pouvoir la pistonner plus vite, plus profondément.
— Oh oui, je te sens mieux, oui, vas-y, remplis moi de ton foutre, enfoutre mon con, balance moi ton jus de couille, continue, oui, oui, oui, je jouis, oui, c’est bon.
Elle pousse un long râle, son corps tremble de tous cotés, elle émet un son rauque, guttural, elle se bloque tandis que je continue à la baiser.
Mais cette séquence provoque en moi une montée de sève immédiate. Je sens mon sexe se contracter et je jouis à mon tour, éjaculant dans son ventre, remplissant sa matrice de ma semence chaude.
— C’est bon, oui, je te sens me remplir le ventre. Oui, c’est si bon Xavier. Oui, oui…
Elle se calme, sa tension baisse d’un cran, la mienne aussi. Je ressors de son ventre, elle se retourne immédiatement et viens lécher ma queue, la nettoyant à la fois de ses traces de sperme et de cyprine, la lavant délicatement pour ne pas me faire mal. Elle se redresse ensuite et vient m’embrasser. Je sens l’odeur de nos jus mélangés.
— C’est si bon de se faire grimper comme ça, j’ai adoré. Je crois que tu peux revenir quand tu veux toquer à ma porte, avec ou sans colis…— N’aie crainte ma toute belle, je te promets de revenir.
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