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voisine enceinte

Chapitre 9

Trash
suite de l’histoire...
-« je n’ai pas pus comparer. » finit par dire N. -« et bien vas y ! Goûte ! » S’exclama C. « tu m’as donné envie. » En disant cela, C. s’allongeât sur le dos sa culotte toujours à mi cuisses. N. lui remonta sa robe légère et nous pûmes admirer le sexe de C. N. commença à lui caresser les jambes tout en remontant doucement vers sa chatte. Quant elle y parvint en commençant par de légère caresse, C tressaillit un peu et commença à avoir une respiration rapide. N. s’attaqua plus franchement au sexe de C. et lui caressa doucement son clitoris et s’abaissât pour prodiguer quelques baisers sur les jambes. Elle remonta également sa bouche du sexe et s’allongeât comme elle put pour approcher au mieux sa bouche du but convoité. Alors qu’elle posa ses 2 mains sur les cuisses de C. pour les écarter et atteindre le fruit défendu, C. s’écria :-« Mais on nous regarde ! » cherchant à enfoncer le clou me concernant-« mais il faut bien que je goutte et puis il a ses mains sagement rangées.» en disant cela, elle ré-entreprit l’ouverture des cuisses de C. et recommença son ascension de baiser. Mais C. avait les pieds entravés par sa culotte et N entrepris de la lui faire glisser et ôter complètement. Puis ayant enfin libre accès se précipita sur la vulve de C. qu’elle commençât à lécher ardemment. C. redressa et écartât complètement ses jambes pour faciliter la tache de N. et se couchant entièrement sur le sol, se laissa aller au plaisir qu’elle lui prodigua. Je m’approchais plus prêt pour la voir s’activer avec la langue. Apparemment, elle savait y faire aussi bien avec le sexe des femmes qu’avec celui des hommes. Elle ne devait pas être à sa 1ere expérience féminine. Sa langue montait et descendait doucement mais avec insistance et se concentrait sur le clito de C. qui commençait à râler de plaisir. J’entendais les bruits de succions que la position occasionnait. N. était à moitié couché sur le coté et sa culotte était resté à mi jambe comme C. auparavant. Sa robe était redescendue et j’entrepris de la lui relever pour admirer son fessier. Elle n’eut pas l’air de s’en rendre compte, absorbée qu’elle était par sa tache. Une de ses mains était remontée devant et elle introduisit un doigt dans la chatte de C. ce spectacle était trop pour moi. Subrepticement, je me reculais et entrepris de me déshabiller entièrement. Tant pis pour ce qu’elles diront. La respiration de C. s’accélérait et ses râles s’intensifiaient au fur et à mesure que le plaisir la submergeait. Les bruits de succions s’accéléraient également ainsi que la cadences des doigts dans le vagin car N. y avait introduit un deuxième. Je commençai à me branler au dessus de N. en admirant ce spectacle. N. ne remarquai toujours rien et quand à C., elle allait bientôt arriver au 7ème ciel. La culotte de C traînait derrière N. je la ramassais et la porta à mon nez. Les effluves féminins de cette femme que je ne connaissais que depuis quelques minutes emplirent mes narines. Les cris de C. allaient crescendo. Elle n’allait pas tarder à jouir. Ma main sur mon sexe accélérât le mouvement. Moi aussi je ne tiendrais plus longtemps. Je finis ma branlette en regardant ces 2 femmes avec leurs gros ventres se donner du plaisir. N. avait passé une main sur son sexe et avait pénétré 2 doigts dans son vagin tandis que C. pressait la tête de N. avec ses mains pour accentuer son plaisir. Je voyais les doigts de N. entrer et sortir en rythme avec les cris de C. et pour cela elle avait écartée les jambes qui étaient toujours emprisonnées par sa culotte qui était tendu jusqu’à presque faire éclater l’élastiqueQuand C. finit par hurler sa jouissance sous les coups de langues de N. j’éjaculai à mon tour. Pour que rien ne transparaisse, j’avais mis la culotte de C. autour de mon sexe et je l’inondai de mon foutre. La scène m’avais mit dans un tel état que je le remplis quasiment entièrement par de nombreuses giclées. Quand j’eus fini de me vider, je le déposai dans un coin un peu à l’écart pour éviter qu’elles ne s’aperçoivent de ce que je venais de faire. Heureusement pour moi, C ; n’avait toujours pas émergé de sa jouissance et N., la tête maintenue par les mains de C. finissait de passer sa langue sur son sexe. Après quelques seconde, C. se releva sur ses coudes.-« eh bien ! Qu’est ce que nous avons là ? » dit elle en m’apercevant nu.-« je crois que nous l’avons poussé à bout. » dit N. en se redressant aussi et en me regardant.— « regarde le pourtant, ça n’a pas l’air de trop l’exciter. » C. faisait allusion à mon sexe qui s’était un peu calmer après mon explosion et qui avait un peu baissé en volume.-« tiens donc c’est bizarre… viens on va remédier à ça. » répondit N. elle prit d’une main le visage de C. et la fit se tourner pour pouvoir lui rouler une pelle magistrale. Ce faisant, elle commença à lui caresser la poitrine C lui rendit la pareille et d’une main commença aussi à lui caresser les seins alors que l’autre passa sous la robe de N. je la vis tressaillir sous la caresse de C. qui avait du lui toucher le point sensible. Elle continuait pendant ce temps à s’embrasser. Je les voyais jouer avec leur langue en les faisant tourbillonner et aspirer en me jetant parfois des regards langoureux histoire de dire « t’aimerai bien être à ma place… » et oh que oui ! J’aurai bien aimé. Cela dura bien 5 minutes qui me semblait dix fois plus et mon sexe sous ce spectacle avait repris sa position maximum.N. se dégagea. -« qu’est ce qu’on fait ? J’ai quand même une petite faim »-« c’est vrai qu’il est devenu tout à fait appétissant » lança C. en regardant fixement mon sexe droit comme un i-« et puis, on l’a bien fait assez languir non ? »-« d’accord »Elles se rapprochèrent alors toujours à genoux, seins et ventre arrondis en avant. -« A toi l’honneur » dit N !- « merci » répondit C. et elle se pencha pour prendre mon sexe en bouche. Oh mon dieu ! quelle décharge électrique je reçu en la voyant m’absorber tout entier dans sa bouche. Après tout ce spectacle de frustration, mon corps tout entier s’était électrisé de désir insatiable. Avoir enfin la possibilité de pouvoir m’occuper d’elles et avec les sensations qui commençaient à parcourir mon corps, je rebandait déjà dur et elle avait du mal à m’absorber comme au début. Elle revint à un suçage classique, jouant avec sa langue au fur et à mesure des va et viens. N. poussa un peu C. et prit le relais. Ce fut de nouvelles sensations, que je connaissais déjà, qui m’envahirent. N. avait nettement l’avantage quant au savoir faire de la fellation. C. pendant ce temps ne cessait de caresser N. et de l’embrasser en lui suçant les seins. Au vu de leur position inconfortable je pris la décision de m’allonger par terre. Elles s’installèrent de chaque côté de mes jambes et me sucèrent en se relayant rapidement après 4 ou 5 pompage. C’était la 1èere fois que j’avais 2 femmes à mes pieds. Et les voir se partager mon sexe, sentir leurs souffle chaud, les voir se caresser les nichons… ne faisait que renforcer l’érection qui était pourtant à son maximum. Au bout de 4 ou 5 minutes je demandai à C. de venir s’installer sur moi. Elle ne se fit pas prier. Elle se remit à genoux et m’enjamba pour venir s’installer sur mon visage. Sa robe redescendu me couvrait le visage mais j’arrivais cependant à voir son sexe qui s’approchait de ma bouche.je m’empressais cependant de la lui relever afin de mieux contempler ce cul à ma portée. Celui-ci se dégagea encore plus quand elle se pencha vers l’avant. Ma langue était déjà sortie et je commençai à lui gouter sa vulve. Elle soupira d’aise. Elles recommencèrent alors à se partager mon sexe qui se mit a faire des allers et retour entre leurs bouches. Je les devinais, aux bruits qu’elles faisaient, se bécoter en se passant mon chibre. De mes mains, je malaxais ce cul sur moi et je l’écartais pour mieux profiter du spectacle de son sexe et son anus. Je décidai que je n’avais plus rien a perdre et qu’au stade ou nous étions autant y aller franc jeu. Je concentrais mon jeu de langue sur son clitoris afin de l’amadouer au maximum. Sa respiration rapide et ses soupirs me montrèrent que j’étais sur le bon chemin. Et sans trop me préoccuper de ce qu’elles faisaient avec mon sexe afin de durer le plus longtemps possible (heureusement que j’avais pris un plaisir solitaire, sinon, je pense que je les aurais déçus) j’entrepris de rapprocher mes doigts de son anus et franchement, je le lui caressais avec mon index. C. ne se défit pas et sa respiration repris de plus belle. Banco ! Je m’humectai les doigts de son plaisir et de ma salive et orienta carrément mon majeur a l’entrée de son con et je l’enfonça d’une phalange d’un coup. Elle soupira d’aise. « Mmmmmm ». Ne lui laissant pas le temps, je m’enfonçai de nouveau d’une phalange. « aaahh !». elle posa sa tête a coté de mon sexe pendant que N. continuait. Ma position n’était pas trop confortable mais en continuant mes léchouilles, je commençai à faire des va et viens. Ce mouvement me permis au fur et a mesure de m’enfoncer de plus en plus profondément dans son fondement. Ses soupirs et cris de plaisir me montrèrent qu’elle avait déjà connu le loup par ce coté ci. Pour se concentrer sur son plaisir, elle avait cessé de me pomper et se contentait de me tenir la base de mon sexe pendant que N. continuait son travail. Je pouvais sentir son souffle chaud a chaque fois que N. repartait en arrière. Je n’allais pas tarder à venir à se rythme là. Mon doigt entrait maintenant entièrement à l’intérieur de son cul. Son conduit était un peu plus large que celui de N. et mon doigt coulissait sans problème à l’intérieur. Mon jeu de langue ainsi que mon doigté faisaient que C. haletaient en gémissait de plus en plus fort. Elle occasionnait un mouvement de son bassin en un aller-retour qui s’accélérait sur ma bouche et une pression plus forte de sa main à la base de mon sexe me permettait de tenir un peu plus longtemps mais N. s’activait tellement bien que j’allais bientôt céder. Ce fut C. qui se crispa tout d’abord en premier de jouissance « ouiiiii !! » lâchât- elle en serrant ses jambes alors que je continuais mes mouvements de la langue et de mon doigt pour lui prolonger son plaisir. Elle se releva pour finir presque assise sur ma tête. Dans cette position, je du enlever mon doigt mais je n’arrêtais pas pour autant mon léchage. Par contre, avec moins de pression sur mon sexe, N. y allais à cœur joie et j’explosai à mon tour. A la première giclée, N. se retira et C. se recourba. Je ne pu voir ou allait le reste de mes giclées car je ne sentais plus rien autour de mon sexe. Quand j’eus finis de me libérer, C. se releva et revint se positionner à coté de N. en me redressant sur les coudes, j’observai que mon foutre s’étalait sur leurs visages et leurs cheveux et qu’elles entreprirent de se lécher pour se nettoyer. Elles en profitaient également pour s’embrasser à pleine bouche et se mélanger le foutre qu’elles récupéraient. Cela durait quelques minutes. J’en profitais pour me relever. Mon sexe en berne. Elles étaient toutes à leurs occupations sans me prêter attention. Au fond de moi, j’étais sure que N. avait fait état de ce qui se passait entre nous à C. qui voulait aussi faire l’expérience. Si ça se trouve elle aussi était délaissée par son mari qui sait ? Alors, après ce qu’elles venaient de me faire subir, je me mis en position pour les punir. Le fait d’être déjà venu 2 fois me facilita la tâche. Nous étions en plus dans un endroit dégagé on et je ne risquai pas d’abîmer quoi que ce soit. Je m’installai entre elle et commença à leur pisser dessus. Je commençai par N. qui en sentant mon liquide chaud lui couler d’abord sur la robe qui lui couvrait encore le ventre se détacha de C. je dirigeais alors mon liquide vers son visage. N. entreprit d’ouvrir la bouche et d’avaler 2 ou 3 gorgées. Je dirigeai ensuite mon jet dans ses cheveux avant de me tourner vers C. . comme à N., je commençai par tremper sa robe et je remonta ensuite sur ses sein pour voir sa réaction. En fait elle s’était un peu reculée et commençait à se caresser le ventre et les seins avec l’urine qui lui coulait dessus. Les mains de N. se joignirent aux siennes. Alors je me dirigeai vers son visage. Elle se laissa asperger mais n’ouvrit pas la bouche. J’entrepris également de lui administrer un shampoing en faisant des passages de gauche a droite puis je les arrosais l’une après l’autre avec ce qu’il me restait à partager. Elles se laissaient faire en se caressant mutuellement le torse avec ce qui coulait. Leurs robes étaient entièrement maculée et une flaque s’était formé à leur genoux. Je vis C. se passer la langue autour des lèvres pour gouter les gouttes qui lui coulait sur le visage. Quand j’eu fini, elles reprirent leur jeu de se rouler des pelles mais s’amusaient aussi à se lécher le visage en me jetant parfois des regards provocateurs. Je me penchai alors et embrassa C. à pleine bouche. Elle avait encore le gout du foutre mélangé à celui de l’urine qu’elle avait lécher sur le visage de N. sa langue se mêla à la mienne pour une danse qui me redonna un peu de vigueur. Je m’agenouillai pour avoir une meilleure position et ainsi je pus les caresser toutes les 2. Les mamelons de C même s’ils dardaient étaient moins dure que ceux de N. mais je les malaxais avec vigueur ce qui la fit haleter. Elle, avec sa main droite me prodiguait une branlette afin de remettre mon membre droit pendant que N. rapprochait son visage. On parti ainsi pendant au moins 5 minutes dans une cavalcade de baisers et d’embrassades fougueux. Une main de N. avait rejoint celle de C. alors qu’elles se caressaient chacune le minou avec leurs mains de libre. Mon membre avait repris du volume sans pour autant reprendre le maximum. C. alors me re-bascula en arrière et je me rallongeai sur le dos. Elle revint s’asseoir sur mon visage mais ce coup ci par devant. Sa robe mouillée vint me coller au visage. Je ne pus que ressortir ma langue et l’honorer une seconde fois de cette façon là. N. pendant ce temps là, tentait de me redonner de la vigueur en me prodiguant par alternance branlette et fellation. De mes mains que j’avais remontées, je caressais la poitrine de C. qui râlait de nouveau de plaisir. Estimant que j’étais assez prêt, N. s’installa sur mon membre et commença un va et vient relativement lent. Je sentis ses mains qui s’ajoutèrent aux miennes sur la poitrine de C. après quelques instant, je lui laissai le champ libre et ramena mes mains sur le cul de C. et les malaxa comme je pus. Les 2 filles râlaient de plaisir. Tout à coup, C. se releva et en restant au dessus de moi, se retourna en agrippant le bas de sa robe pour la relever elle s’installa a califourchon et en tenant sa robe relevée, elle écarta sa fente. Sans attendre très longtemps, un filet jaune sorti et commença à nous asperger, moi principalement qui en recevait une bonne partie sur le visage. Ce fut mon tour de prendre une bonne douche. C avait un jet plus puissant que N. et en prenant appuis en arrière elle arrivait à inonder la robe de N. qui était concentré sur son va et vient et son propre plaisir. Le liquide chaud s’écoulait tout autour de moi et j’essayais d’y gouter au passage. J’observai ainsi que chaque femme avait de ce coté là également un goût différent. N. se pencha en avant et tout en continuant ses va et viens sur mon membres essayait de boire a cette fontaine improvisé. Je la voyais se faire éclaboussé le visage en happant le liquide qui passait à porté. J’accentuais mes poussées pour faire en sorte qu’elle ait du mal à trouver le jet et qu’elle se fasse éclabousser au maximum. Ses cheveux étaient trempée et son plaisir la faisait grimacer d’extase et elle avait du mal a absorber l’urine qui arrivait dans sa bouche. Cette situation m’avait redonné de la vigueur et N. en profitait un maximum. Elle ne tint pas longtemps à ce rythme et jouit en même temps que le jet de C. se tarissait. Elle se laissa aller en avant quelques instants mais du se laisser glisser sur la coté à cause de son ventre. C. elle s’était redressée. A la vue de mon membre au garde à vous elle s’extasia.«Mais c’est qu’il en redemande ce petit oiseau ». Il est vrai qu’après être venu 2 fois, mon ardeur et mon endurance s’était accentuée. N. pendant ce temps là, s’était glissé à ma auteur et avec sa robe collé à moi, m’embrassa fougueusement comme pour me remercier du bien que je lui apportais. C. elle était venu prendre la place de N. précédemment et s’installa sur mon sexe. Elle était descendue doucement pour mieux apprécier les sensations que mon sexe pouvait lui apporter. Une fois bien installée, elle se mi en mouvement de bas en haut. Cela lui soutirait des gémissements de plaisir. Mais avec elle, je ne voulais pas en rester là. Après une ou deux minutes, alors qu’elle était en position haute, je me retirais d’un coup et avec une main, je saisi mon membre raide et le dirigeai plus bas. Surprise par mon geste, elle comprit ou je voulais en venir et réajusta sa position pour venir présenter son anus correctement. N. suite à nos mouvement, nous regardait faire et C. se mettre en position. Alors tout doucement C. vint se coller à mon sexe. N. ne perdait rien de ce spectacle. C. dû forcer un peu pour que mon gland passe le premier obstacle. Elle lâcha un « huuuummmmm ! de plaisir quand il la pénétra. Puis, petit à petit, cm par cm, elle descendit. Elle ne s’arrêta que lorsque je fus entier en elle. Cela avait bien pris 2 minutes et du faire une ou 2 remontées afin de mieux progresser. Elle lâcha de nouveau un « hhhhuuuuuummmmm ! » lorsqu’elle fut tout en bas et faillit presque s’écrouler de plaisir.« huummm que c’est bon » dit-t-elle « je n’ai jamais connu ça ». Elle se redressa alors et se pencha un peu en arrière. Elle reprit correctement position sur ces jambes et commença à remonter un peu. « Huumm ! C’est trop bonnnn… » puis redescendit. Elle commença à faire des va et viens doucement en profitant pleinement du plaisir que je pouvais lui procurer en continuant de gémir. N. regardait avec fascination mon sexe entrer et sortir à moitié de ce cul phénoménal. Et je la voyais qui se masturbait en nous contemplant. Je ne pus que me rallonger sur le dos en saisissant C. par les hanches pour essayer de lui donner un rythme et la soulager dans cette positions. N. alors se releva. Sa robe trempée lui collait à la peau et ne redescendait même plus. La vision de ses cheveux collé et trempé me redonnèrent encore plus d’ardeur ce qui ne fit qu’accentuer les gémissements de C. N. en se déplaçant n’arrêtait pas pour autant de se masturber. Elle vint se placer derrière C. et s’arcboutât légèrement. C. avait les yeux fermées et ne pensait qu’a son plaisir. N. arrêta de se masturber et écarta les lèvres de son sexe. Je la regardais faire et vit son urine commencer à couler. Elle était juste derrière C. et donc arrosa tout d’abord la chevelure de C. avant de commencer à arriver sur son visage. C. avait la bouche ouverte pour exprimer son plaisir et l’urine lui coulât dans la bouche. Elle réagit comme à la piscine en régurgitant le liquide hors de sa bouche mais ça coulait tellement qu’elle ne put à un moment qu’avaler ce qui arrivait. Je voyais C. inondée de pisse qui lui coulait de partout des cheveux, de son visage, de ses seins … cette vision de ces femmes souillées alors que j’en enculais une me fit reprendre mon ardeur maximale et je sentais mon sexe lui remplir pleinement son fondement maintenant. C. essayait entre 2 gorgées de crier son plaisir et faillit même s’étouffer. Elle prit un mouvement de va et vient maximum en me pénétrant complètement et en se relevant a la limite de sortir. Ses gestes étaient de plus en plus rapides. N. quant à elle, se finissait sur la chevelure de C. celle-ci criait de plus en plus avant de finir dans un râle d’extase comme jamais je n’en avais entendu de la part d’une femme tout en s’empalant une dernier fois jusqu’au bout sur mon membre.Les contractions de plaisir qu’elle avait étaient telles que je me libérais moi aussi par saccades dans le fond de son fondement. Je n’en eu pas beaucoup du fait que j’étais venu 2 fois mais les sensations étaient phénoménale. C. s’écroula sur moi encore empalé tandis que N. vint s’asseoir sur mon visage afin que j’entreprenne de lui nettoyer son sexe. Il était plein de pisse et j’entrepris de le lui récurer à fond avec ma langue. Je la fis se pencher vers l’avant afin de mieux pouvoir respirer et tout en continuant mes léchouilles, j’entrepris d’approcher de nouveau un doigt de son anus. Vite imprégné de son jus, mon doigt entra facilement et j’entrepris un va et vient qui lui soutira a son tour des soupirs de plaisir.les 2 femmes étaient sur moi tête bêche certainement gêné par leur ventre mais qui ne les empêchaient pas à ce que j’entendais à se bécoter. Mon membre avait lui baissé en volume mais la situation que je vivais en ce moment faisait que je n’avais débandé qu’à moitié. Je sentais pleinement mon sexe dans le cul de C. et je me sentais bien. Elle, ne semblait pas vouloir bouger non plus.Alors, j’entrepris le tout pour le tout. N. avait du tout raconter à C. sur ce qu’on faisait ensemble depuis quelques semaines et n’avait pas du omettre ce qui c’était passé la semaine dernière. Alors, même si je m’étais soulagé tout à l’heure, j’avais encore de la réserve et mon membre amoindrie me facilitait la tâche. Mais ce coup ci, je voulais tout contrôler. Alors, j’entrepris d’y aller petit à petit, par petit a coup pour qu’elle ne s’en aperçoive pas tout de suite. Et donc j’ouvris peu à peu les vannes et par petit jet, je lui pissais dans le cul comme je l’avais fait la semaine précédente. A chaque sortit du liquide, j’avais une sorte de contraction qui fit gémir C. j’entrepris alors un léger va et vient mine de rien pour retarder le moment ou elle s’apercevrait de la chose. Mes mouvements lui soutirèrent quelques soupirs qui me montrèrent qu’elle adorait vraiment l’anal. Mon urine commençait à la remplir et je pouvais en sentir la douce chaleur envelopper mon sexe qui recommençait à durcir de nouveau. C. ondulait tout doucement du bassin et amplifiait ses mouvements au fur et à mesure que mon membre reprenait de la vigueur. Je m’arrêtais régulièrement pour la caresser et en profiter pour me libérer à l’intérieur.je sentais maintenant carrément le liquide au bout de mon sexe qui servait de bouchon. Mon doigt dans le cul de N. la faisait également frémir et je redoublais d’ardeur avec ma langue pour l’emmener à l’extase. J’étais donc là, dans un salon qui n’était pas le mien, le doigt dans le cul d’une femme mariée enceinte qui n’était pas la mienne en enculant une autre femme mariée aussi enceinte et en lui pissant dans le cul. Combien d’hommes pouvaient se vanter d’avoir été dans une telle position ???
A suivre…
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