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voisine enceinte

Chapitre 11

Trash
Après le dimanche, je passais du temps à me chercher un job pour l’été. Cela ne remplissait pas mes journées et j’en profitais pour ranger ma « piaule », sortir et flâner. Mais après 2 ou 3 journées, je commençais à trouver le temps long. Mes pensées étaient sans cesse tournées vers ces visions et sensations extraordinaires vécues le samedi précédent.Le jeudi, je n’y tins plus je devais voir N. Je sais qu’elle ne voulait me voir que le samedi mais en semaine, son mari devait être au travail. Au pire, elle n’avait qu’à monter.A 14h, je m’enhardi et descendit à son étage. Je sonnais et attendis. J’entendis des bruits de pas mais je ne les reconnaissais pas. Un doute m’envahit et mon cœur commençât à battre la chamade. Si ce n’est pas elle qui ouvre, qui serait-ce et quelle excuse je vais bien pouvoir trouver pour expliquer ma présence devant ce pas de porte ???Celle-ci s’ouvre et mon cœur s’arrête de battre : le mari est là ! « Bonjour ! C’est pourquoi ? »« Euh… bonjour ! Euh… désolé de vous déranger mais voilà ! Euh… je suis votre voisin du dessus et je cherche du sucre en poudre. J’ai des amis qui doivent arriver incessamment sous peu pour une après-midi crêpe ce qui fait que je ne peux m’éclipser pour en acheter et aucun de mes voisins n’a l’air d’être là. Comme j’ai déjà croisé quelquefois votre femme, je me suis permis de sonner pour voir si vous pouviez me dépanner. ? »Le mari n’arrête pas de me regarder et de me jauger. A la fin de mon explication, il ouvre un peu plus grand la porte et appelle.« N ! C’est pour toi ! » Puis « entrez, ma femme va vous trouver ça. »Je ne sais pas ou me mettre. J’entre quand même. Le mari part dans le couloir vers le salon en m’expliquant. « Vous m’excuserez, mais il y a un match de l’équipe de France et il a déjà commencé. Je vous laisse avec N. elle arrive. »En effet, j’entendis les pas familiers. Je me retourne et la voit. Celle-ci en me reconnaissant blêmit.« bon-bonjour ! » arrive-t-elle néanmoins à dire.Je lui ressors l’excuse bidon sortit quelques instant plus tôt à son mari au cas où il pourrait entendre du fait que la porte du salon était resté entrouverte.« Venez dans la cuisine, je dois pouvoir vous dépanner. »Je vois de la panique dans ces yeux. Je la suis dans la cuisine. Elle porte de nouveau une robe légère avec un ensemble noir dessous d’après ce que je devine. Dans la cuisine, la porte qui donne dans le salon est ici fermée.« Mais qu’est-ce que tu fiches ici ?? Tu es malade ?? Je t’avais dit uniquement le samedi » chuchotait-elle pour m’engueuler. « Tu veux me faire mourir de peur ou quoi ».Je ne savais pas ou me mettre. La situation était des plus délicates.« Je ne sais pas ce qui m’a prit » répondis-je. « Je me languissait de toi et je devait absolument te voir. Je suis resté pétrifier quand ton mari m’a ouvert. »« Il a prit une journée pour voir le match. C’est un inconditionnel. Pour rien au monde il n’en louperait un » pendant qu’on chuchotait, elle avait sorti un paquet de sucre en poudre et un récipient d’un placard.
« En y réfléchissant bien, même la venue de ton amant ne le dérangerai… » Souris-je en m’approchant d’elle. Elle posa les affaires sur un des bars et commença à transvaser. Je m’installai à côté d’elle et posa une main sur ses fesses. Je pus sentir le tissu de sa culotte à travers sa robe. Elle me dit « non ! Arrête ! Relativement sèchement en me retirant la main. Quand elle reprit le versement du sucre, je lui remis la main aux fesses mais par-dessous sa robe cette fois ci. Je lui passai un doigt au niveau de sa fente pour constater une légère humidification. Mais elle déplaçât sa croupe ce qui me fit retirer ma main. « Arrête je te dis. Je ne veux pas de ça ici !! » En faisant cela, un peu de sucre se rependit sur le bord. « Ah ! T’es malin ! S’exclamât-elle. Elle alla chercher un chiffon et se réinstallât pour commencer à essuyer. Je remis ma main sous la jupe puis tout de suite sous le tissus de sa culotte pour luis caresser directement les fesses. « Non ! Stoppe s’il te plait ! » Elle rebougeât son postérieur mais ce coup-ci je l’accompagnais et ma main continua de lui malaxer les fesses. J’introduisis de suite un doigt dans sa raie. « Chut ! Laisse toi faire. La porte est fermée et il suit le match. Ferme les yeux et laisse toi aller au plaisir que je suis venu t’apporter. » Dis-je en la caressant et en faisant parvenir un doigt à l’entrée de son antre chaud. La légère humidification était désormais avéré ce qui me poussa à m’enhardir.
« Mais s’il rentre et qu’il nous voit… » Fit elle en mettant sa main sur la mienne pour la retirer.« Il ne nous verra que cote à cote en train de discuter » répondis-je. En. Effet, nous étions derrière le mini bar, ce qui cachait la moitié de nos corps si quelqu’un devait rentrer. Mon doigt inquisiteur pendant ce temps là commença son intrusion et je commençai à l’enfoncer tout doucement. Sa main ne formait plus qu’une résistance minime. Je continuais mon audace en invitant un second doigt à entrer dans son intimité.« huumm ! fit elle, non il ne faut pas » murmurât-elle « Chuut ! Lui soufflais je à l’oreille. Ne pense qu’a ton plaisir. » Mes doigts commençaient un rythme de va et viens dans son antre qui semblaient la faire disjoncter du moment présent. Sachant que je n’avais guère de temps, je me pressasse de passer à la vitesse supérieure. N. se mordillait maintenant les lèvres. Son plaisir montait et je le sentais à la lubrification grandissante de son vagin. Constatant cela, je retirai un de mes deux doigts qui remonta rapidement à sa deuxième entrée puis le fit entrer délicatement. « Non ! S’il te plait arrête tout de suite ! » Elle avait resserré sa main pour m’empêcher d’aller plus loin. Elle avait aussi haussé le ton et en voulant mettre sa 2nde main devant sa bouche pour tenter trop tard de rattraper ses paroles, elle heurta le pot de sucre qui se déversa sur le comptoir.« Et M…. ! » S’exclama-t-elle tout aussi fort en le ramassant. Elle avait resserré les jambes et sa main me tenant toujours fermement. J’avais mes deux doigts de bloquer dans ses deux trous. « Enlève ta main s’il te plait… » Me supplia-t-elle.« Je ne peux pas, tu serres trop les jambes. »Alors doucement, elle les desserra. Avec sa main, elle poussa la mienne vers le bas mais à ce même moment, la porte du salon s’ouvrit. Je senti la panique l’envahir. Elle dut lâcher ma main pour se mettre correctement debout. Mes doigts étaient de nouveau libre et pour paraitre convenablement présentable, je me redressai aussi ce qui fit pénétrer mes doigts encore plus en profondeur. N tressaillit sous l’impulsion. Je jouais un jeu dangereux je le savais. Je profitais de la situation ou N ne pouvait plus rien faire ou dire sans se trahir. J’avais mes deux doigts dans ses deux trous et son mari s’avança dans l’embrasure de la porte. De là ou il était, il devait voir N juste derrière le bar entrain de nettoyer le comptoir et moi, légèrement en retrait. On entendait les commentateurs du match à travers la porte entrouverte.
« Tout va bien chérie ? J’ai entendus du bruit ?»« Oui ! Oui ! » Répondit-elle, j’ai juste renversé le pot de sucre. » Elle disait cela en faisant des mouvements amples avec un chiffon pour ramasser le tout ce qui faisait bouger son joli derrières et me permettait de juste bouger mes deux dernières phalanges. « Et si vous le permettez monsieur, j’aimerai inviter votre femme pour ma partie crêpe. Elle vient de m’informer que le foot ne l’intéressait guère et j’ai, n’ayant pas l’habitude, fait de la pâte à crêpes pour un régiment. »« Oui mais je ne veux pas déranger » rétorqua N en rentrant ainsi dans mon jeu. Elle avait parlé avec une petite voix qui trahissait pour celui qui pouvait voir la scène, un plaisir naissant qui se voulait cacher. « Mais non, je vous assure que vous ne serez pas de trop » insistais-je« Mais oui, je t’en prie. Vas y ma chérie, cela te changera les idées » répondit son mari.« Mais… » Elle allait encore protester en regardant son mari d’un air incertain mais je jouais toujours avec l’extrémité de mes doigts. Je lui sentis un frisson qui la bloqua dans ses paroles. Je la vit baisser les yeux et elle finit par dire :« D’accord. » Cela aurait put paraître être dit sous l’air de la résignation, mais sous mes doigts, je voyais que le soupir sorti avec le mot était la prémisse d’un plaisir grandissant. « C’est entendu » dit alors son mari « bon allez, je retourne à mon match. Bon après midi ! »Ah s’il savait à quel point nous allions (enfin je l’espérais) passer une bonne après midi…N. une fois la porte refermée posa ses 2 mains sur le comptoir emportée par son plaisir. Je me rabaissais de nouveau un petit peu et me remis à l’œuvre en faisant coulisser mes 2 doigts. Il ne lui f fallut que moins d’une minute pour jouir. Elle s’était mit le chiffon devant la bouche pour ne pas crier. Mes doigts lubrifiés par son plaisir purent sortir sans difficultés de leurs antres respectifs. N ne mit que très peu de temps avant de reprendre ses esprits.« Tiens va-t-en et ne reviens plus ici sans que je t’y invite… » Me lançât-elle en me tendant le sucre. Elle ne me regardait pas, toujours adossée au comptoir et je pouvais la sentir bouillonner dan sa tête. Je ne voulus pas la contrarier, pris ce qu’elle me tendait et partis en silence. Dans le couloir, on entendait le bruit de la télévision. Je sortis sur le pallier et rejoint rapidement mon studio.Mais qu’est ce qui m’avait pris ? Je m’insultais intérieurement. Je n’avais plus aucun respect pour N. je n’avais jamais agit ainsi avec quiconque. J’avais l’impression d’avoir une double personnalité. Dés que j’étais avec elle, toute ma morale et mes préjugés s’envolaient. Sachant que je n’avais rien à attendre de N une fois son accouchement passé, ma conscience me dictait de franchir un maximum d’interdits quelles qu’en soient les conséquences. Cependant, une fois l’action passé, j’étais prit de remord en me mettant à la place de N. elle était dans une position pas évidente du tout et je ne voulais pas que par mes excès, elle ne mette fin au peu de temps qu’il nous restait. Il fallait absolument que j’arrête de déconner.J’étais ainsi plongé dans mes réflexions depuis 10 minutes quand on sonna. Mince ; N. ? Elle était quand même montée. Qu’allais-je lui dire ? Je ne savais pas en fait. J’allais lui ouvrir.« Viens ! Entre ! » Lui dis-je. Une fois à l’intérieur, elle se retourna contre moi et commença à me marteler le torse avec ses poings en pleurant.« Arrête maintenant, tu n’as pas le droit de foutre mon couple en l’air. Je préfère qu’on stoppe tout de suite plutôt que mon mari ne découvre ce qui se passe entre nous. Ça va trop loin, JE vais trop loin. Je n’en peux plus » « Non ! S’il te plait. » Dis-je doucement en la prenant dans mes bras. « Je suis désolé. Je ne recommencerai plus, je te le promets. J’arrête de déconner. Je ne veux pas que ça se termine comme ça. J’ai confondu ton plaisir avec ton bonheur. Écoute, reprenons tout depuis le début. Oublions tout ce que nous avons fait et redécouvrons-nous. Je t’en prie calme-toi. » je la serra fort dans mes bras la laissant pleuré quelques temps, puis, je m’écartais légèrement pour lui saisir le menton, le tourner vers mon visage et lui faire des baisers sur sa joue humide et salé pour finir sur sa bouche. Je la sentis se détendre. Elle finit par répondre à mes baisers et finîmes par nous embrasser comme 2 nouveaux amoureux. Nos langues se rencontrèrent et alors elle se lâcha complètement. Comme promis, je ne voulus pas « casser » ce moment et je me mis à la déshabiller doucement et tendrement en accompagnant mes gestes d’une multitude de baisers. Je la fis se mettre sur le lit et on fit l’amour comme si c’était la première fois que nous nous étions rencontré. J’axais ce moment sur son plaisir dans les différentes positions que nous prîmes (qui commençaient à être limitées car son ventre s’imposait de plus en plus) ce qui fait que je ne comptais plus le nombre de jouissance qu’elle put avoir. Comprenant que j’étais sérieux, elle s’était décrispé et avait accepté une relation plus saine. Elle conclut notre rencontre de cet après-midi-là par une pipe somptueuse qui me laissa vide de toute force.Tout bon moment ayant une fin, elle finit par se rhabiller me laissant seul une nouvelle fois. Avant de partir, elle accepta que l’on se revoie le samedi comme d’habitude et m’annonça que sa copine C. avait accouché la veille au soir d’un garçon. Nous nous embrassâmes une dernière fois puis elle s’en alla.Ces dernières paroles me rappelèrent à juste titre que je devais ménager cette relation qui maintenant n’allait plus durer longtemps. Je n’avais pas fait le calcul mais il me semblait que N. n’était plus très loin d’être à terme et que je ne devais plus déconner si je voulais profiter du peu de temps qu’il nous restait. Je devais profiter de cette chance de pouvoir satisfaire une femme enceinte.Ce qui me troublait, c’est que N. avait accepté au début nos petits jeux et que certaines pratiques ne semblaient pas la dégouter. Maintenant, elle devait certainement avoir réfléchit à sa situation familiale et voulait certainement rentrer dans le moule d’une bonne mère de famille, certes avec un amant, mais voulant rester conventionnelle. Était-ce le début de la fin ?
Le samedi matin fut comme le jeudi, une matinée basé sur la tendresse et le plaisir de N.Même si le plaisir de faire l’amour à une femme mariée et enceinte me donnait de la vigueur, en partant de son appartement, j’avais une sensation de manque, d’insatisfaction, celui de ne pas avoir poussé son plaisir (et le mien) à son paroxysme. J’avais trouvé un boulot pour mes vacances. Qui commença dans la semaine. Le samedi suivant fut celui que je redoutais. N. attendit que nous eûmes finit pour m’annoncer la fin de notre relation. Elle allait bientôt accouché et voulait se consacrer sur ces derniers moments de grossesse. Elle me promit qu’elle avait passé des moments inoubliables (et moi donc) mais que cela n’aurait jamais pu continuer. Elle clôtura notre relation par une pipe dont elle avait le secret et nous finîmes par nous séparer pour la dernière fois. Au dernier instant, elle me glissa à l’oreille que je devais recevoir prochainement une visite qui devait la faire disparaitre de mes pensées. Mais ça, c’est une autre histoire.
FIN
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